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KAMIL ZIHNIOGLU | « J’ai le droit d’écouter ce qu’il y a au fond de mon cœur et de mon ventre » cover
KAMIL ZIHNIOGLU | « J’ai le droit d’écouter ce qu’il y a au fond de mon cœur et de mon ventre » cover
Vision(s)

KAMIL ZIHNIOGLU | « J’ai le droit d’écouter ce qu’il y a au fond de mon cœur et de mon ventre »

KAMIL ZIHNIOGLU | « J’ai le droit d’écouter ce qu’il y a au fond de mon cœur et de mon ventre »

03min |02/03/2025
Play
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03min |02/03/2025
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Description

Changer d’appareil, de méthode, de regard... Pou Kamil Zihnioglu, la photographie est une quête sans certitude, un voyage entre territoires, émotions et expérimentations. Dans cet épisode, il nous parle de son rapport au matériel, à l’instinct et à l’évolution de son langage visuel.


Voici un extrait du dernier podcast de Vision(s) avec Kamil Zihnioglu, vous pouvez l’écouter sur toutes les plateformes audio et sur notre site visions.photo !


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MPB, la plus grande plateforme en ligne au monde pour acheter, vendre et échanger du matériel photo et vidéo d’occasion.

Bénéficiez de 5% de réduction avec le code MPBPHOTO5 jusqu'au 30 mars 2025 !

L'offre est uniquement valable pour les nouveaux utilisateurs.


Crédits


Un podcast réalisé et écrit par Louis Lepron, produit par Noyau.studio, monté et mixé par Virgile Loiseau et mis en musique par Charlie Janiaut.


Liens  


Instagram - Vision(s)  

Site - Vision(s)



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Une production à L'Oyau Studio.

  • Speaker #1

    Salut, c'est Louis. Vous écoutez Vision, le podcast qui donne vie aux images. Cet épisode a été réalisé en partenariat avec MPB, la plus grande plateforme de matériel photo et vidéo d'occasion.

  • Speaker #0

    Je pense qu'il est important de... de se laisser rêver, je pense. C'est exactement un peu avec Intracha. Je rêvais d'un projet, sans vraiment savoir ce que c'était ce rêve. Je rêvais d'un projet qui finirait peut-être en livre, en exposition, et qui parlerait autant d'un endroit, de ses habitants, d'une terre, mais aussi de mes émotions et de la complexité de tout mélanger. Et je pense que ça, je vais essayer de le continuer. ou pas, mais d'en garder une certaine forme sur d'autres projets, sur d'autres terres, territoires. Au début, je travaillais au 24-36 numérique, par exemple techniquement, mais après, photos de téléphone portables, après j'ai utilisé des caméras de chasse, des images que je n'ai jamais faites, après j'ai utilisé une thermique, après j'ai utilisé un LECA, après j'ai utilisé un moyen format moins fort MSI 7, après moins fort MSI 6, après... Après j'ai utilisé un Olympus, un petit genre de bridge, j'ai tout mélangé, des appareils photojetables, j'ai tout mélangé. Et le fait de changer à chaque fois d'outil, parce que je le vois comme un outil, ça m'a permis aussi de changer un peu ce que je voulais photographiquement et mes intentions photographiques à chaque fois. Tous ces changements d'appareils et même de processus photographiques tout au long de mon projet en Corse. Ça m'a fait grandir d'une certaine manière photographiquement, parce que j'ai compris ce que j'aimais et ce que j'aimais moins. Donc déjà, c'est très important. Mais est-ce que ça me donnerait une certaine stabilité pour les prochains projets ? Personnellement, oui. Mais photographiquement, je ne suis pas sûr. Mais en tout cas, je sais que sur des prochains projets, je sais que je pense que je les photographie avec un type d'appareil photo ou un type. Et je me limiterais à ça. En fait, ça m'a donné des contours, mais jamais, ça ne me donnerait jamais une stabilité. En fait, je ne pense pas que je veux forcément toujours savoir où je vais. J'ai envie de me laisser cette part d'inconnu devant moi pour me dire, en fait, je ne suis pas à l'abri de deux regards. Par contre, là où j'ai beaucoup appris, c'est que j'ai le droit d'écouter ce qu'il y a... Enfin, on a le droit, j'ai le droit d'écouter ce qu'il y a au fond de mon cœur et au fond de mon ventre. Ça, je pense que c'est très important.

  • Speaker #1

    Vous venez d'écouter un extrait du dernier podcast de Vision et vous pouvez le retrouver sur toutes les plateformes de podcast ainsi que sur notre site vision.photo

Description

Changer d’appareil, de méthode, de regard... Pou Kamil Zihnioglu, la photographie est une quête sans certitude, un voyage entre territoires, émotions et expérimentations. Dans cet épisode, il nous parle de son rapport au matériel, à l’instinct et à l’évolution de son langage visuel.


Voici un extrait du dernier podcast de Vision(s) avec Kamil Zihnioglu, vous pouvez l’écouter sur toutes les plateformes audio et sur notre site visions.photo !


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  • Speaker #0

    Une production à L'Oyau Studio.

  • Speaker #1

    Salut, c'est Louis. Vous écoutez Vision, le podcast qui donne vie aux images. Cet épisode a été réalisé en partenariat avec MPB, la plus grande plateforme de matériel photo et vidéo d'occasion.

  • Speaker #0

    Je pense qu'il est important de... de se laisser rêver, je pense. C'est exactement un peu avec Intracha. Je rêvais d'un projet, sans vraiment savoir ce que c'était ce rêve. Je rêvais d'un projet qui finirait peut-être en livre, en exposition, et qui parlerait autant d'un endroit, de ses habitants, d'une terre, mais aussi de mes émotions et de la complexité de tout mélanger. Et je pense que ça, je vais essayer de le continuer. ou pas, mais d'en garder une certaine forme sur d'autres projets, sur d'autres terres, territoires. Au début, je travaillais au 24-36 numérique, par exemple techniquement, mais après, photos de téléphone portables, après j'ai utilisé des caméras de chasse, des images que je n'ai jamais faites, après j'ai utilisé une thermique, après j'ai utilisé un LECA, après j'ai utilisé un moyen format moins fort MSI 7, après moins fort MSI 6, après... Après j'ai utilisé un Olympus, un petit genre de bridge, j'ai tout mélangé, des appareils photojetables, j'ai tout mélangé. Et le fait de changer à chaque fois d'outil, parce que je le vois comme un outil, ça m'a permis aussi de changer un peu ce que je voulais photographiquement et mes intentions photographiques à chaque fois. Tous ces changements d'appareils et même de processus photographiques tout au long de mon projet en Corse. Ça m'a fait grandir d'une certaine manière photographiquement, parce que j'ai compris ce que j'aimais et ce que j'aimais moins. Donc déjà, c'est très important. Mais est-ce que ça me donnerait une certaine stabilité pour les prochains projets ? Personnellement, oui. Mais photographiquement, je ne suis pas sûr. Mais en tout cas, je sais que sur des prochains projets, je sais que je pense que je les photographie avec un type d'appareil photo ou un type. Et je me limiterais à ça. En fait, ça m'a donné des contours, mais jamais, ça ne me donnerait jamais une stabilité. En fait, je ne pense pas que je veux forcément toujours savoir où je vais. J'ai envie de me laisser cette part d'inconnu devant moi pour me dire, en fait, je ne suis pas à l'abri de deux regards. Par contre, là où j'ai beaucoup appris, c'est que j'ai le droit d'écouter ce qu'il y a... Enfin, on a le droit, j'ai le droit d'écouter ce qu'il y a au fond de mon cœur et au fond de mon ventre. Ça, je pense que c'est très important.

  • Speaker #1

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    Je pense qu'il est important de... de se laisser rêver, je pense. C'est exactement un peu avec Intracha. Je rêvais d'un projet, sans vraiment savoir ce que c'était ce rêve. Je rêvais d'un projet qui finirait peut-être en livre, en exposition, et qui parlerait autant d'un endroit, de ses habitants, d'une terre, mais aussi de mes émotions et de la complexité de tout mélanger. Et je pense que ça, je vais essayer de le continuer. ou pas, mais d'en garder une certaine forme sur d'autres projets, sur d'autres terres, territoires. Au début, je travaillais au 24-36 numérique, par exemple techniquement, mais après, photos de téléphone portables, après j'ai utilisé des caméras de chasse, des images que je n'ai jamais faites, après j'ai utilisé une thermique, après j'ai utilisé un LECA, après j'ai utilisé un moyen format moins fort MSI 7, après moins fort MSI 6, après... Après j'ai utilisé un Olympus, un petit genre de bridge, j'ai tout mélangé, des appareils photojetables, j'ai tout mélangé. Et le fait de changer à chaque fois d'outil, parce que je le vois comme un outil, ça m'a permis aussi de changer un peu ce que je voulais photographiquement et mes intentions photographiques à chaque fois. Tous ces changements d'appareils et même de processus photographiques tout au long de mon projet en Corse. Ça m'a fait grandir d'une certaine manière photographiquement, parce que j'ai compris ce que j'aimais et ce que j'aimais moins. Donc déjà, c'est très important. Mais est-ce que ça me donnerait une certaine stabilité pour les prochains projets ? Personnellement, oui. Mais photographiquement, je ne suis pas sûr. Mais en tout cas, je sais que sur des prochains projets, je sais que je pense que je les photographie avec un type d'appareil photo ou un type. Et je me limiterais à ça. En fait, ça m'a donné des contours, mais jamais, ça ne me donnerait jamais une stabilité. En fait, je ne pense pas que je veux forcément toujours savoir où je vais. J'ai envie de me laisser cette part d'inconnu devant moi pour me dire, en fait, je ne suis pas à l'abri de deux regards. Par contre, là où j'ai beaucoup appris, c'est que j'ai le droit d'écouter ce qu'il y a... Enfin, on a le droit, j'ai le droit d'écouter ce qu'il y a au fond de mon cœur et au fond de mon ventre. Ça, je pense que c'est très important.

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Changer d’appareil, de méthode, de regard... Pou Kamil Zihnioglu, la photographie est une quête sans certitude, un voyage entre territoires, émotions et expérimentations. Dans cet épisode, il nous parle de son rapport au matériel, à l’instinct et à l’évolution de son langage visuel.


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  • Speaker #0

    Je pense qu'il est important de... de se laisser rêver, je pense. C'est exactement un peu avec Intracha. Je rêvais d'un projet, sans vraiment savoir ce que c'était ce rêve. Je rêvais d'un projet qui finirait peut-être en livre, en exposition, et qui parlerait autant d'un endroit, de ses habitants, d'une terre, mais aussi de mes émotions et de la complexité de tout mélanger. Et je pense que ça, je vais essayer de le continuer. ou pas, mais d'en garder une certaine forme sur d'autres projets, sur d'autres terres, territoires. Au début, je travaillais au 24-36 numérique, par exemple techniquement, mais après, photos de téléphone portables, après j'ai utilisé des caméras de chasse, des images que je n'ai jamais faites, après j'ai utilisé une thermique, après j'ai utilisé un LECA, après j'ai utilisé un moyen format moins fort MSI 7, après moins fort MSI 6, après... Après j'ai utilisé un Olympus, un petit genre de bridge, j'ai tout mélangé, des appareils photojetables, j'ai tout mélangé. Et le fait de changer à chaque fois d'outil, parce que je le vois comme un outil, ça m'a permis aussi de changer un peu ce que je voulais photographiquement et mes intentions photographiques à chaque fois. Tous ces changements d'appareils et même de processus photographiques tout au long de mon projet en Corse. Ça m'a fait grandir d'une certaine manière photographiquement, parce que j'ai compris ce que j'aimais et ce que j'aimais moins. Donc déjà, c'est très important. Mais est-ce que ça me donnerait une certaine stabilité pour les prochains projets ? Personnellement, oui. Mais photographiquement, je ne suis pas sûr. Mais en tout cas, je sais que sur des prochains projets, je sais que je pense que je les photographie avec un type d'appareil photo ou un type. Et je me limiterais à ça. En fait, ça m'a donné des contours, mais jamais, ça ne me donnerait jamais une stabilité. En fait, je ne pense pas que je veux forcément toujours savoir où je vais. J'ai envie de me laisser cette part d'inconnu devant moi pour me dire, en fait, je ne suis pas à l'abri de deux regards. Par contre, là où j'ai beaucoup appris, c'est que j'ai le droit d'écouter ce qu'il y a... Enfin, on a le droit, j'ai le droit d'écouter ce qu'il y a au fond de mon cœur et au fond de mon ventre. Ça, je pense que c'est très important.

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