- Speaker #0
A quoi ressemblerait ta crèche si tu pouvais t'entourer des meilleurs ? Moi, c'est ce que j'ai fait. Pendant les 15 dernières années, de la crèche collective associative à la micro-crèche privée, j'ai tout expérimenté. La petite enfance est un métier à forte contrainte, mais aussi à forte valeur ajoutée. Avec les meilleurs psys, pédiatres, directeurs pédagogiques et les meilleures formations, j'ai pu développer la qualité d'accueil et la qualité de vie au travail. Alors si toi aussi tu es motivé par la qualité, Bienvenue dans Références Petite Enfance, bienvenue dans ton podcast. Bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de Références Petite Enfance, dans notre série dédiée à l'optimisation de notre gestion en microcrèche. Donc on fait un épisode par mois en partenariat avec notre entreprise préférée, Mico, qui est spécialiste du suivi des familles, aussi bien en termes d'inscription, de facturation, de transmission, et bien plus encore. Et aujourd'hui, je suis accompagnée d'Antoine. Salut Antoine !
- Speaker #1
Salut Amal, merci de me recevoir.
- Speaker #0
Alors, je suis ravie aujourd'hui. On va parler d'un truc que je trouve vraiment super fun. C'est les trucs et astuces quand je lance mon projet, quand je veux lancer ma micro-crèche. Toi, tu vois beaucoup, beaucoup de fondateurs. Bon, moi aussi, j'en vois pas mal et j'ai été moi-même fondateur d'une entreprise de crèche. Donc là-dessus, je pense qu'on va avoir pas mal de trucs à se dire. Donc, j'ai hâte de développer tout ça avec toi. Est-ce que tu peux rapidement te présenter pour les auditeurs qui ne te connaissent pas encore ?
- Speaker #1
Alors, je m'appelle Antoine Maclouf, je suis cofondateur de Miko, qui est un logiciel qui permet de gérer sa crèche et de communiquer avec les familles. Donc, nous, on a pas mal accompagné des porteurs de projets qui recherchaient un logiciel et donc, on a rassemblé pas mal de trucs et astuces, des choses qu'on aimerait bien savoir quand on se lance. Donc, c'est la bonne opportunité pour les partager avec toi.
- Speaker #0
Ça va être super intéressant parce que moi-même, je vois aussi beaucoup de porteurs de projets qui se posent tout le temps beaucoup de questions. Et puis moi-même, en tant que créateur et fondatrice d'entreprise de crèche, je me suis posé aussi toutes ces questions-là. Et c'est vrai qu'on a des bonnes pratiques qui émergent à force de... Moi, j'ai ouvert 10 micro-crèches, puis en fait, il en ressort quand même des questions récurrentes. Alors, vas-y, shoot ! C'est quoi tes bonnes astuces ? C'est quoi les points qui reviennent le plus souvent ?
- Speaker #1
Moi, je vais te donner déjà pas mal de conseils sur le côté numérique, parce que c'est ce que je connais.
- Speaker #0
C'est ta spécialité.
- Speaker #1
Voilà, donc il y aura beaucoup de choses autour de ça, mais pas que. Et la première chose, quand on se lance, je dirais déjà, c'est d'être présent sur Internet. Alors, ça veut dire plein de choses. Déjà, avoir un site Internet, c'est tout bête, mais aujourd'hui, les parents vont vous rechercher en cherchant votre site Internet, voir comment on peut s'inscrire, etc. Rien que se présenter ou juste expliquer, même si on est une petite structure. Il n'y a pas besoin d'avoir un énorme site ou de faire appel à une agence ultra spécialisée en com. Nous, on propose d'ailleurs des pages un peu toutes faites avec le logiciel, mais il y a des outils aujourd'hui qui sont assez connus. Il y a Wix, il y a WordPress, qui permet à n'importe qui, même si on n'est pas dans le domaine, de au moins faire juste une page web et de présenter.
- Speaker #0
Alors, c'est vrai que souvent, les personnes se demandent, on me pose souvent la question, mais à partir de quand il faut que je m'y mette ? Parce qu'ouvrir une crèche, c'est des actions concomitantes, en fait. Ce n'est pas linéaire. On doit un peu tout faire en même temps. On doit convaincre plein de partenaires en même temps. Et puis, on n'a pas encore notre permis de construire, mais on doit quand même déjà communiquer, etc. Donc, en fait, à partir de quand, toi, tu recommandes de commencer à communiquer ? Est-ce que c'est même… avant d'être sûr que j'ouvre ma crèche ? Oui,
- Speaker #1
parce que déjà, on n'est jamais sûr d'ouvrir sa crèche tant qu'on n'a pas eu l'agrément PMI.
- Speaker #0
C'est ça, puis on ne va pas attendre septembre 2025 pour dire tiens, j'ouvre une crèche en septembre 2025 Tout à fait.
- Speaker #1
Donc en fait, je dirais que dès qu'on a repéré le lieu, parce que c'est ça qui est le plus difficile.
- Speaker #0
Le plus déterminant,
- Speaker #1
oui. De trouver un endroit pour ouvrir sa crèche. Je dirais que dès maintenant, on peut communiquer aux familles pour plusieurs raisons, parce que quand on monte son dossier, que ce soit à la banque, que ce soit même à la CAF, etc., On doit faire une étude, on doit expliquer, ben oui, là, il y a un besoin, je ne vais pas ouvrir une crèche à un endroit où il n'y aurait pas de demande. Donc, il y a quand même des contraintes. Et le fait de communiquer sur le souhait d'ouvrir une crèche dans cette zone, ça va déjà commencer à attirer des parents. Il y a des parents qui vont se dire, ah ben, ça tombe bien, on est en train de rechercher. On était déjà même en train de postuler dans des villes à côté parce qu'il n'y avait pas le choix. Rien que ça, ça permet de rassembler un petit pool de parents.
- Speaker #0
C'est vrai que ça me permet de savoir s'il y a des réactions et quelles sont-elles. Oui,
- Speaker #1
exactement.
- Speaker #0
Et si c'est le calme plat, alors là, peut-être que je ne suis pas au bon endroit.
- Speaker #1
Peut-être qu'il faut revoir l'étude ou se dire, est-ce qu'il y a vraiment besoin ?
- Speaker #0
Après, tu parlais des choses qu'on peut faire soi-même. Et je comprends pourquoi tu dis ça. C'est vrai qu'on ne veut pas non plus forcer les gens à dépenser leurs sous. Et on sait qu'il y a des gens qui essayent de faire tout eux-mêmes. Mais moi, ce que je conseille quand même, c'est de faire appel à des professionnels. ne serait-ce que pour avoir le bon logo, la bonne identité visuelle. Parce qu'en fait, ça va vraiment refléter dans une identité visuelle. Tu as tes valeurs, ce que tu veux renvoyer. Et tu vois, parfois, j'en parle avec des porteurs de projets. Et on regarde différents sites et je leur montre à quel point tu peux te différencier. Tu as des sites qui sont hyper fades où on ne voit pas du tout qui est derrière. Tu en as d'autres où on sait que la personne est très axée sur le social ou très axée sur la sécurité. Tu peux ressentir en regardant un site, tu peux voir si c'est très qualitatif. Si on est face à une structure qui va être très exigeante ou plutôt un peu créative. Enfin, voilà. Qu'est-ce que la personne a mis en avant, en fait, dans son identité visuelle ? Donc, je pense que c'est quand même bien d'avoir au moins un vrai logo, vraiment travailler avec quelqu'un qui a des vrais insights, qui a vraiment un avis.
- Speaker #1
Je rejoins. Moi, je suis un grand fan de logo, déjà, de manière générale. Et en plus, le logo, à la fin, il sera quand même sur les factures, il sera quand même un peu partout.
- Speaker #0
Et ouais, c'est ça. Et il reflète quand même vraiment la qualité. de ce que tu mets en avant. Donc, tu disais, pas forcément une agence spécialisée dans la communication, etc. On n'est pas Danone, on n'a pas besoin d'une grosse agence. Peut-être plus quelqu'un qui comprend le secteur, qui comprend ce qu'on veut mettre en avant, qui a déjà peut-être bossé pour soit une crèche, soit du CAIR. Enfin, ce n'est pas forcément le directeur artistique de L'Oréal.
- Speaker #1
C'est ça. Puis des fois, on n'en a même pas besoin pour une crèche.
- Speaker #0
Il vaut mieux être plus pragmatique et quelqu'un de proche de nous qui va comprendre ce qu'on veut faire. Alors vas-y, quoi d'autre ? Je t'ai interrompu.
- Speaker #1
C'est juste que le site Internet, il faut quand même qu'il y ait au moins une bonne page d'accueil qui présente quand même le projet complet et avec des mots-clés intéressants. Même si aujourd'hui, Google et les moteurs de recherche fonctionnent un peu moins en mots-clés qu'avant. Avant, c'était vraiment ça qui faisait qu'on apparaissait dans la recherche. Aujourd'hui, c'est plus qui référence ton site ? Est-ce que ton site est fiable ? Est-ce qu'il est optimisé ? On ne va pas rentrer là-dedans, mais il y a quand même quelques petites choses à savoir. Mais il faut avoir le minimum. Donc, il faut quand même avoir une page d'accueil bien présentée. Il faut avoir le formulaire de préinscription. Ça permet aux parents directement de faire des demandes. Pourquoi attendre autant directement demander, avoir des premiers contacts ? Ça permet d'échanger avec eux le plus tôt possible. De toute façon, on va expliquer que même si c'est un projet et qu'on n'est même pas sûr de la date d'ouverture, les parents sont compréhensifs. Souvent même, je pense qu'ils préfèrent avoir ça que rien du tout, comme mode de garde.
- Speaker #0
Je pense que c'est intéressant aussi de parler de nos valeurs en tant que patron. et de ce qu'on veut exprimer à nos salariés. Parce qu'en fait, les salariés, aujourd'hui, il y a quand même beaucoup de concurrence dans le secteur pour les entreprises de crèche. Pour recruter les bonnes personnes, il faut aussi qu'elles sachent ce à quoi, moi, en tant que crèche, je m'engage. Donc, c'est bien aussi, je pense, d'avoir une page qui parle de mon équipe.
- Speaker #1
Des valeurs. Oui, bien sûr, tout à fait. Et aussi, il y a un peu le côté blog, entre guillemets, qui est intéressant. Que ce soit sur le site ou même sur des outils de blogging à côté. Mais ça, c'est pas mal de, même si c'est le début du projet, d'expliquer un peu le parcours, de dire, voilà, les travaux, par exemple, faire un petit suivi des travaux. C'est super intéressant. Les parents se disent, ah, la crèche, elle avance bien. On peut même un peu s'y projeter. Donc, faire un peu toutes les démarches.
- Speaker #0
Montrer des photos. Oui. Alors, c'est intéressant, les blogs. Et à la fois, moi, je mets en garde aussi les créateurs de crèches sur le fait d'être régulier, c'est-à-dire ne pas créer un blog ou des actus si, en fait, on ne va pas s'y investir. Ah,
- Speaker #1
tu as raison. Parce que si on fait juste un petit article et qu'après, on n'y retourne plus jamais, oui, autant pas faire un blog, autant faire une page statique sur un site.
- Speaker #0
Donc, il faut être régulier. C'est super de faire un blog, mais par contre, il faut le faire, il faut se fixer, en fait, un agenda et le respecter.
- Speaker #1
Et ensuite, alors, une autre petite astuce, toujours dans le numérique et liée au site Internet, c'est de créer ce qu'on appelle un Google My Business.
- Speaker #0
Ah oui, le fameux Google My Business. Alors là, Antoine, moi, je me suis fait un peu des cheveux blancs, donc explique-moi de façon très simple.
- Speaker #1
De manière très facile. Déjà, qu'est-ce que c'est ? C'est quand on fait une recherche sur Internet, sur Google notamment, et à droite, on a ce petit encart qui donne l'adresse de la crèche ou de n'importe quel magasin ou restaurant, d'ailleurs. Mais vous savez, c'est les petits encarts qui apparaissent à droite. Et ça apparaît aussi, par exemple, sur Google Maps. Quand on fait des petites recherches sur Google et qu'on se dit, ah bah tiens, là, il y a la crèche. En fait, ça sert d'avoir ça.
- Speaker #0
Si je suis parent ou salarié, d'ailleurs, et que je me dis, moi, j'habite à Asens, par exemple, j'aimerais bien trouver une crèche pour mon bébé qui va bientôt naître. Donc, je vais taper sur Google crèche Asens. Exactement. Et là, hop, je vais avoir le Google My Business, des crèches qui ont pensé à créer leur établissement sur Google. À dire, coucou, j'ai une crèche Asens. telle adresse, etc. C'est eux que je vais voir, ceux qui n'ont pas décidé. de renseigner le Google My Business, ils vont peut-être être moins faciles à trouver. Oui,
- Speaker #1
et pareil sur Google Maps. Je pense que Google met même en avant tous ceux qui ont un Google My Business parce que c'est plus facile pour eux vu qu'il y a déjà toutes les informations. Et pour créer ce Google My Business, il faut le faire quand même un peu en amont parce que de manière très concrète, ce qui va se passer, c'est qu'on va remplir quelques informations. Sur eux-là, on reste en ligne. Mais à la fin, Google va envoyer une lettre physique à l'adresse postale. Donc là, en effet, il faudra que l'adresse postale existe.
- Speaker #0
C'est ça. Alors, c'est là que je me suis un peu arraché les cheveux, moi, quand j'ai utilisé Google My Business. Il faut quand même avoir l'adresse et récupérer le courrier parce que forcément, quand je suis en train de créer ma boîte, je n'ai pas forcément toujours accès au courrier. Donc, attention à bien récupérer le courrier, en fait. Parce que là, l'idée, c'est de l'envoyer à l'adresse du local que peut-être je n'ai pas encore signé, c'est ça.
- Speaker #1
Oui, et en fait, ça, ça permet à Google de prouver que c'est un endroit physique. Comme je disais, vu que ça va être sur Google Maps, ils ont besoin de se dire, ah oui, c'est telle adresse-là. C'est pour ça qu'ils font cette vérification papier.
- Speaker #0
Oui, parce que sinon, je pourrais dire que c'est moi, alors qu'en fait, c'est pour piquer les clients de mon concurrent.
- Speaker #1
Exactement. Mais Google a prévu le coup.
- Speaker #0
D'accord. Donc en fait, si je n'ai pas encore mon local, je ne peux pas le faire. Il faut quand même que j'ai la boîte aux lettres. Oui,
- Speaker #1
il faut au moins la boîte aux lettres.
- Speaker #0
Donc c'est une fois que j'ai signé mon local.
- Speaker #1
Après, même si c'est encore en travaux, je pense qu'on peut quand même...
- Speaker #0
Il faut juste que j'ai ma boîte au lettre, que j'ai les clés et que je puisse relever le courrier. À ce moment-là, je fais ma demande de Google My Business.
- Speaker #1
Et sur ce Google My Business, après, on peut mettre des petites photos. On peut renseigner le site Internet. Donc, si on a créé son site ou qu'on a une page avec un formulaire, etc., on peut le renseigner sur cet encadré-là de Google My Business. Et le fait d'avoir des photos, ça permettra aussi qu'elles s'affichent directement dans ce fameux encadré à droite ou sur Google Maps. Et ça va donner aussi envie. En plus... on pourra le faire évoluer, même si c'est au tout début. Une fois que la crèche est ouverte et qu'on a le logo final ou on a la devanture, on pourra faire des photos de la crèche, de l'extérieur, de l'intérieur. Et ça, ça va vraiment donner envie.
- Speaker #0
C'est ça. En fait, plus il va être renseigné, plus il va être rempli, plus ça va avoir une utilité. Si je fais juste une fiche, mais qu'il n'y a ni photo, ni logo, ni rien, ça n'aura pas le même impact.
- Speaker #1
C'est même louche.
- Speaker #0
Oui, c'est même louche. Quand tu vois un truc en désuétude, c'est un peu comme le blog où il n'y a pas d'article.
- Speaker #1
C'est la même chose.
- Speaker #0
C'est la même chose. Donc là, l'idée, c'est aussi ensuite de faire en sorte que les parents aillent mettre leur avis, les salariés aussi, pour montrer la satisfaction parce que l'idée du Google My Business, tu as beaucoup d'infos et tu n'as pas que l'adresse et les horaires d'ouverture et la photo, tu as aussi les avis clients.
- Speaker #1
Tu as les avis clients et j'invite tous les gestionnaires et toutes les gestionnaires à répondre aux avis, qu'ils soient positifs ou négatifs. Il ne faut pas avoir peur des avis. En général... Le fait que ce soit vivant et que vous répondez aux avis, ça va rassurer les autres en se disant Ok, on peut dialoguer avec cette personne.
- Speaker #0
C'est ça, il peut y avoir des critiques, mais le gestionnaire a répondu et il y a un échange. Donc présence sur Internet, on passe par Google My Business, par le site web. C'est quoi tes autres moyens privilégiés ?
- Speaker #1
Tout bêtement, la page Facebook, c'est pas déçu.
- Speaker #0
Ça existe encore, Facebook ?
- Speaker #1
Ça existe encore et c'est beaucoup consulté par les parents, honnêtement. Et en fait, la page Facebook... D'ailleurs, ça va avec le compte Instagram aussi maintenant. Il y a les deux, on va dire, ça va un peu ensemble. Ça permet déjà de mettre des liens vers son site, vers son formulaire, encore une fois. Mais ça permet de montrer que c'est vivant. Et pareil, on peut aussi mettre un peu toute sa charte graphique. Et rien que ça, ça rassure et on se dit, ah ouais, il y a cette crèche-là, il y a cet endroit-là. Exactement. Et si on n'a pas envie de faire un site Internet, rien que le fait d'avoir une page Facebook ou Insta, en général...
- Speaker #0
C'est le premier pas, oui.
- Speaker #1
Et les parents seront un peu rassurés en se disant, oui, ça existe, il existe cette crèche.
- Speaker #0
Moi, je ne connais pas hyper bien Insta, je suis un peu réfractaire, donc je suis plus sur LinkedIn. Je connaissais bien Facebook à l'époque, mais j'y vais moins. Mais du coup, est-ce que Insta, enfin sur Facebook, je sais qu'il y a ce côté très local où tu peux dire, je sais que j'habite à Trifouille-les-Oies parce que ceci, cela. Donc, il y a des groupes vraiment sur les habitants de telle ville, etc. Ce qui est vraiment très intéressant quand on est une crèche, de pouvoir dire, on reprend mon exemple de sens tout à l'heure, Je vais aller sur le groupe des mamans de sens ou des parents de sens ou les nouveaux arrivants qui viennent d'arriver à sens. Ces groupes Facebook, ça va être des groupes où les gens vont être intéressés de savoir qu'il y a une nouvelle crèche qui arrive. Est-ce que sur Instagram, il y a ce côté aussi où on peut aller rechercher un groupe local où on est un peu plus noyé dans la masse ?
- Speaker #1
En fait, c'est encore plus subtil que ça. C'est qu'Instagram sait où on est et surtout est lié à Facebook. C'est la même société à la fin. et ils partagent les informations. Alors, il y a moins ce côté actif en tant qu'utilisateur de dire Tiens, je m'intéresse à ce lieu mais naturellement, c'est Insta qui va plutôt faire le chemin inverse et qui va savoir que vous êtes jeune parent et que vous recherchez une crèche et que vous êtes dans ce coin-là, et qui va vous proposer naturellement de suivre votre page Instagram.
- Speaker #0
C'est super intéressant. Oui. Ça paraît un peu magique.
- Speaker #1
C'est les données aujourd'hui des GAFAM. Si on peut en avoir du positif en tant qu'utilisateur, on peut le retrouver ici. Et tu disais LinkedIn. Évidemment, LinkedIn fait partie aussi des réseaux qui permettent aussi de créer sa fiche.
- Speaker #0
Il faut le faire au moins pour peut-être plus pour les salariés et puis pour les partenaires. Si on veut avoir des partenaires entreprises. C'est vrai que les parents vont moins aller chercher une crèche sur LinkedIn. Mais par contre, c'est important, je pense, en tant qu'entrepreneur, en tant que fondateur d'une crèche, d'avoir une page sur LinkedIn.
- Speaker #1
Tu as raison, même pour le recrutement, tout simplement. Il y en a beaucoup qui recrutent via LinkedIn.
- Speaker #0
Il y a de plus en plus de pros de la petite enfance sur LinkedIn.
- Speaker #1
Je t'ai fait un petit tour des petites astuces de communication pour le côté numérique. On va rester dans le côté numérique, mais là, ça va être plus pratique. C'est de créer son compte Démarche Simplifiée.
- Speaker #0
Là, c'est plus de la gestion.
- Speaker #1
Voilà, c'est vraiment de la gestion pure. Et là, pour le coup, il faut quand même qu'on ait déjà son agrément. C'est quoi, rapidement, on rappelle Démarche Simplifiée ? C'est là où, en fait, on va télétransmettre tout ce qu'on a facturé aux familles pour qu'ensuite, les familles perçoivent la page.
- Speaker #0
Donc, tu vas envoyer ton agrément PMI à ton contact à la CAF, c'est ça que tu dis, pour que la CAF puisse valider que tu existes et que tes familles ont droit à la page. Et donc ça, c'est un peu plus tard que notre communication initiale. Là, on est plutôt, voilà, on est en train d'ouvrir notre crèche. On a eu l'agrément PMI. Mettons que je veux ouvrir le 2 septembre 2025, par exemple, et que j'ai eu mon agrément, je l'ai reçu le 30 juillet. Eh bien, début août, je peux déjà envoyer à la CAF mon agrément en disant que je veux avoir mon compte sur démarche simplifiée.
- Speaker #1
Il faut penser à le faire avant les premières factures parce que si tu savais le nombre de personnes qui nous demandent après sur Miko, je vois qu'il y a l'export CAF, je vois que je peux faire ça, mais comment je fais en réalité ? En fait, ils n'ont pas encore créé. C'est trop tard. Voilà, c'est trop tard. Et donc, pour le premier mois de facture, c'est un peu galère parce que les parents... Du coup, il faudra soit envoyer des factures, soit il faut le faire après.
- Speaker #0
À la mano. Voilà. Ça fait des délais. C'est ça. Et c'est beaucoup d'argent qui est en jeu, donc si on peut éviter d'avoir des délais.
- Speaker #1
Et c'est le premier mois d'ouverture, on n'a pas envie d'être là-dedans.
- Speaker #0
Surtout de faire mauvaise impression en disant, finalement, vous ne serez remboursé que dans deux mois.
- Speaker #1
Oui, donc petit conseil, c'est tout bête. Faites la demande.
- Speaker #0
Faire ça tout de suite, oui. Je répète,
- Speaker #1
le compte, c'est démarche simplifiée et il faut voir ça avec son contact CAF.
- Speaker #0
OK.
- Speaker #1
Pareil, toujours un peu dans la même optique, on peut aussi... commencer à demander à sa banque cette fois d'obtenir un numéro ICS, ce qu'on appelle ICS. Et ça, c'est la banque qui vous fournit ce numéro-là si vous avez votre compte professionnel. Et à quoi ça sert ? Ça permet ensuite de faire du prélèvement CEPA. Donc si jamais vous souhaitez prélever les familles, vous aurez besoin de ce numéro-là. Et ça permet d'éviter de demander aux familles de faire un virement, un chèque et de gérer un peu tout ça au cas par cas.
- Speaker #0
Ça, pareil, tu conseilles de le faire très tôt pour ne pas avoir le premier mois de recevoir du chèque, etc. Et de dire, ça, plus tard, il vaut mieux mettre les mandats, d'ailleurs, très tôt en place. Parce qu'ensuite, une fois que les parents se sont mis à faire des chèques, c'est un peu pénible de devoir leur dire, finalement, en fait, je ne prends pas les chèques, j'aimerais mieux des mandats. Exactement. Donc, il vaut mieux démarrer tout de suite avec les bons documents. Et ça, l'ICS, on peut le faire tout de suite ou il faut attendre l'agrément aussi.
- Speaker #1
Non, c'est dès qu'on a l'entreprise et dès qu'on a son compte bancaire professionnel, on peut tout de suite le faire. Ça prend par contre environ trois semaines à obtenir selon les banques. Parce qu'en fait, c'est la banque centrale qui va le remettre.
- Speaker #0
Donc à faire très tôt, quoi. Là, je ne suis même pas obligée d'attendre l'agrément.
- Speaker #1
C'est ça.
- Speaker #0
Donc Antoine, on a commencé par des astuces de communication qui étaient vraiment axées sur se faire connaître, faire son building public pour que les gens sachent qu'il va y avoir une crèche qui va ouvrir. Donc beaucoup pour les parents, mais aussi un peu pour les salariés. Ensuite. plutôt des astuces que tu nous as données sur comment je vais bien démarrer pour ma gestion, ma facturation, etc. Mais je pense que tu as aussi des retours sur un peu l'activité, c'est-à-dire les gestionnaires que tu rencontres. J'imagine que parfois, ils te disent Oulala, je ne sais pas si je vais remplir, j'ouvre dans un mois, mais en fait, je n'ai que trois clients, je me sens seule. Est-ce que tu as des conseils aussi, des astuces qui sont plus axées sur l'activité pour le gestionnaire ?
- Speaker #1
Oui, et la première chose à faire, je dirais, c'est d'aller voir sa commune. On y pense au moment où on veut s'implémenter ici.
- Speaker #0
On y va pour leur demander, est-ce qu'il y a un besoin ? Est-ce que vous êtes d'accord pour que j'installe ma crèche ? Donc, plus le côté urbanisme, accord de principe sur l'implantation.
- Speaker #1
Mais ils peuvent beaucoup nous aider sur la suite, puisque la commune et du coup la mairie, c'est le plus grand vecteur de communication avec les familles. Les familles, en général, demandent d'abord à la commune aussi s'ils veulent s'inscrire en crèche. Donc... souvent même les mairies elles mettent en place par exemple une section dédiée à la petite enfance sur leur site internet ou les plus grosses mairies ça peut même être de manière physique, il y a un pôle souvent petite enfance, un service donc il ne faut pas hésiter à leur dire même s'ils savent que vous allez ouvrir parce que ils ont fait le suivi, de leur expliquer votre fonctionnement, de leur dire là j'aimerais communiquer sur ça, des fois c'est tout bête mais ils peuvent le faire et ils peuvent vous aider et de ne pas hésiter aussi de mettre des affiches, on revient un peu là vraiment aux pragmatiques pures mais de mettre une affiche avec le formulaire ou le lien de son site, tout simplement, à l'entrée de la mairie.
- Speaker #0
Le QR code,
- Speaker #1
le lien. Voilà, c'est ça.
- Speaker #0
C'est-à-dire demander au service de la mairie ou RPE, à la commune, est-ce que je peux mettre une affiche ou des flyers ? Et puis même leur demander si on peut apparaître sur le site internet, comme tu disais. Alors, ils ne sont pas toujours d'accord. Il y en a qui réservent vraiment leur espace en ligne. Pour les crèches communales, mais il y a quand même pas mal de villes qui voient l'intérêt aussi de montrer toute la diversité des modes d'accueil de son secteur géographique en mettant en ligne les crèches de tout type de gestionnaire. Donc, on va trouver tout ce qui est communal, mais on va aussi trouver les mâmes, les micro-crèches, les crèches en délégation de services publics, les crèches d'entreprise, les assistantes maternelles. Enfin, on va trouver vraiment toute la diversité, les crèches associatives, les crèches parentales, etc. Donc, selon les communes. Mais c'est vrai que, comme tu dis, ce qui est important, c'est de montrer patte blanche, de montrer qu'on est là, qu'on a des valeurs, qu'on veut bien faire, d'être vraiment un partenaire. Parce que je crois que ce qui est important, en fait, dans ton explication, c'est que la commune remplace un peu les ads. Eh oui. C'est un meilleur vecteur d'acquisition. On va pouvoir avoir des clients grâce à cette communication de la commune, parce que c'est vraiment le point central pour les familles, la commune.
- Speaker #1
Oui, et puis souvent, la commune, elle est... débordés, ou en tout cas, les crèches sont pleines, et ça les arrange même de pouvoir dire, chez nous, c'est impossible cette année, mais par contre, il y a...
- Speaker #0
On travaille avec d'autres crèches, ça tient.
- Speaker #1
Et ensuite aussi, toujours un peu dans le même esprit, on peut aller voir autour de nous, et quand je dis autour de nous, je parle même de concurrence, on peut l'appeler comme ça, mais il y a les autres structures du coin. Il ne faut pas le voir que comme de la compétition entre crèches. C'est très important de se dire que il y a un manque de place aujourd'hui. que si on s'est installé dans le secteur, c'est parce qu'il y avait besoin de places en plus. Et donc, aller voir ses collègues, compétiteurs collègues, on l'appelle comme on veut.
- Speaker #0
Moi, je les appelle mes confrères. Souvent, je dis, quand on était consoeur ou confrère.
- Speaker #1
C'est plus sympa, d'ailleurs, je trouve.
- Speaker #0
C'est de la confraternité.
- Speaker #1
Exactement, parce que c'est du soutien, finalement. Et avec Miko, on a organisé des petits événements où, en fait, justement, on réunissait les pros qui sont autour du coin. On a essayé de faire ça dans plusieurs endroits et puis on continue de le faire, d'ailleurs. Et à chaque fois, en fait, il n'y a que du positif qui ressort. C'est des conseils sur les fournisseurs. Ah tiens, toi, tu as négocié comme ça avec eux. Et finalement, on est gagnant à la fin. Ou même vis-à-vis de la PMI, le nombre de fois où j'ai entendu des crèches nous dire, en discutant avec la crèche d'à côté, la PMI leur a dit ça. Alors pourquoi est-ce que moi, je dois faire comme ça, etc. Et du coup, ça permet de normaliser un peu certaines choses et d'être plus fort à plusieurs.
- Speaker #0
Tu as tout à fait raison. Et c'est vrai que dans les crèches en général, Il y a quand même pas mal de convivialité dans le secteur. Parfois, ça surprend d'autres entrepreneurs. Ils disent Ah, c'est vrai que dans les crèches, vous vous parlez beaucoup entre concurrents. Eh bien oui, en fait, on peut se parler beaucoup. Et si on a peur de la concurrence, ce n'est pas forcément bon signe en plus. Parce qu'il faut être sûr de ses valeurs, de ce qu'on apporte, de ce qui nous différencie. Et puis, si on est entre guillemets trop près les uns des autres, c'est qu'il y a un problème aussi. Donc, il faut avoir une logique rationnelle. Et quand on s'implante, ne pas aller se coller à 20 mètres de la crèche d'à côté. pour qu'il n'y ait pas ces problèmes de compétition, comme tu disais. Mais je pense que là, avec le service public de la petite enfance qui démarre en janvier 2025, il va y avoir cette rationalisation aussi, grâce à l'autorité organisatrice. Donc les communes vont devoir aussi se prononcer sur les implantations et il y aura moins ce risque-là d'être vraiment dans cette compétition qui est assez malsaine, où on est la porte à côté et c'est vraiment la grosse galère. Mais donc du coup, comme tu dis, il y a de la place pour tout le monde et communiquer, faire le... pas d'aller voir le confrère. C'est un super levier, en fait, pour se comprendre et collaborer, peut-être s'envoyer des clients, etc.
- Speaker #1
Exactement. Et aussi, toujours dans le même esprit, pour voir un peu plus loin que juste les confrères et consoeurs du coin, eh bien, il y a beaucoup, beaucoup de groupes d'entrepreneurs ou de communautés, Facebook notamment, qui échangent beaucoup. Donc, tu l'as dit, c'est un secteur où les gens parlent beaucoup entre eux et nous aussi, on était très étonnés quand... quand on est arrivé dans ce secteur-là. Mais finalement, c'est en positif. Il ne faut pas hésiter à s'inscrire, à rejoindre ces groupes-là. Il y a beaucoup, beaucoup de conseils. Et puis, il y a des groupes un peu plus nationaux qui sont un peu plus organisés. Il y a le Rémi que tu connais.
- Speaker #0
On a déjà interviewé des personnes du Rémi. Et en effet, ils sont très actifs et ils aident beaucoup les gestionnaires. Ils sont assez spécialisés sur justement les petits gestionnaires qui n'ont pas forcément... des énormes moyens et qui aiment bien justement collaborer et se donner leur bonne pratique entre eux.
- Speaker #1
Tout à fait. Et la FFEC aussi que...
- Speaker #0
Que je connais bien aussi.
- Speaker #1
Que tu connais très, très bien.
- Speaker #0
Eux, j'ai été membre et puis j'ai été administratrice aussi pendant deux ans et je connais très bien leur fonctionnement. Ils sont encore un autre registre. Donc le Rémi, on est plus sur de la collaboration, comment dire, opérationnelle. On va vraiment répondre à des besoins, vraiment sur des problématiques de terrain. La FFEC, on est... Il y a un peu plus de hauteur, je dirais, sur les problématiques, le lobbying, les lois, etc. Mais le Rémi aussi travaille sur les réformes. Les deux ont vraiment leur intérêt et permettent vraiment de s'armer et d'être entourés. Antoine, c'est vraiment chouette d'avoir ton retour sur ces astuces. Moi, j'en ai plein aussi. Et c'est un petit peu ce que je dis aux crèches qui me consultent. Est-ce que tu as quelque chose à ajouter pour les auditeurs qui, je pense, sont aujourd'hui plus sur cette série-là, sur cet épisode-là, plus des fondateurs ou des gestionnaires de crèches que sur certains épisodes où on a des auditeurs qui sont plus des pros de terrain ? Les intérêts sont variés. Mais aujourd'hui, si tu t'adresses aux auditeurs, qu'est-ce que tu dirais pour conclure sur ces lancements de crèches, qu'on en soit à sa première crèche ? ou qu'on n'en soit pas à son coudé. C'est parfois, même quand tu lances ta deuxième ou ta troisième micro-crèche, tu peux faire mieux que la première fois. Et l'idée, c'est quand même d'ouvrir avec un maximum d'outils en place et un maximum de clients qui ont déjà signé, d'enfants qui arrivent, pouvoir ouvrir sereinement sans se faire des nuits blanches, à se dire, oulala, oulala, est-ce que je vais avoir des enfants dans ma crèche ? Est-ce que ça va marcher au secours ? Donc voilà, l'idée, c'est ça, c'est vraiment de donner ces trucs et astuces pour que l'ouverture soit sereine. Qu'est-ce que ce serait pour toi le mot de la fin ?
- Speaker #1
plein de petites astuces, mais qui concernent le logiciel. Alors, forcément, j'ai un petit parti pris en tant que co-fondateur de Miko, mais en fait, il y a tellement d'astuces qu'on peut donner grâce au logiciel et que ce soit pour préparer les dossiers de préinscription, comment optimiser les contrats, les méthodes de facturation. Souvent, on se lance, on ne sait pas trop comment facturer. Alors, on a fait un épisode spécialement sur ça, mais ça, c'est des petites choses que nous, on peut donner grâce au logiciel ou même sur les plannings, que ce soit les enfants ou l'équipe. Plein de petites astuces qu'on donne grâce au logiciel. C'est aussi ce qu'on aime faire avec Miko. Encore une fois, on n'est pas juste un logiciel, on est quand même derrière toute une équipe qui peut apporter des conseils au quotidien. C'est avec grand plaisir qu'on accompagne les nouvelles personnes qui veulent se lancer et qui veulent mettre cet outil en place.
- Speaker #0
Ce que tu veux dire, c'est que c'est l'accompagnement des bonnes personnes qui va faire que je vais faire un bon lancement plutôt que de bricoler mon contrat sur Word, que j'ai copié plus ou moins sur Internet. etc. C'est de tout de suite avoir un outil sur lequel je vais pouvoir m'appuyer. Je vais perdre moins de temps à bidouiller, je vais mettre tout de suite les bons process et ça ne me coûtera pas plus cher en fait.
- Speaker #1
Et on aura quelqu'un à qui on pourrait toujours demander comment vous faites ça dans le logiciel pour éviter de bidouiller. Totalement ça.
- Speaker #0
Parce qu'en fait, vous faites ça entre guillemets gratuitement. C'est-à-dire que je prends mon abonnement pour faire mes factures et mes inscriptions, mes transmissions et tout. Mais toute la mise en place, tout l'accompagnement que tu fais au départ, c'est entre guillemets, c'est inclus.
- Speaker #1
Alors c'est très simple, chez Miko, on ne facture jamais de suppléments pour quoi que ce soit. Que ce soit les formations, que ce soit le support, c'est totalement inclus. Et notre équipe a cette expertise-là aussi.
- Speaker #0
Donc c'est un petit peu ce qu'on disait au début sur prendre son compte, démarche simplifiée, faire les dossiers de CAF ou créer sa page Facebook le plus tôt possible, avoir son numéro ICS pour les prélèvements le plus tôt possible. C'est aussi avoir le bon logiciel le plus tôt possible et prendre le temps de tout mettre en place avant l'ouverture de notre crèche. Comme ça, on est prêt, fin prêt. On a tous les dossiers à mettre dans le logiciel avant la première facturation. Et tout ça, je vais pouvoir le faire avant même l'ouverture, en fait, à chaque arrivée de contrat. Je vais pouvoir préparer le terrain. Et ensuite, j'aurais plus qu'à cliquer sur le bouton facturer.
- Speaker #1
C'est ça. Et on démarre notre activité.
- Speaker #0
C'est très clair pour moi. J'aime bien ton idée d'épisode. J'ai trouvé ça super chouette d'avoir les... Les petites astuces que tu as trouvées tout au fil de tes accompagnements, parce qu'en fait, on fait un petit peu la même chose finalement, toi et moi. Ce n'est pas exactement sur le même... Moi, j'accompagne plutôt des personnes sur le management, etc. Mais en fait, on accompagne des gens qui voulaient des crèches.
- Speaker #1
C'est complémentaire parce que toi, tu as quand même eu l'expérience et tu as ouvert tes propres crèches, alors que nous, on est plus à travers le logiciel et à travers le retour des autres. Mais du coup, c'est plutôt complémentaire, c'est intéressant.
- Speaker #0
Ce qui est intéressant, c'est de voir que pour ouvrir une crèche, il y a quand même des ressources. Donc les auditeurs, si vous êtes dans cette démarche d'ouverture de crèche, ou si vous avez des crèches et que vous voulez développer votre réseau, et que vous avez de l'ambition, que vous voulez avoir un réseau un peu plus étoffé pour pouvoir avoir de l'entraide entre vos équipes, peut-être pouvoir financer un poste de coordinatrice, etc. On a peut-être l'impression parfois d'investir et que c'est un budget, mais il faut trouver les bons interlocuteurs, les bons prestataires, et éviter de bidouiller chacun dans son coin. parce que c'est beaucoup de charge mentale, c'est beaucoup de stress. Je crois que le message un petit peu de cet épisode, Antoine, c'est de trouver les bons outils et les bonnes personnes pour nous appuyer. C'est ça. Merci beaucoup pour ce message. Je te dis au mois prochain, pour notre prochain épisode.
- Speaker #1
Oui, merci Amal pour ce nouvel épisode et puis on se retrouve le mois prochain avec grand plaisir.
- Speaker #0
Allez, je te dis à très bientôt.
- Speaker #1
À très bientôt, salut.
- Speaker #0
Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. J'espère qu'il t'a plu et que tu en ressors inspiré. Si c'est le cas, abonne-toi pour ne rater aucun épisode. Parlons autour de toi et surtout laisse-moi une note 5 étoiles et un avis sur Apple Podcasts ou Spotify. A la semaine prochaine !