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Reset Your Mind

Ep#82 - 5 questions pour arrêter de se mentir

Ep#82 - 5 questions pour arrêter de se mentir

19min |18/12/2025
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Ep#82 - 5 questions pour arrêter de se mentir

19min |18/12/2025
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Description

5 questions pour un vrai Reset avant 2026 : sortir de l’hypervigilance, retrouver de la clarté et penser autrement


Dans cet épisode de Reset Your Mind, Stéphanie Martin, Executive Coach et fondatrice du programme du même nom, vous emmène dans un espace rarement autorisé en entreprise : celui où l’on arrête de forcer, où l’on déprogramme les fausses contraintes, et où l’on recommence à penser autrement.


À l’approche des fêtes, alors que tout s’accélère et que l’hypervigilance devient presque un mode de management, Stéphanie propose 5 questions puissantes pour faire un véritable Reset mental. Pas un bilan. Pas une résolution. Un réalignement stratégique.


Vous découvrirez :
– Pourquoi votre cerveau s’épuise en fin d’année (et comment sortir du mode survie).
– Comment repérer les “oui” qui coûtent trop cher.
– Pourquoi changer une seule pensée peut modifier toute votre intention pour 2026 (modèle Brooke Castillo + neurosciences).
– Comment exploser les fausses obligations qui vous maintiennent en apnée.
– Et surtout : pourquoi vous êtes assez — déjà assez — pour cesser de vous sur-adapter.


Un épisode à écouter entre deux dossiers, dans un train bondé, ou coincé·e dans une file d’attente interminable pour acheter un cadeau qui n’était pas du tout prévu.
Parce que c’est précisément là que commence la clarté.


🎧 À propos de ce podcast :
Reset Your Mind est le podcast de Stéphanie Martin, Executive Coach, fondatrice du programme Reset Your Mind, et ancienne directrice du digital et du e-commerce.
Chaque épisode propose un pas de côté pour repenser nos manières de travailler, diriger, décider et influencer avec lucidité, exigence et humanité.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue chez Reset Your Mind, vous écoutez le 82ème épisode. Nous sommes à cette période très étrange de l'année où l'on commence à lire partout vivement les vacances. Je ne sais pas si c'est quelque chose que tu entends beaucoup autour de toi, mais j'arrête pas d'entendre ces phrases. Vivement la semaine prochaine, j'en peux plus. Vivement que cette année se termine. Tout en sachant, soyons bien honnêtes entre nous. que les dix prochains jours vont ressembler à un semi-marathon organisé dans un magasin de jouets où entre deux repas, deux courses, deux livraisons à finir de récupérer, d'emballer, etc. Et puis il y a bien évidemment le travail, tout ce qu'il faut boucler au bureau. Réparer les réunions qui n'auront lieu qu'en janvier, finaliser les budgets, que personne ne regardera forcément avant février, acheter un cadeau pour un cousin dont on ignore encore le prénom et tenter de mettre un peu de repos là-dedans. Alors c'est vrai, on appelle ça la magie des fêtes. Pour notre système nerveux, lui, c'est plutôt le sprint de fin d'année. Et on redémarre l'année suivante, pas forcément plus reposé. Alors aujourd'hui, alors que je suis en plein winter reset, avec un groupe de coachés vraiment très inspirés et très inspirants, j'avais envie de te proposer, dans cet épisode, une expérimentation. Sortir un petit peu du leadership, du contexte professionnel, ou du contexte du bien-être, ce genre de choses. j'avais envie de te proposer cinq questions, de te poser à toi cinq questions pour t'accompagner sur cette fin d'année. Alors, promis, ce ne sont pas des questions pour faire joli. Ce sont des questions qui déplacent les choses. Certaines vont te sembler un peu étranges, peut-être. Certaines vont aussi te déranger, c'est possible. Et pour que tu puisses vraiment entrer dans cet espace, je vais t'emmener dans cinq petits moments de vie. Cinq scènes dans lesquelles je vais te reconnaître et j'espère que ces cinq scènes seront des points pivots pour toi. Alors. C'est prêt ? Installe-toi et je t'emmène avec moi. À toi qui écoute cet épisode, peut-être pour la première fois ou au contraire qui nous suit depuis longtemps, merci. Merci de prendre ce temps. Je suis ravie de pouvoir échanger à travers les ondes avec toi, à travers tes messages aussi que tu peux m'envoyer parfois en message privé ou en commentaire sous les posts. C'est... pour moi vraiment très important de repartager tout ce que j'ai pu ouvrir comme porte à la dure ou à la douce, peu importe et aussi échanger avec toi pour faire bouger les choses. Donc déjà merci infiniment Tonton et à toi qui écoute cet épisode peut-être en finissant ton année avec cette impression étrange d'avoir beaucoup donné et de ne pas vraiment peut-être retrouver je le répète souvent, le set your mind c'est pas un espace pour performer plus C'est un espace pour déprogrammer ce qui t'a tenu trop longtemps sous l'eau, les fausses obligations, les exigences qui ne sont pas les tiennes, les rôles que tu as endossés pour être à la hauteur, et ce côté de toujours prouver que nous sommes à notre place. Ici, on ne cherche pas à s'améliorer coûte qu'au coûte. Je vous invite plutôt à refaire surface, à libérer de l'espace dans la tête, à relâcher la pression inutile, à exploser, je dirais, ces contraintes que l'on s'est imposées, que l'on nous a imposées. et faire ce pas de côté pour voir les choses sous un angle un peu différent. Parce que oui, il y a toujours une autre option possible. Alors le set your mind, c'est un lieu où on remet aussi du fun, de la légèreté, du vrai, et surtout on redécouvre cette évidence simple mais fondatrice, je pense, c'est que tu es assez. Tu es déjà assez. Pour créer une vie professionnelle, une vie personnelle qui te ressemble réellement. Que ce soit dans un milieu corporel, grosse entreprise, petite entreprise, ou à ton cours. Ce n'est pas un chemin forcément solitaire et si tu écoutes cet épisode, j'espère justement que ça viendra te alimenter ton carburant positif pour aller vers quelque chose de plus aligné avec toi. Alors bienvenue chez Resaturme. En ce mois de décembre, juste avant les fêtes, comme un cadeau de Noël justement, j'ai envie de t'emmener avec moi à travers 5 questions, 5 questionnements pour... faire un pas de côté et t'autoriser pour une fois à prendre un peu de temps pour toi et regarder à l'intérieur de toi ce qui vibre vraiment. Alors la première question va te sembler un peu bizarre, mais joue le jeu s'il te plaît jusqu'au bout. Imagine un instant, une scène très simple, tu es au bureau, il est 18h47, t'as presque fini ta journée et là un message arrive. Tu peux me faire ça pour demain matin s'il te plaît ? C'est urgent. Comme d'habitude, tu sens ton corps te dire non, non. 18h45 Stop ! Je ne prends pas de nouveaux dossiers, je n'ouvre pas de nouveaux sujets. Mais au lieu de dire non, tabou, je dis oui. Ce oui-là, tu le connais. C'est celui qui coûte de l'énergie. mais qui te donne l'illusion d'être utile, indispensable, irréprochable, alors ça flatte, ça flatte ton égo. Et moi j'aimerais que tu te poses la question, là tout de suite maintenant, imaginons un instant, si tu n'avais plus qu'un an à vivre, s'il n'y avait plus qu'un an sur ton agenda, est-ce que tu dirais encore oui ? C'est ça ma première question. Si tu avais juste un an, 365 jours à venir, qu'est-ce que tu arrêterais ? immédiatement, pas par paresse, par lucidité. Parce que certains oui-oui sont des fuites, des fuites en avant, des fuites pour se rassurer, pour flatter son ego. Parce que certaines tâches existent uniquement parce qu'on n'a jamais osé dire le premier non. Parce que tu ne peux pas vivre ta vie en pilotage automatique non plus et espérer te réveiller un jour aligné comme ça. Alors oui. Si sur ton agenda, là, tu ne voyais pas au-delà de l'année à venir, de 365 jours, qu'est-ce que tu arrêterais ? Est-ce que tu arrêterais de travailler ? Est-ce que tu arrêterais d'être en hypervigilance perpétuelle pour satisfaire les uns les autres au bureau ou à la maison ? Est-ce que tu arrêterais de dire oui, justement, alors que tout en toi dit non ? Oui, non, même, je dirais. Qu'est-ce que tu arrêterais de faire, de dire ou de ne pas dire ? Tu peux faire pause, je reste là. Maintenant, j'aimerais qu'on se pose une deuxième question. Qu'est-ce que tu commencerais enfin à faire ? Tu sais, il y a toujours cette idée, ce projet, cette envie qui trotte. Il y a ce projet, ce side project que tu gardes pour plus tard, ces cours que tu aimerais prendre de piano, de langue, ou cette formation que tu aimerais faire, mais que tu gardes pour quand ce sera le bon moment, pour quand tu auras un peu plus d'espace mental. Ou même, beaucoup de personnes qui ont rejoint Winter Reset m'ont dit que c'était tombé à point nommé parce que justement, ça faisait des semaines, voire des mois, que ces personnes se disaient il faut que je pense à la suite, là je suis à bout, il faut que je pense à la suite, mais j'ai pas l'espace. J'ai pas l'espace mental. Et c'est ça qui a fait que Winter Reset est tombé au bon moment pour beaucoup d'entre vous, c'est qu'on n'a jamais le temps, on s'autorise jamais à le faire. Et puis un jour, on se rend compte qu'il n'y avait jamais vraiment de bon moment et qu'il n'y aura jamais un agenda parfaitement dégagé non plus. Que tu repousses une version de toi qui te ferait pourtant profondément du bien. Alors imagine un instant, s'il ne restait qu'un an, qu'est-ce que tu commencerais tout de suite, là, maintenant, tout de suite ? Quelle action, petite ou grande, attends-tu depuis trop longtemps ? Prendre la parole ? Monter un side project ? Changer de rôle ? Oser, enfin, demander une augmentation ? ce poste, postuler à ce poste dont tu rêves, créer quelque chose ? Ou est-ce que tu commencerais à faire un sport dont tu rêves depuis longtemps, prendre des cours de guitare, prendre des cours de piano ? Personnellement, je pense que je continuerais, tu vois, à travailler, parce que je sais que je suis à la bonne place aujourd'hui. Et je sais que ce que je fais a de l'impact. Et créer cet impact, créer ce legacy, cet héritage, est quelque chose qui est important pour moi. Et j'adore cette idée, même si c'est juste une personne, juste une seule Merci. D'entre vous qui m'écoutez, si j'arrive à faire switcher ne serait-ce qu'une personne, à lui montrer que c'est possible, à ouvrir une porte qu'elle ne s'autorise pas à ouvrir, alors j'ai tout gagné. S'il ne me restait qu'un avis, je continuerais de travailler, je pense. Mais j'avoue que je pousserais un petit peu plus de temps à jouer, à introduire du fun dans mon quotidien. Apparemment, je suis un petit peu trop sérieuse. Et je crois que c'est quelque chose qui est assez vrai. Peut-être être un peu moins sérieuse, un peu plus fun, un peu plus dans la légèreté. Parce que oui, je pense qu'avec beaucoup de légèreté, on peut tout aussi bien être professionnelle et très sérieuse. Alors toi, qu'est-ce que tu ferais de plus ? Qu'est-ce que tu commenterais immédiatement à faire ? J'ai envie maintenant de t'emmener faire une troisième question. De quoi est-ce que j'arrêterais de me préoccuper ? Imagine-toi un instant à table pendant les fêtes, dans les semaines à venir, dans les jours à venir, en fonction de quand tu écoutes cet épisode. Entre deux parts de bûche, quelqu'un te demande « et sinon, tu comptes faire quoi après ? » Et dans ta tête, en moins d'une seconde, tu fais un audit complet de ta vie. Ça t'est déjà arrivé, je suis certaine. Ta carrière, ton salaire, ton couple, tes projets, ton apparence, tes choix, ta maison, ton appart, ta voiture. Alors que la personne en face te demande ça juste pour meubler la conversation. On a tendance à se préoccuper de tout, du regard des autres. de leur attente imaginaire, de leur réaction possible, même celles qui potentiellement n'existeront jamais. On projette nos peurs dans chacune des questions qui nous est posée. Alors pose-toi cette question. De quoi est-ce que j'arrêterais de me préoccuper si j'avais moins de temps ? Tu sais ce que tu pourrais découvrir ? Que 80% de tes soucis n'ont aucune importance. Qu'ils sont des héritages, des automatismes, des réflexes de survie dont tu as hérité depuis si longtemps que tu les as complètement intégrés. Des façons de penser. Que c'est déjà bien, le job, le salaire que tu as aujourd'hui, t'es pas à plaindre. Oui, mais si tu en veux plus, pourquoi pas ? qu'aujourd'hui, sur l'année à venir, dans cette année, tu aurais envie de passer plus de temps avec tes proches, tes parents, tes enfants, tes amis, tu n'en parles pas ? Oui, mais tu ne peux pas te le permettre. Tu imposes ta responsabilité. Tes équipes comptent sur toi, ton entreprise compte sur toi. Alors oui, très certainement, bien évidemment. Mais est-ce que le curseur ne pourrait pas être repositionné un peu autrement ? Tu pourrais découvrir en te posant ces questions à quel point ces héritages, ces automatismes de pensée sont devenus a priori pour toi des réflexes de survie, mais qui ne méritent plus ton énergie. Et surtout, qu'il est possible de fonctionner autrement. Après tout, tu as déjà réussi à créer cette carrière, pourquoi est-ce que tu n'arriverais pas à créer ? autrement, à fonctionner autrement. Reviens un instant, un an en arrière, deux ans en arrière ou cinq ans en arrière. Étais-tu la même personne que celle d'aujourd'hui ? Avais-tu les mêmes connaissances, les mêmes enthousiasmes, le même job ? Pas forcément. Donc imagine ce dont tu serais capable en un an, deux ans ou cinq ans. Je vais passer maintenant à la question 4. De quoi est-ce que je m'occuperais davantage ? Oui. De quoi est-ce que je m'occuperais davantage ? Tu connais ce moment où tu termines une journée entière sans avoir mis une seule fois ton attention sur quelque chose qui te fait du bien, qui te nourrit ? Pas une respiration, pas un mouvement de plaisir, pas un espace pour toi. Combien d'entre nous se lèvent à la fin de la journée complètement courbattus en se rendant compte qu'on a passé 4, 5, parfois plus, 6 heures assis, assises devant un ordinateur ? Et parfois aussi tu t'es occupé de tout le monde, de tout, de tout ce qu'il fallait gérer. de tout ce que l'on attendait de toi, mais pas de toi. Alors si ton temps devenait soudain précieux, ton temps à toi, mais vraiment précieux, de quoi est-ce que tu t'occuperais davantage ? De ton énergie ? De ta santé mentale ? De ta créativité ? De tes relations essentielles ? De ton leadership ? De ta vision ? De ce projet qui te tient à cœur ? De quoi est-ce que tu t'occuperais plus ? Cette question, elle remet un peu les choses à leur place. Ce n'est pas se prioriser. c'est cesser plutôt de s'oublier. Et je sais que très souvent, on a tendance à dire que c'est égoïste, ce qui, à mon avis, est complètement faux, puisqu'on ne peut pas être bien avec les autres si on n'est pas bien déjà avec soi-même. Quand tu es reposé, tu n'as pas du tout la même qualité de relation avec les uns et avec les autres que quand tu es au bout du rouleau, que tu n'en peux plus, que tu es à bout. Donc, j'aime beaucoup cette phrase de « ce n'est pas se prioriser, mais c'est cesser de s'oublier » . Donc, cette question 4, Et si tu cessais de t'oublier quelque part ? Si t'as vraiment pris le temps de t'interroger ou d'y réfléchir, et peut-être que même tu as fait pause sur cet épisode, j'aimerais faire un petit point avec toi avant de te poser la dernière question. Tu te souviens de ton état au début de cet épisode, avant même de démarrer ? Tu étais comment ? Mental chargé, énergie dispersée, l'impression d'être en mode survie peut-être en cette fin d'année ? Et maintenant ? Comment est-ce que tu te sens ? Est-ce que tu sens que quelque chose s'est ouvert ? Rien n'a changé extérieurement, mais quelque chose a bougé intérieurement. Pourquoi ? Parce qu'un changement de pensée crée un changement d'émotion. Et un changement d'émotion change les actions que l'on mène et change la physiologie intérieure. C'est le modèle de Brooke Castillo, tu l'as peut-être reconnu. Nos pensées, face à une situation extérieure, génèrent nos émotions. Et nos émotions ? sont le carburant de nos actions. C'est ce qui t'amène parfois, alors que tout est triste et morne autour de toi, à réussir à se soulever des montagnes. Et oui, nos émotions vont venir alimenter nos actions, ou nos non-actions d'ailleurs. Et c'est cette somme d'actions et de non-actions qui va générer le résultat qu'on va avoir. En tout cas, que l'on va créer nous personnellement, sur nos éléments en notre pouvoir. Et c'est aussi la base de la neurosciences prédictives. Ton cerveau N'attends pas la réalité pour fabriquer ton expérience. Il anticipe, il projette, il prédit. Et quand tu t'es projeté avec moi à travers cet épisode, dans une version plus essentielle de toi, très étrangement, il a ajusté ton modèle interne. Il l'a placé dans un espace de vérité. Et cet espace-là, ça change tout. Sauf que cet espace-là, on ne nous apprend pas à l'entretenir. On ne nous apprend pas à le nourrir. Ce que tu ressens maintenant, ce n'est pas de l'imaginaire. C'est ton système nerveux. qui vient de comprendre qu'il y a des ajustements qui sont possibles, que ces contraintes, ces obligations subies, ou en tout cas que tu ne pensais immuables, peuvent bouger. si tu le veux, un peu. Et que ça commence bien évidemment par toi, c'est certain, mais qu'il s'est possible de les faire boucher. Alors en cinquième question, c'est pourquoi tout à coup, si je te mets une contrainte de temps de un an, 365 jours, pourquoi est-ce que tes pensées changent ? Qu'est-ce que cela veut dire de toi et de la vie que tu as aujourd'hui ? Que si tout à coup tout s'arrêtait dans un an, tu vivrais complètement différemment ? Qu'est-ce que tu mettrais de plus ? Qu'est-ce que tu mettrais de moins dans ton quotidien ? À partir de là, ça peut être intéressant pour toi de commencer à ajuster ton quotidien. Et on n'a pas besoin de tout envoyer valser. On n'est pas obligé de tout recommencer à zéro. On n'est pas obligé de tout savoir, ni d'être à tendre, d'être prêt ou d'être prête. Parfois, il suffit d'oser d'un millimètre. Et ce millimètre, c'est le mouvement. Et le mouvement rappelle le mouvement, rappelle l'action. C'est ce fameux élan. Et je crois que je suis la preuve vivante. Oser, plus j'ose et plus j'ai envie d'oser, plus j'ose. et plus j'ai envie d'aller plus loin. Alors non, c'est pas simple tous les jours. Oui, il y a des doutes. Mais oui, cela ouvre des opportunités. Oui, cela ouvre des rencontres. Cela ouvre de la puissance et une confiance antérieure que je n'avais même pas imaginée. Alors pour moi, 2026 sera différente. Et j'espère pour toi aussi. Surtout si tu commences à choisir. Pas plus, mais mieux. Si tu commences à reprendre les rênes et reprendre ta puissance intérieure. Et oui, on n'a pas besoin de tout. tout envoyer vers le ciel. Et oui, on n'a pas besoin de faire ce chemin forcément tout seul. Trouve-toi tes pairs, trouve-toi ton groupe d'amis, de soutien. Bien évidemment que si t'as envie de te faire coacher, fais-toi coacher, mais parfois même sans coach. Autorise-toi à faire ce pas de côté, ces pas de côté, ces micro pas de côté aussi, peut-être parfois. Alors, je récapitule les cinq questions. Si on partait du principe qu'il ne te reste qu'un an devant toi, juste pour le jeu, Bien évidemment, juste pour la projection. Et s'il ne te restait qu'une année à vivre, qu'est-ce que tu arrêterais de faire ? Mais vraiment, qu'est-ce que tu arrêterais de faire immédiatement ? Deuxième question, qu'est-ce que tu commencerais à faire ? Qu'est-ce que tu commencerais à t'autoriser enfin ? Qu'est-ce que tu ne veux surtout pas rater ? Troisième question, de quoi est-ce que tu arrêterais de te préoccuper ? Qu'est-ce qui te pèse aujourd'hui, qui finalement n'a pas tant d'intérêt que ça ? Quatrième question, de quoi au contraire tu... t'occuperais plus ? Où aurais-tu envie d'investir plus de temps, plus d'énergie ? Et cinquième question, pourquoi est-ce que si on change cette contrainte de temps pour toi, dans ton monde à toi, dans ton univers à toi, tout à coup, ta façon de penser, de ressentir et d'agir change ? J'espère que ces cinq questions vont t'aider à faire le tri sur 2025 pour attaquer une année 2026 beaucoup plus puissante et alignée pour toi. Et si tu ne veux rien manquer, Tu peux t'inscrire à la newsletter de Reset Your Mind, le lien est dans les commentaires de l'épisode, ou tu peux venir directement sur le site internet reset-yourmind.com Je vous réserve un programme absolument dingue. Alors, on ne traverse pas un changement seul, et tu n'as pas à le faire seul. Et une chose est certaine, c'est que tu es déjà assez, et tu as déjà tout en toi pour y aller. C'est juste que sous les couches de « il faut » , « je dois » héritées depuis si longtemps, on les a un peu... trop profondément enfouie. Je vais te souhaiter de merveilleuses fêtes de fin d'année, un moment propice, je l'espère aussi, pour ne rien faire, pour t'autoriser à rien, pour t'autoriser à juste prendre le temps pour toi, à revenir à toi et à imaginer justement ce que tu pourrais faire sur cette année à venir, comme si c'était la dernière, pour la rendre inoubliable. Merci de mille fois d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous a plu. Si vous avez cinq minutes, prenez-les pour noter ou commenter cet épisode grâce à vos avis où cette churma commence à être connue. Et j'avoue que j'ai très envie de voir jusqu'où nous pouvons aller ensemble. À très vite !

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5 questions pour un vrai Reset avant 2026 : sortir de l’hypervigilance, retrouver de la clarté et penser autrement


Dans cet épisode de Reset Your Mind, Stéphanie Martin, Executive Coach et fondatrice du programme du même nom, vous emmène dans un espace rarement autorisé en entreprise : celui où l’on arrête de forcer, où l’on déprogramme les fausses contraintes, et où l’on recommence à penser autrement.


À l’approche des fêtes, alors que tout s’accélère et que l’hypervigilance devient presque un mode de management, Stéphanie propose 5 questions puissantes pour faire un véritable Reset mental. Pas un bilan. Pas une résolution. Un réalignement stratégique.


Vous découvrirez :
– Pourquoi votre cerveau s’épuise en fin d’année (et comment sortir du mode survie).
– Comment repérer les “oui” qui coûtent trop cher.
– Pourquoi changer une seule pensée peut modifier toute votre intention pour 2026 (modèle Brooke Castillo + neurosciences).
– Comment exploser les fausses obligations qui vous maintiennent en apnée.
– Et surtout : pourquoi vous êtes assez — déjà assez — pour cesser de vous sur-adapter.


Un épisode à écouter entre deux dossiers, dans un train bondé, ou coincé·e dans une file d’attente interminable pour acheter un cadeau qui n’était pas du tout prévu.
Parce que c’est précisément là que commence la clarté.


🎧 À propos de ce podcast :
Reset Your Mind est le podcast de Stéphanie Martin, Executive Coach, fondatrice du programme Reset Your Mind, et ancienne directrice du digital et du e-commerce.
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bienvenue chez Reset Your Mind, vous écoutez le 82ème épisode. Nous sommes à cette période très étrange de l'année où l'on commence à lire partout vivement les vacances. Je ne sais pas si c'est quelque chose que tu entends beaucoup autour de toi, mais j'arrête pas d'entendre ces phrases. Vivement la semaine prochaine, j'en peux plus. Vivement que cette année se termine. Tout en sachant, soyons bien honnêtes entre nous. que les dix prochains jours vont ressembler à un semi-marathon organisé dans un magasin de jouets où entre deux repas, deux courses, deux livraisons à finir de récupérer, d'emballer, etc. Et puis il y a bien évidemment le travail, tout ce qu'il faut boucler au bureau. Réparer les réunions qui n'auront lieu qu'en janvier, finaliser les budgets, que personne ne regardera forcément avant février, acheter un cadeau pour un cousin dont on ignore encore le prénom et tenter de mettre un peu de repos là-dedans. Alors c'est vrai, on appelle ça la magie des fêtes. Pour notre système nerveux, lui, c'est plutôt le sprint de fin d'année. Et on redémarre l'année suivante, pas forcément plus reposé. Alors aujourd'hui, alors que je suis en plein winter reset, avec un groupe de coachés vraiment très inspirés et très inspirants, j'avais envie de te proposer, dans cet épisode, une expérimentation. Sortir un petit peu du leadership, du contexte professionnel, ou du contexte du bien-être, ce genre de choses. j'avais envie de te proposer cinq questions, de te poser à toi cinq questions pour t'accompagner sur cette fin d'année. Alors, promis, ce ne sont pas des questions pour faire joli. Ce sont des questions qui déplacent les choses. Certaines vont te sembler un peu étranges, peut-être. Certaines vont aussi te déranger, c'est possible. Et pour que tu puisses vraiment entrer dans cet espace, je vais t'emmener dans cinq petits moments de vie. Cinq scènes dans lesquelles je vais te reconnaître et j'espère que ces cinq scènes seront des points pivots pour toi. Alors. C'est prêt ? Installe-toi et je t'emmène avec moi. À toi qui écoute cet épisode, peut-être pour la première fois ou au contraire qui nous suit depuis longtemps, merci. Merci de prendre ce temps. Je suis ravie de pouvoir échanger à travers les ondes avec toi, à travers tes messages aussi que tu peux m'envoyer parfois en message privé ou en commentaire sous les posts. C'est... pour moi vraiment très important de repartager tout ce que j'ai pu ouvrir comme porte à la dure ou à la douce, peu importe et aussi échanger avec toi pour faire bouger les choses. Donc déjà merci infiniment Tonton et à toi qui écoute cet épisode peut-être en finissant ton année avec cette impression étrange d'avoir beaucoup donné et de ne pas vraiment peut-être retrouver je le répète souvent, le set your mind c'est pas un espace pour performer plus C'est un espace pour déprogrammer ce qui t'a tenu trop longtemps sous l'eau, les fausses obligations, les exigences qui ne sont pas les tiennes, les rôles que tu as endossés pour être à la hauteur, et ce côté de toujours prouver que nous sommes à notre place. Ici, on ne cherche pas à s'améliorer coûte qu'au coûte. Je vous invite plutôt à refaire surface, à libérer de l'espace dans la tête, à relâcher la pression inutile, à exploser, je dirais, ces contraintes que l'on s'est imposées, que l'on nous a imposées. et faire ce pas de côté pour voir les choses sous un angle un peu différent. Parce que oui, il y a toujours une autre option possible. Alors le set your mind, c'est un lieu où on remet aussi du fun, de la légèreté, du vrai, et surtout on redécouvre cette évidence simple mais fondatrice, je pense, c'est que tu es assez. Tu es déjà assez. Pour créer une vie professionnelle, une vie personnelle qui te ressemble réellement. Que ce soit dans un milieu corporel, grosse entreprise, petite entreprise, ou à ton cours. Ce n'est pas un chemin forcément solitaire et si tu écoutes cet épisode, j'espère justement que ça viendra te alimenter ton carburant positif pour aller vers quelque chose de plus aligné avec toi. Alors bienvenue chez Resaturme. En ce mois de décembre, juste avant les fêtes, comme un cadeau de Noël justement, j'ai envie de t'emmener avec moi à travers 5 questions, 5 questionnements pour... faire un pas de côté et t'autoriser pour une fois à prendre un peu de temps pour toi et regarder à l'intérieur de toi ce qui vibre vraiment. Alors la première question va te sembler un peu bizarre, mais joue le jeu s'il te plaît jusqu'au bout. Imagine un instant, une scène très simple, tu es au bureau, il est 18h47, t'as presque fini ta journée et là un message arrive. Tu peux me faire ça pour demain matin s'il te plaît ? C'est urgent. Comme d'habitude, tu sens ton corps te dire non, non. 18h45 Stop ! Je ne prends pas de nouveaux dossiers, je n'ouvre pas de nouveaux sujets. Mais au lieu de dire non, tabou, je dis oui. Ce oui-là, tu le connais. C'est celui qui coûte de l'énergie. mais qui te donne l'illusion d'être utile, indispensable, irréprochable, alors ça flatte, ça flatte ton égo. Et moi j'aimerais que tu te poses la question, là tout de suite maintenant, imaginons un instant, si tu n'avais plus qu'un an à vivre, s'il n'y avait plus qu'un an sur ton agenda, est-ce que tu dirais encore oui ? C'est ça ma première question. Si tu avais juste un an, 365 jours à venir, qu'est-ce que tu arrêterais ? immédiatement, pas par paresse, par lucidité. Parce que certains oui-oui sont des fuites, des fuites en avant, des fuites pour se rassurer, pour flatter son ego. Parce que certaines tâches existent uniquement parce qu'on n'a jamais osé dire le premier non. Parce que tu ne peux pas vivre ta vie en pilotage automatique non plus et espérer te réveiller un jour aligné comme ça. Alors oui. Si sur ton agenda, là, tu ne voyais pas au-delà de l'année à venir, de 365 jours, qu'est-ce que tu arrêterais ? Est-ce que tu arrêterais de travailler ? Est-ce que tu arrêterais d'être en hypervigilance perpétuelle pour satisfaire les uns les autres au bureau ou à la maison ? Est-ce que tu arrêterais de dire oui, justement, alors que tout en toi dit non ? Oui, non, même, je dirais. Qu'est-ce que tu arrêterais de faire, de dire ou de ne pas dire ? Tu peux faire pause, je reste là. Maintenant, j'aimerais qu'on se pose une deuxième question. Qu'est-ce que tu commencerais enfin à faire ? Tu sais, il y a toujours cette idée, ce projet, cette envie qui trotte. Il y a ce projet, ce side project que tu gardes pour plus tard, ces cours que tu aimerais prendre de piano, de langue, ou cette formation que tu aimerais faire, mais que tu gardes pour quand ce sera le bon moment, pour quand tu auras un peu plus d'espace mental. Ou même, beaucoup de personnes qui ont rejoint Winter Reset m'ont dit que c'était tombé à point nommé parce que justement, ça faisait des semaines, voire des mois, que ces personnes se disaient il faut que je pense à la suite, là je suis à bout, il faut que je pense à la suite, mais j'ai pas l'espace. J'ai pas l'espace mental. Et c'est ça qui a fait que Winter Reset est tombé au bon moment pour beaucoup d'entre vous, c'est qu'on n'a jamais le temps, on s'autorise jamais à le faire. Et puis un jour, on se rend compte qu'il n'y avait jamais vraiment de bon moment et qu'il n'y aura jamais un agenda parfaitement dégagé non plus. Que tu repousses une version de toi qui te ferait pourtant profondément du bien. Alors imagine un instant, s'il ne restait qu'un an, qu'est-ce que tu commencerais tout de suite, là, maintenant, tout de suite ? Quelle action, petite ou grande, attends-tu depuis trop longtemps ? Prendre la parole ? Monter un side project ? Changer de rôle ? Oser, enfin, demander une augmentation ? ce poste, postuler à ce poste dont tu rêves, créer quelque chose ? Ou est-ce que tu commencerais à faire un sport dont tu rêves depuis longtemps, prendre des cours de guitare, prendre des cours de piano ? Personnellement, je pense que je continuerais, tu vois, à travailler, parce que je sais que je suis à la bonne place aujourd'hui. Et je sais que ce que je fais a de l'impact. Et créer cet impact, créer ce legacy, cet héritage, est quelque chose qui est important pour moi. Et j'adore cette idée, même si c'est juste une personne, juste une seule Merci. D'entre vous qui m'écoutez, si j'arrive à faire switcher ne serait-ce qu'une personne, à lui montrer que c'est possible, à ouvrir une porte qu'elle ne s'autorise pas à ouvrir, alors j'ai tout gagné. S'il ne me restait qu'un avis, je continuerais de travailler, je pense. Mais j'avoue que je pousserais un petit peu plus de temps à jouer, à introduire du fun dans mon quotidien. Apparemment, je suis un petit peu trop sérieuse. Et je crois que c'est quelque chose qui est assez vrai. Peut-être être un peu moins sérieuse, un peu plus fun, un peu plus dans la légèreté. Parce que oui, je pense qu'avec beaucoup de légèreté, on peut tout aussi bien être professionnelle et très sérieuse. Alors toi, qu'est-ce que tu ferais de plus ? Qu'est-ce que tu commenterais immédiatement à faire ? J'ai envie maintenant de t'emmener faire une troisième question. De quoi est-ce que j'arrêterais de me préoccuper ? Imagine-toi un instant à table pendant les fêtes, dans les semaines à venir, dans les jours à venir, en fonction de quand tu écoutes cet épisode. Entre deux parts de bûche, quelqu'un te demande « et sinon, tu comptes faire quoi après ? » Et dans ta tête, en moins d'une seconde, tu fais un audit complet de ta vie. Ça t'est déjà arrivé, je suis certaine. Ta carrière, ton salaire, ton couple, tes projets, ton apparence, tes choix, ta maison, ton appart, ta voiture. Alors que la personne en face te demande ça juste pour meubler la conversation. On a tendance à se préoccuper de tout, du regard des autres. de leur attente imaginaire, de leur réaction possible, même celles qui potentiellement n'existeront jamais. On projette nos peurs dans chacune des questions qui nous est posée. Alors pose-toi cette question. De quoi est-ce que j'arrêterais de me préoccuper si j'avais moins de temps ? Tu sais ce que tu pourrais découvrir ? Que 80% de tes soucis n'ont aucune importance. Qu'ils sont des héritages, des automatismes, des réflexes de survie dont tu as hérité depuis si longtemps que tu les as complètement intégrés. Des façons de penser. Que c'est déjà bien, le job, le salaire que tu as aujourd'hui, t'es pas à plaindre. Oui, mais si tu en veux plus, pourquoi pas ? qu'aujourd'hui, sur l'année à venir, dans cette année, tu aurais envie de passer plus de temps avec tes proches, tes parents, tes enfants, tes amis, tu n'en parles pas ? Oui, mais tu ne peux pas te le permettre. Tu imposes ta responsabilité. Tes équipes comptent sur toi, ton entreprise compte sur toi. Alors oui, très certainement, bien évidemment. Mais est-ce que le curseur ne pourrait pas être repositionné un peu autrement ? Tu pourrais découvrir en te posant ces questions à quel point ces héritages, ces automatismes de pensée sont devenus a priori pour toi des réflexes de survie, mais qui ne méritent plus ton énergie. Et surtout, qu'il est possible de fonctionner autrement. Après tout, tu as déjà réussi à créer cette carrière, pourquoi est-ce que tu n'arriverais pas à créer ? autrement, à fonctionner autrement. Reviens un instant, un an en arrière, deux ans en arrière ou cinq ans en arrière. Étais-tu la même personne que celle d'aujourd'hui ? Avais-tu les mêmes connaissances, les mêmes enthousiasmes, le même job ? Pas forcément. Donc imagine ce dont tu serais capable en un an, deux ans ou cinq ans. Je vais passer maintenant à la question 4. De quoi est-ce que je m'occuperais davantage ? Oui. De quoi est-ce que je m'occuperais davantage ? Tu connais ce moment où tu termines une journée entière sans avoir mis une seule fois ton attention sur quelque chose qui te fait du bien, qui te nourrit ? Pas une respiration, pas un mouvement de plaisir, pas un espace pour toi. Combien d'entre nous se lèvent à la fin de la journée complètement courbattus en se rendant compte qu'on a passé 4, 5, parfois plus, 6 heures assis, assises devant un ordinateur ? Et parfois aussi tu t'es occupé de tout le monde, de tout, de tout ce qu'il fallait gérer. de tout ce que l'on attendait de toi, mais pas de toi. Alors si ton temps devenait soudain précieux, ton temps à toi, mais vraiment précieux, de quoi est-ce que tu t'occuperais davantage ? De ton énergie ? De ta santé mentale ? De ta créativité ? De tes relations essentielles ? De ton leadership ? De ta vision ? De ce projet qui te tient à cœur ? De quoi est-ce que tu t'occuperais plus ? Cette question, elle remet un peu les choses à leur place. Ce n'est pas se prioriser. c'est cesser plutôt de s'oublier. Et je sais que très souvent, on a tendance à dire que c'est égoïste, ce qui, à mon avis, est complètement faux, puisqu'on ne peut pas être bien avec les autres si on n'est pas bien déjà avec soi-même. Quand tu es reposé, tu n'as pas du tout la même qualité de relation avec les uns et avec les autres que quand tu es au bout du rouleau, que tu n'en peux plus, que tu es à bout. Donc, j'aime beaucoup cette phrase de « ce n'est pas se prioriser, mais c'est cesser de s'oublier » . Donc, cette question 4, Et si tu cessais de t'oublier quelque part ? Si t'as vraiment pris le temps de t'interroger ou d'y réfléchir, et peut-être que même tu as fait pause sur cet épisode, j'aimerais faire un petit point avec toi avant de te poser la dernière question. Tu te souviens de ton état au début de cet épisode, avant même de démarrer ? Tu étais comment ? Mental chargé, énergie dispersée, l'impression d'être en mode survie peut-être en cette fin d'année ? Et maintenant ? Comment est-ce que tu te sens ? Est-ce que tu sens que quelque chose s'est ouvert ? Rien n'a changé extérieurement, mais quelque chose a bougé intérieurement. Pourquoi ? Parce qu'un changement de pensée crée un changement d'émotion. Et un changement d'émotion change les actions que l'on mène et change la physiologie intérieure. C'est le modèle de Brooke Castillo, tu l'as peut-être reconnu. Nos pensées, face à une situation extérieure, génèrent nos émotions. Et nos émotions ? sont le carburant de nos actions. C'est ce qui t'amène parfois, alors que tout est triste et morne autour de toi, à réussir à se soulever des montagnes. Et oui, nos émotions vont venir alimenter nos actions, ou nos non-actions d'ailleurs. Et c'est cette somme d'actions et de non-actions qui va générer le résultat qu'on va avoir. En tout cas, que l'on va créer nous personnellement, sur nos éléments en notre pouvoir. Et c'est aussi la base de la neurosciences prédictives. Ton cerveau N'attends pas la réalité pour fabriquer ton expérience. Il anticipe, il projette, il prédit. Et quand tu t'es projeté avec moi à travers cet épisode, dans une version plus essentielle de toi, très étrangement, il a ajusté ton modèle interne. Il l'a placé dans un espace de vérité. Et cet espace-là, ça change tout. Sauf que cet espace-là, on ne nous apprend pas à l'entretenir. On ne nous apprend pas à le nourrir. Ce que tu ressens maintenant, ce n'est pas de l'imaginaire. C'est ton système nerveux. qui vient de comprendre qu'il y a des ajustements qui sont possibles, que ces contraintes, ces obligations subies, ou en tout cas que tu ne pensais immuables, peuvent bouger. si tu le veux, un peu. Et que ça commence bien évidemment par toi, c'est certain, mais qu'il s'est possible de les faire boucher. Alors en cinquième question, c'est pourquoi tout à coup, si je te mets une contrainte de temps de un an, 365 jours, pourquoi est-ce que tes pensées changent ? Qu'est-ce que cela veut dire de toi et de la vie que tu as aujourd'hui ? Que si tout à coup tout s'arrêtait dans un an, tu vivrais complètement différemment ? Qu'est-ce que tu mettrais de plus ? Qu'est-ce que tu mettrais de moins dans ton quotidien ? À partir de là, ça peut être intéressant pour toi de commencer à ajuster ton quotidien. Et on n'a pas besoin de tout envoyer valser. On n'est pas obligé de tout recommencer à zéro. On n'est pas obligé de tout savoir, ni d'être à tendre, d'être prêt ou d'être prête. Parfois, il suffit d'oser d'un millimètre. Et ce millimètre, c'est le mouvement. Et le mouvement rappelle le mouvement, rappelle l'action. C'est ce fameux élan. Et je crois que je suis la preuve vivante. Oser, plus j'ose et plus j'ai envie d'oser, plus j'ose. et plus j'ai envie d'aller plus loin. Alors non, c'est pas simple tous les jours. Oui, il y a des doutes. Mais oui, cela ouvre des opportunités. Oui, cela ouvre des rencontres. Cela ouvre de la puissance et une confiance antérieure que je n'avais même pas imaginée. Alors pour moi, 2026 sera différente. Et j'espère pour toi aussi. Surtout si tu commences à choisir. Pas plus, mais mieux. Si tu commences à reprendre les rênes et reprendre ta puissance intérieure. Et oui, on n'a pas besoin de tout. tout envoyer vers le ciel. Et oui, on n'a pas besoin de faire ce chemin forcément tout seul. Trouve-toi tes pairs, trouve-toi ton groupe d'amis, de soutien. Bien évidemment que si t'as envie de te faire coacher, fais-toi coacher, mais parfois même sans coach. Autorise-toi à faire ce pas de côté, ces pas de côté, ces micro pas de côté aussi, peut-être parfois. Alors, je récapitule les cinq questions. Si on partait du principe qu'il ne te reste qu'un an devant toi, juste pour le jeu, Bien évidemment, juste pour la projection. Et s'il ne te restait qu'une année à vivre, qu'est-ce que tu arrêterais de faire ? Mais vraiment, qu'est-ce que tu arrêterais de faire immédiatement ? Deuxième question, qu'est-ce que tu commencerais à faire ? Qu'est-ce que tu commencerais à t'autoriser enfin ? Qu'est-ce que tu ne veux surtout pas rater ? Troisième question, de quoi est-ce que tu arrêterais de te préoccuper ? Qu'est-ce qui te pèse aujourd'hui, qui finalement n'a pas tant d'intérêt que ça ? Quatrième question, de quoi au contraire tu... t'occuperais plus ? Où aurais-tu envie d'investir plus de temps, plus d'énergie ? Et cinquième question, pourquoi est-ce que si on change cette contrainte de temps pour toi, dans ton monde à toi, dans ton univers à toi, tout à coup, ta façon de penser, de ressentir et d'agir change ? J'espère que ces cinq questions vont t'aider à faire le tri sur 2025 pour attaquer une année 2026 beaucoup plus puissante et alignée pour toi. Et si tu ne veux rien manquer, Tu peux t'inscrire à la newsletter de Reset Your Mind, le lien est dans les commentaires de l'épisode, ou tu peux venir directement sur le site internet reset-yourmind.com Je vous réserve un programme absolument dingue. Alors, on ne traverse pas un changement seul, et tu n'as pas à le faire seul. Et une chose est certaine, c'est que tu es déjà assez, et tu as déjà tout en toi pour y aller. C'est juste que sous les couches de « il faut » , « je dois » héritées depuis si longtemps, on les a un peu... trop profondément enfouie. Je vais te souhaiter de merveilleuses fêtes de fin d'année, un moment propice, je l'espère aussi, pour ne rien faire, pour t'autoriser à rien, pour t'autoriser à juste prendre le temps pour toi, à revenir à toi et à imaginer justement ce que tu pourrais faire sur cette année à venir, comme si c'était la dernière, pour la rendre inoubliable. Merci de mille fois d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous a plu. Si vous avez cinq minutes, prenez-les pour noter ou commenter cet épisode grâce à vos avis où cette churma commence à être connue. Et j'avoue que j'ai très envie de voir jusqu'où nous pouvons aller ensemble. À très vite !

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5 questions pour un vrai Reset avant 2026 : sortir de l’hypervigilance, retrouver de la clarté et penser autrement


Dans cet épisode de Reset Your Mind, Stéphanie Martin, Executive Coach et fondatrice du programme du même nom, vous emmène dans un espace rarement autorisé en entreprise : celui où l’on arrête de forcer, où l’on déprogramme les fausses contraintes, et où l’on recommence à penser autrement.


À l’approche des fêtes, alors que tout s’accélère et que l’hypervigilance devient presque un mode de management, Stéphanie propose 5 questions puissantes pour faire un véritable Reset mental. Pas un bilan. Pas une résolution. Un réalignement stratégique.


Vous découvrirez :
– Pourquoi votre cerveau s’épuise en fin d’année (et comment sortir du mode survie).
– Comment repérer les “oui” qui coûtent trop cher.
– Pourquoi changer une seule pensée peut modifier toute votre intention pour 2026 (modèle Brooke Castillo + neurosciences).
– Comment exploser les fausses obligations qui vous maintiennent en apnée.
– Et surtout : pourquoi vous êtes assez — déjà assez — pour cesser de vous sur-adapter.


Un épisode à écouter entre deux dossiers, dans un train bondé, ou coincé·e dans une file d’attente interminable pour acheter un cadeau qui n’était pas du tout prévu.
Parce que c’est précisément là que commence la clarté.


🎧 À propos de ce podcast :
Reset Your Mind est le podcast de Stéphanie Martin, Executive Coach, fondatrice du programme Reset Your Mind, et ancienne directrice du digital et du e-commerce.
Chaque épisode propose un pas de côté pour repenser nos manières de travailler, diriger, décider et influencer avec lucidité, exigence et humanité.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue chez Reset Your Mind, vous écoutez le 82ème épisode. Nous sommes à cette période très étrange de l'année où l'on commence à lire partout vivement les vacances. Je ne sais pas si c'est quelque chose que tu entends beaucoup autour de toi, mais j'arrête pas d'entendre ces phrases. Vivement la semaine prochaine, j'en peux plus. Vivement que cette année se termine. Tout en sachant, soyons bien honnêtes entre nous. que les dix prochains jours vont ressembler à un semi-marathon organisé dans un magasin de jouets où entre deux repas, deux courses, deux livraisons à finir de récupérer, d'emballer, etc. Et puis il y a bien évidemment le travail, tout ce qu'il faut boucler au bureau. Réparer les réunions qui n'auront lieu qu'en janvier, finaliser les budgets, que personne ne regardera forcément avant février, acheter un cadeau pour un cousin dont on ignore encore le prénom et tenter de mettre un peu de repos là-dedans. Alors c'est vrai, on appelle ça la magie des fêtes. Pour notre système nerveux, lui, c'est plutôt le sprint de fin d'année. Et on redémarre l'année suivante, pas forcément plus reposé. Alors aujourd'hui, alors que je suis en plein winter reset, avec un groupe de coachés vraiment très inspirés et très inspirants, j'avais envie de te proposer, dans cet épisode, une expérimentation. Sortir un petit peu du leadership, du contexte professionnel, ou du contexte du bien-être, ce genre de choses. j'avais envie de te proposer cinq questions, de te poser à toi cinq questions pour t'accompagner sur cette fin d'année. Alors, promis, ce ne sont pas des questions pour faire joli. Ce sont des questions qui déplacent les choses. Certaines vont te sembler un peu étranges, peut-être. Certaines vont aussi te déranger, c'est possible. Et pour que tu puisses vraiment entrer dans cet espace, je vais t'emmener dans cinq petits moments de vie. Cinq scènes dans lesquelles je vais te reconnaître et j'espère que ces cinq scènes seront des points pivots pour toi. Alors. C'est prêt ? Installe-toi et je t'emmène avec moi. À toi qui écoute cet épisode, peut-être pour la première fois ou au contraire qui nous suit depuis longtemps, merci. Merci de prendre ce temps. Je suis ravie de pouvoir échanger à travers les ondes avec toi, à travers tes messages aussi que tu peux m'envoyer parfois en message privé ou en commentaire sous les posts. C'est... pour moi vraiment très important de repartager tout ce que j'ai pu ouvrir comme porte à la dure ou à la douce, peu importe et aussi échanger avec toi pour faire bouger les choses. Donc déjà merci infiniment Tonton et à toi qui écoute cet épisode peut-être en finissant ton année avec cette impression étrange d'avoir beaucoup donné et de ne pas vraiment peut-être retrouver je le répète souvent, le set your mind c'est pas un espace pour performer plus C'est un espace pour déprogrammer ce qui t'a tenu trop longtemps sous l'eau, les fausses obligations, les exigences qui ne sont pas les tiennes, les rôles que tu as endossés pour être à la hauteur, et ce côté de toujours prouver que nous sommes à notre place. Ici, on ne cherche pas à s'améliorer coûte qu'au coûte. Je vous invite plutôt à refaire surface, à libérer de l'espace dans la tête, à relâcher la pression inutile, à exploser, je dirais, ces contraintes que l'on s'est imposées, que l'on nous a imposées. et faire ce pas de côté pour voir les choses sous un angle un peu différent. Parce que oui, il y a toujours une autre option possible. Alors le set your mind, c'est un lieu où on remet aussi du fun, de la légèreté, du vrai, et surtout on redécouvre cette évidence simple mais fondatrice, je pense, c'est que tu es assez. Tu es déjà assez. Pour créer une vie professionnelle, une vie personnelle qui te ressemble réellement. Que ce soit dans un milieu corporel, grosse entreprise, petite entreprise, ou à ton cours. Ce n'est pas un chemin forcément solitaire et si tu écoutes cet épisode, j'espère justement que ça viendra te alimenter ton carburant positif pour aller vers quelque chose de plus aligné avec toi. Alors bienvenue chez Resaturme. En ce mois de décembre, juste avant les fêtes, comme un cadeau de Noël justement, j'ai envie de t'emmener avec moi à travers 5 questions, 5 questionnements pour... faire un pas de côté et t'autoriser pour une fois à prendre un peu de temps pour toi et regarder à l'intérieur de toi ce qui vibre vraiment. Alors la première question va te sembler un peu bizarre, mais joue le jeu s'il te plaît jusqu'au bout. Imagine un instant, une scène très simple, tu es au bureau, il est 18h47, t'as presque fini ta journée et là un message arrive. Tu peux me faire ça pour demain matin s'il te plaît ? C'est urgent. Comme d'habitude, tu sens ton corps te dire non, non. 18h45 Stop ! Je ne prends pas de nouveaux dossiers, je n'ouvre pas de nouveaux sujets. Mais au lieu de dire non, tabou, je dis oui. Ce oui-là, tu le connais. C'est celui qui coûte de l'énergie. mais qui te donne l'illusion d'être utile, indispensable, irréprochable, alors ça flatte, ça flatte ton égo. Et moi j'aimerais que tu te poses la question, là tout de suite maintenant, imaginons un instant, si tu n'avais plus qu'un an à vivre, s'il n'y avait plus qu'un an sur ton agenda, est-ce que tu dirais encore oui ? C'est ça ma première question. Si tu avais juste un an, 365 jours à venir, qu'est-ce que tu arrêterais ? immédiatement, pas par paresse, par lucidité. Parce que certains oui-oui sont des fuites, des fuites en avant, des fuites pour se rassurer, pour flatter son ego. Parce que certaines tâches existent uniquement parce qu'on n'a jamais osé dire le premier non. Parce que tu ne peux pas vivre ta vie en pilotage automatique non plus et espérer te réveiller un jour aligné comme ça. Alors oui. Si sur ton agenda, là, tu ne voyais pas au-delà de l'année à venir, de 365 jours, qu'est-ce que tu arrêterais ? Est-ce que tu arrêterais de travailler ? Est-ce que tu arrêterais d'être en hypervigilance perpétuelle pour satisfaire les uns les autres au bureau ou à la maison ? Est-ce que tu arrêterais de dire oui, justement, alors que tout en toi dit non ? Oui, non, même, je dirais. Qu'est-ce que tu arrêterais de faire, de dire ou de ne pas dire ? Tu peux faire pause, je reste là. Maintenant, j'aimerais qu'on se pose une deuxième question. Qu'est-ce que tu commencerais enfin à faire ? Tu sais, il y a toujours cette idée, ce projet, cette envie qui trotte. Il y a ce projet, ce side project que tu gardes pour plus tard, ces cours que tu aimerais prendre de piano, de langue, ou cette formation que tu aimerais faire, mais que tu gardes pour quand ce sera le bon moment, pour quand tu auras un peu plus d'espace mental. Ou même, beaucoup de personnes qui ont rejoint Winter Reset m'ont dit que c'était tombé à point nommé parce que justement, ça faisait des semaines, voire des mois, que ces personnes se disaient il faut que je pense à la suite, là je suis à bout, il faut que je pense à la suite, mais j'ai pas l'espace. J'ai pas l'espace mental. Et c'est ça qui a fait que Winter Reset est tombé au bon moment pour beaucoup d'entre vous, c'est qu'on n'a jamais le temps, on s'autorise jamais à le faire. Et puis un jour, on se rend compte qu'il n'y avait jamais vraiment de bon moment et qu'il n'y aura jamais un agenda parfaitement dégagé non plus. Que tu repousses une version de toi qui te ferait pourtant profondément du bien. Alors imagine un instant, s'il ne restait qu'un an, qu'est-ce que tu commencerais tout de suite, là, maintenant, tout de suite ? Quelle action, petite ou grande, attends-tu depuis trop longtemps ? Prendre la parole ? Monter un side project ? Changer de rôle ? Oser, enfin, demander une augmentation ? ce poste, postuler à ce poste dont tu rêves, créer quelque chose ? Ou est-ce que tu commencerais à faire un sport dont tu rêves depuis longtemps, prendre des cours de guitare, prendre des cours de piano ? Personnellement, je pense que je continuerais, tu vois, à travailler, parce que je sais que je suis à la bonne place aujourd'hui. Et je sais que ce que je fais a de l'impact. Et créer cet impact, créer ce legacy, cet héritage, est quelque chose qui est important pour moi. Et j'adore cette idée, même si c'est juste une personne, juste une seule Merci. D'entre vous qui m'écoutez, si j'arrive à faire switcher ne serait-ce qu'une personne, à lui montrer que c'est possible, à ouvrir une porte qu'elle ne s'autorise pas à ouvrir, alors j'ai tout gagné. S'il ne me restait qu'un avis, je continuerais de travailler, je pense. Mais j'avoue que je pousserais un petit peu plus de temps à jouer, à introduire du fun dans mon quotidien. Apparemment, je suis un petit peu trop sérieuse. Et je crois que c'est quelque chose qui est assez vrai. Peut-être être un peu moins sérieuse, un peu plus fun, un peu plus dans la légèreté. Parce que oui, je pense qu'avec beaucoup de légèreté, on peut tout aussi bien être professionnelle et très sérieuse. Alors toi, qu'est-ce que tu ferais de plus ? Qu'est-ce que tu commenterais immédiatement à faire ? J'ai envie maintenant de t'emmener faire une troisième question. De quoi est-ce que j'arrêterais de me préoccuper ? Imagine-toi un instant à table pendant les fêtes, dans les semaines à venir, dans les jours à venir, en fonction de quand tu écoutes cet épisode. Entre deux parts de bûche, quelqu'un te demande « et sinon, tu comptes faire quoi après ? » Et dans ta tête, en moins d'une seconde, tu fais un audit complet de ta vie. Ça t'est déjà arrivé, je suis certaine. Ta carrière, ton salaire, ton couple, tes projets, ton apparence, tes choix, ta maison, ton appart, ta voiture. Alors que la personne en face te demande ça juste pour meubler la conversation. On a tendance à se préoccuper de tout, du regard des autres. de leur attente imaginaire, de leur réaction possible, même celles qui potentiellement n'existeront jamais. On projette nos peurs dans chacune des questions qui nous est posée. Alors pose-toi cette question. De quoi est-ce que j'arrêterais de me préoccuper si j'avais moins de temps ? Tu sais ce que tu pourrais découvrir ? Que 80% de tes soucis n'ont aucune importance. Qu'ils sont des héritages, des automatismes, des réflexes de survie dont tu as hérité depuis si longtemps que tu les as complètement intégrés. Des façons de penser. Que c'est déjà bien, le job, le salaire que tu as aujourd'hui, t'es pas à plaindre. Oui, mais si tu en veux plus, pourquoi pas ? qu'aujourd'hui, sur l'année à venir, dans cette année, tu aurais envie de passer plus de temps avec tes proches, tes parents, tes enfants, tes amis, tu n'en parles pas ? Oui, mais tu ne peux pas te le permettre. Tu imposes ta responsabilité. Tes équipes comptent sur toi, ton entreprise compte sur toi. Alors oui, très certainement, bien évidemment. Mais est-ce que le curseur ne pourrait pas être repositionné un peu autrement ? Tu pourrais découvrir en te posant ces questions à quel point ces héritages, ces automatismes de pensée sont devenus a priori pour toi des réflexes de survie, mais qui ne méritent plus ton énergie. Et surtout, qu'il est possible de fonctionner autrement. Après tout, tu as déjà réussi à créer cette carrière, pourquoi est-ce que tu n'arriverais pas à créer ? autrement, à fonctionner autrement. Reviens un instant, un an en arrière, deux ans en arrière ou cinq ans en arrière. Étais-tu la même personne que celle d'aujourd'hui ? Avais-tu les mêmes connaissances, les mêmes enthousiasmes, le même job ? Pas forcément. Donc imagine ce dont tu serais capable en un an, deux ans ou cinq ans. Je vais passer maintenant à la question 4. De quoi est-ce que je m'occuperais davantage ? Oui. De quoi est-ce que je m'occuperais davantage ? Tu connais ce moment où tu termines une journée entière sans avoir mis une seule fois ton attention sur quelque chose qui te fait du bien, qui te nourrit ? Pas une respiration, pas un mouvement de plaisir, pas un espace pour toi. Combien d'entre nous se lèvent à la fin de la journée complètement courbattus en se rendant compte qu'on a passé 4, 5, parfois plus, 6 heures assis, assises devant un ordinateur ? Et parfois aussi tu t'es occupé de tout le monde, de tout, de tout ce qu'il fallait gérer. de tout ce que l'on attendait de toi, mais pas de toi. Alors si ton temps devenait soudain précieux, ton temps à toi, mais vraiment précieux, de quoi est-ce que tu t'occuperais davantage ? De ton énergie ? De ta santé mentale ? De ta créativité ? De tes relations essentielles ? De ton leadership ? De ta vision ? De ce projet qui te tient à cœur ? De quoi est-ce que tu t'occuperais plus ? Cette question, elle remet un peu les choses à leur place. Ce n'est pas se prioriser. c'est cesser plutôt de s'oublier. Et je sais que très souvent, on a tendance à dire que c'est égoïste, ce qui, à mon avis, est complètement faux, puisqu'on ne peut pas être bien avec les autres si on n'est pas bien déjà avec soi-même. Quand tu es reposé, tu n'as pas du tout la même qualité de relation avec les uns et avec les autres que quand tu es au bout du rouleau, que tu n'en peux plus, que tu es à bout. Donc, j'aime beaucoup cette phrase de « ce n'est pas se prioriser, mais c'est cesser de s'oublier » . Donc, cette question 4, Et si tu cessais de t'oublier quelque part ? Si t'as vraiment pris le temps de t'interroger ou d'y réfléchir, et peut-être que même tu as fait pause sur cet épisode, j'aimerais faire un petit point avec toi avant de te poser la dernière question. Tu te souviens de ton état au début de cet épisode, avant même de démarrer ? Tu étais comment ? Mental chargé, énergie dispersée, l'impression d'être en mode survie peut-être en cette fin d'année ? Et maintenant ? Comment est-ce que tu te sens ? Est-ce que tu sens que quelque chose s'est ouvert ? Rien n'a changé extérieurement, mais quelque chose a bougé intérieurement. Pourquoi ? Parce qu'un changement de pensée crée un changement d'émotion. Et un changement d'émotion change les actions que l'on mène et change la physiologie intérieure. C'est le modèle de Brooke Castillo, tu l'as peut-être reconnu. Nos pensées, face à une situation extérieure, génèrent nos émotions. Et nos émotions ? sont le carburant de nos actions. C'est ce qui t'amène parfois, alors que tout est triste et morne autour de toi, à réussir à se soulever des montagnes. Et oui, nos émotions vont venir alimenter nos actions, ou nos non-actions d'ailleurs. Et c'est cette somme d'actions et de non-actions qui va générer le résultat qu'on va avoir. En tout cas, que l'on va créer nous personnellement, sur nos éléments en notre pouvoir. Et c'est aussi la base de la neurosciences prédictives. Ton cerveau N'attends pas la réalité pour fabriquer ton expérience. Il anticipe, il projette, il prédit. Et quand tu t'es projeté avec moi à travers cet épisode, dans une version plus essentielle de toi, très étrangement, il a ajusté ton modèle interne. Il l'a placé dans un espace de vérité. Et cet espace-là, ça change tout. Sauf que cet espace-là, on ne nous apprend pas à l'entretenir. On ne nous apprend pas à le nourrir. Ce que tu ressens maintenant, ce n'est pas de l'imaginaire. C'est ton système nerveux. qui vient de comprendre qu'il y a des ajustements qui sont possibles, que ces contraintes, ces obligations subies, ou en tout cas que tu ne pensais immuables, peuvent bouger. si tu le veux, un peu. Et que ça commence bien évidemment par toi, c'est certain, mais qu'il s'est possible de les faire boucher. Alors en cinquième question, c'est pourquoi tout à coup, si je te mets une contrainte de temps de un an, 365 jours, pourquoi est-ce que tes pensées changent ? Qu'est-ce que cela veut dire de toi et de la vie que tu as aujourd'hui ? Que si tout à coup tout s'arrêtait dans un an, tu vivrais complètement différemment ? Qu'est-ce que tu mettrais de plus ? Qu'est-ce que tu mettrais de moins dans ton quotidien ? À partir de là, ça peut être intéressant pour toi de commencer à ajuster ton quotidien. Et on n'a pas besoin de tout envoyer valser. On n'est pas obligé de tout recommencer à zéro. On n'est pas obligé de tout savoir, ni d'être à tendre, d'être prêt ou d'être prête. Parfois, il suffit d'oser d'un millimètre. Et ce millimètre, c'est le mouvement. Et le mouvement rappelle le mouvement, rappelle l'action. C'est ce fameux élan. Et je crois que je suis la preuve vivante. Oser, plus j'ose et plus j'ai envie d'oser, plus j'ose. et plus j'ai envie d'aller plus loin. Alors non, c'est pas simple tous les jours. Oui, il y a des doutes. Mais oui, cela ouvre des opportunités. Oui, cela ouvre des rencontres. Cela ouvre de la puissance et une confiance antérieure que je n'avais même pas imaginée. Alors pour moi, 2026 sera différente. Et j'espère pour toi aussi. Surtout si tu commences à choisir. Pas plus, mais mieux. Si tu commences à reprendre les rênes et reprendre ta puissance intérieure. Et oui, on n'a pas besoin de tout. tout envoyer vers le ciel. Et oui, on n'a pas besoin de faire ce chemin forcément tout seul. Trouve-toi tes pairs, trouve-toi ton groupe d'amis, de soutien. Bien évidemment que si t'as envie de te faire coacher, fais-toi coacher, mais parfois même sans coach. Autorise-toi à faire ce pas de côté, ces pas de côté, ces micro pas de côté aussi, peut-être parfois. Alors, je récapitule les cinq questions. Si on partait du principe qu'il ne te reste qu'un an devant toi, juste pour le jeu, Bien évidemment, juste pour la projection. Et s'il ne te restait qu'une année à vivre, qu'est-ce que tu arrêterais de faire ? Mais vraiment, qu'est-ce que tu arrêterais de faire immédiatement ? Deuxième question, qu'est-ce que tu commencerais à faire ? Qu'est-ce que tu commencerais à t'autoriser enfin ? Qu'est-ce que tu ne veux surtout pas rater ? Troisième question, de quoi est-ce que tu arrêterais de te préoccuper ? Qu'est-ce qui te pèse aujourd'hui, qui finalement n'a pas tant d'intérêt que ça ? Quatrième question, de quoi au contraire tu... t'occuperais plus ? Où aurais-tu envie d'investir plus de temps, plus d'énergie ? Et cinquième question, pourquoi est-ce que si on change cette contrainte de temps pour toi, dans ton monde à toi, dans ton univers à toi, tout à coup, ta façon de penser, de ressentir et d'agir change ? J'espère que ces cinq questions vont t'aider à faire le tri sur 2025 pour attaquer une année 2026 beaucoup plus puissante et alignée pour toi. Et si tu ne veux rien manquer, Tu peux t'inscrire à la newsletter de Reset Your Mind, le lien est dans les commentaires de l'épisode, ou tu peux venir directement sur le site internet reset-yourmind.com Je vous réserve un programme absolument dingue. Alors, on ne traverse pas un changement seul, et tu n'as pas à le faire seul. Et une chose est certaine, c'est que tu es déjà assez, et tu as déjà tout en toi pour y aller. C'est juste que sous les couches de « il faut » , « je dois » héritées depuis si longtemps, on les a un peu... trop profondément enfouie. Je vais te souhaiter de merveilleuses fêtes de fin d'année, un moment propice, je l'espère aussi, pour ne rien faire, pour t'autoriser à rien, pour t'autoriser à juste prendre le temps pour toi, à revenir à toi et à imaginer justement ce que tu pourrais faire sur cette année à venir, comme si c'était la dernière, pour la rendre inoubliable. Merci de mille fois d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous a plu. Si vous avez cinq minutes, prenez-les pour noter ou commenter cet épisode grâce à vos avis où cette churma commence à être connue. Et j'avoue que j'ai très envie de voir jusqu'où nous pouvons aller ensemble. À très vite !

Description

5 questions pour un vrai Reset avant 2026 : sortir de l’hypervigilance, retrouver de la clarté et penser autrement


Dans cet épisode de Reset Your Mind, Stéphanie Martin, Executive Coach et fondatrice du programme du même nom, vous emmène dans un espace rarement autorisé en entreprise : celui où l’on arrête de forcer, où l’on déprogramme les fausses contraintes, et où l’on recommence à penser autrement.


À l’approche des fêtes, alors que tout s’accélère et que l’hypervigilance devient presque un mode de management, Stéphanie propose 5 questions puissantes pour faire un véritable Reset mental. Pas un bilan. Pas une résolution. Un réalignement stratégique.


Vous découvrirez :
– Pourquoi votre cerveau s’épuise en fin d’année (et comment sortir du mode survie).
– Comment repérer les “oui” qui coûtent trop cher.
– Pourquoi changer une seule pensée peut modifier toute votre intention pour 2026 (modèle Brooke Castillo + neurosciences).
– Comment exploser les fausses obligations qui vous maintiennent en apnée.
– Et surtout : pourquoi vous êtes assez — déjà assez — pour cesser de vous sur-adapter.


Un épisode à écouter entre deux dossiers, dans un train bondé, ou coincé·e dans une file d’attente interminable pour acheter un cadeau qui n’était pas du tout prévu.
Parce que c’est précisément là que commence la clarté.


🎧 À propos de ce podcast :
Reset Your Mind est le podcast de Stéphanie Martin, Executive Coach, fondatrice du programme Reset Your Mind, et ancienne directrice du digital et du e-commerce.
Chaque épisode propose un pas de côté pour repenser nos manières de travailler, diriger, décider et influencer avec lucidité, exigence et humanité.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue chez Reset Your Mind, vous écoutez le 82ème épisode. Nous sommes à cette période très étrange de l'année où l'on commence à lire partout vivement les vacances. Je ne sais pas si c'est quelque chose que tu entends beaucoup autour de toi, mais j'arrête pas d'entendre ces phrases. Vivement la semaine prochaine, j'en peux plus. Vivement que cette année se termine. Tout en sachant, soyons bien honnêtes entre nous. que les dix prochains jours vont ressembler à un semi-marathon organisé dans un magasin de jouets où entre deux repas, deux courses, deux livraisons à finir de récupérer, d'emballer, etc. Et puis il y a bien évidemment le travail, tout ce qu'il faut boucler au bureau. Réparer les réunions qui n'auront lieu qu'en janvier, finaliser les budgets, que personne ne regardera forcément avant février, acheter un cadeau pour un cousin dont on ignore encore le prénom et tenter de mettre un peu de repos là-dedans. Alors c'est vrai, on appelle ça la magie des fêtes. Pour notre système nerveux, lui, c'est plutôt le sprint de fin d'année. Et on redémarre l'année suivante, pas forcément plus reposé. Alors aujourd'hui, alors que je suis en plein winter reset, avec un groupe de coachés vraiment très inspirés et très inspirants, j'avais envie de te proposer, dans cet épisode, une expérimentation. Sortir un petit peu du leadership, du contexte professionnel, ou du contexte du bien-être, ce genre de choses. j'avais envie de te proposer cinq questions, de te poser à toi cinq questions pour t'accompagner sur cette fin d'année. Alors, promis, ce ne sont pas des questions pour faire joli. Ce sont des questions qui déplacent les choses. Certaines vont te sembler un peu étranges, peut-être. Certaines vont aussi te déranger, c'est possible. Et pour que tu puisses vraiment entrer dans cet espace, je vais t'emmener dans cinq petits moments de vie. Cinq scènes dans lesquelles je vais te reconnaître et j'espère que ces cinq scènes seront des points pivots pour toi. Alors. C'est prêt ? Installe-toi et je t'emmène avec moi. À toi qui écoute cet épisode, peut-être pour la première fois ou au contraire qui nous suit depuis longtemps, merci. Merci de prendre ce temps. Je suis ravie de pouvoir échanger à travers les ondes avec toi, à travers tes messages aussi que tu peux m'envoyer parfois en message privé ou en commentaire sous les posts. C'est... pour moi vraiment très important de repartager tout ce que j'ai pu ouvrir comme porte à la dure ou à la douce, peu importe et aussi échanger avec toi pour faire bouger les choses. Donc déjà merci infiniment Tonton et à toi qui écoute cet épisode peut-être en finissant ton année avec cette impression étrange d'avoir beaucoup donné et de ne pas vraiment peut-être retrouver je le répète souvent, le set your mind c'est pas un espace pour performer plus C'est un espace pour déprogrammer ce qui t'a tenu trop longtemps sous l'eau, les fausses obligations, les exigences qui ne sont pas les tiennes, les rôles que tu as endossés pour être à la hauteur, et ce côté de toujours prouver que nous sommes à notre place. Ici, on ne cherche pas à s'améliorer coûte qu'au coûte. Je vous invite plutôt à refaire surface, à libérer de l'espace dans la tête, à relâcher la pression inutile, à exploser, je dirais, ces contraintes que l'on s'est imposées, que l'on nous a imposées. et faire ce pas de côté pour voir les choses sous un angle un peu différent. Parce que oui, il y a toujours une autre option possible. Alors le set your mind, c'est un lieu où on remet aussi du fun, de la légèreté, du vrai, et surtout on redécouvre cette évidence simple mais fondatrice, je pense, c'est que tu es assez. Tu es déjà assez. Pour créer une vie professionnelle, une vie personnelle qui te ressemble réellement. Que ce soit dans un milieu corporel, grosse entreprise, petite entreprise, ou à ton cours. Ce n'est pas un chemin forcément solitaire et si tu écoutes cet épisode, j'espère justement que ça viendra te alimenter ton carburant positif pour aller vers quelque chose de plus aligné avec toi. Alors bienvenue chez Resaturme. En ce mois de décembre, juste avant les fêtes, comme un cadeau de Noël justement, j'ai envie de t'emmener avec moi à travers 5 questions, 5 questionnements pour... faire un pas de côté et t'autoriser pour une fois à prendre un peu de temps pour toi et regarder à l'intérieur de toi ce qui vibre vraiment. Alors la première question va te sembler un peu bizarre, mais joue le jeu s'il te plaît jusqu'au bout. Imagine un instant, une scène très simple, tu es au bureau, il est 18h47, t'as presque fini ta journée et là un message arrive. Tu peux me faire ça pour demain matin s'il te plaît ? C'est urgent. Comme d'habitude, tu sens ton corps te dire non, non. 18h45 Stop ! Je ne prends pas de nouveaux dossiers, je n'ouvre pas de nouveaux sujets. Mais au lieu de dire non, tabou, je dis oui. Ce oui-là, tu le connais. C'est celui qui coûte de l'énergie. mais qui te donne l'illusion d'être utile, indispensable, irréprochable, alors ça flatte, ça flatte ton égo. Et moi j'aimerais que tu te poses la question, là tout de suite maintenant, imaginons un instant, si tu n'avais plus qu'un an à vivre, s'il n'y avait plus qu'un an sur ton agenda, est-ce que tu dirais encore oui ? C'est ça ma première question. Si tu avais juste un an, 365 jours à venir, qu'est-ce que tu arrêterais ? immédiatement, pas par paresse, par lucidité. Parce que certains oui-oui sont des fuites, des fuites en avant, des fuites pour se rassurer, pour flatter son ego. Parce que certaines tâches existent uniquement parce qu'on n'a jamais osé dire le premier non. Parce que tu ne peux pas vivre ta vie en pilotage automatique non plus et espérer te réveiller un jour aligné comme ça. Alors oui. Si sur ton agenda, là, tu ne voyais pas au-delà de l'année à venir, de 365 jours, qu'est-ce que tu arrêterais ? Est-ce que tu arrêterais de travailler ? Est-ce que tu arrêterais d'être en hypervigilance perpétuelle pour satisfaire les uns les autres au bureau ou à la maison ? Est-ce que tu arrêterais de dire oui, justement, alors que tout en toi dit non ? Oui, non, même, je dirais. Qu'est-ce que tu arrêterais de faire, de dire ou de ne pas dire ? Tu peux faire pause, je reste là. Maintenant, j'aimerais qu'on se pose une deuxième question. Qu'est-ce que tu commencerais enfin à faire ? Tu sais, il y a toujours cette idée, ce projet, cette envie qui trotte. Il y a ce projet, ce side project que tu gardes pour plus tard, ces cours que tu aimerais prendre de piano, de langue, ou cette formation que tu aimerais faire, mais que tu gardes pour quand ce sera le bon moment, pour quand tu auras un peu plus d'espace mental. Ou même, beaucoup de personnes qui ont rejoint Winter Reset m'ont dit que c'était tombé à point nommé parce que justement, ça faisait des semaines, voire des mois, que ces personnes se disaient il faut que je pense à la suite, là je suis à bout, il faut que je pense à la suite, mais j'ai pas l'espace. J'ai pas l'espace mental. Et c'est ça qui a fait que Winter Reset est tombé au bon moment pour beaucoup d'entre vous, c'est qu'on n'a jamais le temps, on s'autorise jamais à le faire. Et puis un jour, on se rend compte qu'il n'y avait jamais vraiment de bon moment et qu'il n'y aura jamais un agenda parfaitement dégagé non plus. Que tu repousses une version de toi qui te ferait pourtant profondément du bien. Alors imagine un instant, s'il ne restait qu'un an, qu'est-ce que tu commencerais tout de suite, là, maintenant, tout de suite ? Quelle action, petite ou grande, attends-tu depuis trop longtemps ? Prendre la parole ? Monter un side project ? Changer de rôle ? Oser, enfin, demander une augmentation ? ce poste, postuler à ce poste dont tu rêves, créer quelque chose ? Ou est-ce que tu commencerais à faire un sport dont tu rêves depuis longtemps, prendre des cours de guitare, prendre des cours de piano ? Personnellement, je pense que je continuerais, tu vois, à travailler, parce que je sais que je suis à la bonne place aujourd'hui. Et je sais que ce que je fais a de l'impact. Et créer cet impact, créer ce legacy, cet héritage, est quelque chose qui est important pour moi. Et j'adore cette idée, même si c'est juste une personne, juste une seule Merci. D'entre vous qui m'écoutez, si j'arrive à faire switcher ne serait-ce qu'une personne, à lui montrer que c'est possible, à ouvrir une porte qu'elle ne s'autorise pas à ouvrir, alors j'ai tout gagné. S'il ne me restait qu'un avis, je continuerais de travailler, je pense. Mais j'avoue que je pousserais un petit peu plus de temps à jouer, à introduire du fun dans mon quotidien. Apparemment, je suis un petit peu trop sérieuse. Et je crois que c'est quelque chose qui est assez vrai. Peut-être être un peu moins sérieuse, un peu plus fun, un peu plus dans la légèreté. Parce que oui, je pense qu'avec beaucoup de légèreté, on peut tout aussi bien être professionnelle et très sérieuse. Alors toi, qu'est-ce que tu ferais de plus ? Qu'est-ce que tu commenterais immédiatement à faire ? J'ai envie maintenant de t'emmener faire une troisième question. De quoi est-ce que j'arrêterais de me préoccuper ? Imagine-toi un instant à table pendant les fêtes, dans les semaines à venir, dans les jours à venir, en fonction de quand tu écoutes cet épisode. Entre deux parts de bûche, quelqu'un te demande « et sinon, tu comptes faire quoi après ? » Et dans ta tête, en moins d'une seconde, tu fais un audit complet de ta vie. Ça t'est déjà arrivé, je suis certaine. Ta carrière, ton salaire, ton couple, tes projets, ton apparence, tes choix, ta maison, ton appart, ta voiture. Alors que la personne en face te demande ça juste pour meubler la conversation. On a tendance à se préoccuper de tout, du regard des autres. de leur attente imaginaire, de leur réaction possible, même celles qui potentiellement n'existeront jamais. On projette nos peurs dans chacune des questions qui nous est posée. Alors pose-toi cette question. De quoi est-ce que j'arrêterais de me préoccuper si j'avais moins de temps ? Tu sais ce que tu pourrais découvrir ? Que 80% de tes soucis n'ont aucune importance. Qu'ils sont des héritages, des automatismes, des réflexes de survie dont tu as hérité depuis si longtemps que tu les as complètement intégrés. Des façons de penser. Que c'est déjà bien, le job, le salaire que tu as aujourd'hui, t'es pas à plaindre. Oui, mais si tu en veux plus, pourquoi pas ? qu'aujourd'hui, sur l'année à venir, dans cette année, tu aurais envie de passer plus de temps avec tes proches, tes parents, tes enfants, tes amis, tu n'en parles pas ? Oui, mais tu ne peux pas te le permettre. Tu imposes ta responsabilité. Tes équipes comptent sur toi, ton entreprise compte sur toi. Alors oui, très certainement, bien évidemment. Mais est-ce que le curseur ne pourrait pas être repositionné un peu autrement ? Tu pourrais découvrir en te posant ces questions à quel point ces héritages, ces automatismes de pensée sont devenus a priori pour toi des réflexes de survie, mais qui ne méritent plus ton énergie. Et surtout, qu'il est possible de fonctionner autrement. Après tout, tu as déjà réussi à créer cette carrière, pourquoi est-ce que tu n'arriverais pas à créer ? autrement, à fonctionner autrement. Reviens un instant, un an en arrière, deux ans en arrière ou cinq ans en arrière. Étais-tu la même personne que celle d'aujourd'hui ? Avais-tu les mêmes connaissances, les mêmes enthousiasmes, le même job ? Pas forcément. Donc imagine ce dont tu serais capable en un an, deux ans ou cinq ans. Je vais passer maintenant à la question 4. De quoi est-ce que je m'occuperais davantage ? Oui. De quoi est-ce que je m'occuperais davantage ? Tu connais ce moment où tu termines une journée entière sans avoir mis une seule fois ton attention sur quelque chose qui te fait du bien, qui te nourrit ? Pas une respiration, pas un mouvement de plaisir, pas un espace pour toi. Combien d'entre nous se lèvent à la fin de la journée complètement courbattus en se rendant compte qu'on a passé 4, 5, parfois plus, 6 heures assis, assises devant un ordinateur ? Et parfois aussi tu t'es occupé de tout le monde, de tout, de tout ce qu'il fallait gérer. de tout ce que l'on attendait de toi, mais pas de toi. Alors si ton temps devenait soudain précieux, ton temps à toi, mais vraiment précieux, de quoi est-ce que tu t'occuperais davantage ? De ton énergie ? De ta santé mentale ? De ta créativité ? De tes relations essentielles ? De ton leadership ? De ta vision ? De ce projet qui te tient à cœur ? De quoi est-ce que tu t'occuperais plus ? Cette question, elle remet un peu les choses à leur place. Ce n'est pas se prioriser. c'est cesser plutôt de s'oublier. Et je sais que très souvent, on a tendance à dire que c'est égoïste, ce qui, à mon avis, est complètement faux, puisqu'on ne peut pas être bien avec les autres si on n'est pas bien déjà avec soi-même. Quand tu es reposé, tu n'as pas du tout la même qualité de relation avec les uns et avec les autres que quand tu es au bout du rouleau, que tu n'en peux plus, que tu es à bout. Donc, j'aime beaucoup cette phrase de « ce n'est pas se prioriser, mais c'est cesser de s'oublier » . Donc, cette question 4, Et si tu cessais de t'oublier quelque part ? Si t'as vraiment pris le temps de t'interroger ou d'y réfléchir, et peut-être que même tu as fait pause sur cet épisode, j'aimerais faire un petit point avec toi avant de te poser la dernière question. Tu te souviens de ton état au début de cet épisode, avant même de démarrer ? Tu étais comment ? Mental chargé, énergie dispersée, l'impression d'être en mode survie peut-être en cette fin d'année ? Et maintenant ? Comment est-ce que tu te sens ? Est-ce que tu sens que quelque chose s'est ouvert ? Rien n'a changé extérieurement, mais quelque chose a bougé intérieurement. Pourquoi ? Parce qu'un changement de pensée crée un changement d'émotion. Et un changement d'émotion change les actions que l'on mène et change la physiologie intérieure. C'est le modèle de Brooke Castillo, tu l'as peut-être reconnu. Nos pensées, face à une situation extérieure, génèrent nos émotions. Et nos émotions ? sont le carburant de nos actions. C'est ce qui t'amène parfois, alors que tout est triste et morne autour de toi, à réussir à se soulever des montagnes. Et oui, nos émotions vont venir alimenter nos actions, ou nos non-actions d'ailleurs. Et c'est cette somme d'actions et de non-actions qui va générer le résultat qu'on va avoir. En tout cas, que l'on va créer nous personnellement, sur nos éléments en notre pouvoir. Et c'est aussi la base de la neurosciences prédictives. Ton cerveau N'attends pas la réalité pour fabriquer ton expérience. Il anticipe, il projette, il prédit. Et quand tu t'es projeté avec moi à travers cet épisode, dans une version plus essentielle de toi, très étrangement, il a ajusté ton modèle interne. Il l'a placé dans un espace de vérité. Et cet espace-là, ça change tout. Sauf que cet espace-là, on ne nous apprend pas à l'entretenir. On ne nous apprend pas à le nourrir. Ce que tu ressens maintenant, ce n'est pas de l'imaginaire. C'est ton système nerveux. qui vient de comprendre qu'il y a des ajustements qui sont possibles, que ces contraintes, ces obligations subies, ou en tout cas que tu ne pensais immuables, peuvent bouger. si tu le veux, un peu. Et que ça commence bien évidemment par toi, c'est certain, mais qu'il s'est possible de les faire boucher. Alors en cinquième question, c'est pourquoi tout à coup, si je te mets une contrainte de temps de un an, 365 jours, pourquoi est-ce que tes pensées changent ? Qu'est-ce que cela veut dire de toi et de la vie que tu as aujourd'hui ? Que si tout à coup tout s'arrêtait dans un an, tu vivrais complètement différemment ? Qu'est-ce que tu mettrais de plus ? Qu'est-ce que tu mettrais de moins dans ton quotidien ? À partir de là, ça peut être intéressant pour toi de commencer à ajuster ton quotidien. Et on n'a pas besoin de tout envoyer valser. On n'est pas obligé de tout recommencer à zéro. On n'est pas obligé de tout savoir, ni d'être à tendre, d'être prêt ou d'être prête. Parfois, il suffit d'oser d'un millimètre. Et ce millimètre, c'est le mouvement. Et le mouvement rappelle le mouvement, rappelle l'action. C'est ce fameux élan. Et je crois que je suis la preuve vivante. Oser, plus j'ose et plus j'ai envie d'oser, plus j'ose. et plus j'ai envie d'aller plus loin. Alors non, c'est pas simple tous les jours. Oui, il y a des doutes. Mais oui, cela ouvre des opportunités. Oui, cela ouvre des rencontres. Cela ouvre de la puissance et une confiance antérieure que je n'avais même pas imaginée. Alors pour moi, 2026 sera différente. Et j'espère pour toi aussi. Surtout si tu commences à choisir. Pas plus, mais mieux. Si tu commences à reprendre les rênes et reprendre ta puissance intérieure. Et oui, on n'a pas besoin de tout. tout envoyer vers le ciel. Et oui, on n'a pas besoin de faire ce chemin forcément tout seul. Trouve-toi tes pairs, trouve-toi ton groupe d'amis, de soutien. Bien évidemment que si t'as envie de te faire coacher, fais-toi coacher, mais parfois même sans coach. Autorise-toi à faire ce pas de côté, ces pas de côté, ces micro pas de côté aussi, peut-être parfois. Alors, je récapitule les cinq questions. Si on partait du principe qu'il ne te reste qu'un an devant toi, juste pour le jeu, Bien évidemment, juste pour la projection. Et s'il ne te restait qu'une année à vivre, qu'est-ce que tu arrêterais de faire ? Mais vraiment, qu'est-ce que tu arrêterais de faire immédiatement ? Deuxième question, qu'est-ce que tu commencerais à faire ? Qu'est-ce que tu commencerais à t'autoriser enfin ? Qu'est-ce que tu ne veux surtout pas rater ? Troisième question, de quoi est-ce que tu arrêterais de te préoccuper ? Qu'est-ce qui te pèse aujourd'hui, qui finalement n'a pas tant d'intérêt que ça ? Quatrième question, de quoi au contraire tu... t'occuperais plus ? Où aurais-tu envie d'investir plus de temps, plus d'énergie ? Et cinquième question, pourquoi est-ce que si on change cette contrainte de temps pour toi, dans ton monde à toi, dans ton univers à toi, tout à coup, ta façon de penser, de ressentir et d'agir change ? J'espère que ces cinq questions vont t'aider à faire le tri sur 2025 pour attaquer une année 2026 beaucoup plus puissante et alignée pour toi. Et si tu ne veux rien manquer, Tu peux t'inscrire à la newsletter de Reset Your Mind, le lien est dans les commentaires de l'épisode, ou tu peux venir directement sur le site internet reset-yourmind.com Je vous réserve un programme absolument dingue. Alors, on ne traverse pas un changement seul, et tu n'as pas à le faire seul. Et une chose est certaine, c'est que tu es déjà assez, et tu as déjà tout en toi pour y aller. C'est juste que sous les couches de « il faut » , « je dois » héritées depuis si longtemps, on les a un peu... trop profondément enfouie. Je vais te souhaiter de merveilleuses fêtes de fin d'année, un moment propice, je l'espère aussi, pour ne rien faire, pour t'autoriser à rien, pour t'autoriser à juste prendre le temps pour toi, à revenir à toi et à imaginer justement ce que tu pourrais faire sur cette année à venir, comme si c'était la dernière, pour la rendre inoubliable. Merci de mille fois d'avoir écouté cet épisode. J'espère qu'il vous a plu. Si vous avez cinq minutes, prenez-les pour noter ou commenter cet épisode grâce à vos avis où cette churma commence à être connue. Et j'avoue que j'ai très envie de voir jusqu'où nous pouvons aller ensemble. À très vite !

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