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Prendre soin de l'être, le podcast pour cultiver la santé holistique jour après jour

S4E10 - S’abandonner à la Vie : cultiver la grande confiance

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21min |12/12/2024
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21min |12/12/2024
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Description

Pour surfer sa vie, et en amont de toutes les ressources déjà évoquées cette saison, il est un principe qui me semble premier, qui prévaut sur tous les autres : la confiance.

Cette confiance, la grande confiance en la vie, en la vague, la confiance que cette vague pourra nous porter et nous propulser, la confiance qu’elle nous amènera là où il est juste pour nous d’aller, même si on ne sait pas très bien où cela sera, ni comment…


Cette confiance primordiale, cette confiance du tout petit qui n’a d’autre ressource que de s’en remettre aux figures parentales. A une autre échelle, cette confiance primordiale invite à s’en remettre à la Vie, à sa cohérence, à son élan d’évolution ; la vie n’involue pas, elle va vers l’avant, elle s’adapte en interdépendance…


Et la confiance, ça se choisit, et ça se muscle ! Et oui ! Faire confiance est une décision. C’est à la fois simple et pas facile. Simple car il suffit de le choisir ; pas facile car toute notre rhétorique mentale justifie en permanence qu’il est judicieux de ne pas faire confiance, de prévoir, de contrôler, de calculer… Notre puissant cortex est un instrument à résoudre des problèmes et par conséquent il voit des problèmes à résoudre partout ! Quand la confiance se place à un autre niveau qui ne cherche pas de justification, qui n’en a pas besoin, qui peut justement s’ouvrir là où les justifications sont en échec : quand il n’y a pas de raison valable pour… reste la confiance.


Cette confiance qui s’appuie sur la boussole du cœur évoquée lors de l’épisode précédent est à portée de choix. Et il est possible de s’y exercer tous les jours ! A commencer par des situations dans lesquelles il n’y a d’autre enjeu que de voir ce qui se passe si nous choisissons de faire confiance. Un jeu en quelque sorte, qui pourrait bien révéler des possibilités insoupçonnées !


Vos témoignages, partages et commentaires sont précieux et vous pouvez les transmettre ici.


Crédit photo: Freepik


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Pour surfer sa vie, et en amont de toutes les ressources déjà évoquées cette saison, il est un principe qui me semble premier, qui prévaut sur tous les autres : la confiance.

Cette confiance, la grande confiance en la vie, en la vague, la confiance que cette vague pourra nous porter et nous propulser, la confiance qu’elle nous amènera là où il est juste pour nous d’aller, même si on ne sait pas très bien où cela sera, ni comment…


Cette confiance primordiale, cette confiance du tout petit qui n’a d’autre ressource que de s’en remettre aux figures parentales. A une autre échelle, cette confiance primordiale invite à s’en remettre à la Vie, à sa cohérence, à son élan d’évolution ; la vie n’involue pas, elle va vers l’avant, elle s’adapte en interdépendance…


Et la confiance, ça se choisit, et ça se muscle ! Et oui ! Faire confiance est une décision. C’est à la fois simple et pas facile. Simple car il suffit de le choisir ; pas facile car toute notre rhétorique mentale justifie en permanence qu’il est judicieux de ne pas faire confiance, de prévoir, de contrôler, de calculer… Notre puissant cortex est un instrument à résoudre des problèmes et par conséquent il voit des problèmes à résoudre partout ! Quand la confiance se place à un autre niveau qui ne cherche pas de justification, qui n’en a pas besoin, qui peut justement s’ouvrir là où les justifications sont en échec : quand il n’y a pas de raison valable pour… reste la confiance.


Cette confiance qui s’appuie sur la boussole du cœur évoquée lors de l’épisode précédent est à portée de choix. Et il est possible de s’y exercer tous les jours ! A commencer par des situations dans lesquelles il n’y a d’autre enjeu que de voir ce qui se passe si nous choisissons de faire confiance. Un jeu en quelque sorte, qui pourrait bien révéler des possibilités insoupçonnées !


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Cette confiance, la grande confiance en la vie, en la vague, la confiance que cette vague pourra nous porter et nous propulser, la confiance qu’elle nous amènera là où il est juste pour nous d’aller, même si on ne sait pas très bien où cela sera, ni comment…


Cette confiance primordiale, cette confiance du tout petit qui n’a d’autre ressource que de s’en remettre aux figures parentales. A une autre échelle, cette confiance primordiale invite à s’en remettre à la Vie, à sa cohérence, à son élan d’évolution ; la vie n’involue pas, elle va vers l’avant, elle s’adapte en interdépendance…


Et la confiance, ça se choisit, et ça se muscle ! Et oui ! Faire confiance est une décision. C’est à la fois simple et pas facile. Simple car il suffit de le choisir ; pas facile car toute notre rhétorique mentale justifie en permanence qu’il est judicieux de ne pas faire confiance, de prévoir, de contrôler, de calculer… Notre puissant cortex est un instrument à résoudre des problèmes et par conséquent il voit des problèmes à résoudre partout ! Quand la confiance se place à un autre niveau qui ne cherche pas de justification, qui n’en a pas besoin, qui peut justement s’ouvrir là où les justifications sont en échec : quand il n’y a pas de raison valable pour… reste la confiance.


Cette confiance qui s’appuie sur la boussole du cœur évoquée lors de l’épisode précédent est à portée de choix. Et il est possible de s’y exercer tous les jours ! A commencer par des situations dans lesquelles il n’y a d’autre enjeu que de voir ce qui se passe si nous choisissons de faire confiance. Un jeu en quelque sorte, qui pourrait bien révéler des possibilités insoupçonnées !


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Cette confiance, la grande confiance en la vie, en la vague, la confiance que cette vague pourra nous porter et nous propulser, la confiance qu’elle nous amènera là où il est juste pour nous d’aller, même si on ne sait pas très bien où cela sera, ni comment…


Cette confiance primordiale, cette confiance du tout petit qui n’a d’autre ressource que de s’en remettre aux figures parentales. A une autre échelle, cette confiance primordiale invite à s’en remettre à la Vie, à sa cohérence, à son élan d’évolution ; la vie n’involue pas, elle va vers l’avant, elle s’adapte en interdépendance…


Et la confiance, ça se choisit, et ça se muscle ! Et oui ! Faire confiance est une décision. C’est à la fois simple et pas facile. Simple car il suffit de le choisir ; pas facile car toute notre rhétorique mentale justifie en permanence qu’il est judicieux de ne pas faire confiance, de prévoir, de contrôler, de calculer… Notre puissant cortex est un instrument à résoudre des problèmes et par conséquent il voit des problèmes à résoudre partout ! Quand la confiance se place à un autre niveau qui ne cherche pas de justification, qui n’en a pas besoin, qui peut justement s’ouvrir là où les justifications sont en échec : quand il n’y a pas de raison valable pour… reste la confiance.


Cette confiance qui s’appuie sur la boussole du cœur évoquée lors de l’épisode précédent est à portée de choix. Et il est possible de s’y exercer tous les jours ! A commencer par des situations dans lesquelles il n’y a d’autre enjeu que de voir ce qui se passe si nous choisissons de faire confiance. Un jeu en quelque sorte, qui pourrait bien révéler des possibilités insoupçonnées !


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