undefined cover
undefined cover
Comment j'ai appris à aimer le changement | E019 cover
Comment j'ai appris à aimer le changement | E019 cover
Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots

Comment j'ai appris à aimer le changement | E019

Comment j'ai appris à aimer le changement | E019

20min |04/06/2025
Play
undefined cover
undefined cover
Comment j'ai appris à aimer le changement | E019 cover
Comment j'ai appris à aimer le changement | E019 cover
Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots

Comment j'ai appris à aimer le changement | E019

Comment j'ai appris à aimer le changement | E019

20min |04/06/2025
Play

Description

Et si le changement devenait votre allié ? 🔄✨


Le changement peut faire peur, surtout quand il s'impose à nous… Mais et si, au lieu de le subir, on apprenait à l’accueillir ? 🌱


Dans cet épisode, je vous partage mon propre parcours et comment j’ai transformé le changement en un véritable levier pour la mémoire et la longévité. Et si tout commençait par 1 % de plus chaque jour ?

🎥 Écoutez l'épisode et découvrez comment faire du changement un allié au quotidien.


📅 Réservez une courte rencontre gratuite ici : https://www.patriciaspaans.com/rdv



🍃 Une invitation à vivre le changement… pour vrai


Du 8 au 11 juin, j’animerai, avec Stéphane Triballi, notre toute première retraite au Spa Eastman : Les 20 essentiels de la mémoire et longévité en action.


Pendant 4 jours, vous vivrez l’expérience complète, dans un environnement apaisant, naturel, inspirant.

🌿 Vous mangerez une cuisine tonique,

🧖 Vous vous détendrez dans les bains et les sentiers,

🧠 Et vous ancrerez, dans la douceur, les changements que vous souhaitez vivre.


Parce que oui : Comprendre, c’est bien. Mais le vivre, c’est encore mieux.


--------------------


Si vous souhaitez stimuler votre mémoire et gagner 20 ans de vie de qualité, réservez une rencontre avec mon équipe ou moi-même au https://www.patriciaspaans.com/rdv, ou via téléphone au 1-833-504-4713 pour planifier votre rendez-vous.ou visioconférence. Nous discuterons ensemble de vos besoins spécifiques et de la manière de mettre en place des changements simples et durables pour soutenir votre mémoire et améliorer votre qualité de vie au quotidien.


Site web : https://www.patriciaspaans.com/

Cliquer ici pour rejoindre : membership de Mémoire et longévité

Facebook : https://www.facebook.com/famillesaine

Instagram : https://www.instagram.com/patricia.spaans/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour tout le monde, bienvenue dans ce Mercredi Mémoire. Alors aujourd'hui, on va parler de changement. Bonjour et bienvenue dans le podcast Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots. Je suis Patricia Spaans, coach en mémoire et longévité. Rejoignez-moi chaque semaine pour découvrir les secrets de la science et de l'alimentation, pouvant vous permettre de vivre en meilleure santé et en longévité. Je partagerai avec vous des conseils pratiques et des entrevues. fascinante avec des experts. Ensemble, nous explorerons les gestes simples et efficaces pour renforcer votre mémoire. Parce que oui, il y a quelque chose à faire pour garder sa mémoire vive et gagner 20 ans de vie de qualité. Oh, changement ! Peut-être que vous grognez, parce que le changement, c'est normal. Ça nous demande un effort à tous et chacun, et c'est normal qu'on ait envie de rester dans des habitudes et des routines. et c'est d'ailleurs pour ça qu'on a des habitudes et des routines. En fait, 80 % de notre vie devrait être habituée et routine pour la simplicité. Mais je dis souvent à mes clients, il n'y a rien qui change si on ne change rien. C'est évident, voyons Patricia, on le sait. Bien oui, on le sait, il n'y a rien qui change si on ne change rien. Mais est-ce qu'on mesure toujours l'ampleur de ces paroles-là ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Les gens me disent, Patricia, on veut manger différemment, on veut gagner 20 ans de vie de qualité, on veut retrouver… notre mémoire, notre cerveau d'avant, ou même mieux. Il y a des clients qui me disent que leur cerveau va mieux que même à l'âge de 20 ans. Ah, mais là, Patricia, cet ingrédient-là, je ne le connais pas, je ne veux pas l'acheter. Ou ça, je n'ai pas envie d'essayer. Ou ça, c'est compliqué, il va falloir que là, quand je fais l'épicerie, c'est plus compliqué qu'avant. Premièrement, cette période où on élargit notre zone de confort, elle est transitoire. Il y a une journée où, une première fois, si on regarde nos ados, mes ados, quand ils vont Dans l'épicerie, ils cherchent tout. Mon fils, l'autre fois, il cherchait de la viande hachée à l'épicerie. Ça a été con. compliqué. Alors qu'Anki, s'il trouve ça compliqué d'acheter de la viande hachée, c'est facile pour nous. Ça fait des décennies qu'on fait ça. On sait comment. D'ailleurs, il y avait un piège parce qu'il n'y avait plus de viande hachée à l'épicerie. Mais moi, je savais que c'était pas normal. Mais lui, il est tombé sur la première journée du beau temps la semaine dernière où tout le monde a décidé de faire des barbecues. Là, il comprenait pas. Il était confus. Donc, il m'a demandé de l'aider il y a 17 ans pour acheter sa viande hachée. Alors qu'on en a Tout, ce n'est pas besoin, n'est-ce pas ? Il n'y a personne ici qui a besoin d'aide pour acheter sa viande hachée. Mais ça va devenir pareil. Que ce soit les gens qui ont participé au 7 jours, qui me disent, Patricia, je cherche le moringa, l'ashwagandha, dans nos formations de cuisine, des radis, des radis d'aïtons, c'est quoi ça ? Moi, la première, faire un kéfir la première fois, la mère kéfir, trouver les graines mères et ainsi de suite. Oui, ça peut sembler difficile, mais c'est juste la première fois. C'est pour ça qu'un changement étape par étape est guidé, c'est la clé. Si on se met... un petit défi dans la semaine, c'est correct. Un petit défi dans le mois, c'est parfait. Mais quand on en met trop, c'est là que ça devient compliqué. Et savez-vous quoi ? Vous êtes ici pour la mémoire et la longévité. Et notre mémoire, notre cerveau aime ces petits inconforts-là. La neuroplasticité, les connexions entre nos neurones qui font que notre cerveau va nous suivre pour gagner nos 20 ans de vie de qualité, avoir un cerveau performant jusqu'à 100 ans, a besoin de ces petits défis de neuroplasticité-là. Donc, au lieu de le voir comme un « Ah, bien là, je ne veux pas sortir de ma zone de confort » ou « Oui, c'est un changement, je vais garder les ingrédients que je suis habituée, il paraît qu'on rachète 90 ou 95 % des mêmes ingrédients de l'épicerie d'une semaine à l'autre. » Et comment vous voulez que les choses changent si on reprend toujours les mêmes ingrédients ? Et ça, c'est vrai dans toutes les sphères. Si on veut un résultat différent, il faut faire un changement. C'est inévitable, mais on peut le faire dans le plaisir. Et on s'y habitue. C'est de démarrer la roue du changement qui est le défi. Une fois qu'on est dessus, mes clients me le disent, c'est pour ça qu'on a un membership, c'est pour ça que mes accompagnements sont sur une année. C'est stratégique, ça nous permet d'embarquer dans cette roue et de la faire commencer à rouler. Vous le savez, une roue, une fois que ça roule, il y a le momentum, puis après ça, ça roule tout seul, puis c'est facile. Moi, cette roue-là, oui, je l'ai partie il y a plusieurs années, mais maintenant, elle est facile. J'ai toujours des nouveautés. Et d'ailleurs, je l'ai partie il y a plusieurs années. Et moi, c'est la vie qui a fait que j'ai apprivoisé le changement. et que maintenant, j'embrasse le changement. Et je remercie la vie aujourd'hui. C'est comme plein de choses dans la vie. Il y a des événements qui sont des épreuves. Quand on les vit, on trouve ça difficile. Puis après ça, on voit le cadeau, les cadeaux mal emballés, quand on a le recul par la suite. Et moi, ça a été aux primaires. Donc, en quatrième année du primaire, mes parents sont déménagés. Moi, j'avais toujours habité à Pierrefonds avec ma meilleure amie qui était ma voisine, mon école primaire, évidemment. C'est les mêmes amis depuis toujours. On jouait dans la rue dans ce temps-là. donc je connaissais toute la carte. ma mère jouait, parlait avec la voisine, etc. J'étais chez nous. On marchait pas à l'école, on connaissait la brigadière qui nous saluait à chaque midi, qui nous disait si nos amis étaient avant ou après, pour savoir si on pouvait jouer avec eux. Et en quatrième année, mes parents ont décidé de déménager, mais pas juste déménager de quartier, on est partis de Pierrefonds jusqu'à Brossard. Pour un enfant de quatrième année, c'est un univers. Partir de Pierrefonds à Brossard, ma copine, je l'ai revue deux fois dans l'année peut-être, puis c'est parce que mes parents ont voulu me faire plaisir, mais elle ne faisait plus partie de mon quotidien, et on recule. Je ne suis pas aussi vieille que ça, mais je suis quand même un petit peu plus vieille que mes enfants. On recule à l'époque, il n'y avait même pas d'Internet et tout ça, donc il n'y avait pas moyen de garder contact à ce moment-là. C'était peut-être bien, on jouait dans la rue avec les gens qui étaient autour de nous dans notre quotidien. Ceci étant dit, j'ai été déracinée et j'ai eu un gros choc. Ça a été extrêmement difficile pour moi. Les premières années, j'avais très peu d'amis. Ça, c'était au primaire. Je me suis fait quelques amis. Je suis arrivée au secondaire. Il y a une année complète où je pense que je n'ai parlé à personne. ou presque. J'étais complètement perdue. Le changement pour moi était extrêmement difficile. Je me sentais déracinée. Je n'arrêtais pas de pleurer à ma mère que je voulais déménager. Je voulais retourner. D'ailleurs, ma mère m'a déjà avoué qu'elle l'avait regretté après coup. Ils ont vu à quel point j'avais trouvé ça difficile, qu'après coup, ils ont regretté. Ils ont dit qu'on a peut-être trop poussé et qu'on n'a pas pris en compte. J'étais la plus vieille. Ma soeur plus jeune, elle s'est adaptée en première année. Moi, je suis en quatrième année. Elle me l'a dit par la suite. Elle m'a dit, on n'avait jamais réalisé à quel point ça serait dur pour toi. Ça m'a pris un bon trois ans à m'en remettre. Et ce que j'ai fait d'instinct, bon, je suis déménagée. En plus, ils sont déménagés au milieu de l'année scolaire plutôt que d'attendre l'été. Ça aurait été déjà plus facile. Encore là, ma mère m'a dit, avoir su, on aurait quand même refusé l'offre. Elle m'a dit, bon, bref. Puis peut-être que c'était le meilleur cadeau qu'elle ne pouvait pas me faire. Qui sait ? Ce n'est pas du tout pour juger ma mère. c'est juste que je veux dire, voici comment on l'a vécu. Moi, en quatrième année, je vais avoir quoi ? Sept, huit ans à peu près. Bon, la quatrième année a été super difficile. En cinquième, sixième, je me suis fait quelques amis. Secondaire 1, je suis allée dans une école. C'est là que je me suis complètement fermée. Pendant une année, j'ai à peu près parlé à personne. Pendant l'année, parce que là, on passait du primaire au secondaire. Puis là, c'était trop. Mes amis que j'avais réussi à me faire les deux dernières années, j'arrivais au secondaire. Puis là, on était encore un autre changement. Ça a été trop pour moi. Et là, c'est moi qui ai demandé à changer. Donc, j'ai compris à travers ça, à l'époque, que c'était possible de changer les choses. Puis que si la situation était difficile, j'avais compris que j'avais été déracinée, j'avais trouvé ça super difficile, mais en même temps, j'ai vu que c'était possible. Et là, en secondaire 1, j'ai demandé à ma mère de changer d'école et d'aller à Montréal. J'habitais sur la rue de la Brossard, d'aller à Montréal dans une école privée où ma copine de Pierrefort, ma voisine, ma meilleure amie, allait elle aussi. Donc, je pouvais la retrouver à l'école. Et j'ai fait cette école-là pendant deux ans, en secondaire 2 et 3. Et là, j'ai eu une mononucléose. C'était beaucoup de transports. Aujourd'hui, je pense qu'on ne ferait pas ça à des enfants. Donc, j'étais en secondaire 2. Je faisais métro, autobus, etc., etc., dans les transports en commun. Et j'ai fait une mononucléose la deuxième année. J'ai été complètement à terre, les batteries à terre. J'étais plus qu'avant de voyager. Et c'est là que j'ai rencontré d'autres amis. J'ai demandé à ma mère de redéménager, de rechanger. Et là, j'ai pris goût au changement. Ça a été vraiment dur, je vous dis, une année complètement fermée. Je vous raconte cette histoire-là parce que ça a été quelque chose de marquant dans ma vie, qui a été subi au départ, mais après ça que j'ai choisi. Et donc, en secondaire 4 et 5, souvent en secondaire, c'est une période où on dit, on ne veut pas trop bouger les enfants, il y a les amis et tout, puis c'est vrai. J'essaie de faire ça pour mes enfants, mais je comprends ce que ça m'a apporté. Donc, en secondaire 4 et 5, j'ai demandé à ma mère de recharger d'école pour aller à une école plus près de chez moi. Et encore là, j'avais une amie que j'avais rencontrée au ski. Et mes secondaires 4 et 5 ont été mes plus belles années de secondaire. Et donc, j'ai changé d'école trois fois au secondaire, plus deux fois au primaire. Et après ça, j'ai compris que quand on fait un changement, on perd des choses, mais on en gagne toujours également. Et que ce qu'on gagne, on ne le sait pas. Si on reste dans la zone où on est, on sait ce que ça va donner. Ça va continuer à donner ce qu'on a. Et d'aller vers une zone inconnue, évidemment, c'est incertain. On ne le sait pas. sauf que ce qu'on sait, mais on peut faire des découvertes. C'est là que la magie de la vie peut s'opérer. Et cette richesse-là, entre autres au niveau éducatif, a fait que j'ai fait, entre autres, le collège français, où j'ai appris à écrire de façon beaucoup plus poussée, soutenue que ce que j'avais appris dans les autres écoles. Donc, mes professeurs de français m'avaient poussé à aller plus loin. Et quand je suis arrivée à mon autre école, j'avais une avance sur le côté français, mais moins sur les autres matières. Je vous dis ça, pourquoi ? Parce que chaque changement, m'a permis de vivre quelque chose de différent que les autres n'avaient pas vécu et de finir mon secondaire avec une plus grande richesse que mes collègues qui étaient restés au même endroit pendant l'ensemble de leurs études. Et à la fin de mes études, quand je suis arrivée au cégep, j'ai remercié ma mère. À partir de là, ça m'a permis de voir la richesse des changements. Est-ce que j'ai peur ? Est-ce que je suis stressée ? Des fois, oui, mais les plus beaux moments de ma vie ont été ceux où j'ai le courage de changer. Et c'est vraiment partie de cet événement-là qui a été subi. Maintenant, je choisis le changement souvent. C'est devenu facile pour moi. Après l'université, quand j'avais 30 ans... J'ai décidé d'aller vivre en France. Je suis partie avec un sac à dos, un billet à l'essai, et je trouvais que ma vie tournait en rond ici. Donc, j'ai accepté le statu quo. J'ai compris qu'il y a plein d'autres choses qui existent, et on ne sait jamais ce que la vie peut nous rendre. Et je suis déménagée en France. J'ai habité pendant cinq ans en France. Mais de toute façon, on est là. J'ai rencontré le père de mes enfants. Ça a été cinq années extraordinaires. J'ai appris une différente culture. J'ai découvert tellement, tellement de choses. Encore là, ça a été un des plus beaux changements de ma vie. Mais là, ça a été choisi. Est-ce que ça a été difficile ? Oui. Changer de pays, pour ceux qui l'ont vécu, c'est tout un défi. Tout est à changer. Je me rappelle une journée, j'étais sur les Champs-Élysées à Paris avec 14 millions de personnes autour de moi et je ne connaissais pas une seule personne. Ça, c'était au début. Et là, j'ai trouvé ça difficile, évidemment. Puis je me disais 14 millions de personnes et je me sens seule. Je me suis rappelée du primaire, du secondaire, des déménagements que j'ai faits, comment on se sent seule quand on change. Au final, je m'étais fait plein d'amis que j'ai gardés à travers chacun des écoles. J'avais plus d'amis que ceux qui étaient toujours restés à la même école. Je suis restée avec ça et finalement, j'ai rencontré plein de gens en France. Ça a été des années extraordinaires, des souvenirs qui vont rester gravés dans ma mémoire pour toujours et que je suis très contente. La vie, c'est ça. Quand on enseigne différentes choses, changer des aliments, on a une relation très émotionnelle avec les aliments. Les aliments, ça nous rassure des recettes, ça nous rassure des choses que notre mère nous faisait, etc. C'est réconfortant, c'est le fun de changer. Ça nous élargit notre zone de confort, faire des nouveaux exercices. Travailler la neuroplasticité, c'est ça la base. C'est de faire des nouvelles connexions, c'est de changer d'environnement, c'est changer quelque chose à tous les jours. C'est ce que j'enseignais d'ailleurs aux jeunes en notre membership la semaine dernière. comment travailler la neuroplasticité. C'est fondamental de sortir de nos habitudes, nos routines pour travailler, stimuler notre cerveau, notre mémoire. En tout cas, moi, mon cerveau était bien stimulé. Et de regarder le changement comme de voir le cadeau qu'il peut nous offrir. Est-ce que ça veut dire que c'est facile ? Non. Est-ce que ça veut dire qu'on saute toujours de joie puis on a envie ? Non. Mais des fois, il faut foncer sans trop y penser et après ça, il faut aussi, selon moi, regardez les cadeaux que ça nous apporte. Parce que chaque changement nous apporte des cadeaux extraordinaires. Alors, je vous invite à regarder tous les défis, les changements et de voir dans votre vie. Puis écrivez-nous dans les commentaires, c'est où les endroits où il y a peut-être une petite hésitation à faire un changement. Puis encore là, je vous le dis, c'est normal. On est programmé comme ça, les êtres humains. C'est comme ça qu'on apprend en fait. C'est en continuant sur le même chemin. Mais... pour parfois élargir notre zone de confort. Ça peut être extraordinaire. Depuis ce temps-là, moi, j'ai vraiment adopté un mode de vie de changement. D'ailleurs, quand on me demande c'était quoi ton adresse quand je veux réactiver quelque chose dans le compte ou quelque chose, puis il va savoir à quelle adresse j'habitais à ce moment-là. Maintenant, ça devient très difficile pour moi. J'ai tellement déménagé souvent, j'ai tellement changé souvent. Mais ça devient une habitude, un mode de vie et on peut l'embrasser. Évidemment, comment ça sert ma mémoire, la longévité, notre vitalité, notre énergie, nos choix. C'est que maintenant, les changements, ça m'anime, ça m'illumine. Et dans nos fameuses rencontres de 15 minutes que je fais avec vous, avec les clients, c'est exactement cette réflexion-là qu'on a ensemble. Quel est le changement ? C'est quoi la prochaine meilleure étape ? C'est quoi le prochain meilleur changement pour vous ? Une étape à la fois. On fait des choix, on ne subit pas, on choisit. Et on choisit de sortir un petit peu. d'agrandir notre zone de confort. Et plus on l'agrandit, plus on a une zone grande de confort. C'est génial. Alors partagez-nous les événements marquants sous la vidéo, dans les commentaires. Partagez-nous, envoyez-nous un courriel pour nous dire quels sont les événements qui ont peut-être eu un effet comme moi. C'est quoi les changements que vous avez vus à l'époque comme difficiles et que finalement vous avez vu que ça vous a apporté, que vous dites « ça a été le plus bel événement de ma vie » ou le cadeau mal emballé parfois. Ça peut être des événements tristes. mais avec lequel on a réussi à amener un changement. Et qu'est-ce que ça veut dire pour vous ? Et ce changement-là... être guidé, accompagné dans le processus. Évidemment, on est là pour vous accompagner dans le processus, dans les rencontres 15 minutes. C'est ce qu'on fait avec vous pour voir c'est quoi la meilleure prochaine étape pour vous. Donc, c'est le meilleur prochain changement pour vous. Et d'ailleurs, j'ai une invitation spéciale. Vous le savez, Stéphane et moi, on anime une retraite du 8 au 11 juin prochain. Il y a déjà plusieurs inscrits. Il reste encore quelques places. Les places sont limitées. mais c'est un événement qui va être extraordinaire. Pourquoi ? Parce qu'on parle de changement. Évidemment, dans les memberships, les accompagnements, on est rendu à 160 personnes dans notre groupe qui choisissent le changement à mémoire, longévité. Et c'est génial et les résultats sont extraordinaires. Les clients me disent constamment, Patricia, ma mémoire va mieux qu'elle n'a jamais été. Mon cerveau est sorti du brouillard. J'ai confiance en mon futur. Je sens que je fais tout ce qui est possible pour profiter de chaque instant pour vieillir en santé, pour profiter de chaque moment. moment. Mais là, on a ajouté une retraite à la liste et je vais vous mettre dans les commentaires, dans la discussion, le lien pour réserver directement avec le Spaceman. Et pourquoi on a rajouté une retraite ? Parce que là, c'est des vacances qui nous font du bien. Donc, on initie le changement en vacances, au spa, avec une chambre extraordinaire, avec de la nourriture tonique, qui est non seulement superbe au goût, mais qui répond à tous les critères de ce que je vous enseigne depuis des années. On le vit pendant quatre jours, on vit un changement dans la douceur, dans le plaisir, c'est des vacances. On a accès au spa, au bain, à la nature, au sentier de marche. Il y a des chaises longues, une piscine, un feu, la connexion avec les autres participants de la retraite. Il y a des gens qui vont être là que je n'ai jamais vus en vrai, que j'ai participé avec des Zoom. Il y a des gens qui sont là, qui suivent nos formations depuis trois ans et qui vont être présents et qu'on va se voir en premier avec le contact humain. Et j'ai plusieurs clients qui m'ont dit... « Patricia, moi, je vais aller au SPA Eastman parce que je veux entamer un changement et je vais le lancer avec la retraite. » Et c'est pour ça qu'on a créé cette retraite-là et on a d'autres projets qui s'en viennent. On va vous les annoncer dans quelques semaines, quelques mois. On a plein d'autres projets. Parce que la magie de faire un changement, on n'est pas obligé de faire ça à la dure subie comme je l'ai vécu quand j'étais adolescente. On peut le choisir et on le choisit au bon moment pour avoir le meilleur impact et dans la douceur. Donc, on va au SPA, on se fait dorloter, On vit des vacances qui nous font du bien. On se sent mieux. Notre cerveau sort du brouillard. On mange des choses extraordinaires. On va développer ensemble une routine quotidienne que vous allez pouvoir maintenir par la suite. Et là, on peut suivre les changements semaine après semaine, une étape à la fois par la suite en virtuel. Mais on va l'avoir vécu en vrai. Et ça, ça vaut de l'or. Vraiment, ça va faire toute une différence. Ça fait longtemps que vous me suivez et que vous dites, justement, j'essaie, j'embarque, je vais changer ou pas. Il y en a qui j'ai parlé ou qui disent, Patricia, ça fait longtemps que je te suis, mais je n'ai pas encore eu le déclic, pour vraiment mettre en action quatre jours de vacances, des vacances qui font du bien. Vous allez avoir du plaisir, vous allez bien manger, on va connecter, on va apprendre des choses. Vous êtes libre de votre horaire. On a même rajouté plus de moments que vous puissiez vraiment profiter du site parce que la clé de la mémoire de la longévité, c'est de profiter du site. Alors, sans le savoir, mes parents m'ont fait un cadeau extraordinaire, même si ma mère s'est sentie coupée. coupable après coup de m'avoir déracinée en milieu d'année, en quatrième année, elle m'a fait le cadeau du changement. Le cadeau de voir qu'il y a toujours autre chose de possible. Si ce que je vis en ce moment, ce n'est pas à la hauteur de ce que je veux, je peux toujours vivre autre chose. Je peux toujours choisir autre chose. Il y aura de l'inconnu. Peut-être que ça va prendre deux ou trois changements avant d'y arriver. Mais tout devient possible et il y a un monde d'opportunités. Et ça, c'est la clé pour moi de tout ce que je fais dans ma vie. entre autres et bien spécifiquement de ce que je fais pour entretenir ma mémoire, ma longévité, pour m'assurer de bien profiter. Mon objectif à moi, c'est d'avoir un cerveau performant jusqu'à 100 ans et d'être en forme, en santé, avec de la vitalité jusqu'à 100 ans. Et c'est ce mindset-là, cette façon de vivre, d'embrasser le changement que j'ai subi plus jeune avec un cadeau m'en l'emballer et qu'aujourd'hui, je l'embrasse à tous les jours et que je vous enseigne et que je vous accompagne pour que ça devienne plus facile pour tous et on puisse le vivre ensemble. Je vous remercie. ma mère, qui sans le savoir, m'a offert ce cadeau, m'a l'emballé, que je vous transmets. Alors, n'oubliez pas de vous inscrire pour la retraite au SPA Eastman. Si vous avez des questions, vous pouvez nous contacter. Vous pouvez évidemment contacter directement le SPA. Les inscriptions se font avec le SPA directement et on va vivre un moment extraordinaire. Tout est calqué sur le mode de vie des grands centenaires. Rappelez-vous, les grands centenaires, ils vivent en communauté, ils mangent bien, ils cuisinent, c'est ce que nous présente le SPA. Stéphane va nous enseigner au niveau de la cuisine. Moi, je vais vous montrer cet art de vivre-là. Qu'est-ce que ces grands centenaires font et comment on peut l'intégrer ? Parce que non seulement ils vivent longtemps, mais ils n'ont à peu près pas de cas de perte de mémoire ni de démence. Alors, on veut tous ça. Alors, sur ce, c'est un grand plaisir, comme toujours, de parler avec vous aujourd'hui. On se retrouve la semaine prochaine dans un prochain Mercredi Mémoire. Et savez-vous que le Mercredi Mémoire est maintenant disponible en podcast ? Vous pouvez aller nous écouter, vous abonner à nos podcasts sur les plateformes Spotify, Apple et ainsi de suite. Et réservez votre place au Spa Eastman. Attendez pas qu'il soit trop tard parce qu'il y a 30 places et après c'est terminé. Ça ira un autre événement éventuellement. Au mois de juin, il fait beau, c'est le fun, on va s'amuser, les vacances font du bien, on a tous besoin de ça. Alors sur ce, merci tout le monde !

Description

Et si le changement devenait votre allié ? 🔄✨


Le changement peut faire peur, surtout quand il s'impose à nous… Mais et si, au lieu de le subir, on apprenait à l’accueillir ? 🌱


Dans cet épisode, je vous partage mon propre parcours et comment j’ai transformé le changement en un véritable levier pour la mémoire et la longévité. Et si tout commençait par 1 % de plus chaque jour ?

🎥 Écoutez l'épisode et découvrez comment faire du changement un allié au quotidien.


📅 Réservez une courte rencontre gratuite ici : https://www.patriciaspaans.com/rdv



🍃 Une invitation à vivre le changement… pour vrai


Du 8 au 11 juin, j’animerai, avec Stéphane Triballi, notre toute première retraite au Spa Eastman : Les 20 essentiels de la mémoire et longévité en action.


Pendant 4 jours, vous vivrez l’expérience complète, dans un environnement apaisant, naturel, inspirant.

🌿 Vous mangerez une cuisine tonique,

🧖 Vous vous détendrez dans les bains et les sentiers,

🧠 Et vous ancrerez, dans la douceur, les changements que vous souhaitez vivre.


Parce que oui : Comprendre, c’est bien. Mais le vivre, c’est encore mieux.


--------------------


Si vous souhaitez stimuler votre mémoire et gagner 20 ans de vie de qualité, réservez une rencontre avec mon équipe ou moi-même au https://www.patriciaspaans.com/rdv, ou via téléphone au 1-833-504-4713 pour planifier votre rendez-vous.ou visioconférence. Nous discuterons ensemble de vos besoins spécifiques et de la manière de mettre en place des changements simples et durables pour soutenir votre mémoire et améliorer votre qualité de vie au quotidien.


Site web : https://www.patriciaspaans.com/

Cliquer ici pour rejoindre : membership de Mémoire et longévité

Facebook : https://www.facebook.com/famillesaine

Instagram : https://www.instagram.com/patricia.spaans/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour tout le monde, bienvenue dans ce Mercredi Mémoire. Alors aujourd'hui, on va parler de changement. Bonjour et bienvenue dans le podcast Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots. Je suis Patricia Spaans, coach en mémoire et longévité. Rejoignez-moi chaque semaine pour découvrir les secrets de la science et de l'alimentation, pouvant vous permettre de vivre en meilleure santé et en longévité. Je partagerai avec vous des conseils pratiques et des entrevues. fascinante avec des experts. Ensemble, nous explorerons les gestes simples et efficaces pour renforcer votre mémoire. Parce que oui, il y a quelque chose à faire pour garder sa mémoire vive et gagner 20 ans de vie de qualité. Oh, changement ! Peut-être que vous grognez, parce que le changement, c'est normal. Ça nous demande un effort à tous et chacun, et c'est normal qu'on ait envie de rester dans des habitudes et des routines. et c'est d'ailleurs pour ça qu'on a des habitudes et des routines. En fait, 80 % de notre vie devrait être habituée et routine pour la simplicité. Mais je dis souvent à mes clients, il n'y a rien qui change si on ne change rien. C'est évident, voyons Patricia, on le sait. Bien oui, on le sait, il n'y a rien qui change si on ne change rien. Mais est-ce qu'on mesure toujours l'ampleur de ces paroles-là ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Les gens me disent, Patricia, on veut manger différemment, on veut gagner 20 ans de vie de qualité, on veut retrouver… notre mémoire, notre cerveau d'avant, ou même mieux. Il y a des clients qui me disent que leur cerveau va mieux que même à l'âge de 20 ans. Ah, mais là, Patricia, cet ingrédient-là, je ne le connais pas, je ne veux pas l'acheter. Ou ça, je n'ai pas envie d'essayer. Ou ça, c'est compliqué, il va falloir que là, quand je fais l'épicerie, c'est plus compliqué qu'avant. Premièrement, cette période où on élargit notre zone de confort, elle est transitoire. Il y a une journée où, une première fois, si on regarde nos ados, mes ados, quand ils vont Dans l'épicerie, ils cherchent tout. Mon fils, l'autre fois, il cherchait de la viande hachée à l'épicerie. Ça a été con. compliqué. Alors qu'Anki, s'il trouve ça compliqué d'acheter de la viande hachée, c'est facile pour nous. Ça fait des décennies qu'on fait ça. On sait comment. D'ailleurs, il y avait un piège parce qu'il n'y avait plus de viande hachée à l'épicerie. Mais moi, je savais que c'était pas normal. Mais lui, il est tombé sur la première journée du beau temps la semaine dernière où tout le monde a décidé de faire des barbecues. Là, il comprenait pas. Il était confus. Donc, il m'a demandé de l'aider il y a 17 ans pour acheter sa viande hachée. Alors qu'on en a Tout, ce n'est pas besoin, n'est-ce pas ? Il n'y a personne ici qui a besoin d'aide pour acheter sa viande hachée. Mais ça va devenir pareil. Que ce soit les gens qui ont participé au 7 jours, qui me disent, Patricia, je cherche le moringa, l'ashwagandha, dans nos formations de cuisine, des radis, des radis d'aïtons, c'est quoi ça ? Moi, la première, faire un kéfir la première fois, la mère kéfir, trouver les graines mères et ainsi de suite. Oui, ça peut sembler difficile, mais c'est juste la première fois. C'est pour ça qu'un changement étape par étape est guidé, c'est la clé. Si on se met... un petit défi dans la semaine, c'est correct. Un petit défi dans le mois, c'est parfait. Mais quand on en met trop, c'est là que ça devient compliqué. Et savez-vous quoi ? Vous êtes ici pour la mémoire et la longévité. Et notre mémoire, notre cerveau aime ces petits inconforts-là. La neuroplasticité, les connexions entre nos neurones qui font que notre cerveau va nous suivre pour gagner nos 20 ans de vie de qualité, avoir un cerveau performant jusqu'à 100 ans, a besoin de ces petits défis de neuroplasticité-là. Donc, au lieu de le voir comme un « Ah, bien là, je ne veux pas sortir de ma zone de confort » ou « Oui, c'est un changement, je vais garder les ingrédients que je suis habituée, il paraît qu'on rachète 90 ou 95 % des mêmes ingrédients de l'épicerie d'une semaine à l'autre. » Et comment vous voulez que les choses changent si on reprend toujours les mêmes ingrédients ? Et ça, c'est vrai dans toutes les sphères. Si on veut un résultat différent, il faut faire un changement. C'est inévitable, mais on peut le faire dans le plaisir. Et on s'y habitue. C'est de démarrer la roue du changement qui est le défi. Une fois qu'on est dessus, mes clients me le disent, c'est pour ça qu'on a un membership, c'est pour ça que mes accompagnements sont sur une année. C'est stratégique, ça nous permet d'embarquer dans cette roue et de la faire commencer à rouler. Vous le savez, une roue, une fois que ça roule, il y a le momentum, puis après ça, ça roule tout seul, puis c'est facile. Moi, cette roue-là, oui, je l'ai partie il y a plusieurs années, mais maintenant, elle est facile. J'ai toujours des nouveautés. Et d'ailleurs, je l'ai partie il y a plusieurs années. Et moi, c'est la vie qui a fait que j'ai apprivoisé le changement. et que maintenant, j'embrasse le changement. Et je remercie la vie aujourd'hui. C'est comme plein de choses dans la vie. Il y a des événements qui sont des épreuves. Quand on les vit, on trouve ça difficile. Puis après ça, on voit le cadeau, les cadeaux mal emballés, quand on a le recul par la suite. Et moi, ça a été aux primaires. Donc, en quatrième année du primaire, mes parents sont déménagés. Moi, j'avais toujours habité à Pierrefonds avec ma meilleure amie qui était ma voisine, mon école primaire, évidemment. C'est les mêmes amis depuis toujours. On jouait dans la rue dans ce temps-là. donc je connaissais toute la carte. ma mère jouait, parlait avec la voisine, etc. J'étais chez nous. On marchait pas à l'école, on connaissait la brigadière qui nous saluait à chaque midi, qui nous disait si nos amis étaient avant ou après, pour savoir si on pouvait jouer avec eux. Et en quatrième année, mes parents ont décidé de déménager, mais pas juste déménager de quartier, on est partis de Pierrefonds jusqu'à Brossard. Pour un enfant de quatrième année, c'est un univers. Partir de Pierrefonds à Brossard, ma copine, je l'ai revue deux fois dans l'année peut-être, puis c'est parce que mes parents ont voulu me faire plaisir, mais elle ne faisait plus partie de mon quotidien, et on recule. Je ne suis pas aussi vieille que ça, mais je suis quand même un petit peu plus vieille que mes enfants. On recule à l'époque, il n'y avait même pas d'Internet et tout ça, donc il n'y avait pas moyen de garder contact à ce moment-là. C'était peut-être bien, on jouait dans la rue avec les gens qui étaient autour de nous dans notre quotidien. Ceci étant dit, j'ai été déracinée et j'ai eu un gros choc. Ça a été extrêmement difficile pour moi. Les premières années, j'avais très peu d'amis. Ça, c'était au primaire. Je me suis fait quelques amis. Je suis arrivée au secondaire. Il y a une année complète où je pense que je n'ai parlé à personne. ou presque. J'étais complètement perdue. Le changement pour moi était extrêmement difficile. Je me sentais déracinée. Je n'arrêtais pas de pleurer à ma mère que je voulais déménager. Je voulais retourner. D'ailleurs, ma mère m'a déjà avoué qu'elle l'avait regretté après coup. Ils ont vu à quel point j'avais trouvé ça difficile, qu'après coup, ils ont regretté. Ils ont dit qu'on a peut-être trop poussé et qu'on n'a pas pris en compte. J'étais la plus vieille. Ma soeur plus jeune, elle s'est adaptée en première année. Moi, je suis en quatrième année. Elle me l'a dit par la suite. Elle m'a dit, on n'avait jamais réalisé à quel point ça serait dur pour toi. Ça m'a pris un bon trois ans à m'en remettre. Et ce que j'ai fait d'instinct, bon, je suis déménagée. En plus, ils sont déménagés au milieu de l'année scolaire plutôt que d'attendre l'été. Ça aurait été déjà plus facile. Encore là, ma mère m'a dit, avoir su, on aurait quand même refusé l'offre. Elle m'a dit, bon, bref. Puis peut-être que c'était le meilleur cadeau qu'elle ne pouvait pas me faire. Qui sait ? Ce n'est pas du tout pour juger ma mère. c'est juste que je veux dire, voici comment on l'a vécu. Moi, en quatrième année, je vais avoir quoi ? Sept, huit ans à peu près. Bon, la quatrième année a été super difficile. En cinquième, sixième, je me suis fait quelques amis. Secondaire 1, je suis allée dans une école. C'est là que je me suis complètement fermée. Pendant une année, j'ai à peu près parlé à personne. Pendant l'année, parce que là, on passait du primaire au secondaire. Puis là, c'était trop. Mes amis que j'avais réussi à me faire les deux dernières années, j'arrivais au secondaire. Puis là, on était encore un autre changement. Ça a été trop pour moi. Et là, c'est moi qui ai demandé à changer. Donc, j'ai compris à travers ça, à l'époque, que c'était possible de changer les choses. Puis que si la situation était difficile, j'avais compris que j'avais été déracinée, j'avais trouvé ça super difficile, mais en même temps, j'ai vu que c'était possible. Et là, en secondaire 1, j'ai demandé à ma mère de changer d'école et d'aller à Montréal. J'habitais sur la rue de la Brossard, d'aller à Montréal dans une école privée où ma copine de Pierrefort, ma voisine, ma meilleure amie, allait elle aussi. Donc, je pouvais la retrouver à l'école. Et j'ai fait cette école-là pendant deux ans, en secondaire 2 et 3. Et là, j'ai eu une mononucléose. C'était beaucoup de transports. Aujourd'hui, je pense qu'on ne ferait pas ça à des enfants. Donc, j'étais en secondaire 2. Je faisais métro, autobus, etc., etc., dans les transports en commun. Et j'ai fait une mononucléose la deuxième année. J'ai été complètement à terre, les batteries à terre. J'étais plus qu'avant de voyager. Et c'est là que j'ai rencontré d'autres amis. J'ai demandé à ma mère de redéménager, de rechanger. Et là, j'ai pris goût au changement. Ça a été vraiment dur, je vous dis, une année complètement fermée. Je vous raconte cette histoire-là parce que ça a été quelque chose de marquant dans ma vie, qui a été subi au départ, mais après ça que j'ai choisi. Et donc, en secondaire 4 et 5, souvent en secondaire, c'est une période où on dit, on ne veut pas trop bouger les enfants, il y a les amis et tout, puis c'est vrai. J'essaie de faire ça pour mes enfants, mais je comprends ce que ça m'a apporté. Donc, en secondaire 4 et 5, j'ai demandé à ma mère de recharger d'école pour aller à une école plus près de chez moi. Et encore là, j'avais une amie que j'avais rencontrée au ski. Et mes secondaires 4 et 5 ont été mes plus belles années de secondaire. Et donc, j'ai changé d'école trois fois au secondaire, plus deux fois au primaire. Et après ça, j'ai compris que quand on fait un changement, on perd des choses, mais on en gagne toujours également. Et que ce qu'on gagne, on ne le sait pas. Si on reste dans la zone où on est, on sait ce que ça va donner. Ça va continuer à donner ce qu'on a. Et d'aller vers une zone inconnue, évidemment, c'est incertain. On ne le sait pas. sauf que ce qu'on sait, mais on peut faire des découvertes. C'est là que la magie de la vie peut s'opérer. Et cette richesse-là, entre autres au niveau éducatif, a fait que j'ai fait, entre autres, le collège français, où j'ai appris à écrire de façon beaucoup plus poussée, soutenue que ce que j'avais appris dans les autres écoles. Donc, mes professeurs de français m'avaient poussé à aller plus loin. Et quand je suis arrivée à mon autre école, j'avais une avance sur le côté français, mais moins sur les autres matières. Je vous dis ça, pourquoi ? Parce que chaque changement, m'a permis de vivre quelque chose de différent que les autres n'avaient pas vécu et de finir mon secondaire avec une plus grande richesse que mes collègues qui étaient restés au même endroit pendant l'ensemble de leurs études. Et à la fin de mes études, quand je suis arrivée au cégep, j'ai remercié ma mère. À partir de là, ça m'a permis de voir la richesse des changements. Est-ce que j'ai peur ? Est-ce que je suis stressée ? Des fois, oui, mais les plus beaux moments de ma vie ont été ceux où j'ai le courage de changer. Et c'est vraiment partie de cet événement-là qui a été subi. Maintenant, je choisis le changement souvent. C'est devenu facile pour moi. Après l'université, quand j'avais 30 ans... J'ai décidé d'aller vivre en France. Je suis partie avec un sac à dos, un billet à l'essai, et je trouvais que ma vie tournait en rond ici. Donc, j'ai accepté le statu quo. J'ai compris qu'il y a plein d'autres choses qui existent, et on ne sait jamais ce que la vie peut nous rendre. Et je suis déménagée en France. J'ai habité pendant cinq ans en France. Mais de toute façon, on est là. J'ai rencontré le père de mes enfants. Ça a été cinq années extraordinaires. J'ai appris une différente culture. J'ai découvert tellement, tellement de choses. Encore là, ça a été un des plus beaux changements de ma vie. Mais là, ça a été choisi. Est-ce que ça a été difficile ? Oui. Changer de pays, pour ceux qui l'ont vécu, c'est tout un défi. Tout est à changer. Je me rappelle une journée, j'étais sur les Champs-Élysées à Paris avec 14 millions de personnes autour de moi et je ne connaissais pas une seule personne. Ça, c'était au début. Et là, j'ai trouvé ça difficile, évidemment. Puis je me disais 14 millions de personnes et je me sens seule. Je me suis rappelée du primaire, du secondaire, des déménagements que j'ai faits, comment on se sent seule quand on change. Au final, je m'étais fait plein d'amis que j'ai gardés à travers chacun des écoles. J'avais plus d'amis que ceux qui étaient toujours restés à la même école. Je suis restée avec ça et finalement, j'ai rencontré plein de gens en France. Ça a été des années extraordinaires, des souvenirs qui vont rester gravés dans ma mémoire pour toujours et que je suis très contente. La vie, c'est ça. Quand on enseigne différentes choses, changer des aliments, on a une relation très émotionnelle avec les aliments. Les aliments, ça nous rassure des recettes, ça nous rassure des choses que notre mère nous faisait, etc. C'est réconfortant, c'est le fun de changer. Ça nous élargit notre zone de confort, faire des nouveaux exercices. Travailler la neuroplasticité, c'est ça la base. C'est de faire des nouvelles connexions, c'est de changer d'environnement, c'est changer quelque chose à tous les jours. C'est ce que j'enseignais d'ailleurs aux jeunes en notre membership la semaine dernière. comment travailler la neuroplasticité. C'est fondamental de sortir de nos habitudes, nos routines pour travailler, stimuler notre cerveau, notre mémoire. En tout cas, moi, mon cerveau était bien stimulé. Et de regarder le changement comme de voir le cadeau qu'il peut nous offrir. Est-ce que ça veut dire que c'est facile ? Non. Est-ce que ça veut dire qu'on saute toujours de joie puis on a envie ? Non. Mais des fois, il faut foncer sans trop y penser et après ça, il faut aussi, selon moi, regardez les cadeaux que ça nous apporte. Parce que chaque changement nous apporte des cadeaux extraordinaires. Alors, je vous invite à regarder tous les défis, les changements et de voir dans votre vie. Puis écrivez-nous dans les commentaires, c'est où les endroits où il y a peut-être une petite hésitation à faire un changement. Puis encore là, je vous le dis, c'est normal. On est programmé comme ça, les êtres humains. C'est comme ça qu'on apprend en fait. C'est en continuant sur le même chemin. Mais... pour parfois élargir notre zone de confort. Ça peut être extraordinaire. Depuis ce temps-là, moi, j'ai vraiment adopté un mode de vie de changement. D'ailleurs, quand on me demande c'était quoi ton adresse quand je veux réactiver quelque chose dans le compte ou quelque chose, puis il va savoir à quelle adresse j'habitais à ce moment-là. Maintenant, ça devient très difficile pour moi. J'ai tellement déménagé souvent, j'ai tellement changé souvent. Mais ça devient une habitude, un mode de vie et on peut l'embrasser. Évidemment, comment ça sert ma mémoire, la longévité, notre vitalité, notre énergie, nos choix. C'est que maintenant, les changements, ça m'anime, ça m'illumine. Et dans nos fameuses rencontres de 15 minutes que je fais avec vous, avec les clients, c'est exactement cette réflexion-là qu'on a ensemble. Quel est le changement ? C'est quoi la prochaine meilleure étape ? C'est quoi le prochain meilleur changement pour vous ? Une étape à la fois. On fait des choix, on ne subit pas, on choisit. Et on choisit de sortir un petit peu. d'agrandir notre zone de confort. Et plus on l'agrandit, plus on a une zone grande de confort. C'est génial. Alors partagez-nous les événements marquants sous la vidéo, dans les commentaires. Partagez-nous, envoyez-nous un courriel pour nous dire quels sont les événements qui ont peut-être eu un effet comme moi. C'est quoi les changements que vous avez vus à l'époque comme difficiles et que finalement vous avez vu que ça vous a apporté, que vous dites « ça a été le plus bel événement de ma vie » ou le cadeau mal emballé parfois. Ça peut être des événements tristes. mais avec lequel on a réussi à amener un changement. Et qu'est-ce que ça veut dire pour vous ? Et ce changement-là... être guidé, accompagné dans le processus. Évidemment, on est là pour vous accompagner dans le processus, dans les rencontres 15 minutes. C'est ce qu'on fait avec vous pour voir c'est quoi la meilleure prochaine étape pour vous. Donc, c'est le meilleur prochain changement pour vous. Et d'ailleurs, j'ai une invitation spéciale. Vous le savez, Stéphane et moi, on anime une retraite du 8 au 11 juin prochain. Il y a déjà plusieurs inscrits. Il reste encore quelques places. Les places sont limitées. mais c'est un événement qui va être extraordinaire. Pourquoi ? Parce qu'on parle de changement. Évidemment, dans les memberships, les accompagnements, on est rendu à 160 personnes dans notre groupe qui choisissent le changement à mémoire, longévité. Et c'est génial et les résultats sont extraordinaires. Les clients me disent constamment, Patricia, ma mémoire va mieux qu'elle n'a jamais été. Mon cerveau est sorti du brouillard. J'ai confiance en mon futur. Je sens que je fais tout ce qui est possible pour profiter de chaque instant pour vieillir en santé, pour profiter de chaque moment. moment. Mais là, on a ajouté une retraite à la liste et je vais vous mettre dans les commentaires, dans la discussion, le lien pour réserver directement avec le Spaceman. Et pourquoi on a rajouté une retraite ? Parce que là, c'est des vacances qui nous font du bien. Donc, on initie le changement en vacances, au spa, avec une chambre extraordinaire, avec de la nourriture tonique, qui est non seulement superbe au goût, mais qui répond à tous les critères de ce que je vous enseigne depuis des années. On le vit pendant quatre jours, on vit un changement dans la douceur, dans le plaisir, c'est des vacances. On a accès au spa, au bain, à la nature, au sentier de marche. Il y a des chaises longues, une piscine, un feu, la connexion avec les autres participants de la retraite. Il y a des gens qui vont être là que je n'ai jamais vus en vrai, que j'ai participé avec des Zoom. Il y a des gens qui sont là, qui suivent nos formations depuis trois ans et qui vont être présents et qu'on va se voir en premier avec le contact humain. Et j'ai plusieurs clients qui m'ont dit... « Patricia, moi, je vais aller au SPA Eastman parce que je veux entamer un changement et je vais le lancer avec la retraite. » Et c'est pour ça qu'on a créé cette retraite-là et on a d'autres projets qui s'en viennent. On va vous les annoncer dans quelques semaines, quelques mois. On a plein d'autres projets. Parce que la magie de faire un changement, on n'est pas obligé de faire ça à la dure subie comme je l'ai vécu quand j'étais adolescente. On peut le choisir et on le choisit au bon moment pour avoir le meilleur impact et dans la douceur. Donc, on va au SPA, on se fait dorloter, On vit des vacances qui nous font du bien. On se sent mieux. Notre cerveau sort du brouillard. On mange des choses extraordinaires. On va développer ensemble une routine quotidienne que vous allez pouvoir maintenir par la suite. Et là, on peut suivre les changements semaine après semaine, une étape à la fois par la suite en virtuel. Mais on va l'avoir vécu en vrai. Et ça, ça vaut de l'or. Vraiment, ça va faire toute une différence. Ça fait longtemps que vous me suivez et que vous dites, justement, j'essaie, j'embarque, je vais changer ou pas. Il y en a qui j'ai parlé ou qui disent, Patricia, ça fait longtemps que je te suis, mais je n'ai pas encore eu le déclic, pour vraiment mettre en action quatre jours de vacances, des vacances qui font du bien. Vous allez avoir du plaisir, vous allez bien manger, on va connecter, on va apprendre des choses. Vous êtes libre de votre horaire. On a même rajouté plus de moments que vous puissiez vraiment profiter du site parce que la clé de la mémoire de la longévité, c'est de profiter du site. Alors, sans le savoir, mes parents m'ont fait un cadeau extraordinaire, même si ma mère s'est sentie coupée. coupable après coup de m'avoir déracinée en milieu d'année, en quatrième année, elle m'a fait le cadeau du changement. Le cadeau de voir qu'il y a toujours autre chose de possible. Si ce que je vis en ce moment, ce n'est pas à la hauteur de ce que je veux, je peux toujours vivre autre chose. Je peux toujours choisir autre chose. Il y aura de l'inconnu. Peut-être que ça va prendre deux ou trois changements avant d'y arriver. Mais tout devient possible et il y a un monde d'opportunités. Et ça, c'est la clé pour moi de tout ce que je fais dans ma vie. entre autres et bien spécifiquement de ce que je fais pour entretenir ma mémoire, ma longévité, pour m'assurer de bien profiter. Mon objectif à moi, c'est d'avoir un cerveau performant jusqu'à 100 ans et d'être en forme, en santé, avec de la vitalité jusqu'à 100 ans. Et c'est ce mindset-là, cette façon de vivre, d'embrasser le changement que j'ai subi plus jeune avec un cadeau m'en l'emballer et qu'aujourd'hui, je l'embrasse à tous les jours et que je vous enseigne et que je vous accompagne pour que ça devienne plus facile pour tous et on puisse le vivre ensemble. Je vous remercie. ma mère, qui sans le savoir, m'a offert ce cadeau, m'a l'emballé, que je vous transmets. Alors, n'oubliez pas de vous inscrire pour la retraite au SPA Eastman. Si vous avez des questions, vous pouvez nous contacter. Vous pouvez évidemment contacter directement le SPA. Les inscriptions se font avec le SPA directement et on va vivre un moment extraordinaire. Tout est calqué sur le mode de vie des grands centenaires. Rappelez-vous, les grands centenaires, ils vivent en communauté, ils mangent bien, ils cuisinent, c'est ce que nous présente le SPA. Stéphane va nous enseigner au niveau de la cuisine. Moi, je vais vous montrer cet art de vivre-là. Qu'est-ce que ces grands centenaires font et comment on peut l'intégrer ? Parce que non seulement ils vivent longtemps, mais ils n'ont à peu près pas de cas de perte de mémoire ni de démence. Alors, on veut tous ça. Alors, sur ce, c'est un grand plaisir, comme toujours, de parler avec vous aujourd'hui. On se retrouve la semaine prochaine dans un prochain Mercredi Mémoire. Et savez-vous que le Mercredi Mémoire est maintenant disponible en podcast ? Vous pouvez aller nous écouter, vous abonner à nos podcasts sur les plateformes Spotify, Apple et ainsi de suite. Et réservez votre place au Spa Eastman. Attendez pas qu'il soit trop tard parce qu'il y a 30 places et après c'est terminé. Ça ira un autre événement éventuellement. Au mois de juin, il fait beau, c'est le fun, on va s'amuser, les vacances font du bien, on a tous besoin de ça. Alors sur ce, merci tout le monde !

Share

Embed

You may also like

Description

Et si le changement devenait votre allié ? 🔄✨


Le changement peut faire peur, surtout quand il s'impose à nous… Mais et si, au lieu de le subir, on apprenait à l’accueillir ? 🌱


Dans cet épisode, je vous partage mon propre parcours et comment j’ai transformé le changement en un véritable levier pour la mémoire et la longévité. Et si tout commençait par 1 % de plus chaque jour ?

🎥 Écoutez l'épisode et découvrez comment faire du changement un allié au quotidien.


📅 Réservez une courte rencontre gratuite ici : https://www.patriciaspaans.com/rdv



🍃 Une invitation à vivre le changement… pour vrai


Du 8 au 11 juin, j’animerai, avec Stéphane Triballi, notre toute première retraite au Spa Eastman : Les 20 essentiels de la mémoire et longévité en action.


Pendant 4 jours, vous vivrez l’expérience complète, dans un environnement apaisant, naturel, inspirant.

🌿 Vous mangerez une cuisine tonique,

🧖 Vous vous détendrez dans les bains et les sentiers,

🧠 Et vous ancrerez, dans la douceur, les changements que vous souhaitez vivre.


Parce que oui : Comprendre, c’est bien. Mais le vivre, c’est encore mieux.


--------------------


Si vous souhaitez stimuler votre mémoire et gagner 20 ans de vie de qualité, réservez une rencontre avec mon équipe ou moi-même au https://www.patriciaspaans.com/rdv, ou via téléphone au 1-833-504-4713 pour planifier votre rendez-vous.ou visioconférence. Nous discuterons ensemble de vos besoins spécifiques et de la manière de mettre en place des changements simples et durables pour soutenir votre mémoire et améliorer votre qualité de vie au quotidien.


Site web : https://www.patriciaspaans.com/

Cliquer ici pour rejoindre : membership de Mémoire et longévité

Facebook : https://www.facebook.com/famillesaine

Instagram : https://www.instagram.com/patricia.spaans/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour tout le monde, bienvenue dans ce Mercredi Mémoire. Alors aujourd'hui, on va parler de changement. Bonjour et bienvenue dans le podcast Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots. Je suis Patricia Spaans, coach en mémoire et longévité. Rejoignez-moi chaque semaine pour découvrir les secrets de la science et de l'alimentation, pouvant vous permettre de vivre en meilleure santé et en longévité. Je partagerai avec vous des conseils pratiques et des entrevues. fascinante avec des experts. Ensemble, nous explorerons les gestes simples et efficaces pour renforcer votre mémoire. Parce que oui, il y a quelque chose à faire pour garder sa mémoire vive et gagner 20 ans de vie de qualité. Oh, changement ! Peut-être que vous grognez, parce que le changement, c'est normal. Ça nous demande un effort à tous et chacun, et c'est normal qu'on ait envie de rester dans des habitudes et des routines. et c'est d'ailleurs pour ça qu'on a des habitudes et des routines. En fait, 80 % de notre vie devrait être habituée et routine pour la simplicité. Mais je dis souvent à mes clients, il n'y a rien qui change si on ne change rien. C'est évident, voyons Patricia, on le sait. Bien oui, on le sait, il n'y a rien qui change si on ne change rien. Mais est-ce qu'on mesure toujours l'ampleur de ces paroles-là ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Les gens me disent, Patricia, on veut manger différemment, on veut gagner 20 ans de vie de qualité, on veut retrouver… notre mémoire, notre cerveau d'avant, ou même mieux. Il y a des clients qui me disent que leur cerveau va mieux que même à l'âge de 20 ans. Ah, mais là, Patricia, cet ingrédient-là, je ne le connais pas, je ne veux pas l'acheter. Ou ça, je n'ai pas envie d'essayer. Ou ça, c'est compliqué, il va falloir que là, quand je fais l'épicerie, c'est plus compliqué qu'avant. Premièrement, cette période où on élargit notre zone de confort, elle est transitoire. Il y a une journée où, une première fois, si on regarde nos ados, mes ados, quand ils vont Dans l'épicerie, ils cherchent tout. Mon fils, l'autre fois, il cherchait de la viande hachée à l'épicerie. Ça a été con. compliqué. Alors qu'Anki, s'il trouve ça compliqué d'acheter de la viande hachée, c'est facile pour nous. Ça fait des décennies qu'on fait ça. On sait comment. D'ailleurs, il y avait un piège parce qu'il n'y avait plus de viande hachée à l'épicerie. Mais moi, je savais que c'était pas normal. Mais lui, il est tombé sur la première journée du beau temps la semaine dernière où tout le monde a décidé de faire des barbecues. Là, il comprenait pas. Il était confus. Donc, il m'a demandé de l'aider il y a 17 ans pour acheter sa viande hachée. Alors qu'on en a Tout, ce n'est pas besoin, n'est-ce pas ? Il n'y a personne ici qui a besoin d'aide pour acheter sa viande hachée. Mais ça va devenir pareil. Que ce soit les gens qui ont participé au 7 jours, qui me disent, Patricia, je cherche le moringa, l'ashwagandha, dans nos formations de cuisine, des radis, des radis d'aïtons, c'est quoi ça ? Moi, la première, faire un kéfir la première fois, la mère kéfir, trouver les graines mères et ainsi de suite. Oui, ça peut sembler difficile, mais c'est juste la première fois. C'est pour ça qu'un changement étape par étape est guidé, c'est la clé. Si on se met... un petit défi dans la semaine, c'est correct. Un petit défi dans le mois, c'est parfait. Mais quand on en met trop, c'est là que ça devient compliqué. Et savez-vous quoi ? Vous êtes ici pour la mémoire et la longévité. Et notre mémoire, notre cerveau aime ces petits inconforts-là. La neuroplasticité, les connexions entre nos neurones qui font que notre cerveau va nous suivre pour gagner nos 20 ans de vie de qualité, avoir un cerveau performant jusqu'à 100 ans, a besoin de ces petits défis de neuroplasticité-là. Donc, au lieu de le voir comme un « Ah, bien là, je ne veux pas sortir de ma zone de confort » ou « Oui, c'est un changement, je vais garder les ingrédients que je suis habituée, il paraît qu'on rachète 90 ou 95 % des mêmes ingrédients de l'épicerie d'une semaine à l'autre. » Et comment vous voulez que les choses changent si on reprend toujours les mêmes ingrédients ? Et ça, c'est vrai dans toutes les sphères. Si on veut un résultat différent, il faut faire un changement. C'est inévitable, mais on peut le faire dans le plaisir. Et on s'y habitue. C'est de démarrer la roue du changement qui est le défi. Une fois qu'on est dessus, mes clients me le disent, c'est pour ça qu'on a un membership, c'est pour ça que mes accompagnements sont sur une année. C'est stratégique, ça nous permet d'embarquer dans cette roue et de la faire commencer à rouler. Vous le savez, une roue, une fois que ça roule, il y a le momentum, puis après ça, ça roule tout seul, puis c'est facile. Moi, cette roue-là, oui, je l'ai partie il y a plusieurs années, mais maintenant, elle est facile. J'ai toujours des nouveautés. Et d'ailleurs, je l'ai partie il y a plusieurs années. Et moi, c'est la vie qui a fait que j'ai apprivoisé le changement. et que maintenant, j'embrasse le changement. Et je remercie la vie aujourd'hui. C'est comme plein de choses dans la vie. Il y a des événements qui sont des épreuves. Quand on les vit, on trouve ça difficile. Puis après ça, on voit le cadeau, les cadeaux mal emballés, quand on a le recul par la suite. Et moi, ça a été aux primaires. Donc, en quatrième année du primaire, mes parents sont déménagés. Moi, j'avais toujours habité à Pierrefonds avec ma meilleure amie qui était ma voisine, mon école primaire, évidemment. C'est les mêmes amis depuis toujours. On jouait dans la rue dans ce temps-là. donc je connaissais toute la carte. ma mère jouait, parlait avec la voisine, etc. J'étais chez nous. On marchait pas à l'école, on connaissait la brigadière qui nous saluait à chaque midi, qui nous disait si nos amis étaient avant ou après, pour savoir si on pouvait jouer avec eux. Et en quatrième année, mes parents ont décidé de déménager, mais pas juste déménager de quartier, on est partis de Pierrefonds jusqu'à Brossard. Pour un enfant de quatrième année, c'est un univers. Partir de Pierrefonds à Brossard, ma copine, je l'ai revue deux fois dans l'année peut-être, puis c'est parce que mes parents ont voulu me faire plaisir, mais elle ne faisait plus partie de mon quotidien, et on recule. Je ne suis pas aussi vieille que ça, mais je suis quand même un petit peu plus vieille que mes enfants. On recule à l'époque, il n'y avait même pas d'Internet et tout ça, donc il n'y avait pas moyen de garder contact à ce moment-là. C'était peut-être bien, on jouait dans la rue avec les gens qui étaient autour de nous dans notre quotidien. Ceci étant dit, j'ai été déracinée et j'ai eu un gros choc. Ça a été extrêmement difficile pour moi. Les premières années, j'avais très peu d'amis. Ça, c'était au primaire. Je me suis fait quelques amis. Je suis arrivée au secondaire. Il y a une année complète où je pense que je n'ai parlé à personne. ou presque. J'étais complètement perdue. Le changement pour moi était extrêmement difficile. Je me sentais déracinée. Je n'arrêtais pas de pleurer à ma mère que je voulais déménager. Je voulais retourner. D'ailleurs, ma mère m'a déjà avoué qu'elle l'avait regretté après coup. Ils ont vu à quel point j'avais trouvé ça difficile, qu'après coup, ils ont regretté. Ils ont dit qu'on a peut-être trop poussé et qu'on n'a pas pris en compte. J'étais la plus vieille. Ma soeur plus jeune, elle s'est adaptée en première année. Moi, je suis en quatrième année. Elle me l'a dit par la suite. Elle m'a dit, on n'avait jamais réalisé à quel point ça serait dur pour toi. Ça m'a pris un bon trois ans à m'en remettre. Et ce que j'ai fait d'instinct, bon, je suis déménagée. En plus, ils sont déménagés au milieu de l'année scolaire plutôt que d'attendre l'été. Ça aurait été déjà plus facile. Encore là, ma mère m'a dit, avoir su, on aurait quand même refusé l'offre. Elle m'a dit, bon, bref. Puis peut-être que c'était le meilleur cadeau qu'elle ne pouvait pas me faire. Qui sait ? Ce n'est pas du tout pour juger ma mère. c'est juste que je veux dire, voici comment on l'a vécu. Moi, en quatrième année, je vais avoir quoi ? Sept, huit ans à peu près. Bon, la quatrième année a été super difficile. En cinquième, sixième, je me suis fait quelques amis. Secondaire 1, je suis allée dans une école. C'est là que je me suis complètement fermée. Pendant une année, j'ai à peu près parlé à personne. Pendant l'année, parce que là, on passait du primaire au secondaire. Puis là, c'était trop. Mes amis que j'avais réussi à me faire les deux dernières années, j'arrivais au secondaire. Puis là, on était encore un autre changement. Ça a été trop pour moi. Et là, c'est moi qui ai demandé à changer. Donc, j'ai compris à travers ça, à l'époque, que c'était possible de changer les choses. Puis que si la situation était difficile, j'avais compris que j'avais été déracinée, j'avais trouvé ça super difficile, mais en même temps, j'ai vu que c'était possible. Et là, en secondaire 1, j'ai demandé à ma mère de changer d'école et d'aller à Montréal. J'habitais sur la rue de la Brossard, d'aller à Montréal dans une école privée où ma copine de Pierrefort, ma voisine, ma meilleure amie, allait elle aussi. Donc, je pouvais la retrouver à l'école. Et j'ai fait cette école-là pendant deux ans, en secondaire 2 et 3. Et là, j'ai eu une mononucléose. C'était beaucoup de transports. Aujourd'hui, je pense qu'on ne ferait pas ça à des enfants. Donc, j'étais en secondaire 2. Je faisais métro, autobus, etc., etc., dans les transports en commun. Et j'ai fait une mononucléose la deuxième année. J'ai été complètement à terre, les batteries à terre. J'étais plus qu'avant de voyager. Et c'est là que j'ai rencontré d'autres amis. J'ai demandé à ma mère de redéménager, de rechanger. Et là, j'ai pris goût au changement. Ça a été vraiment dur, je vous dis, une année complètement fermée. Je vous raconte cette histoire-là parce que ça a été quelque chose de marquant dans ma vie, qui a été subi au départ, mais après ça que j'ai choisi. Et donc, en secondaire 4 et 5, souvent en secondaire, c'est une période où on dit, on ne veut pas trop bouger les enfants, il y a les amis et tout, puis c'est vrai. J'essaie de faire ça pour mes enfants, mais je comprends ce que ça m'a apporté. Donc, en secondaire 4 et 5, j'ai demandé à ma mère de recharger d'école pour aller à une école plus près de chez moi. Et encore là, j'avais une amie que j'avais rencontrée au ski. Et mes secondaires 4 et 5 ont été mes plus belles années de secondaire. Et donc, j'ai changé d'école trois fois au secondaire, plus deux fois au primaire. Et après ça, j'ai compris que quand on fait un changement, on perd des choses, mais on en gagne toujours également. Et que ce qu'on gagne, on ne le sait pas. Si on reste dans la zone où on est, on sait ce que ça va donner. Ça va continuer à donner ce qu'on a. Et d'aller vers une zone inconnue, évidemment, c'est incertain. On ne le sait pas. sauf que ce qu'on sait, mais on peut faire des découvertes. C'est là que la magie de la vie peut s'opérer. Et cette richesse-là, entre autres au niveau éducatif, a fait que j'ai fait, entre autres, le collège français, où j'ai appris à écrire de façon beaucoup plus poussée, soutenue que ce que j'avais appris dans les autres écoles. Donc, mes professeurs de français m'avaient poussé à aller plus loin. Et quand je suis arrivée à mon autre école, j'avais une avance sur le côté français, mais moins sur les autres matières. Je vous dis ça, pourquoi ? Parce que chaque changement, m'a permis de vivre quelque chose de différent que les autres n'avaient pas vécu et de finir mon secondaire avec une plus grande richesse que mes collègues qui étaient restés au même endroit pendant l'ensemble de leurs études. Et à la fin de mes études, quand je suis arrivée au cégep, j'ai remercié ma mère. À partir de là, ça m'a permis de voir la richesse des changements. Est-ce que j'ai peur ? Est-ce que je suis stressée ? Des fois, oui, mais les plus beaux moments de ma vie ont été ceux où j'ai le courage de changer. Et c'est vraiment partie de cet événement-là qui a été subi. Maintenant, je choisis le changement souvent. C'est devenu facile pour moi. Après l'université, quand j'avais 30 ans... J'ai décidé d'aller vivre en France. Je suis partie avec un sac à dos, un billet à l'essai, et je trouvais que ma vie tournait en rond ici. Donc, j'ai accepté le statu quo. J'ai compris qu'il y a plein d'autres choses qui existent, et on ne sait jamais ce que la vie peut nous rendre. Et je suis déménagée en France. J'ai habité pendant cinq ans en France. Mais de toute façon, on est là. J'ai rencontré le père de mes enfants. Ça a été cinq années extraordinaires. J'ai appris une différente culture. J'ai découvert tellement, tellement de choses. Encore là, ça a été un des plus beaux changements de ma vie. Mais là, ça a été choisi. Est-ce que ça a été difficile ? Oui. Changer de pays, pour ceux qui l'ont vécu, c'est tout un défi. Tout est à changer. Je me rappelle une journée, j'étais sur les Champs-Élysées à Paris avec 14 millions de personnes autour de moi et je ne connaissais pas une seule personne. Ça, c'était au début. Et là, j'ai trouvé ça difficile, évidemment. Puis je me disais 14 millions de personnes et je me sens seule. Je me suis rappelée du primaire, du secondaire, des déménagements que j'ai faits, comment on se sent seule quand on change. Au final, je m'étais fait plein d'amis que j'ai gardés à travers chacun des écoles. J'avais plus d'amis que ceux qui étaient toujours restés à la même école. Je suis restée avec ça et finalement, j'ai rencontré plein de gens en France. Ça a été des années extraordinaires, des souvenirs qui vont rester gravés dans ma mémoire pour toujours et que je suis très contente. La vie, c'est ça. Quand on enseigne différentes choses, changer des aliments, on a une relation très émotionnelle avec les aliments. Les aliments, ça nous rassure des recettes, ça nous rassure des choses que notre mère nous faisait, etc. C'est réconfortant, c'est le fun de changer. Ça nous élargit notre zone de confort, faire des nouveaux exercices. Travailler la neuroplasticité, c'est ça la base. C'est de faire des nouvelles connexions, c'est de changer d'environnement, c'est changer quelque chose à tous les jours. C'est ce que j'enseignais d'ailleurs aux jeunes en notre membership la semaine dernière. comment travailler la neuroplasticité. C'est fondamental de sortir de nos habitudes, nos routines pour travailler, stimuler notre cerveau, notre mémoire. En tout cas, moi, mon cerveau était bien stimulé. Et de regarder le changement comme de voir le cadeau qu'il peut nous offrir. Est-ce que ça veut dire que c'est facile ? Non. Est-ce que ça veut dire qu'on saute toujours de joie puis on a envie ? Non. Mais des fois, il faut foncer sans trop y penser et après ça, il faut aussi, selon moi, regardez les cadeaux que ça nous apporte. Parce que chaque changement nous apporte des cadeaux extraordinaires. Alors, je vous invite à regarder tous les défis, les changements et de voir dans votre vie. Puis écrivez-nous dans les commentaires, c'est où les endroits où il y a peut-être une petite hésitation à faire un changement. Puis encore là, je vous le dis, c'est normal. On est programmé comme ça, les êtres humains. C'est comme ça qu'on apprend en fait. C'est en continuant sur le même chemin. Mais... pour parfois élargir notre zone de confort. Ça peut être extraordinaire. Depuis ce temps-là, moi, j'ai vraiment adopté un mode de vie de changement. D'ailleurs, quand on me demande c'était quoi ton adresse quand je veux réactiver quelque chose dans le compte ou quelque chose, puis il va savoir à quelle adresse j'habitais à ce moment-là. Maintenant, ça devient très difficile pour moi. J'ai tellement déménagé souvent, j'ai tellement changé souvent. Mais ça devient une habitude, un mode de vie et on peut l'embrasser. Évidemment, comment ça sert ma mémoire, la longévité, notre vitalité, notre énergie, nos choix. C'est que maintenant, les changements, ça m'anime, ça m'illumine. Et dans nos fameuses rencontres de 15 minutes que je fais avec vous, avec les clients, c'est exactement cette réflexion-là qu'on a ensemble. Quel est le changement ? C'est quoi la prochaine meilleure étape ? C'est quoi le prochain meilleur changement pour vous ? Une étape à la fois. On fait des choix, on ne subit pas, on choisit. Et on choisit de sortir un petit peu. d'agrandir notre zone de confort. Et plus on l'agrandit, plus on a une zone grande de confort. C'est génial. Alors partagez-nous les événements marquants sous la vidéo, dans les commentaires. Partagez-nous, envoyez-nous un courriel pour nous dire quels sont les événements qui ont peut-être eu un effet comme moi. C'est quoi les changements que vous avez vus à l'époque comme difficiles et que finalement vous avez vu que ça vous a apporté, que vous dites « ça a été le plus bel événement de ma vie » ou le cadeau mal emballé parfois. Ça peut être des événements tristes. mais avec lequel on a réussi à amener un changement. Et qu'est-ce que ça veut dire pour vous ? Et ce changement-là... être guidé, accompagné dans le processus. Évidemment, on est là pour vous accompagner dans le processus, dans les rencontres 15 minutes. C'est ce qu'on fait avec vous pour voir c'est quoi la meilleure prochaine étape pour vous. Donc, c'est le meilleur prochain changement pour vous. Et d'ailleurs, j'ai une invitation spéciale. Vous le savez, Stéphane et moi, on anime une retraite du 8 au 11 juin prochain. Il y a déjà plusieurs inscrits. Il reste encore quelques places. Les places sont limitées. mais c'est un événement qui va être extraordinaire. Pourquoi ? Parce qu'on parle de changement. Évidemment, dans les memberships, les accompagnements, on est rendu à 160 personnes dans notre groupe qui choisissent le changement à mémoire, longévité. Et c'est génial et les résultats sont extraordinaires. Les clients me disent constamment, Patricia, ma mémoire va mieux qu'elle n'a jamais été. Mon cerveau est sorti du brouillard. J'ai confiance en mon futur. Je sens que je fais tout ce qui est possible pour profiter de chaque instant pour vieillir en santé, pour profiter de chaque moment. moment. Mais là, on a ajouté une retraite à la liste et je vais vous mettre dans les commentaires, dans la discussion, le lien pour réserver directement avec le Spaceman. Et pourquoi on a rajouté une retraite ? Parce que là, c'est des vacances qui nous font du bien. Donc, on initie le changement en vacances, au spa, avec une chambre extraordinaire, avec de la nourriture tonique, qui est non seulement superbe au goût, mais qui répond à tous les critères de ce que je vous enseigne depuis des années. On le vit pendant quatre jours, on vit un changement dans la douceur, dans le plaisir, c'est des vacances. On a accès au spa, au bain, à la nature, au sentier de marche. Il y a des chaises longues, une piscine, un feu, la connexion avec les autres participants de la retraite. Il y a des gens qui vont être là que je n'ai jamais vus en vrai, que j'ai participé avec des Zoom. Il y a des gens qui sont là, qui suivent nos formations depuis trois ans et qui vont être présents et qu'on va se voir en premier avec le contact humain. Et j'ai plusieurs clients qui m'ont dit... « Patricia, moi, je vais aller au SPA Eastman parce que je veux entamer un changement et je vais le lancer avec la retraite. » Et c'est pour ça qu'on a créé cette retraite-là et on a d'autres projets qui s'en viennent. On va vous les annoncer dans quelques semaines, quelques mois. On a plein d'autres projets. Parce que la magie de faire un changement, on n'est pas obligé de faire ça à la dure subie comme je l'ai vécu quand j'étais adolescente. On peut le choisir et on le choisit au bon moment pour avoir le meilleur impact et dans la douceur. Donc, on va au SPA, on se fait dorloter, On vit des vacances qui nous font du bien. On se sent mieux. Notre cerveau sort du brouillard. On mange des choses extraordinaires. On va développer ensemble une routine quotidienne que vous allez pouvoir maintenir par la suite. Et là, on peut suivre les changements semaine après semaine, une étape à la fois par la suite en virtuel. Mais on va l'avoir vécu en vrai. Et ça, ça vaut de l'or. Vraiment, ça va faire toute une différence. Ça fait longtemps que vous me suivez et que vous dites, justement, j'essaie, j'embarque, je vais changer ou pas. Il y en a qui j'ai parlé ou qui disent, Patricia, ça fait longtemps que je te suis, mais je n'ai pas encore eu le déclic, pour vraiment mettre en action quatre jours de vacances, des vacances qui font du bien. Vous allez avoir du plaisir, vous allez bien manger, on va connecter, on va apprendre des choses. Vous êtes libre de votre horaire. On a même rajouté plus de moments que vous puissiez vraiment profiter du site parce que la clé de la mémoire de la longévité, c'est de profiter du site. Alors, sans le savoir, mes parents m'ont fait un cadeau extraordinaire, même si ma mère s'est sentie coupée. coupable après coup de m'avoir déracinée en milieu d'année, en quatrième année, elle m'a fait le cadeau du changement. Le cadeau de voir qu'il y a toujours autre chose de possible. Si ce que je vis en ce moment, ce n'est pas à la hauteur de ce que je veux, je peux toujours vivre autre chose. Je peux toujours choisir autre chose. Il y aura de l'inconnu. Peut-être que ça va prendre deux ou trois changements avant d'y arriver. Mais tout devient possible et il y a un monde d'opportunités. Et ça, c'est la clé pour moi de tout ce que je fais dans ma vie. entre autres et bien spécifiquement de ce que je fais pour entretenir ma mémoire, ma longévité, pour m'assurer de bien profiter. Mon objectif à moi, c'est d'avoir un cerveau performant jusqu'à 100 ans et d'être en forme, en santé, avec de la vitalité jusqu'à 100 ans. Et c'est ce mindset-là, cette façon de vivre, d'embrasser le changement que j'ai subi plus jeune avec un cadeau m'en l'emballer et qu'aujourd'hui, je l'embrasse à tous les jours et que je vous enseigne et que je vous accompagne pour que ça devienne plus facile pour tous et on puisse le vivre ensemble. Je vous remercie. ma mère, qui sans le savoir, m'a offert ce cadeau, m'a l'emballé, que je vous transmets. Alors, n'oubliez pas de vous inscrire pour la retraite au SPA Eastman. Si vous avez des questions, vous pouvez nous contacter. Vous pouvez évidemment contacter directement le SPA. Les inscriptions se font avec le SPA directement et on va vivre un moment extraordinaire. Tout est calqué sur le mode de vie des grands centenaires. Rappelez-vous, les grands centenaires, ils vivent en communauté, ils mangent bien, ils cuisinent, c'est ce que nous présente le SPA. Stéphane va nous enseigner au niveau de la cuisine. Moi, je vais vous montrer cet art de vivre-là. Qu'est-ce que ces grands centenaires font et comment on peut l'intégrer ? Parce que non seulement ils vivent longtemps, mais ils n'ont à peu près pas de cas de perte de mémoire ni de démence. Alors, on veut tous ça. Alors, sur ce, c'est un grand plaisir, comme toujours, de parler avec vous aujourd'hui. On se retrouve la semaine prochaine dans un prochain Mercredi Mémoire. Et savez-vous que le Mercredi Mémoire est maintenant disponible en podcast ? Vous pouvez aller nous écouter, vous abonner à nos podcasts sur les plateformes Spotify, Apple et ainsi de suite. Et réservez votre place au Spa Eastman. Attendez pas qu'il soit trop tard parce qu'il y a 30 places et après c'est terminé. Ça ira un autre événement éventuellement. Au mois de juin, il fait beau, c'est le fun, on va s'amuser, les vacances font du bien, on a tous besoin de ça. Alors sur ce, merci tout le monde !

Description

Et si le changement devenait votre allié ? 🔄✨


Le changement peut faire peur, surtout quand il s'impose à nous… Mais et si, au lieu de le subir, on apprenait à l’accueillir ? 🌱


Dans cet épisode, je vous partage mon propre parcours et comment j’ai transformé le changement en un véritable levier pour la mémoire et la longévité. Et si tout commençait par 1 % de plus chaque jour ?

🎥 Écoutez l'épisode et découvrez comment faire du changement un allié au quotidien.


📅 Réservez une courte rencontre gratuite ici : https://www.patriciaspaans.com/rdv



🍃 Une invitation à vivre le changement… pour vrai


Du 8 au 11 juin, j’animerai, avec Stéphane Triballi, notre toute première retraite au Spa Eastman : Les 20 essentiels de la mémoire et longévité en action.


Pendant 4 jours, vous vivrez l’expérience complète, dans un environnement apaisant, naturel, inspirant.

🌿 Vous mangerez une cuisine tonique,

🧖 Vous vous détendrez dans les bains et les sentiers,

🧠 Et vous ancrerez, dans la douceur, les changements que vous souhaitez vivre.


Parce que oui : Comprendre, c’est bien. Mais le vivre, c’est encore mieux.


--------------------


Si vous souhaitez stimuler votre mémoire et gagner 20 ans de vie de qualité, réservez une rencontre avec mon équipe ou moi-même au https://www.patriciaspaans.com/rdv, ou via téléphone au 1-833-504-4713 pour planifier votre rendez-vous.ou visioconférence. Nous discuterons ensemble de vos besoins spécifiques et de la manière de mettre en place des changements simples et durables pour soutenir votre mémoire et améliorer votre qualité de vie au quotidien.


Site web : https://www.patriciaspaans.com/

Cliquer ici pour rejoindre : membership de Mémoire et longévité

Facebook : https://www.facebook.com/famillesaine

Instagram : https://www.instagram.com/patricia.spaans/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour tout le monde, bienvenue dans ce Mercredi Mémoire. Alors aujourd'hui, on va parler de changement. Bonjour et bienvenue dans le podcast Stimulez votre mémoire et arrêtez de chercher vos mots. Je suis Patricia Spaans, coach en mémoire et longévité. Rejoignez-moi chaque semaine pour découvrir les secrets de la science et de l'alimentation, pouvant vous permettre de vivre en meilleure santé et en longévité. Je partagerai avec vous des conseils pratiques et des entrevues. fascinante avec des experts. Ensemble, nous explorerons les gestes simples et efficaces pour renforcer votre mémoire. Parce que oui, il y a quelque chose à faire pour garder sa mémoire vive et gagner 20 ans de vie de qualité. Oh, changement ! Peut-être que vous grognez, parce que le changement, c'est normal. Ça nous demande un effort à tous et chacun, et c'est normal qu'on ait envie de rester dans des habitudes et des routines. et c'est d'ailleurs pour ça qu'on a des habitudes et des routines. En fait, 80 % de notre vie devrait être habituée et routine pour la simplicité. Mais je dis souvent à mes clients, il n'y a rien qui change si on ne change rien. C'est évident, voyons Patricia, on le sait. Bien oui, on le sait, il n'y a rien qui change si on ne change rien. Mais est-ce qu'on mesure toujours l'ampleur de ces paroles-là ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Les gens me disent, Patricia, on veut manger différemment, on veut gagner 20 ans de vie de qualité, on veut retrouver… notre mémoire, notre cerveau d'avant, ou même mieux. Il y a des clients qui me disent que leur cerveau va mieux que même à l'âge de 20 ans. Ah, mais là, Patricia, cet ingrédient-là, je ne le connais pas, je ne veux pas l'acheter. Ou ça, je n'ai pas envie d'essayer. Ou ça, c'est compliqué, il va falloir que là, quand je fais l'épicerie, c'est plus compliqué qu'avant. Premièrement, cette période où on élargit notre zone de confort, elle est transitoire. Il y a une journée où, une première fois, si on regarde nos ados, mes ados, quand ils vont Dans l'épicerie, ils cherchent tout. Mon fils, l'autre fois, il cherchait de la viande hachée à l'épicerie. Ça a été con. compliqué. Alors qu'Anki, s'il trouve ça compliqué d'acheter de la viande hachée, c'est facile pour nous. Ça fait des décennies qu'on fait ça. On sait comment. D'ailleurs, il y avait un piège parce qu'il n'y avait plus de viande hachée à l'épicerie. Mais moi, je savais que c'était pas normal. Mais lui, il est tombé sur la première journée du beau temps la semaine dernière où tout le monde a décidé de faire des barbecues. Là, il comprenait pas. Il était confus. Donc, il m'a demandé de l'aider il y a 17 ans pour acheter sa viande hachée. Alors qu'on en a Tout, ce n'est pas besoin, n'est-ce pas ? Il n'y a personne ici qui a besoin d'aide pour acheter sa viande hachée. Mais ça va devenir pareil. Que ce soit les gens qui ont participé au 7 jours, qui me disent, Patricia, je cherche le moringa, l'ashwagandha, dans nos formations de cuisine, des radis, des radis d'aïtons, c'est quoi ça ? Moi, la première, faire un kéfir la première fois, la mère kéfir, trouver les graines mères et ainsi de suite. Oui, ça peut sembler difficile, mais c'est juste la première fois. C'est pour ça qu'un changement étape par étape est guidé, c'est la clé. Si on se met... un petit défi dans la semaine, c'est correct. Un petit défi dans le mois, c'est parfait. Mais quand on en met trop, c'est là que ça devient compliqué. Et savez-vous quoi ? Vous êtes ici pour la mémoire et la longévité. Et notre mémoire, notre cerveau aime ces petits inconforts-là. La neuroplasticité, les connexions entre nos neurones qui font que notre cerveau va nous suivre pour gagner nos 20 ans de vie de qualité, avoir un cerveau performant jusqu'à 100 ans, a besoin de ces petits défis de neuroplasticité-là. Donc, au lieu de le voir comme un « Ah, bien là, je ne veux pas sortir de ma zone de confort » ou « Oui, c'est un changement, je vais garder les ingrédients que je suis habituée, il paraît qu'on rachète 90 ou 95 % des mêmes ingrédients de l'épicerie d'une semaine à l'autre. » Et comment vous voulez que les choses changent si on reprend toujours les mêmes ingrédients ? Et ça, c'est vrai dans toutes les sphères. Si on veut un résultat différent, il faut faire un changement. C'est inévitable, mais on peut le faire dans le plaisir. Et on s'y habitue. C'est de démarrer la roue du changement qui est le défi. Une fois qu'on est dessus, mes clients me le disent, c'est pour ça qu'on a un membership, c'est pour ça que mes accompagnements sont sur une année. C'est stratégique, ça nous permet d'embarquer dans cette roue et de la faire commencer à rouler. Vous le savez, une roue, une fois que ça roule, il y a le momentum, puis après ça, ça roule tout seul, puis c'est facile. Moi, cette roue-là, oui, je l'ai partie il y a plusieurs années, mais maintenant, elle est facile. J'ai toujours des nouveautés. Et d'ailleurs, je l'ai partie il y a plusieurs années. Et moi, c'est la vie qui a fait que j'ai apprivoisé le changement. et que maintenant, j'embrasse le changement. Et je remercie la vie aujourd'hui. C'est comme plein de choses dans la vie. Il y a des événements qui sont des épreuves. Quand on les vit, on trouve ça difficile. Puis après ça, on voit le cadeau, les cadeaux mal emballés, quand on a le recul par la suite. Et moi, ça a été aux primaires. Donc, en quatrième année du primaire, mes parents sont déménagés. Moi, j'avais toujours habité à Pierrefonds avec ma meilleure amie qui était ma voisine, mon école primaire, évidemment. C'est les mêmes amis depuis toujours. On jouait dans la rue dans ce temps-là. donc je connaissais toute la carte. ma mère jouait, parlait avec la voisine, etc. J'étais chez nous. On marchait pas à l'école, on connaissait la brigadière qui nous saluait à chaque midi, qui nous disait si nos amis étaient avant ou après, pour savoir si on pouvait jouer avec eux. Et en quatrième année, mes parents ont décidé de déménager, mais pas juste déménager de quartier, on est partis de Pierrefonds jusqu'à Brossard. Pour un enfant de quatrième année, c'est un univers. Partir de Pierrefonds à Brossard, ma copine, je l'ai revue deux fois dans l'année peut-être, puis c'est parce que mes parents ont voulu me faire plaisir, mais elle ne faisait plus partie de mon quotidien, et on recule. Je ne suis pas aussi vieille que ça, mais je suis quand même un petit peu plus vieille que mes enfants. On recule à l'époque, il n'y avait même pas d'Internet et tout ça, donc il n'y avait pas moyen de garder contact à ce moment-là. C'était peut-être bien, on jouait dans la rue avec les gens qui étaient autour de nous dans notre quotidien. Ceci étant dit, j'ai été déracinée et j'ai eu un gros choc. Ça a été extrêmement difficile pour moi. Les premières années, j'avais très peu d'amis. Ça, c'était au primaire. Je me suis fait quelques amis. Je suis arrivée au secondaire. Il y a une année complète où je pense que je n'ai parlé à personne. ou presque. J'étais complètement perdue. Le changement pour moi était extrêmement difficile. Je me sentais déracinée. Je n'arrêtais pas de pleurer à ma mère que je voulais déménager. Je voulais retourner. D'ailleurs, ma mère m'a déjà avoué qu'elle l'avait regretté après coup. Ils ont vu à quel point j'avais trouvé ça difficile, qu'après coup, ils ont regretté. Ils ont dit qu'on a peut-être trop poussé et qu'on n'a pas pris en compte. J'étais la plus vieille. Ma soeur plus jeune, elle s'est adaptée en première année. Moi, je suis en quatrième année. Elle me l'a dit par la suite. Elle m'a dit, on n'avait jamais réalisé à quel point ça serait dur pour toi. Ça m'a pris un bon trois ans à m'en remettre. Et ce que j'ai fait d'instinct, bon, je suis déménagée. En plus, ils sont déménagés au milieu de l'année scolaire plutôt que d'attendre l'été. Ça aurait été déjà plus facile. Encore là, ma mère m'a dit, avoir su, on aurait quand même refusé l'offre. Elle m'a dit, bon, bref. Puis peut-être que c'était le meilleur cadeau qu'elle ne pouvait pas me faire. Qui sait ? Ce n'est pas du tout pour juger ma mère. c'est juste que je veux dire, voici comment on l'a vécu. Moi, en quatrième année, je vais avoir quoi ? Sept, huit ans à peu près. Bon, la quatrième année a été super difficile. En cinquième, sixième, je me suis fait quelques amis. Secondaire 1, je suis allée dans une école. C'est là que je me suis complètement fermée. Pendant une année, j'ai à peu près parlé à personne. Pendant l'année, parce que là, on passait du primaire au secondaire. Puis là, c'était trop. Mes amis que j'avais réussi à me faire les deux dernières années, j'arrivais au secondaire. Puis là, on était encore un autre changement. Ça a été trop pour moi. Et là, c'est moi qui ai demandé à changer. Donc, j'ai compris à travers ça, à l'époque, que c'était possible de changer les choses. Puis que si la situation était difficile, j'avais compris que j'avais été déracinée, j'avais trouvé ça super difficile, mais en même temps, j'ai vu que c'était possible. Et là, en secondaire 1, j'ai demandé à ma mère de changer d'école et d'aller à Montréal. J'habitais sur la rue de la Brossard, d'aller à Montréal dans une école privée où ma copine de Pierrefort, ma voisine, ma meilleure amie, allait elle aussi. Donc, je pouvais la retrouver à l'école. Et j'ai fait cette école-là pendant deux ans, en secondaire 2 et 3. Et là, j'ai eu une mononucléose. C'était beaucoup de transports. Aujourd'hui, je pense qu'on ne ferait pas ça à des enfants. Donc, j'étais en secondaire 2. Je faisais métro, autobus, etc., etc., dans les transports en commun. Et j'ai fait une mononucléose la deuxième année. J'ai été complètement à terre, les batteries à terre. J'étais plus qu'avant de voyager. Et c'est là que j'ai rencontré d'autres amis. J'ai demandé à ma mère de redéménager, de rechanger. Et là, j'ai pris goût au changement. Ça a été vraiment dur, je vous dis, une année complètement fermée. Je vous raconte cette histoire-là parce que ça a été quelque chose de marquant dans ma vie, qui a été subi au départ, mais après ça que j'ai choisi. Et donc, en secondaire 4 et 5, souvent en secondaire, c'est une période où on dit, on ne veut pas trop bouger les enfants, il y a les amis et tout, puis c'est vrai. J'essaie de faire ça pour mes enfants, mais je comprends ce que ça m'a apporté. Donc, en secondaire 4 et 5, j'ai demandé à ma mère de recharger d'école pour aller à une école plus près de chez moi. Et encore là, j'avais une amie que j'avais rencontrée au ski. Et mes secondaires 4 et 5 ont été mes plus belles années de secondaire. Et donc, j'ai changé d'école trois fois au secondaire, plus deux fois au primaire. Et après ça, j'ai compris que quand on fait un changement, on perd des choses, mais on en gagne toujours également. Et que ce qu'on gagne, on ne le sait pas. Si on reste dans la zone où on est, on sait ce que ça va donner. Ça va continuer à donner ce qu'on a. Et d'aller vers une zone inconnue, évidemment, c'est incertain. On ne le sait pas. sauf que ce qu'on sait, mais on peut faire des découvertes. C'est là que la magie de la vie peut s'opérer. Et cette richesse-là, entre autres au niveau éducatif, a fait que j'ai fait, entre autres, le collège français, où j'ai appris à écrire de façon beaucoup plus poussée, soutenue que ce que j'avais appris dans les autres écoles. Donc, mes professeurs de français m'avaient poussé à aller plus loin. Et quand je suis arrivée à mon autre école, j'avais une avance sur le côté français, mais moins sur les autres matières. Je vous dis ça, pourquoi ? Parce que chaque changement, m'a permis de vivre quelque chose de différent que les autres n'avaient pas vécu et de finir mon secondaire avec une plus grande richesse que mes collègues qui étaient restés au même endroit pendant l'ensemble de leurs études. Et à la fin de mes études, quand je suis arrivée au cégep, j'ai remercié ma mère. À partir de là, ça m'a permis de voir la richesse des changements. Est-ce que j'ai peur ? Est-ce que je suis stressée ? Des fois, oui, mais les plus beaux moments de ma vie ont été ceux où j'ai le courage de changer. Et c'est vraiment partie de cet événement-là qui a été subi. Maintenant, je choisis le changement souvent. C'est devenu facile pour moi. Après l'université, quand j'avais 30 ans... J'ai décidé d'aller vivre en France. Je suis partie avec un sac à dos, un billet à l'essai, et je trouvais que ma vie tournait en rond ici. Donc, j'ai accepté le statu quo. J'ai compris qu'il y a plein d'autres choses qui existent, et on ne sait jamais ce que la vie peut nous rendre. Et je suis déménagée en France. J'ai habité pendant cinq ans en France. Mais de toute façon, on est là. J'ai rencontré le père de mes enfants. Ça a été cinq années extraordinaires. J'ai appris une différente culture. J'ai découvert tellement, tellement de choses. Encore là, ça a été un des plus beaux changements de ma vie. Mais là, ça a été choisi. Est-ce que ça a été difficile ? Oui. Changer de pays, pour ceux qui l'ont vécu, c'est tout un défi. Tout est à changer. Je me rappelle une journée, j'étais sur les Champs-Élysées à Paris avec 14 millions de personnes autour de moi et je ne connaissais pas une seule personne. Ça, c'était au début. Et là, j'ai trouvé ça difficile, évidemment. Puis je me disais 14 millions de personnes et je me sens seule. Je me suis rappelée du primaire, du secondaire, des déménagements que j'ai faits, comment on se sent seule quand on change. Au final, je m'étais fait plein d'amis que j'ai gardés à travers chacun des écoles. J'avais plus d'amis que ceux qui étaient toujours restés à la même école. Je suis restée avec ça et finalement, j'ai rencontré plein de gens en France. Ça a été des années extraordinaires, des souvenirs qui vont rester gravés dans ma mémoire pour toujours et que je suis très contente. La vie, c'est ça. Quand on enseigne différentes choses, changer des aliments, on a une relation très émotionnelle avec les aliments. Les aliments, ça nous rassure des recettes, ça nous rassure des choses que notre mère nous faisait, etc. C'est réconfortant, c'est le fun de changer. Ça nous élargit notre zone de confort, faire des nouveaux exercices. Travailler la neuroplasticité, c'est ça la base. C'est de faire des nouvelles connexions, c'est de changer d'environnement, c'est changer quelque chose à tous les jours. C'est ce que j'enseignais d'ailleurs aux jeunes en notre membership la semaine dernière. comment travailler la neuroplasticité. C'est fondamental de sortir de nos habitudes, nos routines pour travailler, stimuler notre cerveau, notre mémoire. En tout cas, moi, mon cerveau était bien stimulé. Et de regarder le changement comme de voir le cadeau qu'il peut nous offrir. Est-ce que ça veut dire que c'est facile ? Non. Est-ce que ça veut dire qu'on saute toujours de joie puis on a envie ? Non. Mais des fois, il faut foncer sans trop y penser et après ça, il faut aussi, selon moi, regardez les cadeaux que ça nous apporte. Parce que chaque changement nous apporte des cadeaux extraordinaires. Alors, je vous invite à regarder tous les défis, les changements et de voir dans votre vie. Puis écrivez-nous dans les commentaires, c'est où les endroits où il y a peut-être une petite hésitation à faire un changement. Puis encore là, je vous le dis, c'est normal. On est programmé comme ça, les êtres humains. C'est comme ça qu'on apprend en fait. C'est en continuant sur le même chemin. Mais... pour parfois élargir notre zone de confort. Ça peut être extraordinaire. Depuis ce temps-là, moi, j'ai vraiment adopté un mode de vie de changement. D'ailleurs, quand on me demande c'était quoi ton adresse quand je veux réactiver quelque chose dans le compte ou quelque chose, puis il va savoir à quelle adresse j'habitais à ce moment-là. Maintenant, ça devient très difficile pour moi. J'ai tellement déménagé souvent, j'ai tellement changé souvent. Mais ça devient une habitude, un mode de vie et on peut l'embrasser. Évidemment, comment ça sert ma mémoire, la longévité, notre vitalité, notre énergie, nos choix. C'est que maintenant, les changements, ça m'anime, ça m'illumine. Et dans nos fameuses rencontres de 15 minutes que je fais avec vous, avec les clients, c'est exactement cette réflexion-là qu'on a ensemble. Quel est le changement ? C'est quoi la prochaine meilleure étape ? C'est quoi le prochain meilleur changement pour vous ? Une étape à la fois. On fait des choix, on ne subit pas, on choisit. Et on choisit de sortir un petit peu. d'agrandir notre zone de confort. Et plus on l'agrandit, plus on a une zone grande de confort. C'est génial. Alors partagez-nous les événements marquants sous la vidéo, dans les commentaires. Partagez-nous, envoyez-nous un courriel pour nous dire quels sont les événements qui ont peut-être eu un effet comme moi. C'est quoi les changements que vous avez vus à l'époque comme difficiles et que finalement vous avez vu que ça vous a apporté, que vous dites « ça a été le plus bel événement de ma vie » ou le cadeau mal emballé parfois. Ça peut être des événements tristes. mais avec lequel on a réussi à amener un changement. Et qu'est-ce que ça veut dire pour vous ? Et ce changement-là... être guidé, accompagné dans le processus. Évidemment, on est là pour vous accompagner dans le processus, dans les rencontres 15 minutes. C'est ce qu'on fait avec vous pour voir c'est quoi la meilleure prochaine étape pour vous. Donc, c'est le meilleur prochain changement pour vous. Et d'ailleurs, j'ai une invitation spéciale. Vous le savez, Stéphane et moi, on anime une retraite du 8 au 11 juin prochain. Il y a déjà plusieurs inscrits. Il reste encore quelques places. Les places sont limitées. mais c'est un événement qui va être extraordinaire. Pourquoi ? Parce qu'on parle de changement. Évidemment, dans les memberships, les accompagnements, on est rendu à 160 personnes dans notre groupe qui choisissent le changement à mémoire, longévité. Et c'est génial et les résultats sont extraordinaires. Les clients me disent constamment, Patricia, ma mémoire va mieux qu'elle n'a jamais été. Mon cerveau est sorti du brouillard. J'ai confiance en mon futur. Je sens que je fais tout ce qui est possible pour profiter de chaque instant pour vieillir en santé, pour profiter de chaque moment. moment. Mais là, on a ajouté une retraite à la liste et je vais vous mettre dans les commentaires, dans la discussion, le lien pour réserver directement avec le Spaceman. Et pourquoi on a rajouté une retraite ? Parce que là, c'est des vacances qui nous font du bien. Donc, on initie le changement en vacances, au spa, avec une chambre extraordinaire, avec de la nourriture tonique, qui est non seulement superbe au goût, mais qui répond à tous les critères de ce que je vous enseigne depuis des années. On le vit pendant quatre jours, on vit un changement dans la douceur, dans le plaisir, c'est des vacances. On a accès au spa, au bain, à la nature, au sentier de marche. Il y a des chaises longues, une piscine, un feu, la connexion avec les autres participants de la retraite. Il y a des gens qui vont être là que je n'ai jamais vus en vrai, que j'ai participé avec des Zoom. Il y a des gens qui sont là, qui suivent nos formations depuis trois ans et qui vont être présents et qu'on va se voir en premier avec le contact humain. Et j'ai plusieurs clients qui m'ont dit... « Patricia, moi, je vais aller au SPA Eastman parce que je veux entamer un changement et je vais le lancer avec la retraite. » Et c'est pour ça qu'on a créé cette retraite-là et on a d'autres projets qui s'en viennent. On va vous les annoncer dans quelques semaines, quelques mois. On a plein d'autres projets. Parce que la magie de faire un changement, on n'est pas obligé de faire ça à la dure subie comme je l'ai vécu quand j'étais adolescente. On peut le choisir et on le choisit au bon moment pour avoir le meilleur impact et dans la douceur. Donc, on va au SPA, on se fait dorloter, On vit des vacances qui nous font du bien. On se sent mieux. Notre cerveau sort du brouillard. On mange des choses extraordinaires. On va développer ensemble une routine quotidienne que vous allez pouvoir maintenir par la suite. Et là, on peut suivre les changements semaine après semaine, une étape à la fois par la suite en virtuel. Mais on va l'avoir vécu en vrai. Et ça, ça vaut de l'or. Vraiment, ça va faire toute une différence. Ça fait longtemps que vous me suivez et que vous dites, justement, j'essaie, j'embarque, je vais changer ou pas. Il y en a qui j'ai parlé ou qui disent, Patricia, ça fait longtemps que je te suis, mais je n'ai pas encore eu le déclic, pour vraiment mettre en action quatre jours de vacances, des vacances qui font du bien. Vous allez avoir du plaisir, vous allez bien manger, on va connecter, on va apprendre des choses. Vous êtes libre de votre horaire. On a même rajouté plus de moments que vous puissiez vraiment profiter du site parce que la clé de la mémoire de la longévité, c'est de profiter du site. Alors, sans le savoir, mes parents m'ont fait un cadeau extraordinaire, même si ma mère s'est sentie coupée. coupable après coup de m'avoir déracinée en milieu d'année, en quatrième année, elle m'a fait le cadeau du changement. Le cadeau de voir qu'il y a toujours autre chose de possible. Si ce que je vis en ce moment, ce n'est pas à la hauteur de ce que je veux, je peux toujours vivre autre chose. Je peux toujours choisir autre chose. Il y aura de l'inconnu. Peut-être que ça va prendre deux ou trois changements avant d'y arriver. Mais tout devient possible et il y a un monde d'opportunités. Et ça, c'est la clé pour moi de tout ce que je fais dans ma vie. entre autres et bien spécifiquement de ce que je fais pour entretenir ma mémoire, ma longévité, pour m'assurer de bien profiter. Mon objectif à moi, c'est d'avoir un cerveau performant jusqu'à 100 ans et d'être en forme, en santé, avec de la vitalité jusqu'à 100 ans. Et c'est ce mindset-là, cette façon de vivre, d'embrasser le changement que j'ai subi plus jeune avec un cadeau m'en l'emballer et qu'aujourd'hui, je l'embrasse à tous les jours et que je vous enseigne et que je vous accompagne pour que ça devienne plus facile pour tous et on puisse le vivre ensemble. Je vous remercie. ma mère, qui sans le savoir, m'a offert ce cadeau, m'a l'emballé, que je vous transmets. Alors, n'oubliez pas de vous inscrire pour la retraite au SPA Eastman. Si vous avez des questions, vous pouvez nous contacter. Vous pouvez évidemment contacter directement le SPA. Les inscriptions se font avec le SPA directement et on va vivre un moment extraordinaire. Tout est calqué sur le mode de vie des grands centenaires. Rappelez-vous, les grands centenaires, ils vivent en communauté, ils mangent bien, ils cuisinent, c'est ce que nous présente le SPA. Stéphane va nous enseigner au niveau de la cuisine. Moi, je vais vous montrer cet art de vivre-là. Qu'est-ce que ces grands centenaires font et comment on peut l'intégrer ? Parce que non seulement ils vivent longtemps, mais ils n'ont à peu près pas de cas de perte de mémoire ni de démence. Alors, on veut tous ça. Alors, sur ce, c'est un grand plaisir, comme toujours, de parler avec vous aujourd'hui. On se retrouve la semaine prochaine dans un prochain Mercredi Mémoire. Et savez-vous que le Mercredi Mémoire est maintenant disponible en podcast ? Vous pouvez aller nous écouter, vous abonner à nos podcasts sur les plateformes Spotify, Apple et ainsi de suite. Et réservez votre place au Spa Eastman. Attendez pas qu'il soit trop tard parce qu'il y a 30 places et après c'est terminé. Ça ira un autre événement éventuellement. Au mois de juin, il fait beau, c'est le fun, on va s'amuser, les vacances font du bien, on a tous besoin de ça. Alors sur ce, merci tout le monde !

Share

Embed

You may also like