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Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots

Arrêtons de tolérer ce qu'on ne veut plus | E035

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17min |24/09/2025
Play
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Description

⚠️ Et si le vrai problème… c’était ce qu’on continue de tolérer ?


Quand on veut du changement, on pense souvent à ajouter quelque chose.

Mais si, au contraire, on commençait par arrêter de tolérer ce qu’on ne veut plus ?

Fatigue constante, habitudes qui nuisent à notre mémoire, environnement qui nous épuise…


Cette semaine, on explore une idée simple mais puissante :

➡️ Réduire sa tolérance à ce qui ne nous convient plus, c’est amorcer le changement.

Parce qu’une prise de conscience, c’est déjà 50 % du chemin.


🎥 Découvrez pourquoi refuser “plus du même” est parfois la meilleure décision pour votre cerveau


📅 Et si vous faisiez un choix non négociable… pour votre santé cognitive ?


Réservez une rencontre gratuite ici :

https://www.patriciaspaans.com/rdv

📞 Ou appelez directement au 1-833-504-4713 pour planifier votre rendez-vous.

 


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🎯 Vous êtes prêt(e) à passer à l’action ?

Commencez par le Défi 7 jours pour stimuler votre mémoire

Je vous invite à participer à cette expérience gratuite et conviviale, pour :

✔️ Explorer vos choix et habitudes avec plus de conscience

✔️ Découvrir ma méthode avec les 20 essentiels pour prendre soin de votre mémoire au quotidien

✔️ Stimuler votre cerveau et retrouver plus de clarté au quotidien

✔️ Vous sentir soutenu(e), entouré(e), inspiré(e)

🎁 C’est gratuit, accessible à tous, avec rediffusion incluse. Je

Et c’est une magnifique façon de dire : oui, je choisis de me prioriser.

👉 Je m'inscris au défi 7 jours dès maintenant: https://www.patriciaspaans.com/7-jours-pour-stimuler-votre-memoire


Site web : https://www.patriciaspaans.com/

Cliquer ici pour rejoindre : membership de Mémoire et longévité

Facebook : https://www.facebook.com/famillesaine

Instagram : https://www.instagram.com/patricia.spaans/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour tout le monde et bienvenue dans ce Mercredi Mémoire, où aujourd'hui on parle du lien entre la tolérance et le changement. Bonjour et bienvenue dans le podcast Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots. Je suis Patricia Spaans, coach en mémoire et longévité. Rejoignez-moi chaque semaine pour découvrir les secrets de la science et de l'alimentation, pouvant vous permettre de vivre en meilleure santé et en longévité. Je partagerai avec vous des conseils pratiques et des entrevues. fascinante avec des experts. Ensemble, nous explorerons les gestes simples et efficaces pour renforcer votre mémoire. Parce que oui, il y a quelque chose à faire pour garder sa mémoire vive et gagner 20 ans de vie de qualité. Je ne suis pas en train de dire de ne pas tolérer les opinions divergentes et tout ça. Au contraire, non. Des fois, la tolérance nous empêche de changer parce qu'on tolère les choses dans notre horaire ou dans notre quotidien qui nous bloquent. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Par exemple, si je suis tout le temps fatiguée et que je regarde dans mon horaire, ça se peut que je dise oui à des activités ou des choses qui ne me nourrissent pas et que je tolère ça. Je tolère une énergie plus basse. Je tolère que je sois toujours fatiguée parce que je me dis que c'est comme ça, sans me poser la question et sans utiliser ça comme un moteur de changement. Ce que je voudrais plutôt dire, c'est que si je suis souvent fatiguée, C'est quoi les causes racines ? Pourquoi je suis fatiguée ? Qu'est-ce qui arrive dans mon horaire qui me gruge de l'énergie du temps et que peut-être qu'il y a des choix là-dedans que je pourrais faire ? Mais si je tolère et j'accepte le fait que je sois fatiguée en me disant « C'est comme ça, c'est normal et ma vie est faite comme ça et je ne peux rien changer » , bien là, je tolère une situation qui ne me nourrit pas. À l'inverse, je peux regarder mon horaire et dire « Ah, sais-tu quoi ? Aller magasiner, ce n'est pas une situation qui me nourrit. Aller faire des achats, donc… » Je vais trouver une autre solution ou je vais le faire plus concis. Moi, je coordonne, j'y vais quelques fois dans l'année parce que je n'aime pas ça, particulièrement dans les magasins, dans les commerces. Ou alors, je vais acheter plus en ligne pour pouvoir me libérer du temps, pour mettre du temps plutôt sur aller marcher dans la nature. Beaucoup plus agréable pour moi que dans un centre commercial. Donc, je tolère moins d'activités qui me nourrissent moins. Mais quand je dis oui à quelque chose, je dis toujours non à quelque chose d'autre. On ne le réalise pas toujours. mais il y a toujours un coup à dire oui, à continuer le statu quo, à continuer à rester dans quelque chose qui me sert moins bien. Je suis toujours en train de dire non à quelque chose d'autre de possible qui aurait pu se produire. Par exemple, dans un emploi, si je tolère mon insatisfaction au travail en me disant « oui, il faut travailler, c'est nécessaire » , c'est vrai, on a besoin d'argent pour vivre, c'est vrai, pour payer toutes les dépenses. Mais si je continue à tolérer un emploi qui ne me nourrit pas, mais je n'ouvre pas la possibilité à autre chose. Je continue à dire oui à la sécurité, à tout ce que ça m'apporte, et peut-être que c'est le bon choix, mais peut-être qu'en même temps, je suis en train de dire non à un autre emploi qui pourrait peut-être me soutenir financièrement, mais venir me nourrir différemment, venir me donner un boost et une énergie. Et j'en sais quelque chose parce qu'il y a plusieurs années, j'ai fait ce choix-là. Je travaillais, j'avais un emploi bien rémunéré, j'étais en ville. plusieurs gens autour de moi, envieux de ma situation, ben voyons Patricia, t'as la situation parfaite. Mais moi, je me levais le matin, puis je n'étais pas heureuse dans ce que je faisais. Et je n'étais pas heureuse non plus dans l'horaire que j'avais de me lever très, très tôt, aller porter mes enfants à l'époque où j'étais jeune, aller à la garderie, aller jusqu'au centre-ville de Montréal, revenir, aller les chercher avant que la garderie ferme à la course, faire un souper, aller me coucher. Je ne me voyais pas faire ça toute ma vie. Et donc, j'ai arrêté de tolérer cette situation-là qui ne me nourrissaient pas. Il y en a d'autres qui vont être très heureux. C'est vraiment personnel à chacun. L'important, ce n'est pas l'action elle-même, c'est qu'est-ce que je choisis, qu'est-ce qui est aligné avec moi, ce que je veux dans la vie. Moi, je voulais être plus présente avec mes enfants, plus connectée à la nature. Et donc, j'ai choisi d'arrêter, d'accepter, c'est peut-être mieux, cette situation-là pour créer autre chose de plus alignée. Et on dit toujours, on ne peut pas créer une omelette sans casser d'œufs. C'est sûr que ce changement-là a impliqué plusieurs sacrifices, plusieurs efforts, des transitions. Ça ne s'est pas fait tout seul, mais ça a été un moteur pour moi de changer quelque chose pour aller chercher une vie qui était plus alignée avec l'horaire que je voulais, avec la connexion avec mes enfants que je voulais, avec la connexion à la nature que je voulais. Donc, j'ai arrêté d'accepter une situation qui, pour moi, n'était pas alignée avec ce que je voulais et ça m'a permis d'ouvrir vers où je voulais aller. Donc, quand je dis oui à quelque chose, en l'occurrence, rester dans un emploi qui me satisfait moins. Ça peut être la même chose dans des relations amoureuses, dans différentes relations. Ça se peut que je continue à accepter quelque chose qui ne me nourrit plus aujourd'hui, mais on oublie qu'en disant oui à ça, je dis non à plein d'autres possibilités. Même des possibilités que je ne connais pas, que je ne vois pas encore, mais qui s'ouvrent. une fois que je fais le changement. Donc, c'est la même chose au niveau du stress. Si je peux accepter des situations qui me causent un stress, par exemple, dans mon cas, aujourd'hui, mon horaire, c'est un défi dans le sens que je donne des conférences, je fais des vidéos, je donne des coachings, j'organise des événements. Donc, mon temps est très précieux. Et c'est vrai pour tout le monde. Notre temps, c'est notre bien le plus précieux. Donc, ce temps-là, si je dis oui à des choses, j'accepte toutes les invitations. à un moment donné, je n'ai plus de temps pour moi. Alors moi, ce que j'ai choisi de faire, c'est que je ne prends pas de rencontre de client avant 9h30 ou 10h le matin. Pourquoi ? Parce que ce temps-là, c'est pour moi, pour créer des choses de nouvelles, pour aller faire de l'exercice, me connecter à la nature, aller à l'extérieur. Ce matin, j'ai mangé avec mon fils, qui commençait un petit peu plus tard, passer du temps avec mon fils. Mais ça, c'est un défi à tous les jours parce qu'il y a toujours des possibilités ou des demandes de rendez-vous, d'action. Mais pour dire, ah bien là, Patricia, tu as du temps, tu as un trou là, on pourrait peut-être combler cette partie de l'honoraire une fois que mon horaire est plein. Mais je dis non, sauf exception. Je n'accepte pas de laisser tomber ce moment-là, parce que si je disais oui à un rendez-vous de plus avec un collaborateur ou quelqu'un à ce moment-là, qui est pour moi, je dis non à quoi ? Je dis non à ma méditation. Je dis non à ma connexion à la nature. Je dis non à ma marche avec mon chien. Je dis non avec du temps, plus de qualité le matin avec mes enfants. Je dis non avec peut-être prendre le temps de manger un repas plus sain parce que je cuisine. Des fois, le matin, je prépare le souper pour le soir. Je dis ou sinon avoir un souper préparé sain pour moi et ma famille. Tout ça parce que j'ai dit oui à quelque chose, parce que j'ai accepté de racheter quelque chose à mon horaire. Et pour moi, c'est un défi de tous les jours parce qu'à tous les jours, il y a des demandes. Puis des fois, je dis oui à une demande qui vient prendre cette période-là dans mon horaire. Puis après ça, je le regrette. Je le regrette, pas parce que je ne veux pas être là pour les gens, je veux être là pour les gens, mais il ne faut pas que j'oublie le temps pour moi dans cet espace-là. Alors ça, ça devient un moteur de changement. Si on dit oui à quelque chose, on dit automatiquement toujours non à quelque chose. À l'inverse, si je dis non, si je dis non à ce rendez-vous-là, puis je dis, bien, on va le prendre la semaine prochaine, j'ai un autre créneau qui va se libérer, bien là, j'ai dit oui à tout ce que je faisais pendant cette période-là qui vient me nourrir. Et ça me permet de garder mon équilibre. Et ça me permet vraiment, vraiment d'être alignée sur ce que je veux, de créer le changement que je veux. Parce que quand on veut créer un changement, c'est quoi ? Si je veux changer quelque chose, si je veux manger mieux, si je veux faire plus d'exercices, si je veux méditer. Généralement, on n'a pas de grands trous dans notre horaire. Notre horaire est déjà pas mal occupé. J'ai toujours la blague qu'il n'y a personne de plus occupé que les gens à la retraite. Donc, même quand on est à la retraite, notre temps est super précieux. Donc, ce que je veux, c'est d'utiliser ce temps de manière... C'est imprécis. Donc, si je veux rajouter quelque chose de nouveau, si je dis, bien, je veux cuisiner maison davantage, il va falloir que je trouve quelque chose d'autre à changer. Il va falloir que je libère autre chose dans mon horaire. Il va falloir que je dise non à autre chose. Donc, pour moi, c'est toujours un équilibre quand je dis oui ou non, parce qu'on peut dire oui à toutes les possibilités, puis ça ne veut pas dire que c'est des mauvaises choses, c'est des bonnes choses, mais il y a un choix à faire. Et le choix, savez-vous quoi ? C'est le début du changement. Quand je commence à avoir des situations où je pensais que je n'avais pas de choix, puis quand je commence à observer que maintenant il y a un choix, là, j'ai la possibilité de changer quelque chose. Parce que le choix, c'est vraiment le début du changement. Ce que je veux dire par là, c'est, si je me disais, bien là, je n'ai pas le choix, il y a un client qui a besoin d'un rendez-vous, il y a quelqu'un qui a une question pour moi, ce matin, je n'ai pas le choix, je vais prendre la question, le rendez-vous, peu importe, ou mes enfants qui ont besoin de quelque chose, je vais le prendre dans cet art-là que je me suis réservé pour moi. ou à l'inverse, si je commence à dire non, je commence à créer des possibilités. je commence à choisir autrement. Je commence à voir qu'il y a plusieurs options. Et une fois qu'il y a des options que je vois, bien là, c'est vrai que je peux faire des choix, alignés. Des fois, je vais dire oui, des fois, je vais dire non, mais je vais faire des choix. Alors, ce qu'on veut pour commencer le changement, c'est de regarder quand je dis oui à quelque chose, qu'est-ce que ça m'empêche ailleurs ? Je dis non à quoi ? Parce que souvent, on ne le réalise pas. On constamment dit oui en disant je le fais pour telle raison. On oublie toutes les autres possibilités. Et si je dis non à quelque chose, quelle possibilité ça ouvre ? C'est quoi les choix que ça amène ? Et avec ces choix-là, bien oui, je peux créer des changements. Si, par exemple, moi, je veux marcher plus dans la nature à l'extérieur, c'est un choix que j'ai fait cet été en vacances, de dire je veux aller à l'extérieur à tous les jours plus que 15, 20 ou 30 minutes. Je vais y aller le matin, je vais y aller le midi, je vais y aller en fin de journée pour me connecter à la lumière, pour bouger, pour m'aérer l'esprit, pour être plus présente dans mes rencontres et, dans le fond, prendre soin de moi à travers tout ça. Je dois avoir des options. Il faut que j'ouvre des choix. Il faut que je voie des possibilités dans mon horaire. Il faut que je me dise, OK, bien, sur l'heure du midi, si je veux ça, il faut que je fasse des choix. Il faut que je regarde ce que je fais déjà. puis de voir qu'il n'y a rien là-dedans qui est obligatoire. Tout ce que j'ai dans mon quotidien, j'ai un choix dessus. Et vous allez voir, c'est magique, les possibilités qui s'ouvrent. Et là, je me suis rendu compte que oui, c'était possible de marcher plus souvent trois fois par jour, mais ça devient un choix. Il y a autre chose que je dois, donc là, je dois regarder à travers les différentes possibilités, c'est quoi le choix que je fais. Alors, quand on dit oui à quelque chose, on dit toujours non à plein d'autres possibilités qu'on aurait pu faire à ce moment-là. souvent, quand les gens me disent « Ah, Patricia, j'ai pas le choix. » Oui, on a toujours le choix. Il y a des conséquences Ausha, mais il y a toujours un choix. Donc, c'est plutôt de se dire « Ok, c'est quoi les différents choix ? Est-ce que c'est toujours le choix aligné avec ce que je veux ? » Ça se peut que oui, mais ça se peut que non. Et donc, il y a peut-être des choix, des actions dans mon quotidien que j'accepte, qui sont là. J'ai l'impression que c'est la seule possibilité, mais non, il y a un choix. Des fois, juste de changer notre vocabulaire. Je choisis, par exemple, moi je fais ça souvent. Au lieu de dire, il faut que je fasse telle chose ce matin, il faut que je fasse telle tâche, je vais dire, je choisis ce matin de faire telle action. Je vais la faire pareil, mais je vais juste changer de discours. Et tout à coup, c'est moi qui ai fait le choix. Et ça veut dire que demain, je peux faire un choix différent. Et que je suis beaucoup moins dans tolérer ou accepter que les gens gèrent mon agenda pour moi, gèrent mon horaire pour moi. Et c'est moi qui le fais. ou mon énergie, ou mes activités, ce que je fais le week-end. Ah, bien là, je n'ai pas le choix, c'est mes enfants, ils veulent faire telle activité, je n'ai pas le choix. Par exemple, mes enfants. Puis ça, c'est vrai dans toutes les sphères de votre vie. Mes enfants, moi, mes enfants ont 15-17, mon fils va avoir son permis dans quelques semaines. C'est une période où il y a beaucoup, beaucoup de lifts pour les parents qui ont passé à travers. Donc, beaucoup, beaucoup de lifts. Je pourrais dire, je n'ai pas le choix, mon enfant, il va en ski, je n'ai pas le choix, il faut que je te laisse, il faut que j'aille donner un livre à mon fils qui va à l'anski. C'est vrai que mon fils a besoin d'un livre à terreur. C'est vrai qu'il y a un cours, peu importe où. Peu importe la raison. Mais en réalité, j'ai quand même toujours un choix. J'aurais pu être un parent qui ne veut pas donner des lifts à mes enfants. J'aurais pu. Ce n'est pas un choix qui est aligné avec mes valeurs, mais c'est quand même un choix que j'ai fait. Il y a des personnes sur la Terre qui ne donnent pas des lifts à leurs enfants. Ça existe. Est-ce que c'est aligné avec mes valeurs ? Non, pas du tout. Moi, je le fais. Mais c'est un choix. Donc, plutôt que de dire, il faut que j'aille porter mon enfant, mon fils au ski, je vais plutôt dire, je choisis d'aller porter mon enfant au ski. Pourquoi ? qui profite du sport, c'est important qu'elle ait l'extérieur. Parce qu'elle est contente, parce qu'elle en profite. Parce que pendant ce moment-là, on peut passer du temps ensemble. Vous voyez la différence ? Au lieu de dire, il faut que je te laisse, il faut que j'aille porter mon fils en ski. Je ne dis jamais, il faut, je le dis, mais je me reprends dans ce temps-là. Je choisis de. On a toujours un choix. Il y a des gens qui choisissent de manger très, très mal. Moi, je choisis de bien manger. Même des gens qui auraient une allergie à quelque chose, ils peuvent choisir quand même de le manger. Donc, on a toujours, toujours, toujours un choix. C'est-à-dire que notre choix a un impact. Alors, je vous invite à observer ça dans vos prochains jours. Prendre conscience de quand est-ce que vous dites oui ou non à quelque chose. Et quand vous dites oui à quelque chose, à quoi vous dites non ? Commencez à regarder votre quotidien avec ces yeux-là. Et commencez à écouter quand vous dites, j'ai pas le choix, il faut que. de remplacer ça par « je choisis » . Je choisis de donner un livre à mes enfants. Je choisis de prendre un rendez-vous ce midi. Je choisis d'aller faire l'épicerie. Je choisis de faire la vaisselle. Mais on n'a pas le choix. On ne peut pas laisser la vaisselle sale. Bien oui, mais on a le choix. La conséquence, c'est que si je la fais à la vaisselle, je vais manger dans le nasset de salle, il va y avoir des bébites dans ma maison, puis tout ça, ça ne m'intéresse pas, ce choix-là. Mais j'ai quand même le choix. Donc, je choisis de faire ma vaisselle. Ça, c'est le fun. La vaisselle devient un petit peu plus le fun. Et on voit le pouvoir, on reprend le pouvoir sur la situation. Vous allez voir le choix, le début du changement. Puis, on n'est pas obligé, on choisit de dire oui à ce qui est aligné avec nos valeurs. Vous voyez, je le fais quand même. Je dis, je ne suis pas obligée, je suis douée, etc. Même chose avec un emploi. On peut dire, je n'ai pas le choix, Patricia. Il faut que j'aille travailler, il faut que je paie mes choses. Oui, mais il y en a qui ne travaillent pas, pour plein de raisons. Ça ne veut pas dire que c'est facile, ça ne veut pas dire que leur vie va bien, ça ne veut pas dire qu'ils ont tout ce que vous avez, ça ne veut pas dire qu'ils réussissent à payer leur hypothèque ou leur loyer à chaque fin du mois. Mais on a quand même le choix. Je choisis de travailler pour soutenir ma famille, pour maintenir les besoins. Donc, ça peut être un endroit... Non, je n'ai pas le choix, mes enfants vont à l'école. En face de la rue, je ne veux pas déménager, je n'ai pas le choix. Oui, j'ai le choix. J'ai le choix, mais je choisis de rester là parce que c'est plus pratique, c'est plus confortable. Donc... Je vous invite à regarder ça dans les prochains jours. Partagez-nous dans le groupe Facebook. Allez nous écrire s'il y a des choses que vous avez vues différemment. Vous allez voir juste cette prise de conscience-là. On dit que prendre conscience de quelque chose, c'est déjà 50 % du changement. Et le choix, c'est le début du changement. Regardez les possibilités qui s'ouvrent à vous. Et là, j'ai une invitation pour vous. La semaine prochaine, le 22 septembre, on commence notre première édition de l'automne du Défi 7 jours. Pour stimuler votre mémoire, arrêtez de chercher vos mots. Gagnez 20 ans de vie de qualité. C'est gratuit, c'est virtuel. Si vous n'êtes pas présent en direct, vous pouvez le prendre en rediffusion, toujours. Allez vous inscrire. Je vous mets le lien dans les commentaires et dans les courriels et tout. Allez vous inscrire, c'est gratuit. Et pour ceux et celles qui ont déjà participé, vous pouvez revenir. Il y a des gens qui viennent de fois en fois. On est rendu à la 18e édition. On est plus de 15 000 personnes qui ont déjà participé. Mais partagez-le autour de vous. Parce que les gens ne savent pas justement les choix. Les choix qu'on peut faire pour nos prochaines années. C'est un choix, ça aussi. Le choix de comment je vais vivre mes prochaines années. C'est aujourd'hui que je construis mon domaine. C'est mes choix d'aujourd'hui qui construisent mon domaine. Ça fait que c'est un choix. C'est un choix. d'influencer mes prochaines années avec le pouvoir que j'ai. Donc, partagez autour de vous, invitez les gens au Défi 7 jours. Vous allez voir, on ne sait jamais quelle vie on peut changer à travers ça. Alors, je vous remercie, remercie du fond du cœur pour tous les gens qui êtes là depuis le début avec tout ce qu'on fait. Je remercie mon équipe d'ailleurs qui m'accompagne dans tout ce qu'on crée ensemble. On arrive à près de 1 million de vues sur Facebook et Instagram. C'est absolument génial. Imaginez le nombre de gens qui choisissent de gagner 20 ans de qualité, qui choisissent de se mettre en action. qui choisissent de créer un futur différent. Tous ensemble, on peut vraiment faire une différence. Alors, merci, merci du fond du cœur. Partagez autour de vous. Participez au Défi 7 jours. Invitez les gens. C'est gratuit. Et on se revoit la semaine prochaine pour un prochain Mercredi Mémoire où on va parler d'un autre sujet encore passionnant au niveau de la mémoire, de la longévité. Merci tout le monde.

Description

⚠️ Et si le vrai problème… c’était ce qu’on continue de tolérer ?


Quand on veut du changement, on pense souvent à ajouter quelque chose.

Mais si, au contraire, on commençait par arrêter de tolérer ce qu’on ne veut plus ?

Fatigue constante, habitudes qui nuisent à notre mémoire, environnement qui nous épuise…


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🎁 C’est gratuit, accessible à tous, avec rediffusion incluse. Je

Et c’est une magnifique façon de dire : oui, je choisis de me prioriser.

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bonjour tout le monde et bienvenue dans ce Mercredi Mémoire, où aujourd'hui on parle du lien entre la tolérance et le changement. Bonjour et bienvenue dans le podcast Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots. Je suis Patricia Spaans, coach en mémoire et longévité. Rejoignez-moi chaque semaine pour découvrir les secrets de la science et de l'alimentation, pouvant vous permettre de vivre en meilleure santé et en longévité. Je partagerai avec vous des conseils pratiques et des entrevues. fascinante avec des experts. Ensemble, nous explorerons les gestes simples et efficaces pour renforcer votre mémoire. Parce que oui, il y a quelque chose à faire pour garder sa mémoire vive et gagner 20 ans de vie de qualité. Je ne suis pas en train de dire de ne pas tolérer les opinions divergentes et tout ça. Au contraire, non. Des fois, la tolérance nous empêche de changer parce qu'on tolère les choses dans notre horaire ou dans notre quotidien qui nous bloquent. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Par exemple, si je suis tout le temps fatiguée et que je regarde dans mon horaire, ça se peut que je dise oui à des activités ou des choses qui ne me nourrissent pas et que je tolère ça. Je tolère une énergie plus basse. Je tolère que je sois toujours fatiguée parce que je me dis que c'est comme ça, sans me poser la question et sans utiliser ça comme un moteur de changement. Ce que je voudrais plutôt dire, c'est que si je suis souvent fatiguée, C'est quoi les causes racines ? Pourquoi je suis fatiguée ? Qu'est-ce qui arrive dans mon horaire qui me gruge de l'énergie du temps et que peut-être qu'il y a des choix là-dedans que je pourrais faire ? Mais si je tolère et j'accepte le fait que je sois fatiguée en me disant « C'est comme ça, c'est normal et ma vie est faite comme ça et je ne peux rien changer » , bien là, je tolère une situation qui ne me nourrit pas. À l'inverse, je peux regarder mon horaire et dire « Ah, sais-tu quoi ? Aller magasiner, ce n'est pas une situation qui me nourrit. Aller faire des achats, donc… » Je vais trouver une autre solution ou je vais le faire plus concis. Moi, je coordonne, j'y vais quelques fois dans l'année parce que je n'aime pas ça, particulièrement dans les magasins, dans les commerces. Ou alors, je vais acheter plus en ligne pour pouvoir me libérer du temps, pour mettre du temps plutôt sur aller marcher dans la nature. Beaucoup plus agréable pour moi que dans un centre commercial. Donc, je tolère moins d'activités qui me nourrissent moins. Mais quand je dis oui à quelque chose, je dis toujours non à quelque chose d'autre. On ne le réalise pas toujours. mais il y a toujours un coup à dire oui, à continuer le statu quo, à continuer à rester dans quelque chose qui me sert moins bien. Je suis toujours en train de dire non à quelque chose d'autre de possible qui aurait pu se produire. Par exemple, dans un emploi, si je tolère mon insatisfaction au travail en me disant « oui, il faut travailler, c'est nécessaire » , c'est vrai, on a besoin d'argent pour vivre, c'est vrai, pour payer toutes les dépenses. Mais si je continue à tolérer un emploi qui ne me nourrit pas, mais je n'ouvre pas la possibilité à autre chose. Je continue à dire oui à la sécurité, à tout ce que ça m'apporte, et peut-être que c'est le bon choix, mais peut-être qu'en même temps, je suis en train de dire non à un autre emploi qui pourrait peut-être me soutenir financièrement, mais venir me nourrir différemment, venir me donner un boost et une énergie. Et j'en sais quelque chose parce qu'il y a plusieurs années, j'ai fait ce choix-là. Je travaillais, j'avais un emploi bien rémunéré, j'étais en ville. plusieurs gens autour de moi, envieux de ma situation, ben voyons Patricia, t'as la situation parfaite. Mais moi, je me levais le matin, puis je n'étais pas heureuse dans ce que je faisais. Et je n'étais pas heureuse non plus dans l'horaire que j'avais de me lever très, très tôt, aller porter mes enfants à l'époque où j'étais jeune, aller à la garderie, aller jusqu'au centre-ville de Montréal, revenir, aller les chercher avant que la garderie ferme à la course, faire un souper, aller me coucher. Je ne me voyais pas faire ça toute ma vie. Et donc, j'ai arrêté de tolérer cette situation-là qui ne me nourrissaient pas. Il y en a d'autres qui vont être très heureux. C'est vraiment personnel à chacun. L'important, ce n'est pas l'action elle-même, c'est qu'est-ce que je choisis, qu'est-ce qui est aligné avec moi, ce que je veux dans la vie. Moi, je voulais être plus présente avec mes enfants, plus connectée à la nature. Et donc, j'ai choisi d'arrêter, d'accepter, c'est peut-être mieux, cette situation-là pour créer autre chose de plus alignée. Et on dit toujours, on ne peut pas créer une omelette sans casser d'œufs. C'est sûr que ce changement-là a impliqué plusieurs sacrifices, plusieurs efforts, des transitions. Ça ne s'est pas fait tout seul, mais ça a été un moteur pour moi de changer quelque chose pour aller chercher une vie qui était plus alignée avec l'horaire que je voulais, avec la connexion avec mes enfants que je voulais, avec la connexion à la nature que je voulais. Donc, j'ai arrêté d'accepter une situation qui, pour moi, n'était pas alignée avec ce que je voulais et ça m'a permis d'ouvrir vers où je voulais aller. Donc, quand je dis oui à quelque chose, en l'occurrence, rester dans un emploi qui me satisfait moins. Ça peut être la même chose dans des relations amoureuses, dans différentes relations. Ça se peut que je continue à accepter quelque chose qui ne me nourrit plus aujourd'hui, mais on oublie qu'en disant oui à ça, je dis non à plein d'autres possibilités. Même des possibilités que je ne connais pas, que je ne vois pas encore, mais qui s'ouvrent. une fois que je fais le changement. Donc, c'est la même chose au niveau du stress. Si je peux accepter des situations qui me causent un stress, par exemple, dans mon cas, aujourd'hui, mon horaire, c'est un défi dans le sens que je donne des conférences, je fais des vidéos, je donne des coachings, j'organise des événements. Donc, mon temps est très précieux. Et c'est vrai pour tout le monde. Notre temps, c'est notre bien le plus précieux. Donc, ce temps-là, si je dis oui à des choses, j'accepte toutes les invitations. à un moment donné, je n'ai plus de temps pour moi. Alors moi, ce que j'ai choisi de faire, c'est que je ne prends pas de rencontre de client avant 9h30 ou 10h le matin. Pourquoi ? Parce que ce temps-là, c'est pour moi, pour créer des choses de nouvelles, pour aller faire de l'exercice, me connecter à la nature, aller à l'extérieur. Ce matin, j'ai mangé avec mon fils, qui commençait un petit peu plus tard, passer du temps avec mon fils. Mais ça, c'est un défi à tous les jours parce qu'il y a toujours des possibilités ou des demandes de rendez-vous, d'action. Mais pour dire, ah bien là, Patricia, tu as du temps, tu as un trou là, on pourrait peut-être combler cette partie de l'honoraire une fois que mon horaire est plein. Mais je dis non, sauf exception. Je n'accepte pas de laisser tomber ce moment-là, parce que si je disais oui à un rendez-vous de plus avec un collaborateur ou quelqu'un à ce moment-là, qui est pour moi, je dis non à quoi ? Je dis non à ma méditation. Je dis non à ma connexion à la nature. Je dis non à ma marche avec mon chien. Je dis non avec du temps, plus de qualité le matin avec mes enfants. Je dis non avec peut-être prendre le temps de manger un repas plus sain parce que je cuisine. Des fois, le matin, je prépare le souper pour le soir. Je dis ou sinon avoir un souper préparé sain pour moi et ma famille. Tout ça parce que j'ai dit oui à quelque chose, parce que j'ai accepté de racheter quelque chose à mon horaire. Et pour moi, c'est un défi de tous les jours parce qu'à tous les jours, il y a des demandes. Puis des fois, je dis oui à une demande qui vient prendre cette période-là dans mon horaire. Puis après ça, je le regrette. Je le regrette, pas parce que je ne veux pas être là pour les gens, je veux être là pour les gens, mais il ne faut pas que j'oublie le temps pour moi dans cet espace-là. Alors ça, ça devient un moteur de changement. Si on dit oui à quelque chose, on dit automatiquement toujours non à quelque chose. À l'inverse, si je dis non, si je dis non à ce rendez-vous-là, puis je dis, bien, on va le prendre la semaine prochaine, j'ai un autre créneau qui va se libérer, bien là, j'ai dit oui à tout ce que je faisais pendant cette période-là qui vient me nourrir. Et ça me permet de garder mon équilibre. Et ça me permet vraiment, vraiment d'être alignée sur ce que je veux, de créer le changement que je veux. Parce que quand on veut créer un changement, c'est quoi ? Si je veux changer quelque chose, si je veux manger mieux, si je veux faire plus d'exercices, si je veux méditer. Généralement, on n'a pas de grands trous dans notre horaire. Notre horaire est déjà pas mal occupé. J'ai toujours la blague qu'il n'y a personne de plus occupé que les gens à la retraite. Donc, même quand on est à la retraite, notre temps est super précieux. Donc, ce que je veux, c'est d'utiliser ce temps de manière... C'est imprécis. Donc, si je veux rajouter quelque chose de nouveau, si je dis, bien, je veux cuisiner maison davantage, il va falloir que je trouve quelque chose d'autre à changer. Il va falloir que je libère autre chose dans mon horaire. Il va falloir que je dise non à autre chose. Donc, pour moi, c'est toujours un équilibre quand je dis oui ou non, parce qu'on peut dire oui à toutes les possibilités, puis ça ne veut pas dire que c'est des mauvaises choses, c'est des bonnes choses, mais il y a un choix à faire. Et le choix, savez-vous quoi ? C'est le début du changement. Quand je commence à avoir des situations où je pensais que je n'avais pas de choix, puis quand je commence à observer que maintenant il y a un choix, là, j'ai la possibilité de changer quelque chose. Parce que le choix, c'est vraiment le début du changement. Ce que je veux dire par là, c'est, si je me disais, bien là, je n'ai pas le choix, il y a un client qui a besoin d'un rendez-vous, il y a quelqu'un qui a une question pour moi, ce matin, je n'ai pas le choix, je vais prendre la question, le rendez-vous, peu importe, ou mes enfants qui ont besoin de quelque chose, je vais le prendre dans cet art-là que je me suis réservé pour moi. ou à l'inverse, si je commence à dire non, je commence à créer des possibilités. je commence à choisir autrement. Je commence à voir qu'il y a plusieurs options. Et une fois qu'il y a des options que je vois, bien là, c'est vrai que je peux faire des choix, alignés. Des fois, je vais dire oui, des fois, je vais dire non, mais je vais faire des choix. Alors, ce qu'on veut pour commencer le changement, c'est de regarder quand je dis oui à quelque chose, qu'est-ce que ça m'empêche ailleurs ? Je dis non à quoi ? Parce que souvent, on ne le réalise pas. On constamment dit oui en disant je le fais pour telle raison. On oublie toutes les autres possibilités. Et si je dis non à quelque chose, quelle possibilité ça ouvre ? C'est quoi les choix que ça amène ? Et avec ces choix-là, bien oui, je peux créer des changements. Si, par exemple, moi, je veux marcher plus dans la nature à l'extérieur, c'est un choix que j'ai fait cet été en vacances, de dire je veux aller à l'extérieur à tous les jours plus que 15, 20 ou 30 minutes. Je vais y aller le matin, je vais y aller le midi, je vais y aller en fin de journée pour me connecter à la lumière, pour bouger, pour m'aérer l'esprit, pour être plus présente dans mes rencontres et, dans le fond, prendre soin de moi à travers tout ça. Je dois avoir des options. Il faut que j'ouvre des choix. Il faut que je voie des possibilités dans mon horaire. Il faut que je me dise, OK, bien, sur l'heure du midi, si je veux ça, il faut que je fasse des choix. Il faut que je regarde ce que je fais déjà. puis de voir qu'il n'y a rien là-dedans qui est obligatoire. Tout ce que j'ai dans mon quotidien, j'ai un choix dessus. Et vous allez voir, c'est magique, les possibilités qui s'ouvrent. Et là, je me suis rendu compte que oui, c'était possible de marcher plus souvent trois fois par jour, mais ça devient un choix. Il y a autre chose que je dois, donc là, je dois regarder à travers les différentes possibilités, c'est quoi le choix que je fais. Alors, quand on dit oui à quelque chose, on dit toujours non à plein d'autres possibilités qu'on aurait pu faire à ce moment-là. souvent, quand les gens me disent « Ah, Patricia, j'ai pas le choix. » Oui, on a toujours le choix. Il y a des conséquences Ausha, mais il y a toujours un choix. Donc, c'est plutôt de se dire « Ok, c'est quoi les différents choix ? Est-ce que c'est toujours le choix aligné avec ce que je veux ? » Ça se peut que oui, mais ça se peut que non. Et donc, il y a peut-être des choix, des actions dans mon quotidien que j'accepte, qui sont là. J'ai l'impression que c'est la seule possibilité, mais non, il y a un choix. Des fois, juste de changer notre vocabulaire. Je choisis, par exemple, moi je fais ça souvent. Au lieu de dire, il faut que je fasse telle chose ce matin, il faut que je fasse telle tâche, je vais dire, je choisis ce matin de faire telle action. Je vais la faire pareil, mais je vais juste changer de discours. Et tout à coup, c'est moi qui ai fait le choix. Et ça veut dire que demain, je peux faire un choix différent. Et que je suis beaucoup moins dans tolérer ou accepter que les gens gèrent mon agenda pour moi, gèrent mon horaire pour moi. Et c'est moi qui le fais. ou mon énergie, ou mes activités, ce que je fais le week-end. Ah, bien là, je n'ai pas le choix, c'est mes enfants, ils veulent faire telle activité, je n'ai pas le choix. Par exemple, mes enfants. Puis ça, c'est vrai dans toutes les sphères de votre vie. Mes enfants, moi, mes enfants ont 15-17, mon fils va avoir son permis dans quelques semaines. C'est une période où il y a beaucoup, beaucoup de lifts pour les parents qui ont passé à travers. Donc, beaucoup, beaucoup de lifts. Je pourrais dire, je n'ai pas le choix, mon enfant, il va en ski, je n'ai pas le choix, il faut que je te laisse, il faut que j'aille donner un livre à mon fils qui va à l'anski. C'est vrai que mon fils a besoin d'un livre à terreur. C'est vrai qu'il y a un cours, peu importe où. Peu importe la raison. Mais en réalité, j'ai quand même toujours un choix. J'aurais pu être un parent qui ne veut pas donner des lifts à mes enfants. J'aurais pu. Ce n'est pas un choix qui est aligné avec mes valeurs, mais c'est quand même un choix que j'ai fait. Il y a des personnes sur la Terre qui ne donnent pas des lifts à leurs enfants. Ça existe. Est-ce que c'est aligné avec mes valeurs ? Non, pas du tout. Moi, je le fais. Mais c'est un choix. Donc, plutôt que de dire, il faut que j'aille porter mon enfant, mon fils au ski, je vais plutôt dire, je choisis d'aller porter mon enfant au ski. Pourquoi ? qui profite du sport, c'est important qu'elle ait l'extérieur. Parce qu'elle est contente, parce qu'elle en profite. Parce que pendant ce moment-là, on peut passer du temps ensemble. Vous voyez la différence ? Au lieu de dire, il faut que je te laisse, il faut que j'aille porter mon fils en ski. Je ne dis jamais, il faut, je le dis, mais je me reprends dans ce temps-là. Je choisis de. On a toujours un choix. Il y a des gens qui choisissent de manger très, très mal. Moi, je choisis de bien manger. Même des gens qui auraient une allergie à quelque chose, ils peuvent choisir quand même de le manger. Donc, on a toujours, toujours, toujours un choix. C'est-à-dire que notre choix a un impact. Alors, je vous invite à observer ça dans vos prochains jours. Prendre conscience de quand est-ce que vous dites oui ou non à quelque chose. Et quand vous dites oui à quelque chose, à quoi vous dites non ? Commencez à regarder votre quotidien avec ces yeux-là. Et commencez à écouter quand vous dites, j'ai pas le choix, il faut que. de remplacer ça par « je choisis » . Je choisis de donner un livre à mes enfants. Je choisis de prendre un rendez-vous ce midi. Je choisis d'aller faire l'épicerie. Je choisis de faire la vaisselle. Mais on n'a pas le choix. On ne peut pas laisser la vaisselle sale. Bien oui, mais on a le choix. La conséquence, c'est que si je la fais à la vaisselle, je vais manger dans le nasset de salle, il va y avoir des bébites dans ma maison, puis tout ça, ça ne m'intéresse pas, ce choix-là. Mais j'ai quand même le choix. Donc, je choisis de faire ma vaisselle. Ça, c'est le fun. La vaisselle devient un petit peu plus le fun. Et on voit le pouvoir, on reprend le pouvoir sur la situation. Vous allez voir le choix, le début du changement. Puis, on n'est pas obligé, on choisit de dire oui à ce qui est aligné avec nos valeurs. Vous voyez, je le fais quand même. Je dis, je ne suis pas obligée, je suis douée, etc. Même chose avec un emploi. On peut dire, je n'ai pas le choix, Patricia. Il faut que j'aille travailler, il faut que je paie mes choses. Oui, mais il y en a qui ne travaillent pas, pour plein de raisons. Ça ne veut pas dire que c'est facile, ça ne veut pas dire que leur vie va bien, ça ne veut pas dire qu'ils ont tout ce que vous avez, ça ne veut pas dire qu'ils réussissent à payer leur hypothèque ou leur loyer à chaque fin du mois. Mais on a quand même le choix. Je choisis de travailler pour soutenir ma famille, pour maintenir les besoins. Donc, ça peut être un endroit... Non, je n'ai pas le choix, mes enfants vont à l'école. En face de la rue, je ne veux pas déménager, je n'ai pas le choix. Oui, j'ai le choix. J'ai le choix, mais je choisis de rester là parce que c'est plus pratique, c'est plus confortable. Donc... Je vous invite à regarder ça dans les prochains jours. Partagez-nous dans le groupe Facebook. Allez nous écrire s'il y a des choses que vous avez vues différemment. Vous allez voir juste cette prise de conscience-là. On dit que prendre conscience de quelque chose, c'est déjà 50 % du changement. Et le choix, c'est le début du changement. Regardez les possibilités qui s'ouvrent à vous. Et là, j'ai une invitation pour vous. La semaine prochaine, le 22 septembre, on commence notre première édition de l'automne du Défi 7 jours. Pour stimuler votre mémoire, arrêtez de chercher vos mots. Gagnez 20 ans de vie de qualité. C'est gratuit, c'est virtuel. Si vous n'êtes pas présent en direct, vous pouvez le prendre en rediffusion, toujours. Allez vous inscrire. Je vous mets le lien dans les commentaires et dans les courriels et tout. Allez vous inscrire, c'est gratuit. Et pour ceux et celles qui ont déjà participé, vous pouvez revenir. Il y a des gens qui viennent de fois en fois. On est rendu à la 18e édition. On est plus de 15 000 personnes qui ont déjà participé. Mais partagez-le autour de vous. Parce que les gens ne savent pas justement les choix. Les choix qu'on peut faire pour nos prochaines années. C'est un choix, ça aussi. Le choix de comment je vais vivre mes prochaines années. C'est aujourd'hui que je construis mon domaine. C'est mes choix d'aujourd'hui qui construisent mon domaine. Ça fait que c'est un choix. C'est un choix. d'influencer mes prochaines années avec le pouvoir que j'ai. Donc, partagez autour de vous, invitez les gens au Défi 7 jours. Vous allez voir, on ne sait jamais quelle vie on peut changer à travers ça. Alors, je vous remercie, remercie du fond du cœur pour tous les gens qui êtes là depuis le début avec tout ce qu'on fait. Je remercie mon équipe d'ailleurs qui m'accompagne dans tout ce qu'on crée ensemble. On arrive à près de 1 million de vues sur Facebook et Instagram. C'est absolument génial. Imaginez le nombre de gens qui choisissent de gagner 20 ans de qualité, qui choisissent de se mettre en action. qui choisissent de créer un futur différent. Tous ensemble, on peut vraiment faire une différence. Alors, merci, merci du fond du cœur. Partagez autour de vous. Participez au Défi 7 jours. Invitez les gens. C'est gratuit. Et on se revoit la semaine prochaine pour un prochain Mercredi Mémoire où on va parler d'un autre sujet encore passionnant au niveau de la mémoire, de la longévité. Merci tout le monde.

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⚠️ Et si le vrai problème… c’était ce qu’on continue de tolérer ?


Quand on veut du changement, on pense souvent à ajouter quelque chose.

Mais si, au contraire, on commençait par arrêter de tolérer ce qu’on ne veut plus ?

Fatigue constante, habitudes qui nuisent à notre mémoire, environnement qui nous épuise…


Cette semaine, on explore une idée simple mais puissante :

➡️ Réduire sa tolérance à ce qui ne nous convient plus, c’est amorcer le changement.

Parce qu’une prise de conscience, c’est déjà 50 % du chemin.


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  • Speaker #0

    Bonjour tout le monde et bienvenue dans ce Mercredi Mémoire, où aujourd'hui on parle du lien entre la tolérance et le changement. Bonjour et bienvenue dans le podcast Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots. Je suis Patricia Spaans, coach en mémoire et longévité. Rejoignez-moi chaque semaine pour découvrir les secrets de la science et de l'alimentation, pouvant vous permettre de vivre en meilleure santé et en longévité. Je partagerai avec vous des conseils pratiques et des entrevues. fascinante avec des experts. Ensemble, nous explorerons les gestes simples et efficaces pour renforcer votre mémoire. Parce que oui, il y a quelque chose à faire pour garder sa mémoire vive et gagner 20 ans de vie de qualité. Je ne suis pas en train de dire de ne pas tolérer les opinions divergentes et tout ça. Au contraire, non. Des fois, la tolérance nous empêche de changer parce qu'on tolère les choses dans notre horaire ou dans notre quotidien qui nous bloquent. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Par exemple, si je suis tout le temps fatiguée et que je regarde dans mon horaire, ça se peut que je dise oui à des activités ou des choses qui ne me nourrissent pas et que je tolère ça. Je tolère une énergie plus basse. Je tolère que je sois toujours fatiguée parce que je me dis que c'est comme ça, sans me poser la question et sans utiliser ça comme un moteur de changement. Ce que je voudrais plutôt dire, c'est que si je suis souvent fatiguée, C'est quoi les causes racines ? Pourquoi je suis fatiguée ? Qu'est-ce qui arrive dans mon horaire qui me gruge de l'énergie du temps et que peut-être qu'il y a des choix là-dedans que je pourrais faire ? Mais si je tolère et j'accepte le fait que je sois fatiguée en me disant « C'est comme ça, c'est normal et ma vie est faite comme ça et je ne peux rien changer » , bien là, je tolère une situation qui ne me nourrit pas. À l'inverse, je peux regarder mon horaire et dire « Ah, sais-tu quoi ? Aller magasiner, ce n'est pas une situation qui me nourrit. Aller faire des achats, donc… » Je vais trouver une autre solution ou je vais le faire plus concis. Moi, je coordonne, j'y vais quelques fois dans l'année parce que je n'aime pas ça, particulièrement dans les magasins, dans les commerces. Ou alors, je vais acheter plus en ligne pour pouvoir me libérer du temps, pour mettre du temps plutôt sur aller marcher dans la nature. Beaucoup plus agréable pour moi que dans un centre commercial. Donc, je tolère moins d'activités qui me nourrissent moins. Mais quand je dis oui à quelque chose, je dis toujours non à quelque chose d'autre. On ne le réalise pas toujours. mais il y a toujours un coup à dire oui, à continuer le statu quo, à continuer à rester dans quelque chose qui me sert moins bien. Je suis toujours en train de dire non à quelque chose d'autre de possible qui aurait pu se produire. Par exemple, dans un emploi, si je tolère mon insatisfaction au travail en me disant « oui, il faut travailler, c'est nécessaire » , c'est vrai, on a besoin d'argent pour vivre, c'est vrai, pour payer toutes les dépenses. Mais si je continue à tolérer un emploi qui ne me nourrit pas, mais je n'ouvre pas la possibilité à autre chose. Je continue à dire oui à la sécurité, à tout ce que ça m'apporte, et peut-être que c'est le bon choix, mais peut-être qu'en même temps, je suis en train de dire non à un autre emploi qui pourrait peut-être me soutenir financièrement, mais venir me nourrir différemment, venir me donner un boost et une énergie. Et j'en sais quelque chose parce qu'il y a plusieurs années, j'ai fait ce choix-là. Je travaillais, j'avais un emploi bien rémunéré, j'étais en ville. plusieurs gens autour de moi, envieux de ma situation, ben voyons Patricia, t'as la situation parfaite. Mais moi, je me levais le matin, puis je n'étais pas heureuse dans ce que je faisais. Et je n'étais pas heureuse non plus dans l'horaire que j'avais de me lever très, très tôt, aller porter mes enfants à l'époque où j'étais jeune, aller à la garderie, aller jusqu'au centre-ville de Montréal, revenir, aller les chercher avant que la garderie ferme à la course, faire un souper, aller me coucher. Je ne me voyais pas faire ça toute ma vie. Et donc, j'ai arrêté de tolérer cette situation-là qui ne me nourrissaient pas. Il y en a d'autres qui vont être très heureux. C'est vraiment personnel à chacun. L'important, ce n'est pas l'action elle-même, c'est qu'est-ce que je choisis, qu'est-ce qui est aligné avec moi, ce que je veux dans la vie. Moi, je voulais être plus présente avec mes enfants, plus connectée à la nature. Et donc, j'ai choisi d'arrêter, d'accepter, c'est peut-être mieux, cette situation-là pour créer autre chose de plus alignée. Et on dit toujours, on ne peut pas créer une omelette sans casser d'œufs. C'est sûr que ce changement-là a impliqué plusieurs sacrifices, plusieurs efforts, des transitions. Ça ne s'est pas fait tout seul, mais ça a été un moteur pour moi de changer quelque chose pour aller chercher une vie qui était plus alignée avec l'horaire que je voulais, avec la connexion avec mes enfants que je voulais, avec la connexion à la nature que je voulais. Donc, j'ai arrêté d'accepter une situation qui, pour moi, n'était pas alignée avec ce que je voulais et ça m'a permis d'ouvrir vers où je voulais aller. Donc, quand je dis oui à quelque chose, en l'occurrence, rester dans un emploi qui me satisfait moins. Ça peut être la même chose dans des relations amoureuses, dans différentes relations. Ça se peut que je continue à accepter quelque chose qui ne me nourrit plus aujourd'hui, mais on oublie qu'en disant oui à ça, je dis non à plein d'autres possibilités. Même des possibilités que je ne connais pas, que je ne vois pas encore, mais qui s'ouvrent. une fois que je fais le changement. Donc, c'est la même chose au niveau du stress. Si je peux accepter des situations qui me causent un stress, par exemple, dans mon cas, aujourd'hui, mon horaire, c'est un défi dans le sens que je donne des conférences, je fais des vidéos, je donne des coachings, j'organise des événements. Donc, mon temps est très précieux. Et c'est vrai pour tout le monde. Notre temps, c'est notre bien le plus précieux. Donc, ce temps-là, si je dis oui à des choses, j'accepte toutes les invitations. à un moment donné, je n'ai plus de temps pour moi. Alors moi, ce que j'ai choisi de faire, c'est que je ne prends pas de rencontre de client avant 9h30 ou 10h le matin. Pourquoi ? Parce que ce temps-là, c'est pour moi, pour créer des choses de nouvelles, pour aller faire de l'exercice, me connecter à la nature, aller à l'extérieur. Ce matin, j'ai mangé avec mon fils, qui commençait un petit peu plus tard, passer du temps avec mon fils. Mais ça, c'est un défi à tous les jours parce qu'il y a toujours des possibilités ou des demandes de rendez-vous, d'action. Mais pour dire, ah bien là, Patricia, tu as du temps, tu as un trou là, on pourrait peut-être combler cette partie de l'honoraire une fois que mon horaire est plein. Mais je dis non, sauf exception. Je n'accepte pas de laisser tomber ce moment-là, parce que si je disais oui à un rendez-vous de plus avec un collaborateur ou quelqu'un à ce moment-là, qui est pour moi, je dis non à quoi ? Je dis non à ma méditation. Je dis non à ma connexion à la nature. Je dis non à ma marche avec mon chien. Je dis non avec du temps, plus de qualité le matin avec mes enfants. Je dis non avec peut-être prendre le temps de manger un repas plus sain parce que je cuisine. Des fois, le matin, je prépare le souper pour le soir. Je dis ou sinon avoir un souper préparé sain pour moi et ma famille. Tout ça parce que j'ai dit oui à quelque chose, parce que j'ai accepté de racheter quelque chose à mon horaire. Et pour moi, c'est un défi de tous les jours parce qu'à tous les jours, il y a des demandes. Puis des fois, je dis oui à une demande qui vient prendre cette période-là dans mon horaire. Puis après ça, je le regrette. Je le regrette, pas parce que je ne veux pas être là pour les gens, je veux être là pour les gens, mais il ne faut pas que j'oublie le temps pour moi dans cet espace-là. Alors ça, ça devient un moteur de changement. Si on dit oui à quelque chose, on dit automatiquement toujours non à quelque chose. À l'inverse, si je dis non, si je dis non à ce rendez-vous-là, puis je dis, bien, on va le prendre la semaine prochaine, j'ai un autre créneau qui va se libérer, bien là, j'ai dit oui à tout ce que je faisais pendant cette période-là qui vient me nourrir. Et ça me permet de garder mon équilibre. Et ça me permet vraiment, vraiment d'être alignée sur ce que je veux, de créer le changement que je veux. Parce que quand on veut créer un changement, c'est quoi ? Si je veux changer quelque chose, si je veux manger mieux, si je veux faire plus d'exercices, si je veux méditer. Généralement, on n'a pas de grands trous dans notre horaire. Notre horaire est déjà pas mal occupé. J'ai toujours la blague qu'il n'y a personne de plus occupé que les gens à la retraite. Donc, même quand on est à la retraite, notre temps est super précieux. Donc, ce que je veux, c'est d'utiliser ce temps de manière... C'est imprécis. Donc, si je veux rajouter quelque chose de nouveau, si je dis, bien, je veux cuisiner maison davantage, il va falloir que je trouve quelque chose d'autre à changer. Il va falloir que je libère autre chose dans mon horaire. Il va falloir que je dise non à autre chose. Donc, pour moi, c'est toujours un équilibre quand je dis oui ou non, parce qu'on peut dire oui à toutes les possibilités, puis ça ne veut pas dire que c'est des mauvaises choses, c'est des bonnes choses, mais il y a un choix à faire. Et le choix, savez-vous quoi ? C'est le début du changement. Quand je commence à avoir des situations où je pensais que je n'avais pas de choix, puis quand je commence à observer que maintenant il y a un choix, là, j'ai la possibilité de changer quelque chose. Parce que le choix, c'est vraiment le début du changement. Ce que je veux dire par là, c'est, si je me disais, bien là, je n'ai pas le choix, il y a un client qui a besoin d'un rendez-vous, il y a quelqu'un qui a une question pour moi, ce matin, je n'ai pas le choix, je vais prendre la question, le rendez-vous, peu importe, ou mes enfants qui ont besoin de quelque chose, je vais le prendre dans cet art-là que je me suis réservé pour moi. ou à l'inverse, si je commence à dire non, je commence à créer des possibilités. je commence à choisir autrement. Je commence à voir qu'il y a plusieurs options. Et une fois qu'il y a des options que je vois, bien là, c'est vrai que je peux faire des choix, alignés. Des fois, je vais dire oui, des fois, je vais dire non, mais je vais faire des choix. Alors, ce qu'on veut pour commencer le changement, c'est de regarder quand je dis oui à quelque chose, qu'est-ce que ça m'empêche ailleurs ? Je dis non à quoi ? Parce que souvent, on ne le réalise pas. On constamment dit oui en disant je le fais pour telle raison. On oublie toutes les autres possibilités. Et si je dis non à quelque chose, quelle possibilité ça ouvre ? C'est quoi les choix que ça amène ? Et avec ces choix-là, bien oui, je peux créer des changements. Si, par exemple, moi, je veux marcher plus dans la nature à l'extérieur, c'est un choix que j'ai fait cet été en vacances, de dire je veux aller à l'extérieur à tous les jours plus que 15, 20 ou 30 minutes. Je vais y aller le matin, je vais y aller le midi, je vais y aller en fin de journée pour me connecter à la lumière, pour bouger, pour m'aérer l'esprit, pour être plus présente dans mes rencontres et, dans le fond, prendre soin de moi à travers tout ça. Je dois avoir des options. Il faut que j'ouvre des choix. Il faut que je voie des possibilités dans mon horaire. Il faut que je me dise, OK, bien, sur l'heure du midi, si je veux ça, il faut que je fasse des choix. Il faut que je regarde ce que je fais déjà. puis de voir qu'il n'y a rien là-dedans qui est obligatoire. Tout ce que j'ai dans mon quotidien, j'ai un choix dessus. Et vous allez voir, c'est magique, les possibilités qui s'ouvrent. Et là, je me suis rendu compte que oui, c'était possible de marcher plus souvent trois fois par jour, mais ça devient un choix. Il y a autre chose que je dois, donc là, je dois regarder à travers les différentes possibilités, c'est quoi le choix que je fais. Alors, quand on dit oui à quelque chose, on dit toujours non à plein d'autres possibilités qu'on aurait pu faire à ce moment-là. souvent, quand les gens me disent « Ah, Patricia, j'ai pas le choix. » Oui, on a toujours le choix. Il y a des conséquences Ausha, mais il y a toujours un choix. Donc, c'est plutôt de se dire « Ok, c'est quoi les différents choix ? Est-ce que c'est toujours le choix aligné avec ce que je veux ? » Ça se peut que oui, mais ça se peut que non. Et donc, il y a peut-être des choix, des actions dans mon quotidien que j'accepte, qui sont là. J'ai l'impression que c'est la seule possibilité, mais non, il y a un choix. Des fois, juste de changer notre vocabulaire. Je choisis, par exemple, moi je fais ça souvent. Au lieu de dire, il faut que je fasse telle chose ce matin, il faut que je fasse telle tâche, je vais dire, je choisis ce matin de faire telle action. Je vais la faire pareil, mais je vais juste changer de discours. Et tout à coup, c'est moi qui ai fait le choix. Et ça veut dire que demain, je peux faire un choix différent. Et que je suis beaucoup moins dans tolérer ou accepter que les gens gèrent mon agenda pour moi, gèrent mon horaire pour moi. Et c'est moi qui le fais. ou mon énergie, ou mes activités, ce que je fais le week-end. Ah, bien là, je n'ai pas le choix, c'est mes enfants, ils veulent faire telle activité, je n'ai pas le choix. Par exemple, mes enfants. Puis ça, c'est vrai dans toutes les sphères de votre vie. Mes enfants, moi, mes enfants ont 15-17, mon fils va avoir son permis dans quelques semaines. C'est une période où il y a beaucoup, beaucoup de lifts pour les parents qui ont passé à travers. Donc, beaucoup, beaucoup de lifts. Je pourrais dire, je n'ai pas le choix, mon enfant, il va en ski, je n'ai pas le choix, il faut que je te laisse, il faut que j'aille donner un livre à mon fils qui va à l'anski. C'est vrai que mon fils a besoin d'un livre à terreur. C'est vrai qu'il y a un cours, peu importe où. Peu importe la raison. Mais en réalité, j'ai quand même toujours un choix. J'aurais pu être un parent qui ne veut pas donner des lifts à mes enfants. J'aurais pu. Ce n'est pas un choix qui est aligné avec mes valeurs, mais c'est quand même un choix que j'ai fait. Il y a des personnes sur la Terre qui ne donnent pas des lifts à leurs enfants. Ça existe. Est-ce que c'est aligné avec mes valeurs ? Non, pas du tout. Moi, je le fais. Mais c'est un choix. Donc, plutôt que de dire, il faut que j'aille porter mon enfant, mon fils au ski, je vais plutôt dire, je choisis d'aller porter mon enfant au ski. Pourquoi ? qui profite du sport, c'est important qu'elle ait l'extérieur. Parce qu'elle est contente, parce qu'elle en profite. Parce que pendant ce moment-là, on peut passer du temps ensemble. Vous voyez la différence ? Au lieu de dire, il faut que je te laisse, il faut que j'aille porter mon fils en ski. Je ne dis jamais, il faut, je le dis, mais je me reprends dans ce temps-là. Je choisis de. On a toujours un choix. Il y a des gens qui choisissent de manger très, très mal. Moi, je choisis de bien manger. Même des gens qui auraient une allergie à quelque chose, ils peuvent choisir quand même de le manger. Donc, on a toujours, toujours, toujours un choix. C'est-à-dire que notre choix a un impact. Alors, je vous invite à observer ça dans vos prochains jours. Prendre conscience de quand est-ce que vous dites oui ou non à quelque chose. Et quand vous dites oui à quelque chose, à quoi vous dites non ? Commencez à regarder votre quotidien avec ces yeux-là. Et commencez à écouter quand vous dites, j'ai pas le choix, il faut que. de remplacer ça par « je choisis » . Je choisis de donner un livre à mes enfants. Je choisis de prendre un rendez-vous ce midi. Je choisis d'aller faire l'épicerie. Je choisis de faire la vaisselle. Mais on n'a pas le choix. On ne peut pas laisser la vaisselle sale. Bien oui, mais on a le choix. La conséquence, c'est que si je la fais à la vaisselle, je vais manger dans le nasset de salle, il va y avoir des bébites dans ma maison, puis tout ça, ça ne m'intéresse pas, ce choix-là. Mais j'ai quand même le choix. Donc, je choisis de faire ma vaisselle. Ça, c'est le fun. La vaisselle devient un petit peu plus le fun. Et on voit le pouvoir, on reprend le pouvoir sur la situation. Vous allez voir le choix, le début du changement. Puis, on n'est pas obligé, on choisit de dire oui à ce qui est aligné avec nos valeurs. Vous voyez, je le fais quand même. Je dis, je ne suis pas obligée, je suis douée, etc. Même chose avec un emploi. On peut dire, je n'ai pas le choix, Patricia. Il faut que j'aille travailler, il faut que je paie mes choses. Oui, mais il y en a qui ne travaillent pas, pour plein de raisons. Ça ne veut pas dire que c'est facile, ça ne veut pas dire que leur vie va bien, ça ne veut pas dire qu'ils ont tout ce que vous avez, ça ne veut pas dire qu'ils réussissent à payer leur hypothèque ou leur loyer à chaque fin du mois. Mais on a quand même le choix. Je choisis de travailler pour soutenir ma famille, pour maintenir les besoins. Donc, ça peut être un endroit... Non, je n'ai pas le choix, mes enfants vont à l'école. En face de la rue, je ne veux pas déménager, je n'ai pas le choix. Oui, j'ai le choix. J'ai le choix, mais je choisis de rester là parce que c'est plus pratique, c'est plus confortable. Donc... Je vous invite à regarder ça dans les prochains jours. Partagez-nous dans le groupe Facebook. Allez nous écrire s'il y a des choses que vous avez vues différemment. Vous allez voir juste cette prise de conscience-là. On dit que prendre conscience de quelque chose, c'est déjà 50 % du changement. Et le choix, c'est le début du changement. Regardez les possibilités qui s'ouvrent à vous. Et là, j'ai une invitation pour vous. La semaine prochaine, le 22 septembre, on commence notre première édition de l'automne du Défi 7 jours. Pour stimuler votre mémoire, arrêtez de chercher vos mots. Gagnez 20 ans de vie de qualité. C'est gratuit, c'est virtuel. Si vous n'êtes pas présent en direct, vous pouvez le prendre en rediffusion, toujours. Allez vous inscrire. Je vous mets le lien dans les commentaires et dans les courriels et tout. Allez vous inscrire, c'est gratuit. Et pour ceux et celles qui ont déjà participé, vous pouvez revenir. Il y a des gens qui viennent de fois en fois. On est rendu à la 18e édition. On est plus de 15 000 personnes qui ont déjà participé. Mais partagez-le autour de vous. Parce que les gens ne savent pas justement les choix. Les choix qu'on peut faire pour nos prochaines années. C'est un choix, ça aussi. Le choix de comment je vais vivre mes prochaines années. C'est aujourd'hui que je construis mon domaine. C'est mes choix d'aujourd'hui qui construisent mon domaine. Ça fait que c'est un choix. C'est un choix. d'influencer mes prochaines années avec le pouvoir que j'ai. Donc, partagez autour de vous, invitez les gens au Défi 7 jours. Vous allez voir, on ne sait jamais quelle vie on peut changer à travers ça. Alors, je vous remercie, remercie du fond du cœur pour tous les gens qui êtes là depuis le début avec tout ce qu'on fait. Je remercie mon équipe d'ailleurs qui m'accompagne dans tout ce qu'on crée ensemble. On arrive à près de 1 million de vues sur Facebook et Instagram. C'est absolument génial. Imaginez le nombre de gens qui choisissent de gagner 20 ans de qualité, qui choisissent de se mettre en action. qui choisissent de créer un futur différent. Tous ensemble, on peut vraiment faire une différence. Alors, merci, merci du fond du cœur. Partagez autour de vous. Participez au Défi 7 jours. Invitez les gens. C'est gratuit. Et on se revoit la semaine prochaine pour un prochain Mercredi Mémoire où on va parler d'un autre sujet encore passionnant au niveau de la mémoire, de la longévité. Merci tout le monde.

Description

⚠️ Et si le vrai problème… c’était ce qu’on continue de tolérer ?


Quand on veut du changement, on pense souvent à ajouter quelque chose.

Mais si, au contraire, on commençait par arrêter de tolérer ce qu’on ne veut plus ?

Fatigue constante, habitudes qui nuisent à notre mémoire, environnement qui nous épuise…


Cette semaine, on explore une idée simple mais puissante :

➡️ Réduire sa tolérance à ce qui ne nous convient plus, c’est amorcer le changement.

Parce qu’une prise de conscience, c’est déjà 50 % du chemin.


🎥 Découvrez pourquoi refuser “plus du même” est parfois la meilleure décision pour votre cerveau


📅 Et si vous faisiez un choix non négociable… pour votre santé cognitive ?


Réservez une rencontre gratuite ici :

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📞 Ou appelez directement au 1-833-504-4713 pour planifier votre rendez-vous.

 


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🎯 Vous êtes prêt(e) à passer à l’action ?

Commencez par le Défi 7 jours pour stimuler votre mémoire

Je vous invite à participer à cette expérience gratuite et conviviale, pour :

✔️ Explorer vos choix et habitudes avec plus de conscience

✔️ Découvrir ma méthode avec les 20 essentiels pour prendre soin de votre mémoire au quotidien

✔️ Stimuler votre cerveau et retrouver plus de clarté au quotidien

✔️ Vous sentir soutenu(e), entouré(e), inspiré(e)

🎁 C’est gratuit, accessible à tous, avec rediffusion incluse. Je

Et c’est une magnifique façon de dire : oui, je choisis de me prioriser.

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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour tout le monde et bienvenue dans ce Mercredi Mémoire, où aujourd'hui on parle du lien entre la tolérance et le changement. Bonjour et bienvenue dans le podcast Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots. Je suis Patricia Spaans, coach en mémoire et longévité. Rejoignez-moi chaque semaine pour découvrir les secrets de la science et de l'alimentation, pouvant vous permettre de vivre en meilleure santé et en longévité. Je partagerai avec vous des conseils pratiques et des entrevues. fascinante avec des experts. Ensemble, nous explorerons les gestes simples et efficaces pour renforcer votre mémoire. Parce que oui, il y a quelque chose à faire pour garder sa mémoire vive et gagner 20 ans de vie de qualité. Je ne suis pas en train de dire de ne pas tolérer les opinions divergentes et tout ça. Au contraire, non. Des fois, la tolérance nous empêche de changer parce qu'on tolère les choses dans notre horaire ou dans notre quotidien qui nous bloquent. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Par exemple, si je suis tout le temps fatiguée et que je regarde dans mon horaire, ça se peut que je dise oui à des activités ou des choses qui ne me nourrissent pas et que je tolère ça. Je tolère une énergie plus basse. Je tolère que je sois toujours fatiguée parce que je me dis que c'est comme ça, sans me poser la question et sans utiliser ça comme un moteur de changement. Ce que je voudrais plutôt dire, c'est que si je suis souvent fatiguée, C'est quoi les causes racines ? Pourquoi je suis fatiguée ? Qu'est-ce qui arrive dans mon horaire qui me gruge de l'énergie du temps et que peut-être qu'il y a des choix là-dedans que je pourrais faire ? Mais si je tolère et j'accepte le fait que je sois fatiguée en me disant « C'est comme ça, c'est normal et ma vie est faite comme ça et je ne peux rien changer » , bien là, je tolère une situation qui ne me nourrit pas. À l'inverse, je peux regarder mon horaire et dire « Ah, sais-tu quoi ? Aller magasiner, ce n'est pas une situation qui me nourrit. Aller faire des achats, donc… » Je vais trouver une autre solution ou je vais le faire plus concis. Moi, je coordonne, j'y vais quelques fois dans l'année parce que je n'aime pas ça, particulièrement dans les magasins, dans les commerces. Ou alors, je vais acheter plus en ligne pour pouvoir me libérer du temps, pour mettre du temps plutôt sur aller marcher dans la nature. Beaucoup plus agréable pour moi que dans un centre commercial. Donc, je tolère moins d'activités qui me nourrissent moins. Mais quand je dis oui à quelque chose, je dis toujours non à quelque chose d'autre. On ne le réalise pas toujours. mais il y a toujours un coup à dire oui, à continuer le statu quo, à continuer à rester dans quelque chose qui me sert moins bien. Je suis toujours en train de dire non à quelque chose d'autre de possible qui aurait pu se produire. Par exemple, dans un emploi, si je tolère mon insatisfaction au travail en me disant « oui, il faut travailler, c'est nécessaire » , c'est vrai, on a besoin d'argent pour vivre, c'est vrai, pour payer toutes les dépenses. Mais si je continue à tolérer un emploi qui ne me nourrit pas, mais je n'ouvre pas la possibilité à autre chose. Je continue à dire oui à la sécurité, à tout ce que ça m'apporte, et peut-être que c'est le bon choix, mais peut-être qu'en même temps, je suis en train de dire non à un autre emploi qui pourrait peut-être me soutenir financièrement, mais venir me nourrir différemment, venir me donner un boost et une énergie. Et j'en sais quelque chose parce qu'il y a plusieurs années, j'ai fait ce choix-là. Je travaillais, j'avais un emploi bien rémunéré, j'étais en ville. plusieurs gens autour de moi, envieux de ma situation, ben voyons Patricia, t'as la situation parfaite. Mais moi, je me levais le matin, puis je n'étais pas heureuse dans ce que je faisais. Et je n'étais pas heureuse non plus dans l'horaire que j'avais de me lever très, très tôt, aller porter mes enfants à l'époque où j'étais jeune, aller à la garderie, aller jusqu'au centre-ville de Montréal, revenir, aller les chercher avant que la garderie ferme à la course, faire un souper, aller me coucher. Je ne me voyais pas faire ça toute ma vie. Et donc, j'ai arrêté de tolérer cette situation-là qui ne me nourrissaient pas. Il y en a d'autres qui vont être très heureux. C'est vraiment personnel à chacun. L'important, ce n'est pas l'action elle-même, c'est qu'est-ce que je choisis, qu'est-ce qui est aligné avec moi, ce que je veux dans la vie. Moi, je voulais être plus présente avec mes enfants, plus connectée à la nature. Et donc, j'ai choisi d'arrêter, d'accepter, c'est peut-être mieux, cette situation-là pour créer autre chose de plus alignée. Et on dit toujours, on ne peut pas créer une omelette sans casser d'œufs. C'est sûr que ce changement-là a impliqué plusieurs sacrifices, plusieurs efforts, des transitions. Ça ne s'est pas fait tout seul, mais ça a été un moteur pour moi de changer quelque chose pour aller chercher une vie qui était plus alignée avec l'horaire que je voulais, avec la connexion avec mes enfants que je voulais, avec la connexion à la nature que je voulais. Donc, j'ai arrêté d'accepter une situation qui, pour moi, n'était pas alignée avec ce que je voulais et ça m'a permis d'ouvrir vers où je voulais aller. Donc, quand je dis oui à quelque chose, en l'occurrence, rester dans un emploi qui me satisfait moins. Ça peut être la même chose dans des relations amoureuses, dans différentes relations. Ça se peut que je continue à accepter quelque chose qui ne me nourrit plus aujourd'hui, mais on oublie qu'en disant oui à ça, je dis non à plein d'autres possibilités. Même des possibilités que je ne connais pas, que je ne vois pas encore, mais qui s'ouvrent. une fois que je fais le changement. Donc, c'est la même chose au niveau du stress. Si je peux accepter des situations qui me causent un stress, par exemple, dans mon cas, aujourd'hui, mon horaire, c'est un défi dans le sens que je donne des conférences, je fais des vidéos, je donne des coachings, j'organise des événements. Donc, mon temps est très précieux. Et c'est vrai pour tout le monde. Notre temps, c'est notre bien le plus précieux. Donc, ce temps-là, si je dis oui à des choses, j'accepte toutes les invitations. à un moment donné, je n'ai plus de temps pour moi. Alors moi, ce que j'ai choisi de faire, c'est que je ne prends pas de rencontre de client avant 9h30 ou 10h le matin. Pourquoi ? Parce que ce temps-là, c'est pour moi, pour créer des choses de nouvelles, pour aller faire de l'exercice, me connecter à la nature, aller à l'extérieur. Ce matin, j'ai mangé avec mon fils, qui commençait un petit peu plus tard, passer du temps avec mon fils. Mais ça, c'est un défi à tous les jours parce qu'il y a toujours des possibilités ou des demandes de rendez-vous, d'action. Mais pour dire, ah bien là, Patricia, tu as du temps, tu as un trou là, on pourrait peut-être combler cette partie de l'honoraire une fois que mon horaire est plein. Mais je dis non, sauf exception. Je n'accepte pas de laisser tomber ce moment-là, parce que si je disais oui à un rendez-vous de plus avec un collaborateur ou quelqu'un à ce moment-là, qui est pour moi, je dis non à quoi ? Je dis non à ma méditation. Je dis non à ma connexion à la nature. Je dis non à ma marche avec mon chien. Je dis non avec du temps, plus de qualité le matin avec mes enfants. Je dis non avec peut-être prendre le temps de manger un repas plus sain parce que je cuisine. Des fois, le matin, je prépare le souper pour le soir. Je dis ou sinon avoir un souper préparé sain pour moi et ma famille. Tout ça parce que j'ai dit oui à quelque chose, parce que j'ai accepté de racheter quelque chose à mon horaire. Et pour moi, c'est un défi de tous les jours parce qu'à tous les jours, il y a des demandes. Puis des fois, je dis oui à une demande qui vient prendre cette période-là dans mon horaire. Puis après ça, je le regrette. Je le regrette, pas parce que je ne veux pas être là pour les gens, je veux être là pour les gens, mais il ne faut pas que j'oublie le temps pour moi dans cet espace-là. Alors ça, ça devient un moteur de changement. Si on dit oui à quelque chose, on dit automatiquement toujours non à quelque chose. À l'inverse, si je dis non, si je dis non à ce rendez-vous-là, puis je dis, bien, on va le prendre la semaine prochaine, j'ai un autre créneau qui va se libérer, bien là, j'ai dit oui à tout ce que je faisais pendant cette période-là qui vient me nourrir. Et ça me permet de garder mon équilibre. Et ça me permet vraiment, vraiment d'être alignée sur ce que je veux, de créer le changement que je veux. Parce que quand on veut créer un changement, c'est quoi ? Si je veux changer quelque chose, si je veux manger mieux, si je veux faire plus d'exercices, si je veux méditer. Généralement, on n'a pas de grands trous dans notre horaire. Notre horaire est déjà pas mal occupé. J'ai toujours la blague qu'il n'y a personne de plus occupé que les gens à la retraite. Donc, même quand on est à la retraite, notre temps est super précieux. Donc, ce que je veux, c'est d'utiliser ce temps de manière... C'est imprécis. Donc, si je veux rajouter quelque chose de nouveau, si je dis, bien, je veux cuisiner maison davantage, il va falloir que je trouve quelque chose d'autre à changer. Il va falloir que je libère autre chose dans mon horaire. Il va falloir que je dise non à autre chose. Donc, pour moi, c'est toujours un équilibre quand je dis oui ou non, parce qu'on peut dire oui à toutes les possibilités, puis ça ne veut pas dire que c'est des mauvaises choses, c'est des bonnes choses, mais il y a un choix à faire. Et le choix, savez-vous quoi ? C'est le début du changement. Quand je commence à avoir des situations où je pensais que je n'avais pas de choix, puis quand je commence à observer que maintenant il y a un choix, là, j'ai la possibilité de changer quelque chose. Parce que le choix, c'est vraiment le début du changement. Ce que je veux dire par là, c'est, si je me disais, bien là, je n'ai pas le choix, il y a un client qui a besoin d'un rendez-vous, il y a quelqu'un qui a une question pour moi, ce matin, je n'ai pas le choix, je vais prendre la question, le rendez-vous, peu importe, ou mes enfants qui ont besoin de quelque chose, je vais le prendre dans cet art-là que je me suis réservé pour moi. ou à l'inverse, si je commence à dire non, je commence à créer des possibilités. je commence à choisir autrement. Je commence à voir qu'il y a plusieurs options. Et une fois qu'il y a des options que je vois, bien là, c'est vrai que je peux faire des choix, alignés. Des fois, je vais dire oui, des fois, je vais dire non, mais je vais faire des choix. Alors, ce qu'on veut pour commencer le changement, c'est de regarder quand je dis oui à quelque chose, qu'est-ce que ça m'empêche ailleurs ? Je dis non à quoi ? Parce que souvent, on ne le réalise pas. On constamment dit oui en disant je le fais pour telle raison. On oublie toutes les autres possibilités. Et si je dis non à quelque chose, quelle possibilité ça ouvre ? C'est quoi les choix que ça amène ? Et avec ces choix-là, bien oui, je peux créer des changements. Si, par exemple, moi, je veux marcher plus dans la nature à l'extérieur, c'est un choix que j'ai fait cet été en vacances, de dire je veux aller à l'extérieur à tous les jours plus que 15, 20 ou 30 minutes. Je vais y aller le matin, je vais y aller le midi, je vais y aller en fin de journée pour me connecter à la lumière, pour bouger, pour m'aérer l'esprit, pour être plus présente dans mes rencontres et, dans le fond, prendre soin de moi à travers tout ça. Je dois avoir des options. Il faut que j'ouvre des choix. Il faut que je voie des possibilités dans mon horaire. Il faut que je me dise, OK, bien, sur l'heure du midi, si je veux ça, il faut que je fasse des choix. Il faut que je regarde ce que je fais déjà. puis de voir qu'il n'y a rien là-dedans qui est obligatoire. Tout ce que j'ai dans mon quotidien, j'ai un choix dessus. Et vous allez voir, c'est magique, les possibilités qui s'ouvrent. Et là, je me suis rendu compte que oui, c'était possible de marcher plus souvent trois fois par jour, mais ça devient un choix. Il y a autre chose que je dois, donc là, je dois regarder à travers les différentes possibilités, c'est quoi le choix que je fais. Alors, quand on dit oui à quelque chose, on dit toujours non à plein d'autres possibilités qu'on aurait pu faire à ce moment-là. souvent, quand les gens me disent « Ah, Patricia, j'ai pas le choix. » Oui, on a toujours le choix. Il y a des conséquences Ausha, mais il y a toujours un choix. Donc, c'est plutôt de se dire « Ok, c'est quoi les différents choix ? Est-ce que c'est toujours le choix aligné avec ce que je veux ? » Ça se peut que oui, mais ça se peut que non. Et donc, il y a peut-être des choix, des actions dans mon quotidien que j'accepte, qui sont là. J'ai l'impression que c'est la seule possibilité, mais non, il y a un choix. Des fois, juste de changer notre vocabulaire. Je choisis, par exemple, moi je fais ça souvent. Au lieu de dire, il faut que je fasse telle chose ce matin, il faut que je fasse telle tâche, je vais dire, je choisis ce matin de faire telle action. Je vais la faire pareil, mais je vais juste changer de discours. Et tout à coup, c'est moi qui ai fait le choix. Et ça veut dire que demain, je peux faire un choix différent. Et que je suis beaucoup moins dans tolérer ou accepter que les gens gèrent mon agenda pour moi, gèrent mon horaire pour moi. Et c'est moi qui le fais. ou mon énergie, ou mes activités, ce que je fais le week-end. Ah, bien là, je n'ai pas le choix, c'est mes enfants, ils veulent faire telle activité, je n'ai pas le choix. Par exemple, mes enfants. Puis ça, c'est vrai dans toutes les sphères de votre vie. Mes enfants, moi, mes enfants ont 15-17, mon fils va avoir son permis dans quelques semaines. C'est une période où il y a beaucoup, beaucoup de lifts pour les parents qui ont passé à travers. Donc, beaucoup, beaucoup de lifts. Je pourrais dire, je n'ai pas le choix, mon enfant, il va en ski, je n'ai pas le choix, il faut que je te laisse, il faut que j'aille donner un livre à mon fils qui va à l'anski. C'est vrai que mon fils a besoin d'un livre à terreur. C'est vrai qu'il y a un cours, peu importe où. Peu importe la raison. Mais en réalité, j'ai quand même toujours un choix. J'aurais pu être un parent qui ne veut pas donner des lifts à mes enfants. J'aurais pu. Ce n'est pas un choix qui est aligné avec mes valeurs, mais c'est quand même un choix que j'ai fait. Il y a des personnes sur la Terre qui ne donnent pas des lifts à leurs enfants. Ça existe. Est-ce que c'est aligné avec mes valeurs ? Non, pas du tout. Moi, je le fais. Mais c'est un choix. Donc, plutôt que de dire, il faut que j'aille porter mon enfant, mon fils au ski, je vais plutôt dire, je choisis d'aller porter mon enfant au ski. Pourquoi ? qui profite du sport, c'est important qu'elle ait l'extérieur. Parce qu'elle est contente, parce qu'elle en profite. Parce que pendant ce moment-là, on peut passer du temps ensemble. Vous voyez la différence ? Au lieu de dire, il faut que je te laisse, il faut que j'aille porter mon fils en ski. Je ne dis jamais, il faut, je le dis, mais je me reprends dans ce temps-là. Je choisis de. On a toujours un choix. Il y a des gens qui choisissent de manger très, très mal. Moi, je choisis de bien manger. Même des gens qui auraient une allergie à quelque chose, ils peuvent choisir quand même de le manger. Donc, on a toujours, toujours, toujours un choix. C'est-à-dire que notre choix a un impact. Alors, je vous invite à observer ça dans vos prochains jours. Prendre conscience de quand est-ce que vous dites oui ou non à quelque chose. Et quand vous dites oui à quelque chose, à quoi vous dites non ? Commencez à regarder votre quotidien avec ces yeux-là. Et commencez à écouter quand vous dites, j'ai pas le choix, il faut que. de remplacer ça par « je choisis » . Je choisis de donner un livre à mes enfants. Je choisis de prendre un rendez-vous ce midi. Je choisis d'aller faire l'épicerie. Je choisis de faire la vaisselle. Mais on n'a pas le choix. On ne peut pas laisser la vaisselle sale. Bien oui, mais on a le choix. La conséquence, c'est que si je la fais à la vaisselle, je vais manger dans le nasset de salle, il va y avoir des bébites dans ma maison, puis tout ça, ça ne m'intéresse pas, ce choix-là. Mais j'ai quand même le choix. Donc, je choisis de faire ma vaisselle. Ça, c'est le fun. La vaisselle devient un petit peu plus le fun. Et on voit le pouvoir, on reprend le pouvoir sur la situation. Vous allez voir le choix, le début du changement. Puis, on n'est pas obligé, on choisit de dire oui à ce qui est aligné avec nos valeurs. Vous voyez, je le fais quand même. Je dis, je ne suis pas obligée, je suis douée, etc. Même chose avec un emploi. On peut dire, je n'ai pas le choix, Patricia. Il faut que j'aille travailler, il faut que je paie mes choses. Oui, mais il y en a qui ne travaillent pas, pour plein de raisons. Ça ne veut pas dire que c'est facile, ça ne veut pas dire que leur vie va bien, ça ne veut pas dire qu'ils ont tout ce que vous avez, ça ne veut pas dire qu'ils réussissent à payer leur hypothèque ou leur loyer à chaque fin du mois. Mais on a quand même le choix. Je choisis de travailler pour soutenir ma famille, pour maintenir les besoins. Donc, ça peut être un endroit... Non, je n'ai pas le choix, mes enfants vont à l'école. En face de la rue, je ne veux pas déménager, je n'ai pas le choix. Oui, j'ai le choix. J'ai le choix, mais je choisis de rester là parce que c'est plus pratique, c'est plus confortable. Donc... Je vous invite à regarder ça dans les prochains jours. Partagez-nous dans le groupe Facebook. Allez nous écrire s'il y a des choses que vous avez vues différemment. Vous allez voir juste cette prise de conscience-là. On dit que prendre conscience de quelque chose, c'est déjà 50 % du changement. Et le choix, c'est le début du changement. Regardez les possibilités qui s'ouvrent à vous. Et là, j'ai une invitation pour vous. La semaine prochaine, le 22 septembre, on commence notre première édition de l'automne du Défi 7 jours. Pour stimuler votre mémoire, arrêtez de chercher vos mots. Gagnez 20 ans de vie de qualité. C'est gratuit, c'est virtuel. Si vous n'êtes pas présent en direct, vous pouvez le prendre en rediffusion, toujours. Allez vous inscrire. Je vous mets le lien dans les commentaires et dans les courriels et tout. Allez vous inscrire, c'est gratuit. 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