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Riche d'Expériences

Cultiver la Confiance en Soi : Un Voyage vers l'Indépendance Financière et l'Épanouissement Personnel

Cultiver la Confiance en Soi : Un Voyage vers l'Indépendance Financière et l'Épanouissement Personnel

1h00 |07/11/2024
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Description

Dans cet épisode captivant de "Riche d'Expériences", Niko et Mehdi vous plongent au cœur d'un sujet essentiel : la confiance en soi. Souvent sous-estimée, la confiance en soi est pourtant la clé qui ouvre les portes de l'indépendance financière. À travers leurs expériences personnelles et professionnelles, nos deux animateurs vous offrent un éclairage unique sur la manière dont cette qualité peut être cultivée et renforcée. Ils partagent des stratégies concrètes et des objectifs clairs qui vous aideront à bâtir une confiance solide, indispensable pour avancer dans votre parcours financier.


Niko vous raconte avec authenticité son parcours, les défis qu'il a dû surmonter et comment ces épreuves l'ont forgé. Son histoire personnelle est une source d'inspiration, illustrant que chaque obstacle peut devenir une opportunité de croissance. De son côté, Mehdi aborde l'impact de l'éducation et des valeurs familiales sur la confiance en soi. Ensemble, ils soulignent l'importance de sortir de sa zone de confort, d'oser prendre des risques et de s'entourer de personnes positives qui vous élèvent.


Cet épisode est bien plus qu'une simple discussion ; c'est un véritable appel à l'action. Niko et Mehdi encouragent chaque auditeur à croire en lui-même et à passer à l'action. Ils partagent des conseils pratiques pour célébrer chaque petite victoire sur le chemin de l'indépendance financière. En effet, chaque pas compte, et il est crucial de reconnaître les progrès, même les plus modestes.


Les échecs, souvent perçus comme des freins, sont en réalité des étapes incontournables du processus d'apprentissage. Niko et Mehdi vous rappellent que chaque échec est une leçon précieuse qui vous rapproche de vos objectifs. Dans cet épisode, vous découvrirez comment transformer vos doutes en forces et comment faire de la confiance en soi un pilier de votre succès.


Ne manquez pas cette occasion d'enrichir votre parcours vers l'indépendance financière. "Riche d'Expériences" vous offre des clés pour renforcer votre confiance en vous et vous inciter à avancer. Que vous soyez entrepreneur, salarié ou simplement en quête de développement personnel, cet épisode est fait pour vous. Écoutez-le et laissez-vous inspirer par des histoires authentiques, des conseils pratiques et une vision positive de l'avenir. Ensemble, construisons une confiance en soi inébranlable, car c'est le premier pas vers la réalisation de vos rêves financiers.


Bienvenue sur "Riche d'expérience", le podcast qui vous ouvre les portes de la liberté financière, et bien plus encore. Chaque semaine, on vous livre des stratégies concrètes pour booster vos revenus et atteindre vos objectifs. Ici, pas de bla bla inutile, juste des conseils d'experts pour valoriser votre patrimoine, faire fructifier vos investissements, et transformer vos idées en succès. Vous entendrez aussi des témoignages inspirants de personnes comme vous, qui ont su partir de zéro pour bâtir un avenir solide.

Que vous cherchiez à arrondir vos fins de mois, à obtenir des conseils pratiques ou à puiser de l'inspiration, ce podcast est fait pour vous. Alors, préparez-vous à prendre en main votre destin financier.

Nous sommes Mehdi et Niko, deux entrepreneurs avec des parcours différents, mais un objectif commun : vous donner les clés pour réussir, avec un mindset de folie, des astuces concrètes et des solutions sans bullshit.





Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Riche d'expérience. Vous souhaitez vous enrichir en partant de zéro avec un salaire moyen et sans attendre 20 ans pour voir le résultat ? Vous êtes au bon endroit. Nous sommes Nico et Mehdi, deux entrepreneurs au parcours différent mais avec une vision commune, l'indépendance financière. Chaque jeudi, nous parlerons IMO, bourse et entrepreneuriat pour vous partager les stratégies et techniques qui auparavant étaient réservées à une élite. Avec nous, vous découvrirez comment débuter, même avec un petit budget, en ayant des astuces pour éviter les pièges, maximiser vos gains et apprendre à investir intelligemment, même si vous n'y connaissiez rien car nous sommes à votre image. Alors oubliez le mythe des années de galère, il est temps de passer à l'action et de construire enfin votre richesse. C'est parti pour l'épisode du jour. Yeah ! Alors Monico, quoi de neuf ?

  • Speaker #1

    Bah écoute, comme d'hab, toujours le taf. Toujours et toujours. Mais non, là c'est bien, on a passé un bon petit week-end. Bon,

  • Speaker #0

    qu'est-ce que t'as fait de beau alors ?

  • Speaker #1

    Écoute, qu'est-ce que j'ai fait de beau ? J'ai pas arrêté avec les ménages. Ouais,

  • Speaker #0

    c'est magnifique. Tu sais que, franchement, moi, je vais te dire un truc, tu vois, et il m'en fout s'il écoute. Mon frère, c'est une fédulogie, mec. On ne s'entend pas, mais c'est une fédulogie. Il est en galère, il travaille dans une déchetterie. C'était un mec qui gagnait 6-7 000 euros par mois. Et aujourd'hui, je lui dis, mais mec, monte une conciergerie. Et si tu ne veux pas monter de conciergerie, monte une boîte de ménage. Et en fait, il me dit non et tout. Tu sais, les faits, genre, c'est du taf de merde et tout. Mais mec, tu es doué pour ça. Fais-le, tu vois. Et je me pose...

  • Speaker #1

    Moi, je te dis, je suis maniaque.

  • Speaker #0

    Mais je ne me poserai même pas de questions. Tu es en galère, tu gagnes. Tu sais quoi ? Il a quitté une compagnie aérienne pour gagner. Aujourd'hui, il travaille dans une déchetterie, mec.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas dévalorisant, c'est bien aussi.

  • Speaker #0

    Mais non, on s'en fout. Le mec, il est doué pour un truc et il travaille pour un patron. En fait, c'est le thème du jour, la confiance en soi. On va en parler, tu vois. Le mec, en fait...

  • Speaker #1

    Mais oui, comme tu dis, ce week-end, j'ai passé mon week-end à ne pas faire des ménages tout le temps, mais j'ai fait trois jours de ménage sur les MC des pas arrivés, des pas arrivés, ça paraît.

  • Speaker #0

    Bon, voyons le positif. Tu prends du cash.

  • Speaker #1

    Oui, non, non. Après, je ne fais pas tout le ménage. J'aide parce que ça va plus vite et comme ça, les femmes de ménage prennent moins de temps, tu vois. Mais non, après, ça ne me dérange pas. Mais c'est vrai que faire ça tous les jours, sans compter un peu derrière, tu as tout le linge, tous les draps, les serviettes.

  • Speaker #0

    Après, ce qu'il faut se dire, c'est que ça fait partie du business. La LCD, les locations courte durée, sans le ménage, ben voilà quoi. Donc, le nerf de la guerre, c'est le ménage et le service. Donc, en même temps, le fait de... Bon, après, toi, c'est quand même une prestation qui est très standing. Déléguer la totalité par rapport au client que vous avez, par rapport au prix de l'annuité, on va dire que… C'est trop.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    c'est obligé. C'est trop. Et si, justement, aujourd'hui, tu arrives à être à ce niveau de performance, c'est parce que, justement, autant Noël, donc ton épouse que toi, vous avez un pied dedans. Exactement.

  • Speaker #1

    Et heureusement, parce qu'on a accueilli des charges très strictes au niveau du ménage. Voilà. rien traîne c'est pour ça que moi ça me dérange pas d'aller les aider tu vois je fais des cuisines moi les cuisines voilà moi je sais que les cuisines par poil qui prennent c'est nickel chrome mais bon voilà ça ça prend un peu de temps mais on était pas on n'a rien il ya des inconvénients et des avantages dans tous les domaines soit la lcd ou que ce soit dans le business que ce soit un salariat partout en fait tu vois tu as des avantages et des inconvénients bon après ça me gêne pas moi j'aime bien j'aime bien c'est pas dérangeant Mais voilà, ça m'a pris mon week-end, plus la vie de famille, plus tout ça.

  • Speaker #0

    Beau gosse.

  • Speaker #1

    Ça passe vite.

  • Speaker #0

    Beau gosse. Bon, est-ce que tu as d'autres choses à rajouter ? Nous faire partager, nous partager, pardon.

  • Speaker #1

    Déjà, je voudrais revenir sur le podcast de la semaine dernière. Encore, comme d'habitude, un grand merci à tout le monde. C'est vrai qu'on a de plus en plus de retours. Et merci à tous les auditeurs qui nous envoient des messages et qui commentent. C'est super gratifiant et ça nous donne encore plus envie d'aller encore un peu plus loin dans les podcasts et à vous apporter encore plus de valeur. Donc, un grand, grand merci.

  • Speaker #0

    Vraiment, merci beaucoup. Après, j'avoue, sur ce podcast-là, je me suis vraiment lâché. Donc, effectivement, ça peut ne pas plaire. C'est ça qu'on a eu.

  • Speaker #1

    On a eu pas heureux. J'ai eu plein de retours comme quoi tout le monde rigolait, tout le monde s'est bien marré. Ça donne un peu de bonne humeur, ça donne un peu de joie à l'auditeur. C'est quoi, évoluer comme ça ? Rigoler ? être dans la bonne humeur, on est sérieux quand il faut, mais on est là pour partager, on est là pour rigoler. On est comme ça.

  • Speaker #0

    Il y a eu des gens qui m'ont beaucoup rassuré, malgré qu'on a discuté avec Nico. On est comme ça, moi je suis comme ça et je ne suis pas prêt à changer. Au final, j'ai eu une période de doute de deux heures. Et au final... Ouais, voilà. Et au final... On est comme on est donc merci à tous pour votre soutien et puis merci beaucoup à toi Nico pour me soutenir au quotidien.

  • Speaker #1

    On est là pour se soutenir, on est là pour avancer et voilà je pense que au fur et à mesure du temps les podcasts vont s'améliorer, on n'est pas parfait, on fait en fonction de nous, on fait en fonction de notre envie voilà il faut le faire, on s'est lancé, on le fait. Et je pense que tu vois, le thème d'aujourd'hui sur la confiance en soi, ça passe par là. Parce que tu vois, moi, comme je t'avais dit et comme on en avait parlé sur le podcast, moi, j'ai toujours voulu faire un podcast. Ça me trottait depuis quelques mois, même presque une année. Et tu vois, c'est toujours l'appréhension de se lancer. Mais de quoi je vais parler ? Après, j'ai plein de choses à raconter. Mais tu vois, tu repousses toujours. Et alors, c'est peut-être un manque de confiance où tu te dis, bon, est-ce que je repousse toujours ? toujours ah bah je vais faire maintenant j'essaie tu as toujours un a toujours quelque chose qui fait que tu vas pas passer le cap tu vois ce que je veux dire et c'est vrai que ça passe un peu par là alors c'est pas que j'ai pas confiance en moi mais dans ce domaine là je connais pas c'est la première fois que tu vois comme toi et moi on fait des podcasts parler parler devant un micro à personne c'est vrai que c'est pas c'est pas donné à tous les c'est un peu compliqué c'est un métier un mine de rien mais c'est un métier

  • Speaker #0

    En faisant des recherches pour ce podcast, je suis tombé sur un docteur plutôt connu dans le monde de tout ce qui est neurologie, psychiatrie, etc. qui s'appelle Cyril Nuc, Boris Cyril Nuc. Et en fait, je vous invite vraiment à aller regarder. C'est quelqu'un qui est juif et qui en fait a été déporté à six ans. Excusez-moi si je dis des bêtises, mais en tout cas, toute sa famille a été quasiment décimée, sauf lui plus deux autres personnes. Et en fait, il explique comment il s'est relevé de ça, par la résilience et par sa passion sur le cerveau humain. Et du coup, pour tous ceux qui veulent comprendre les techniques pour remonter une confiance en soi, aujourd'hui, on va s'inspirer beaucoup de ses études. Et tu vois, Nico, il y a un truc qui est intéressant. entre nous, c'est que moi, tu vois, il y a des moments, plusieurs personnes sont venues me parler pour me demander comment on faisait tous les deux en termes d'état d'esprit. Pourquoi, en fait, pas forcément la confiance, mais pourquoi on continuait, on continuait, on continuait. Mais en fait, nous, on ne se pose pas de questions avec Nico. Et quand on se pose des questions, on appelle les bonnes personnes, soit lui, quand il a besoin, il m'appelle moi, ou moi, quand j'ai besoin, je l'appelle lui. Et en fait, on se remet les boosts. Et dans le podcast, vous allez voir qu'il y a des techniques qui font que s'entourer. Et ça, Delica, ça a été dit parce qu'il avait fait vraiment un merveilleux podcast sur l'entourage. En fait, juste l'entourage. Rappelez-vous, c'est quoi déjà ? C'est entourez-vous des cinq personnes qui vous ressemblent. Merde, je ne me rappelle plus. Tu vois, il y a un dicton. C'est du Mehdi, là.

  • Speaker #1

    C'est quoi ? C'est un truc comme ça. Voilà. Entourer des... Autour quoi des cinq personnes, la moyenne de tes cinq personnes ? Voilà. Un truc comme ça.

  • Speaker #0

    Si vous savez, mettez-le en commentaire, on en a besoin.

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Ils vont nous le mettre en commentaire, c'est bien. Bon, du coup, tu vois, par exemple, moi, la dernière semaine, j'ai eu beaucoup, beaucoup, beaucoup de galères. J'ai eu un mur de séparation entre une maison dans laquelle je suis en indivision avec deux personnes de ma famille qui s'est effondrée. J'ai voulu mener les négociations, on m'a interdit de les mener. Au final, j'avais tous les éléments pour pouvoir ne pas débourser un centime. Et la personne, enfin ma mère, a voulu mener les négociations. Au final, on se retrouve à payer 6 000 balles. J'ai eu dans une HCD un gros coup de chaud parce que je me suis dit qu'ils allaient me délèbrer mon truc. Donc je suis parti en mode warrior le matin. J'ai eu, enfin bref, j'ai eu le truc. Et en fait... ça continue quoi, la vie elle continue. Si à chaque fois que tu te manges des coups, tu t'arrêtes, et la transition sur le podcast d'aujourd'hui, la confiance en soi, si tu dis un truc tout simple, mais si tu dis je ne peux pas, je ne peux pas, en fait, bah oui, tu vas t'en convaincre. Alors que si tu essayes juste de dire je peux, je vais essayer, Tout de suite, en fait, ton état d'esprit, lui, il se met en mode on y va

  • Speaker #1

    En mode guerrier.

  • Speaker #0

    Mais bien sûr.

  • Speaker #1

    Et là-dessus, je te rejoins. C'est vrai que moi, tu vois, quand j'étais plus jeune, je ne savais pas trop ce que je voulais faire. Ce que je voulais, c'était réussir, gagner de l'argent. Moi, ma motivation, c'était l'argent. Je savais que… Je ne sais pas, franchement je ne pourrais pas te dire. J'ai toujours été motivé par l'argent, je le suis toujours. Et quand j'étais gamin, je me suis dit un jour que je serais riche. Je ne le suis pas encore.

  • Speaker #0

    Justement, ce qui est intéressant, c'est pourquoi riche ?

  • Speaker #1

    Je ne sais pas, écoute, si tu sais, j'aurais pu te dire, j'aurais voulu être pompier. Là, moi, c'était être footballeur et être riche. Pourquoi ? Je ne sais pas. Est-ce que c'est par rapport à ce que j'ai vécu étant petit ? Pourtant, je n'ai jamais manqué de rien. Moi, j'ai toujours bien vécu. On ne roulait pas sur l'or, mais voilà, mes parents vivaient très bien. J'ai toujours bien vécu, parti en vacances, manqué de rien. Mais je ne sais pas, j'ai toujours été attiré par l'argent. Quand j'étais petit, là, on a les applications, tu peux aller sur ton compte, tu peux savoir tout ce que tu as au niveau de ton sol, une bancaire, bref, tout. Et moi, quand j'étais gamin, mes parents m'ont ouvert la compte, je ne vais pas te dire à quel âge, mais je pense que ça devait être à l'adolescence. Et moi, je tenais un petit journal de bord de toutes mes dépenses et toutes mes rentrées. J'écrivais tout au jour prêt, t'imagines ?

  • Speaker #0

    C'est un truc de fou.

  • Speaker #1

    A 14, 15 filles. Donc, je savais tel montant. Et tu vois, pour savoir ce que tu avais comme solde dans ton compte, tu devais attendre tous les mois de recevoir ton revenu bancaire.

  • Speaker #0

    C'est clair.

  • Speaker #1

    Tu te rappelles de ça ?

  • Speaker #0

    Oui, carrément. Tu recevais le relevé.

  • Speaker #1

    Exactement. Et moi, tu sais quoi ? Au centime près, je savais combien j'avais. À n'importe quel temps du mois. Tu vois, pour te dire, tellement j'étais calibré au niveau des comptes, j'étais calibré de ouf. Et je ne sais pas, j'avais ce truc dans ma tête. Je ne savais pas quoi faire, comment, comment j'allais faire pour réussir. Et je savais que j'allais réussir.

  • Speaker #0

    C'est marrant. Parce que tu vois, en fait… C'est marrant. Oui, mais carrément. Parce que moi, je veux devenir riche. Mais juste pour avoir le choix et faire ce que je veux. En fait, c'est parce que je sais que le véhicule, l'argent, l'argent, c'est un véhicule pour moi. Et ça me permettra d'aller où je veux, quand je veux, de faire ce que je veux, au moment où je veux. Et on pourrait parler des origines de la confiance en soi, mec. D'après toi, en fait, même pour toi, à ton avis, les gens qui manquent de confiance en eux, ça vient d'où ? Est-ce que tu penses... Lâche-toi.

  • Speaker #1

    Je vais te donner mon exemple. Quand tu n'es pas... Quand tu n'es pas avec de la confiance en toi. Ce n'est pas inscrit dans tes gènes. Toi, tu vas avoir confiance. Toi, tu ne vas pas avoir confiance. Je pense que la confiance vient en fonction déjà de ton éducation. Par tes parents. Si tu as des parents aimants, si tu as des parents qui te... qui font tout pour toi, qui te montrent le chemin, qui sont là pour toi, qui ont de la bienveillance pour toi, ils vont t'apprendre les rudiments de la vie et tu vas avoir confiance. Pas à pas, tu vas prendre un peu confiance en toi. C'est les étapes de la vie, je pense. Et tu vas avoir d'autres personnes qui vont avoir un peu moins confiance en eux parce qu'ils ont eu une éducation qui a été un peu bancale, qui a été dure et pas d'amour. pas de déviance, donc tu reproduis un peu ça et du coup, les moindres choses que tu vas et que tu vas faire étant petit jusqu'à un certain âge, tu n'auras pas de... Comment t'expliquer ? Tu n'auras pas tes parents ou quelqu'un d'autre qui va te féliciter sur ce que tu as fait, que ce soit dans le sport, à l'école ou autre et du coup, tu n'as pas cette notion-là en fait. Tu ne sais pas ce qui est bon pour toi, ce qui n'est pas bon et ce qui est... Tu vois ce qui est bien, ce que tu as bien fait ou pas. Je pense qu'il y a deux zones.

  • Speaker #0

    Tu as visé juste parce que dans les trois quarts des études, les origines du manque de confiance en soi, ça vient de l'environnement familial. Alors, quand tu prends un environnement familial où tu as eu les parents qui ont été vraiment très portés sur la reconnaissance, c'est bien mon fils ou ma fille, peu importe. Dès l'enfance, on va voir que l'interaction avec les parents, si elle est positive, derrière, on a un terreau fertile pour que les gens aient confiance en eux. A l'inverse, si les gens sont trop surprotecteurs, l'enfant, vu qu'il n'a quasiment rien vécu avec les autres, parce que par exemple, moi, je vais te parler de mon éducation. C'est mon grand frère. Mes parents travaillaient tellement qu'en fait c'était mon grand frère qui m'élevait. Mais mon grand frère ça le saoulait. On a 14 ans de différence et lui il était prof de boxe taille. Donc les seules façons qu'il avait de communiquer avec moi c'était de me rabaisser. Et du coup moi étant petit en fait j'avais un gros manque de confiance en moi. Et arrivé à l'adolescence j'ai réussi à m'en sortir grâce à un truc. Est-ce que tu sais ce que c'est ?

  • Speaker #1

    Boxe taille.

  • Speaker #0

    disons qu'au niveau des sports de combat j'ai eu ce qu'il fallait oui si en fait c'est le sport parce que le sport en fait moi j'étais quelqu'un qui parlait pas quand j'étais petit et le sport vu que j'étais en toute humilité en toute modestie j'étais doué tu vois et ça m'a en fait quand je pratiquais le sport et que je voyais que j'étais bon en fait Autour de moi, on a commencé à me récompenser, à me dire c'est bien, etc. Et j'ai trouvé, en fait, je me suis réfugié dans le sport, mais à fond. Donc, je faisais plein de sports, etc. Et j'ai réussi à sortir de ma, à devenir, à avoir confiance en moi grâce au sport. Mais tu vois, moi, sur mes filles, il y en a une, en fait, la première, je l'ai surprotégée. Mais tellement surprotégée que, par exemple, on allait au parc. Dès que je voyais un enfant qui s'approchait d'elle, j'étais à deux pas d'elle. Et ça pendant très longtemps, elle était ultra timide, introvertie et en manque de confiance en elle. Et ça c'est ma responsabilité parce que c'est moi qui ne l'ai pas laissé vivre des expériences et son environnement en fait c'est moi qui l'ai flouté. Parce que...

  • Speaker #1

    Tu l'as un peu freiné par rapport à...

  • Speaker #0

    Ouais tout à fait.

  • Speaker #1

    Ah, par la peur que toi tu as par rapport à ce que ta fille peut avoir si tu... Si tu la laisses un peu trop, c'est ce qui est normal. On est tous protecteurs.

  • Speaker #0

    Tout à fait. Mais tu vois, après, il y a les premiers modèles pour les enfants et les ados. Les premiers modèles pour les enfants, c'est les parents. Si un enfant voit ses parents faire face aux épreuves, aux échecs, etc. de manière résiliente et toujours prendre les choses de façon positive et résoudre les problèmes. Plus tard, en fait, à plus de 80 ces enfants-là réussiront justement à avoir beaucoup plus de confiance en eux que d'autres qui sont dans un cadre familial très nocif, si je puis dire. Et du coup, le fait d'avoir une enfance pas agréable de ce point de vue-là peut créer, peut découler sur un gros manque de confiance en soi.

  • Speaker #1

    Oui, mais c'est ça. ça je l'entends bien et tu as raison là-dessus moi tu vois j'ai moi étant étant petit je sais pas que j'avais pas confiance en moi alors moi tu sais je faisais du foot j'ai fait du foot tu vois j'étais très bon au foot donc voilà tu avais la reconnaissance des autres la satisfaction tu vois ouais t'es bon joue là n'a ni passé la balle à nico il va marquer n'a ni même pas tout ça c'est vrai que ça me donne confiance après moi j'ai C'est vrai que moi, mes parents, mon père, je le voyais quasiment peu. Tu travaillais tellement. Je travaillais tellement, donc pas souvent là. Moi, j'ai le souvenir d'un père qui a charmé du travail. Je me suis charmé pour travailler, ma mère ne travaillait pas. Et elle a tout fait pour que nous, on se sente bien et qu'on ne manque de rien. Moi, j'avais cette image-là.

  • Speaker #0

    Est-ce qu'à un moment, tu en as voulu pour ça ?

  • Speaker #1

    Je pense, oui. Je pense que j'ai dû en vouloir. Alors, est-ce que c'est normal ou pas ? Je ne sais pas. Est-ce que tous les enfants d'un certain âge donnent contre leurs parents à un moment donné ? Je ne sais pas. Moi, je sais que pendant un moment donné, j'étais en rébellion contre eux.

  • Speaker #0

    À l'adolescence ?

  • Speaker #1

    À l'adolescence, oui. Alors, pourquoi ? Je ne pourrais pas te dire. Ce n'était pas une haine. C'était plus une… Je ne pourrais pas te dire. Je ne sais pas. Je pense qu'on passe tous par là à un moment donné. Moi, j'étais beaucoup dehors. J'ai beaucoup fait ma jeunesse dehors. Jamais chez moi. C'est vrai que quand tu es dehors et que tu es gamin, tu apprends beaucoup de choses. Tu vois des choses, tu t'as guéri, tu prends confiance parce que tu découvres la vie. C'est vrai que maintenant, à notre époque, moins les enfants sortent, mieux on se porte. Tu vois ce que je veux dire ? Avec tout ce qui se passe. On est vraiment très protecteur. Mais moi, j'avais cette facilité à découvrir les choses. Et c'est vrai que je ne sais pas que j'ai eu un manque de confiance, mais moi, j'avais du mal à m'exprimer devant beaucoup de monde. C'est-à-dire qu'avec mes potes, c'était très bien. Dès que j'étais en cours ou autre, il fallait s'exprimer à un exposé ou autre. J'avais beaucoup de mal. Très stressé et très... Pas confiance. Tu vois, j'avais vraiment pas confiance en moi à m'exprimer devant du monde.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu penses que...

  • Speaker #1

    Ça a pris du temps. Et ça a pris du temps avant que je passe ce cap-là.

  • Speaker #0

    Et justement, est-ce que tu penses que plus jeune, tu avais eu une interaction avec les autres, justement pour jouer dans la construction, tu vois, de toi ? quand tu étais à l'école, beaucoup plus jeune, est-ce que tu étais plutôt quelqu'un qui était introverti, tu ne parlais pas trop, ou tu pouvais justement échanger avec tout le monde ?

  • Speaker #1

    Non, moi je suis quelqu'un de... Je suis très sociable, moi je parle avec tout le monde.

  • Speaker #0

    Non, mais maintenant... Non,

  • Speaker #1

    mais même... En étant enfant, j'étais plus le perturbateur que le perturbé.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Donc là-dessus, il n'y avait pas de réel problème. ça peut être un problème aussi d'être comme ça, mais j'étais toujours actif, très actif. Mais j'avais quand même ce manque de confiance en moi, avec les autres. Est-ce que c'était peut-être pour ça que j'étais un peu actif ? Et en fait, ce cap-là a pris du temps à passer, a pris beaucoup de temps à passer. Et ça m'a traîné jusqu'au début de ma vie d'adulte. C'est un travail sur soi à faire.

  • Speaker #0

    En tout cas, tu vois, à l'adolescence, en faisant mes recherches, à la France Post 4, j'ai compris qu'à l'adolescence, c'était une grosse phase charnière, parce que c'est là que les enfants affirment leurs convictions. se retrouvent dans des boys bands, je ne sais pas comment on dit aujourd'hui, mais les k-pop et tout le machin, on veut adhérer à un groupe pour justement renforcer, trouver un sentiment d'appartenance, pour pouvoir se libérer du manque de confiance en soi. Le fait d'appartenir à une meute, à un groupe, fait que justement, tu te sens moins en danger. Et ça, c'est vraiment dans la phase d'adolescence. Et après, tu as les gens qui vont partir, commencer à continuer sur ce mode-là jusqu'au début de l'adulte, jusqu'à les 25, 30 ans. Et tu vois, je fais un parallèle avec l'immobilier. C'est pour ça qu'aujourd'hui, tu as des gens qui suivent des gourous d'Instagram, etc., qui leur font croire, parce qu'ils s'identifient à quelque chose qu'ils pensent ne jamais pouvoir être. dans le manque de confiance en soi, le rêve du paraître fait que toi, tu ne te sens pas capable, mais tu veux lui ressembler. Donc, en fait, tu t'identifies à lui. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire.

  • Speaker #1

    Si, je vois. De toute façon, tu le vois. Tu as beaucoup de vendeurs de rêves et tu as beaucoup de personnes qui s'identifient à eux, mais ils aimeraient bien, mais ils ne le font pas. Et ils restent quand même là, ils t'observent. Ils n'arrivent pas à passer ce cap-là parce que, comme tu dis, ils ont un manque de confiance pour passer le cap. C'est le parallèle de l'immobilier. Tu vas avoir des personnes qui vont passer à l'action et d'autres qui vont traîner de la pape parce qu'ils ont toujours… Ah ben non, j'ai un problème là. Ah ben, j'ai peut-être été sûr là, mais non, je ne peux pas. C'est trop tôt, il faut que je visite encore un peu plus. Tu vois, tu as deux mondes. Il faut déjà travailler sur soi avant de pouvoir avoir confiance. Il faut déjà s'estimer soi-même.

  • Speaker #0

    Mais tu vois, en fait, c'est bien ce que tu dis, parce que tu en as beaucoup qui veulent se comparer aux autres, mais qui ne se rendent pas compte qu'en fait, c'est important de penser à soi. Et il y a un truc qui me choque, moi, quand je vois à l'école, je parle beaucoup de l'enfance, parce qu'il y a énormément de problèmes qui viennent de là. Et après, on parlera de l'âge adulte. Mais tu vois, rappelle-toi, à l'école, à l'école, on te faisait voir uniquement les mauvaises choses. La prof, ou le prof, il te notait en rouge tout ce qui n'allait pas. Il allait entourer tout ce qui n'allait pas. On ne te mettait jamais en vert ce qui allait, tu vois. On te mettait juste une note, éventuellement, si tu étais au-dessus de 10. Et puis, tu vois, mais on est sur une fiche, sur une... en contrôle, quand tu récupérais ta feuille, tu voyais que du rouge.

  • Speaker #1

    Avec du rouge.

  • Speaker #0

    Exactement. Ouais, bon, alors moi, laisse tomber, mais toi...

  • Speaker #1

    Avec du rouge. On est tombés avec du rouge.

  • Speaker #0

    Mais en fait, là, alors je ne sais pas si c'est pas français ou pas, mais tu vois, moi, j'avais étudié, enfin, j'avais cherché des modes d'éducation, et par exemple, je posais... On était en train de faire l'étape de multiplication à mes filles. à ma dernière, Mélissa, et je lui pose, je ne sais pas, je lui dis 4x4, tu vois, et elle me donne un chiffre, mais qui a 4x4, au lieu de me dire 16, elle me dit 18, tu vois. Je lui dis, ben non, ce n'est pas ça. Et en fait, je regarde sur Internet et il y a des Québécois qui donnaient en fait leur technique et leur mode d'éducation. En fait, au Québec, quand tu vas demander 4x4 et l'enfant va te répondre un truc qui n'a rien à voir, ils vont dire, au lieu de dire non, ce n'est pas ça. ils vont te dire presque, continue, essaye et juste ce schéma là fait que l'enfant il ne se sent pas en échec, tu vois ce que je veux dire ou pas ? ça me rappelle mon enfance ah putain, elle est sauvée quand je faisais les dictées à chaque fois la prof me disait tu te rappelles, les dictées c'était de la meilleure note à la moins bonne note ou l'inverse, et moi je savais que je savais que si on commençait par les meilleures notes

  • Speaker #1

    je pouvais faire mes trucs j'étais le dernier tu vois j'avais tout le temps 0 donc j'avais 0 ou 4 tu vois 4 c'est ce que je faisais moi tu m'envoyais les bulletins tu sais tu t'envoies les bulletins où il fallait faire signer le devoir ou la dictée moi je faisais les bulletins sur mon père avec des 0 non mais oublie laisse tomber moi à l'école catastrophe pourtant je n'étais pas mauvais j'étais dans la moyenne mais catastrophe Tu peux te déchirer à chaque fois.

  • Speaker #0

    Moi, j'avais une technique à l'école. Premier trimestre, tranquille. Deuxième trimestre, bon, allez, on va commencer un petit peu à bosser. Et troisième trimestre, je déchirais tout. Juste pour pouvoir passer, tu vois. Ça a marché, sauf deux fois. Non, une fois, une fois. Ça a marché parce que j'ai réussi à esquiver. Ah ouais, non, mais il faut que je te raconte une anecdote. C'était obligé que ça allait par ton couille. C'était obligé, mec, c'était obligé. J'étais en cinquième. Et on me dit, ouais, bon, bah, au passage en quatrième, je voyais la classe de quatrième dans laquelle j'allais me retrouver. Et je me dis, j'étais un petit malin déjà à l'époque, et je me dis, putain, si je choisis italien, je vais me retrouver avec les intellos, mec. Donc moi, qu'est-ce que je fais ? Je choisis italien. Dans une classe, genre, ils faisaient allemand, italien, latin, machin et tout. Et moi, j'étais le cassos de la classe, mec. Mais j'avais esquivé tous les autres cassos. Et... Plusieurs fois dans ma vie scolaire, j'ai fait des petits trucs comme ça pour esquiver. Et à chaque fois, c'est passé, mec.

  • Speaker #1

    Ah, mais c'est clair. Tu as de la chance. Moi, je suis tombé à chaque fois dans les pires classes. Je préfère. Mais les pires, de la 6e à la 3e, les pires classes. Et dis-toi, attends, je vais te raconter un truc. J'arrive 3e, je fais la 3e. Moyen, tu vois, 10 de moyenne. C'est ce qui me sort. Bon, non, on va le faire redoubler. Attends, j'ai une bise de moyenne, je prends en seconde, tu vois, normal. Ils me disent non, tu vas redoubler. Je fasse le brevet, j'ai le brevet, on me fait redoubler. Mes parents, on leur dit, je vais redoubler votre fils. Qu'est-ce qu'ils disent ? Oui, mon fils, tu vas redoubler. Tu redoubles la troisième. Je sors de la troisième, je tiens de moyenne. Normal, tu redoubles. Easy. J'arrive en seconde. Je vais dans un lycée qui ne me plaît pas. Je me fous dans un truc technique. Rien à voir. Quand c'était, à l'époque, ça s'appelait STI. Je ne sais pas si tu te rappelles de ça.

  • Speaker #0

    C'est aussi industriel. Il y en avait des biens.

  • Speaker #1

    Il y avait des biens.

  • Speaker #0

    Il y avait des biens techniques.

  • Speaker #1

    Exactement. Je n'y fais pas. J'arrive en seconde.

  • Speaker #0

    Je tape des mauvaises notes. Bon, ma motion va vous faire redoubler. Je redouble ma seconde.

  • Speaker #1

    Ah, mais là, t'étais chaud, toi.

  • Speaker #0

    Je refais une deuxième seconde. Écoute,

  • Speaker #1

    j'arrive. Je me glace. Je me glace. Le mec à 30 ans de piste, il est au lycée encore.

  • Speaker #0

    Écoute, j'arrive en première. Je fais ma première. Tant bien que mal. Je suis un pote qui est dans une... Dans un lycée... Plus un lycée coupe-gorge. Laisse tomber, quoi. Bref. Tu peux pas parler au nana, sinon tu te faisais couper la gorge en sortant du lycée. Bref. Tu vois l'ambiance. J'arrive là-dedans, je fais la première, je passe en bac parce qu'il était espacé en terminale, normal, tu vois, il va te faire redoubler la première. Donc je passe en terminale, j'arrive au bac, bon bah déjà, j'ai pas le bac, je passe en rattrapage, j'ai pas le bac pour rattrapage, je pars le bac, j'arrive au bac, j'ai pas le bac. J'ai dit, vas-y, l'école, j'arrête, c'est pas pour moi. J'ai arrêté l'école.

  • Speaker #1

    Oh putain, mais ça aurait pu aller en BEP, mec. BEP 20.

  • Speaker #0

    Non, non, je voulais pas aller en BEP. Non, non, j'allais faire en BEP. Je savais pas ce que je voulais. Moi, je voulais tout.

  • Speaker #1

    Regarde, au final, tu travailles dans le bâtiment, mec.

  • Speaker #0

    Mais je voulais pas travailler dans le bâtiment, déjà, de base. Bref, écoute, il y avait pas un bon. Le bac, je l'ai pas eu de peu. Je le repasse à l'année prochaine. Et je valide que les... Je valide que les matières... J'ai eu la moyenne, je l'ai valide.

  • Speaker #1

    Ils ont été pas spiants avec toi.

  • Speaker #0

    Alors putain, laisse tomber. Il y a un bord, je te fais un résumé rapide. Et je me dis, bon, je le passe en candidat libre, normal. Je passe le bac à la fin de l'année. Donc je travaille, tu sais. Je fais quelques étapes, tu vois, toute l'année. Je reçois, je fais par le CNED. Je ne sais pas si tu te rappelles du CNED.

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr, à la maison. Voilà,

  • Speaker #0

    tu fais des études à la maison. Donc je reçois tous les cours. Je commence à travailler un peu. Tu connais, hein. Tu travailles un mois, tu lâches l'affaire.

  • Speaker #1

    Mec, c'est compliqué quand même.

  • Speaker #0

    C'est compliqué. J'arrive au bac, donc je m'assois pour le bac. Écoute, je fais toutes les épreuves. Reveloque, j'arrive au rattrapage. Il me manquait, mes frères, il me manquait 70 points. Je dis, oh là là, ça va être chaud. Ça va être chaud. Écoute, j'avais une matière, j'avais trois matières à rattraper. Et j'avais la matière l'écho droit. L'écho, je suis bon, tu vois. Je me suis dit, bon, tu es carré en écho, tu es fort. Et franchement, j'avais des bonnes notes. Mais bon, j'ai dû le repasser. J'arrive, je révise tout frère, tout tout tout. Il y a un truc que je n'avais pas révisé, je dis bon, c'est bon, ça passe à l'app. J'en ai tellement que tu vois quoi. J'arrive au bar avec la main, la meuf elle me dit le sujet, je dis ah putain, c'est tout que je n'ai pas révisé. J'étais, hé !

  • Speaker #1

    Elle n'a pas la peau. J'étais à noir. Regarde.

  • Speaker #0

    Hé, le chat noir, chat noir, qu'est-ce que je fais ? Je sors ma tchatche, et là tu vois, je commence à faire un peu le tchatcheur qui est limite en train de pleurer. l'examinatrice très sympa, elle me dit oui, mais qu'est-ce que vous voulez faire l'année prochaine ? Alors je lui explique, j'ai une école, j'ai ci, j'ai ça, et il me manque tant de points pour avoir le bac, ça fait la deuxième fois, j'ai 21 ans, vas-y, il faut y aller, donne-moi le bac. Elle fait quoi, elle a eu le pitié de moi, elle me dit, il vous manque combien de points ? Je dis, il me manque ça, je ne sais plus combien. Elle me dit, t'es quoi, elle m'a mis la note, je dis tiens, j'ai tout combien, elle m'a donné tous les points, j'ai eu mon bac, j'ai eu 10 000 frères.

  • Speaker #1

    Oh punaise !

  • Speaker #0

    Tu vois, j'ai plus gare.

  • Speaker #1

    Bon, recentrons le sujet sur la confiance en soi, malgré que cette anecdote soit vraiment respectée.

  • Speaker #0

    Écoute, ça passe un peu dans la confiance en soi.

  • Speaker #1

    Mais bien sûr. Tu sais que la confiance en soi, c'est comme un muscle, ça se travaille tout au long de sa vie.

  • Speaker #0

    Il y a des moments où... Tu sais que moi, comme je te disais, j'avais du mal à m'exprimer.

  • Speaker #1

    Vérité si je m'en mec.

  • Speaker #0

    Non, non, mais écoute, moi, j'avais du mal à m'exprimer devant beaucoup de monde. Tu vois, même pour les épreuves du bac, j'ai fait des études supérieures. Écoute, j'arrivais, j'étais en France. C'est quoi ? J'ai fait un blocage. Non, je ne pouvais pas. J'étais dans le mal. Écoute, à l'oral, j'avais peur de parler à l'oral.

  • Speaker #1

    C'est marrant,

  • Speaker #0

    ça. C'est fou. C'est un truc de dingue. En fait, ça se travaille et ça ne fait pas long. Ça fait quelques années que ça va mieux. D'accord. Et en fait, j'ai appris sur moi et j'ai appris à avoir confiance en moi quand j'ai commencé à travailler avec mon père. En fait, quand j'ai commencé à travailler, j'étais directement en Mille-Dans-Le-Bain. J'étais ouvrier, mais à côté de ça, je faisais tous les rendez-vous pour les gens.

  • Speaker #1

    Tu allais voir des gens, tu sortais de ta zone de confort et tu allais voir des gens.

  • Speaker #0

    Exactement. Et puis j'allais faire les zones. Donc au début, tu ne parles pas parce que tu ne connais pas trop, tu sais, tu es un petit vide. Et au fur et à mesure que tu côtoies les clients, des personnes, que tu bois du monde, que tu commences à t'ouvrir un peu plus.

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    Et c'est à partir de là que je me suis ouvert, tu sais, et que tu commences à prendre conscience que tu fais du bon travail. Et bien,

  • Speaker #1

    très bonne position, là. Et voilà,

  • Speaker #0

    les gens te... les gens te disent Ah, c'est bien ce que vous faites, vous travaillez bien. Et là, tu commences à prendre un petit peu plus de poids et tu te dis Bah ouais, en fait, je ne suis pas nul.

  • Speaker #1

    Et on va parler de comment renforcer sa confiance en soi et les techniques pour renforcer sa confiance en soi. Et tu vois, là, ce que tu viens d'évoquer, c'est magnifique parce qu'en fait, tu es sorti de ton confort, tu t'es mis dans une situation où, du coup, tu avais des objectifs et tu t'es défini des objectifs qui étaient réalisables. Tu n'es pas parti sur les trucs de ouf. Tu es parti en rendez-vous client. Les clients, tu n'avais pas le choix. Et petit à petit, en fait, tu as réussi à monter en skills, en compétences. Et la technique la plus facile, c'est l'affirmation positive. Tu vois ? L'affirmation positive, c'est tous les jours, plusieurs fois par jour, au lieu de dire, mais toi, en fait, toi... Il va falloir que tu t'encourages tout seul. Et ça, nous, avec Nico, on est très forts pour ça. En fait, tu vas te retrouver plusieurs fois dans l'année ou plusieurs fois par jour ou plusieurs fois par mois, etc. dans des situations un petit peu improbables où tu vas galérer. Et il n'y aura personne pour t'aider. Et c'est là qu'il va falloir que tu te répètes régulièrement des phrases positives et des encouragements, justement, pour que ton toit intérieur te dise Ok, on y va, on va réaliser ça. Et pour ça, en fait... il va falloir aussi que tu utilises la technique de la visualisation. En fait, te projeter, mais avec des objectifs qui sont réalisables. Si demain, avec Nico, moi j'ai 43, je dis ouais, je vais aller sur la Lune, à moins d'être blindé et de pouvoir payer Elon Musk, je crois que bon, c'est mort dans le film. Par contre, si je me dis...

  • Speaker #0

    Tu vas aller au Pond du Gérard ?

  • Speaker #1

    Je vais faire une fusée en carton. Au pire, tu vois, je peux devenir pilote d'avion. Déjà, tu vois, c'est pas mal. Je passe le PPL, il faut un petit peu d'ose. Mais non, mais voilà. En fait, tout est réalisable. La méditation, moi, perso, j'ai essayé. Ça ne marche pas sur moi, tu vois, me poser.

  • Speaker #0

    Ça ne marche pas de méditation ou de yoga. Oui,

  • Speaker #1

    voilà. Il y avait peut-être...

  • Speaker #0

    il y a peut-être des adeptes de yoga que je respecte.

  • Speaker #1

    Mais moi, ça ne va pas pour moi. Mais après, tu vois, des techniques comme yoga, ou excuse-moi, méditation, ou tenir un journal de gratitude, moi, franchement, tu vois, il y a un truc que je fais. La confiance en soi, pour moi, ça fait partie de la confiance. En fait, partout où je vais, je dis bonjour à tout le monde. Mais tout le monde, que ce soit une femme de ménage ou une directrice de ouf et tout. Je vais dire bonjour, je vais parler, comment ça va, etc. À tout le monde. Et il y a des gens qui ne s'attendent pas à ça, tu vois. Il y a des gens qui ne sont pas prêts.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, je suis d'accord avec toi. Et combien de personnes te répondent ? Sur 10 personnes.

  • Speaker #1

    Mais tout le monde. Moi, tout le monde me répond. Parce que je suis là,

  • Speaker #0

    je regarde. Moi, il ne répond pas. Il y a des gens, ils ne répondent pas. Ah ouais ? Tu leur dis bonjour, ils te regardent, ils ne répondent pas.

  • Speaker #1

    Moi, c'est... Par contre, attention, ce n'est pas genre je passe dans le dos, je dis bonjour, et voilà. Moi, je passe dans le dos, je dis bonjour, je regarde la personne dans les yeux, si je peux, etc. Comment ça va, etc. Par contre, j'ai une force, c'est que moi, je retiens les noms. J'ai une facilité. Après, c'est par mon passé. Je retiens les noms, que ce soit de la personne, des enfants, si je le sais, ou des époux. Je retiens ultra facilement et j'ai toujours un lien avec les gens. Et ça, systématiquement, on n'est plus dans la confiance en soi. Mais si je peux vous apporter ce petit tips là, retenez les noms de tous ceux que vous fréquentez, parce que tu vas les revoir dans un mois, tu sors juste un petit prénom, peu importe, c'est le chien, un enfant, la tante, le cousin, machin et tout, ils vont faire un pas en arrière, en fait, ah ouais, putain, lui il me connaît, il s'intéresse à moi. Et tout de suite, boum, tu peux rentrer en négociation si besoin ou quoi. Tu sais, moi je suis dans la merde avec ça,

  • Speaker #0

    j'arrive pas à retenir les noms des gens.

  • Speaker #1

    Tu en sais autre chose !

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, j'ai une très bonne mémoire, je me rappelle de ton visage, de tout.

  • Speaker #1

    Tu me sors une anecdote !

  • Speaker #0

    Non mais moi je dis, écoute, j'ai du mal à retenir les prénoms, rappelle-moi ton prénom. Moi je suis honnête, je préfère dire écoute, rappelle-moi ton prénom, je ne me rappelle plus. Et ce n'est pas un manque de respect, c'est juste que tu es du mal à retenir les prénoms. Tu vois, là, on a fait un peu le séminaire, enfin le séminaire, mais l'apéro avec...

  • Speaker #1

    Oui bien sûr.

  • Speaker #0

    J'ai vu tout le monde, on a vu tout le monde, tout le monde m'a dit son prénom. Il n'y en a aucun qui va se tenir.

  • Speaker #1

    Oui, mais après,

  • Speaker #0

    c'est pas... Après, je fais des essais.

  • Speaker #1

    Voilà, mais c'est pas trop méchant.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est pas méchant, c'est pour dire. Mais moi, tu vois, maintenant, j'ai tendance à parler avec les gens. Tu vois, je parle avec des gens dans la rue. Il y a beaucoup de personnes qui te regardent, mais genre tu leur dis bonjour, c'est comme si tu les avais insultés. Genre, ce n'est pas normal. Je trouve qu'en France, on a du mal à cohabiter, enfin pas à cohabiter, mais tu vois, se dire bonjour, normalement, ça devrait être normal, mais ce n'est pas normal. Bien sûr. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    On a une mentalité un peu bizarre. Là-dessus, c'est un peu bizarre. Mais bon.

  • Speaker #1

    La base de tout, les amis, il faut sortir de sa zone de confort. Franchement, il faut vraiment aller vous confronter à de nouvelles situations parce que sortir de sa zone de confort et aller sur des défis que de base vous n'alliez pas réaliser, ça va vous montrer que vous êtes capable de faire quelque chose, capable de faire du sport, capable de faire... Vous trouverez ça, on ne s'inquiète pas. Tout à l'heure, je parlais d'entourage. Mais mec, c'est la base, quoi. La base. Si tu appelles des gens et que ces gens-là, ils sont tous négatifs, mais tu vas être dans un mood négatif. Par contre, si tu appelles des potes, que ce soit des nanas ou des mecs, et que tout le monde est dans le positif et tout le monde a envie d'aller toucher la lune, c'est obligé que tu vas toucher la lune. Par contre, si tu es là...

  • Speaker #0

    C'est clair. C'est clair.

  • Speaker #1

    Eh oui. Si tu es là à fréquenter des gens qui sont tout le temps découverts, qui sont en train de fumer le bédo ou boire des bières, jouer à la PlayStation et que ça leur convient, tant mieux. Esquive, sors de ce cercle. Va dans un cercle où juste rien n'est.

  • Speaker #0

    C'est bien ce que tu dis parce que j'ai une anecdote là-dessus. Quand j'étais plus jeune, entre 17 et 20 ans, j'ai toujours vécu, j'ai rendu dans un petit village et j'étais une bonne de potes, une quinzaine, vingtaine de potes, que des mecs. On entraînait toujours ensemble, les soirées, tu connais, entre potes, à refaire le monde, à boire un petit coup, là ça fumait, enfin bref. Et tu fais toujours la même chose. Et moi, tu vois, moi je suis quelqu'un de… j'ai envie de m'ouvrir sur l'extérieur, tu vois, j'avais envie de découvrir le monde. Moi à cet âge-là, il fallait que je bouge, il fallait que j'aille à Paris, tout ça. Donc tu vois, j'avais ces potes-là qui voulaient toujours rester au même endroit et faire les mêmes choses de 15 piges à 25 piges. Et moi, tu vois, j'avais des moments avec eux, mais j'avais des moments...

  • Speaker #1

    Ils ne voulaient pas voir pas.

  • Speaker #0

    Oui, et puis ils ne voulaient pas faire autre chose. Je te dis, il fallait que je bouge, il fallait que je voie du monde, il fallait que je m'amuse. Et en fait, moi, tu vois, j'ai toujours fait du foot. Donc, j'avais des potes de foot et des très bons potes aussi avec qui je sortais. J'avais mes potes d'enfance et j'avais mes potes de foot et j'avais des potes de sortie.

  • Speaker #1

    Et tu vois,

  • Speaker #0

    quand j'allais dans différents cercles, tu vois, quand je sortais avec mes potes d'enfance... C'était toujours moi qui devais faire le premier pas, organiser les choses, réserver pour tout le monde. Je faisais tout pour tout le monde. Je me disais, putain, à un moment donné, j'en avais marre. Il y avait un mois de problème, c'était toujours à moi de le régler tout le temps. Et quand tu commences à sortir de ce confort avec des amis proches et que tu vas voir un autre cercle, écoute, moi je l'ai vu tout de suite. Je suis parti avec d'autres amis pour des soirées. j'avais pas besoin de négocier tout était nickel les autres faisaient ils faisaient le taf à ma place et quand tu te rends compte tu dis mais en fait je suis pas tout seul il ya d'autres mecs comme moi tu vois et moi ça va mais moi ce cette première phase comme ça que j'ai vécu ça m'avait marqué je pars en soirée avec des potes amants que je lag mais qui rentre nulle part obligé de leur dire de comment s'habiller pour les gars faut s'habiller comme ça ces soirées privées dans des beaux endroits à paris resté calme, souriant et j'avais ramené un autre pote à moi d'un autre cercle. Je lui dis bon vas-y viens, il y a une bonne soirée. Ecoute on arrive là-bas, qu'est-ce qui se passe ? Bon vous les gars vous rentrez pas vous êtes localés. Et mon autre pote il arrive, non mais vous savez voilà on est sur invitation, il commence à tchatcher, il sort sa tchac. Regardez nan mais, comme une lettre à la poste, allez les gars on rentre tous. Et tu vois j'ai ouvert les yeux, tu vois à ce moment là j'ai ouvert les yeux, je dis putain je suis pas tout seul. Faut que voilà. Il faut que je m'engouffre là-dedans. Et après, tu rencontres d'autres personnes qui sont comme toi, qui ont les mêmes envies, les mêmes objectifs. Et c'est vrai que pour avoir confiance en soi et l'estime de soi, déjà, il faut se donner des objectifs et les faire pas à pas.

  • Speaker #1

    Pas des petits objectifs.

  • Speaker #0

    Des petits objectifs.

  • Speaker #1

    C'est une méthode, ça. La méthode des pas à pas. Quand tu as un gros objectif, il faut y aller. En fait, tu vas décomposer et tu vas faire des petits objectifs. Par exemple, si tu te dis, je fais 100 000 euros de chiffre d'affaires l'année prochaine, tu vas décomposer par mois, par semaine, etc. Et du coup, tu vas te mettre en place une stratégie. Mais c'est une très bonne technique, ça.

  • Speaker #0

    J'ai toujours marché comme ça. Comme je t'ai dit quand j'étais gamin, je voulais gagner de l'argent, je voulais être footballeur. Je n'ai pas été footballeur. Je gagne ma vie. Je vais aller là où je veux aller. Mais j'ai toujours eu des objectifs. Quand j'ai commencé à travailler, et pourtant je n'ai pas bossé dans le bâtiment, je suis rentré là-dedans et j'ai vu qu'on pouvait faire de l'oseille. Je me suis dit, la prochaine étape, c'est d'acheter. Je commence à bosser, on va commencer à acheter un petit truc. j'ai acheté un petit truc. Après, j'ai grossi un petit peu. Je me suis dit, tiens, à 30 ans, comme tout le monde, à 30 ans, tu as ta Porsche, et puis tu seras content, tu gagneras tant. Je me suis dit, tiens, à 30 ans, tu seras comme ça. Je n'ai pas eu la Porsche, ce n'est pas grave.

  • Speaker #1

    J'avais d'autres choses. C'est juste décalé.

  • Speaker #0

    C'est juste décalé. Après,

  • Speaker #1

    c'est du matériel.

  • Speaker #0

    Je n'avais pas ça, mais j'avais plein d'autres biens à côté. Donc tu vois, je préfère avoir mes biens que ma voiture.

  • Speaker #1

    Attends, il faut que je raconte une anecdote. Tu sais, il y a quelques années, j'ai fait coach sportif à côté de mon travail. Je faisais, j'avais repris mes, pour ceux qui connaissent, un CQP. Après, j'ai passé un BPGEPS, activité de la forme. Et j'ai commencé à travailler dans des salles en banlieue. Ça me saoulait un peu, tu vois, parce que la clientèle, elle était vraiment top. Mais en fait, moi, je voulais gagner un peu d'oseille. Et donc, je me suis rendu dans le centre de Paris, dans des salles un peu stylées. Au début, je faisais des remplacements et très rapidement, mais vraiment, je faisais un essai, je mettais le feu. Et on me disait, vas-y, on aimerait bien te prendre. Alors, j'étais auto-entrepreneur. On aimerait bien te prendre. Alors, je ne te raconte même pas parce que je bossais conducteur de métro à l'époque. Et à côté, j'étais coach sportif, je donnais des cours collectifs. Et très rapidement, j'ai eu un carnet. J'étais booké sur plusieurs grosses salles dans Paris, des salles chic. Et je suis commencé à donner des cours particuliers. Et en fait, moi, j'ai jamais eu... J'avais les abdos, mais ils n'étaient pas saillants. J'ai jamais été physiquement... Même quand j'étais dans l'armée, j'ai toujours été sec, mais genre pas ouf. Et j'avais des collègues. Donc, des autres coachs sportifs qui étaient des monstres physiques. Et moi, en fait, j'étais celui qui prenait le plus d'oseille. Et on m'a demandé comment je faisais. Et j'ai mis du temps avant de réaliser. En fait, j'étais très fort sur un truc. C'est que mes clients, ils me choisissaient moi. Et en fait, à chaque séance, ils ressortaient. L'état d'esprit était boosté à 2 milliards de pourcents. Et ils avaient pris... j'allais voir certains 2-3 fois par semaine et en fait ils me demandaient de revenir parce que en fait le sport ça dégage à la fin de la séance de sport t'as des endorphines qui vont te faire sentir trop bien mais si en plus de ça t'as un coach qui est là et qui te fait comprendre en fait que t'es pas une merde et que tes objectifs si t'es gros et que tu peux devenir mince mais que en passant de gros à mince ça va prendre du temps mais que le chemin il est magnifique et qu'à chaque séance en fait il te fait penser que t'es le meilleur, en fait, la confiance en soi, elle remonte. Et ça, c'était mon secret, en fait. Et quand je te dis prendre beaucoup d'oseille, j'ai pris beaucoup, beaucoup, beaucoup d'oseille, mec. Et j'étais pas le plus beau. Mais juste parce qu'en fait, en termes de parole, les clients, ils ressortaient, ils avaient la banane, ils étaient boostés. En fait, moi, je faisais mon business. Le problème, c'est que j'ai arrêté parce que l'énergie que je leur donnais, ils me la pompaient, tu vois. Il me l'a pompé.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi ? Par exemple, ça pompe énormément. Et ce que tu racontes, c'est bien parce que moi, je ne l'ai pas vécu dans le sport, mais quand j'avais les boutiques, c'est pareil. Moi, j'ai appris à avoir confiance en moi, à faire de la vente. Et ce n'est pas évident de faire de la vente, d'être un bon vendeur. Moi, j'ai appris ça grâce à ma femme parce que c'est une très bonne vendeuse. Et elle m'a appris toutes les techniques. Et en fait, pour être vendeur, il faut que tu aies la fibre. Si tu n'as pas la fibre de parler et de donner du bonheur aux gens,

  • Speaker #1

    il faut que tu la fasses avoir. Soyez fier de vous, bon sang. Arrêtez de regarder les choses négatives. Pensez vraiment. Allez, là, on fait du Mehdi, il n'y a plus de feuilles, il n'y a plus de notes. On fait du Mehdi et du Nico, c'est parti. Il n'y a pas de cas de fin de chaîne.

  • Speaker #0

    Ce que je veux dire, c'est que moi, je donnais… Je donnais du bonheur aux gens quand je vendais des vêtements. En fait, tu venais chez moi, je vendais du rêve.

  • Speaker #1

    Tu es en kiff.

  • Speaker #0

    Il sortait en kiff et il passait un très bonbon. Et en fait, tu vois, moi, je considérais mon travail comme une pièce théâtrale. Tu vois ce que je veux dire ? Tu rentrais chez moi, il y avait du show. Et pour en arriver là, ça a pris du temps et j'ai dû travailler pour moi.

  • Speaker #1

    Mais non,

  • Speaker #0

    je te l'ai vu. Et pour te dire, la première fois que j'ai ouvert ma première boutique et que j'ai vendu un produit, j'étais en stress, mais tu ne pouvais pas savoir. Limite, je dégayais devant le client. Et en fait, il faut y aller étape par étape, se faire confiance, avoir confiance en soi et ne pas avoir peur. Et on va faire des erreurs. On va en faire,

  • Speaker #1

    j'en ai fait.

  • Speaker #0

    On apprend de ses erreurs et on va de l'avant. Et puis, on va voir.

  • Speaker #1

    La base,

  • Speaker #0

    bien sûr. Et toujours avoir un mindset de focus. Et moi, j'étais focus. Et tu rentrais chez moi. Et frère, moi, c'était le spectacle. Je te gérais trois, quatre clients.

  • Speaker #1

    Magnifique.

  • Speaker #0

    Et tu peux être sûr, je gagnais de l'oseille et je faisais des très bons paniers. Et les gens revenaient pour moi. Et les gens revenaient pour ma femme parce qu'on délivrait un, entre guillemets, un spectacle. Oui. Les gens te disent. Et les gens me disaient, non, on ne va pas chez l'élixir, on va chez Nico. On va chez Noël. Et quand ils te disent ça, c'est qu'en fait, ils ne viennent que pour toi. Et ça, ça prend du temps. Et comme on disait, il y a beaucoup d'étapes. Pas à pas, vous allez apprendre à avoir confiance en soi. Il faut avoir l'estime de soi. Chaque petite victoire, il faut se féliciter. Et vous allez voir, au fur et à mesure du temps, ça va progresser. Oui, mais l'échec... Il faut pas avoir peur de l'échec, exactement. L'échec n'est pas une échec. L'échec n'est pas un échec. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    Et moi, j'en ai eu des échecs. Des fois, j'ai fait de la merde. Et bien, écoute, tu fais de la merde.

  • Speaker #1

    Mais t'as appris.

  • Speaker #0

    Et puis tu continues. Et puis t'apprends. Et puis voilà. Tu te recasses la gueule. Et bien, tu rapprends. Et puis tu te relèves. Et en fait, on est... On est vraiment meilleur que quand on a le dos au mur. Tu vois ?

  • Speaker #1

    Quand on a le dos au mur. Attends, je vais donner une citation. Et c'est Eleonore Roosevelt, tu vois ? Personne ne peut vous faire vous sentir inférieur sans votre consentement. Prenez le contrôle de votre vie, cultivez votre confiance en vous et atteignez vos objectifs. Putain, c'est une meuf. Son gars, il est dead, mec. Et elle te sort ça. Ah,

  • Speaker #0

    c'est beau.

  • Speaker #1

    Tu vois ? C'est beau. Bon, après, je ne vais pas lire. Mais ce que je veux dire, c'est faites-vous confiance, bougez-vous le cul et arrêtez de croire, arrêtez de regarder des choses qui sont fausses. Bordel de merde, putain, faites, mettez-vous en marche. Aujourd'hui, là, vous avez Nico et Mehdi qui sont là pour vous délivrer du mindset, du gros mindset. Et franchement, nous, on a plein de questions. de plusieurs auditeurs et qui rentrent dans notre cercle, justement, pour nous demander des choses. Mais vous avez toutes les compétences nécessaires pour justement exploser. Vous croyez que nous, on est des surhommes ? Nous, en fait, on est juste des gens qui passent à l'action. Parce que, alors moi, la dernière fois, on me demandait de faire des fichiers Excel, etc. Mec, moi, je suis encore à la feuille de papier avec le stylo. Mais je suis dans l'action. Je suis dans l'action. Donc aujourd'hui, ça va, Virginia, elle est en train de m'apprendre à faire des fiches Excel. C'est vrai que c'est de la bombe. Mais en fait, moi, je suis dans l'opérationnel. Et j'ai toujours été comme ça. Action. Et j'adore en fait l'expression qui dit qu'un intelligent qui a son cul sur sa chaise fait moins qu'un con qui est dans l'action. Et en fait, moi, c'est ça. J'apprends sur le terrain. Je ne suis pas là à étudier des bouquins, des choses qui sont irréalisables, etc. Surtout qu'en plus, les trois quarts, vous avez tous les connaissances nécessaires pour être dans votre domaine. Qu'est-ce que vous vous attendez, merde ? Bougez-vous le cul !

  • Speaker #0

    Là-dessus, je te rejoins. Il ne faut pas avoir peur. Il faut se lancer.

  • Speaker #1

    Le regard des autres, on s'en tape.

  • Speaker #0

    Non, mais il ne faut pas avoir peur de se lancer, que ce soit dans la vie. tous les jours dans le business ou mobilier ou autre voilà ça vous aidera partout et au fur et à mesure du temps vous allez prendre conscience que la confiance en soi permet déjà d'être moralement déjà d'être mieux moralement et autour de vous vous avez vous sauve les personnes vont vous sentir mieux et faut y aller pour voilà vous mettre des objectifs moi j'ai toujours moi je marche à la carotte moi j'ai toujours marché à la carotte je les suis toujours des objectifs et que je les atteigne ou pas, quoi qu'il arrive, c'est le chemin qui va faire que vous allez progresser, même si vous n'atteignez pas votre objectif, donnez-vous-en. vous allez voir que vous allez progresser et vous allez avoir le meilleur style de vous. Et la confiance en soi arrivera naturellement. Et moi, c'est ce qui s'est passé. Au fur et à mesure des années, j'ai pris beaucoup de confiance en moi. Alors, pas trop d'excès de zèle non plus, mais voilà, confiance en soi, c'est en fonction de chacun.

  • Speaker #1

    Mais bien sûr, il y a des moments où on a des super hauts, c'est comme ça, c'est la vie. Non, après,

  • Speaker #0

    tout le monde,

  • Speaker #1

    entourez-vous. Il y a le ying et le yang. Entourez-vous, les amis.

  • Speaker #0

    Exactement. Et avec l'expérience, moi, je le vois maintenant, j'ai 43 ans. Franchement, les petites futilités du quotidien, franchement, ça me passe au-dessus. Mais comme vous ne pouvez pas savoir, et j'en ai parlé avec Mehdi Lannarpox, Mehdi est quand même assez impulsif. Il dégaine rapidement. Donc, je lui dis, laisse tomber. Franchement, moi, dans la rue, tu me croises, tu m'insultes. Je te regarde et je trace mon chemin. Je n'en ai rien à faire. C'est quoi ? Je n'en ai plus rien à foutre des gens. Tu vois, si par exemple, toi, tu commences à m'insulter, voilà, ça va me toucher. Parce qu'on est amis, on est potes,

  • Speaker #1

    on est héros.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est pour te dire. Moi, les personnes que je ne connais pas, franchement, tout le monde m'a cassé du sucre sur le dos et j'en ai encore plein le dos, mais je n'en ai rien à battre. Il n'y a vraiment rien à battre, tu ne peux pas savoir. Moi, j'ai été commerçant 15 ans, mais si tu savais tout ce qu'on disait sur ma tête, il y a longtemps, j'aurais sauté du pont si j'ai quitté tout le monde. Mais je m'en bats. Mais franchement, vous devez faire pareil. Vous avez des objectifs, tracez tout droit, et si vous gâchez sur le côté, vous mettez des coups de latte, et ça repart sur le bas-côté. Et gardez tous ceux qui sont bons avec vous.

  • Speaker #1

    Restez focus sur vos objectifs. Restez focus sur vos objectifs, restez focus sur votre famille, vos proches et votre cercle. Et si votre cercle ne vous convient pas, on switch, on change de cercle. Aujourd'hui avec Instagram, avec les réseaux sociaux... Et puis là, on est en train de créer une communauté qui est vraiment dans l'entraide. Bientôt, on fera le nécessaire pour créer une rencontre. Et croyez-moi que vous allez tous y gagner.

  • Speaker #0

    Oui, et comme Médhi dit, il faut y aller pas à pas. Mettez-vous des petits objectifs.

  • Speaker #1

    Tout à fait.

  • Speaker #0

    Et vous allez voir que ça va venir tout seul. Et ce n'est pas grave si vous ne réussissez pas, mais au moins, vous avez essayé, puis vous recommencez, puis si ça ne refait pas, vous recommencez, puis ça marchera toujours. De toute manière, moi, je le dis toujours, et lui, il dit, c'est pareil, le travail paye. Quoi qu'il arrive, quand vous êtes sérieux, quand vous bossez et que vous êtes focus, le travail paye. À un moment donné, ça paiera toujours. Et croyez-moi, c'est vrai ce que je dis. Moi, mon père me l'a dit il y a des années, il y a 20 ans en arrière, il m'a dit, écoute, tu veux quelque chose, travaille, et un jour, ça paiera.

  • Speaker #1

    On est deux exemples.

  • Speaker #0

    Exactement. Et on n'est pas des warriors. Ne croyez pas qu'on est des warriors, on est comme vous. On a commencé, on n'avait rien. Et puis voilà, on fait notre vie. Et puis au fur et à mesure de votre vie, vous allez progresser, vous allez découvrir des choses, vous allez avoir de l'expérience. Et croyez-moi que si vous êtes focus,

  • Speaker #1

    ça va fonctionner. La dernière fois, on parlait avec un mec qui est connu sur les réseaux et on échangeait. Et nous, on est tout le temps tenus de chantier, on fait notre truc, etc. Et le mec, il a quand même plusieurs dizaines de milliers de followers. Donc, tu t'attends quand même que le gars, quand il cause, putain, mais mec, Nico, on lui met une pilule en termes de patrimoine. On l'explose. Et le gars, quand tu parles avec lui sur les réseaux, c'est le mec, il a plusieurs dizaines de milliers de followers. Et il est influenceur emo. Et toi, t'es là, tu te dis, putain... Alors moi, je vais parler pour moi. J'ai 260 abonnés. Merci à tous les amis. Et encore, dedans, il y a plein de... Il y a plein de... Ce que je veux dire, en fait, c'est que l'habit ne fait pas le moine, les amis.

  • Speaker #0

    Vous ne vous focalisez pas sur les... Il faut arrêter de croire que la vie est belle sur Insta.

  • Speaker #1

    Les gens qui font vraiment de l'oseille, ils ont pas le temps d'être dans le... paraître de Instagram. Bon, on va se mettre dans la merde. On va se mettre dans la merde. Belle parole, Nico.

  • Speaker #0

    Non, mais voilà, pour dire ne croyez pas tout ce qu'on vous dit. Nous, on est des gens... Exactement. Nous, on est des gens médias. On est des gens simples. On est comme vous.

  • Speaker #1

    On l'entoure.

  • Speaker #0

    Tout le monde peut réussir. Écoutez-moi, toutefois, vous me voyez dans la rue. J'ai un caillou ou un pavé tellement je sais pas.

  • Speaker #1

    Le mec qui ouvre une Kangoo.

  • Speaker #0

    Bref, moi tu me vois dans la rue, jeter des cailloux, donner un euro, tu vois. Et puis je m'en bats, je m'en bats à l'expect franchement de ce que les gens pensent, franchement. arrêtez de prendre pour contents ce que les gens disent de vous. Tracez, s'ils parlent de vous, c'est que ce ne sont pas des amis, ce ne sont pas des personnes que vous devez avoir dans votre cercle. Moi, tous mes potes… Les noix de snif,

  • Speaker #1

    bye bye. Perdez votre temps,

  • Speaker #0

    next. Moi, tous mes potes, ils me disent, allez, vas-y, c'est bien, il faut continuer. On s'encourage tous. C'est comme ça. Vous faites le tri au fur et à mesure des années. Mais tout le monde peut y arriver.

  • Speaker #1

    Sur ces belles paroles. Sur ces belles paroles.

  • Speaker #0

    Tu n'as pas envie que je m'obtene.

  • Speaker #1

    Non, parce que je ne veux pas qu'on se foute dans la merde non plus. Alors, les amis, encore merci pour la semaine dernière et pour les retours que vous nous avez faits. On vous souhaite une très bonne semaine. Et pour ceux, franchement, qui continuent de nous encourager, merci vraiment pour tout. N'hésitez pas à partager à vos proches les podcasts, parce que je pense qu'on délivre beaucoup de tips. Et pour tout ça, merci encore. Likez. partagez, si possible notez ah, Monico veut dire quelque chose ouais voilà,

  • Speaker #0

    là pour l'instant on fait des podcasts audio mais on va bientôt se mettre sur Youtube non non mais là aujourd'hui vous voyez pas mais il a fait déjà son sapin de Noël il est tombé, j'ai l'impression que il va descendre de la finale vive cette période là

  • Speaker #1

    Noël pour moi c'est une des meilleures périodes de la vie bah ouais mais là j'ai pas pu te filmer là bah ouais Tu as fait le message de bonne semaine à tous.

  • Speaker #0

    Exactement, les amis. Merci encore pour la force. Continuez à nous écouter. On remercie tout le monde parce que les audiences commencent à grimper. Franchement, ça fait plaisir. J'espère que ce podcast vous a plu. Comme d'habitude, vous mettez un 5 étoiles. J'ai vu qu'il y avait des gens qui avaient mis des 5 étoiles. Je vous en remercie beaucoup. Merci beaucoup. Sur un podcast, sur Spotify, sur toutes les plateformes, les commentaires, c'est top. N'hésitez pas surtout à partager et à en parler à vos amis. Et on se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau podcast. Et on vous dit bonne soirée, bonne journée.

  • Speaker #1

    Bye bye les amis.

Chapters

  • Introduction et présentation des hôtes

    00:00

  • Discussion sur la confiance en soi et son importance

    00:34

  • Les expériences personnelles de Niko et Mehdi

    01:52

  • Techniques pour renforcer la confiance en soi

    05:56

  • Conclusion et remerciements aux auditeurs

    01:00:30

Description

Dans cet épisode captivant de "Riche d'Expériences", Niko et Mehdi vous plongent au cœur d'un sujet essentiel : la confiance en soi. Souvent sous-estimée, la confiance en soi est pourtant la clé qui ouvre les portes de l'indépendance financière. À travers leurs expériences personnelles et professionnelles, nos deux animateurs vous offrent un éclairage unique sur la manière dont cette qualité peut être cultivée et renforcée. Ils partagent des stratégies concrètes et des objectifs clairs qui vous aideront à bâtir une confiance solide, indispensable pour avancer dans votre parcours financier.


Niko vous raconte avec authenticité son parcours, les défis qu'il a dû surmonter et comment ces épreuves l'ont forgé. Son histoire personnelle est une source d'inspiration, illustrant que chaque obstacle peut devenir une opportunité de croissance. De son côté, Mehdi aborde l'impact de l'éducation et des valeurs familiales sur la confiance en soi. Ensemble, ils soulignent l'importance de sortir de sa zone de confort, d'oser prendre des risques et de s'entourer de personnes positives qui vous élèvent.


Cet épisode est bien plus qu'une simple discussion ; c'est un véritable appel à l'action. Niko et Mehdi encouragent chaque auditeur à croire en lui-même et à passer à l'action. Ils partagent des conseils pratiques pour célébrer chaque petite victoire sur le chemin de l'indépendance financière. En effet, chaque pas compte, et il est crucial de reconnaître les progrès, même les plus modestes.


Les échecs, souvent perçus comme des freins, sont en réalité des étapes incontournables du processus d'apprentissage. Niko et Mehdi vous rappellent que chaque échec est une leçon précieuse qui vous rapproche de vos objectifs. Dans cet épisode, vous découvrirez comment transformer vos doutes en forces et comment faire de la confiance en soi un pilier de votre succès.


Ne manquez pas cette occasion d'enrichir votre parcours vers l'indépendance financière. "Riche d'Expériences" vous offre des clés pour renforcer votre confiance en vous et vous inciter à avancer. Que vous soyez entrepreneur, salarié ou simplement en quête de développement personnel, cet épisode est fait pour vous. Écoutez-le et laissez-vous inspirer par des histoires authentiques, des conseils pratiques et une vision positive de l'avenir. Ensemble, construisons une confiance en soi inébranlable, car c'est le premier pas vers la réalisation de vos rêves financiers.


Bienvenue sur "Riche d'expérience", le podcast qui vous ouvre les portes de la liberté financière, et bien plus encore. Chaque semaine, on vous livre des stratégies concrètes pour booster vos revenus et atteindre vos objectifs. Ici, pas de bla bla inutile, juste des conseils d'experts pour valoriser votre patrimoine, faire fructifier vos investissements, et transformer vos idées en succès. Vous entendrez aussi des témoignages inspirants de personnes comme vous, qui ont su partir de zéro pour bâtir un avenir solide.

Que vous cherchiez à arrondir vos fins de mois, à obtenir des conseils pratiques ou à puiser de l'inspiration, ce podcast est fait pour vous. Alors, préparez-vous à prendre en main votre destin financier.

Nous sommes Mehdi et Niko, deux entrepreneurs avec des parcours différents, mais un objectif commun : vous donner les clés pour réussir, avec un mindset de folie, des astuces concrètes et des solutions sans bullshit.





Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Riche d'expérience. Vous souhaitez vous enrichir en partant de zéro avec un salaire moyen et sans attendre 20 ans pour voir le résultat ? Vous êtes au bon endroit. Nous sommes Nico et Mehdi, deux entrepreneurs au parcours différent mais avec une vision commune, l'indépendance financière. Chaque jeudi, nous parlerons IMO, bourse et entrepreneuriat pour vous partager les stratégies et techniques qui auparavant étaient réservées à une élite. Avec nous, vous découvrirez comment débuter, même avec un petit budget, en ayant des astuces pour éviter les pièges, maximiser vos gains et apprendre à investir intelligemment, même si vous n'y connaissiez rien car nous sommes à votre image. Alors oubliez le mythe des années de galère, il est temps de passer à l'action et de construire enfin votre richesse. C'est parti pour l'épisode du jour. Yeah ! Alors Monico, quoi de neuf ?

  • Speaker #1

    Bah écoute, comme d'hab, toujours le taf. Toujours et toujours. Mais non, là c'est bien, on a passé un bon petit week-end. Bon,

  • Speaker #0

    qu'est-ce que t'as fait de beau alors ?

  • Speaker #1

    Écoute, qu'est-ce que j'ai fait de beau ? J'ai pas arrêté avec les ménages. Ouais,

  • Speaker #0

    c'est magnifique. Tu sais que, franchement, moi, je vais te dire un truc, tu vois, et il m'en fout s'il écoute. Mon frère, c'est une fédulogie, mec. On ne s'entend pas, mais c'est une fédulogie. Il est en galère, il travaille dans une déchetterie. C'était un mec qui gagnait 6-7 000 euros par mois. Et aujourd'hui, je lui dis, mais mec, monte une conciergerie. Et si tu ne veux pas monter de conciergerie, monte une boîte de ménage. Et en fait, il me dit non et tout. Tu sais, les faits, genre, c'est du taf de merde et tout. Mais mec, tu es doué pour ça. Fais-le, tu vois. Et je me pose...

  • Speaker #1

    Moi, je te dis, je suis maniaque.

  • Speaker #0

    Mais je ne me poserai même pas de questions. Tu es en galère, tu gagnes. Tu sais quoi ? Il a quitté une compagnie aérienne pour gagner. Aujourd'hui, il travaille dans une déchetterie, mec.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas dévalorisant, c'est bien aussi.

  • Speaker #0

    Mais non, on s'en fout. Le mec, il est doué pour un truc et il travaille pour un patron. En fait, c'est le thème du jour, la confiance en soi. On va en parler, tu vois. Le mec, en fait...

  • Speaker #1

    Mais oui, comme tu dis, ce week-end, j'ai passé mon week-end à ne pas faire des ménages tout le temps, mais j'ai fait trois jours de ménage sur les MC des pas arrivés, des pas arrivés, ça paraît.

  • Speaker #0

    Bon, voyons le positif. Tu prends du cash.

  • Speaker #1

    Oui, non, non. Après, je ne fais pas tout le ménage. J'aide parce que ça va plus vite et comme ça, les femmes de ménage prennent moins de temps, tu vois. Mais non, après, ça ne me dérange pas. Mais c'est vrai que faire ça tous les jours, sans compter un peu derrière, tu as tout le linge, tous les draps, les serviettes.

  • Speaker #0

    Après, ce qu'il faut se dire, c'est que ça fait partie du business. La LCD, les locations courte durée, sans le ménage, ben voilà quoi. Donc, le nerf de la guerre, c'est le ménage et le service. Donc, en même temps, le fait de... Bon, après, toi, c'est quand même une prestation qui est très standing. Déléguer la totalité par rapport au client que vous avez, par rapport au prix de l'annuité, on va dire que… C'est trop.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    c'est obligé. C'est trop. Et si, justement, aujourd'hui, tu arrives à être à ce niveau de performance, c'est parce que, justement, autant Noël, donc ton épouse que toi, vous avez un pied dedans. Exactement.

  • Speaker #1

    Et heureusement, parce qu'on a accueilli des charges très strictes au niveau du ménage. Voilà. rien traîne c'est pour ça que moi ça me dérange pas d'aller les aider tu vois je fais des cuisines moi les cuisines voilà moi je sais que les cuisines par poil qui prennent c'est nickel chrome mais bon voilà ça ça prend un peu de temps mais on était pas on n'a rien il ya des inconvénients et des avantages dans tous les domaines soit la lcd ou que ce soit dans le business que ce soit un salariat partout en fait tu vois tu as des avantages et des inconvénients bon après ça me gêne pas moi j'aime bien j'aime bien c'est pas dérangeant Mais voilà, ça m'a pris mon week-end, plus la vie de famille, plus tout ça.

  • Speaker #0

    Beau gosse.

  • Speaker #1

    Ça passe vite.

  • Speaker #0

    Beau gosse. Bon, est-ce que tu as d'autres choses à rajouter ? Nous faire partager, nous partager, pardon.

  • Speaker #1

    Déjà, je voudrais revenir sur le podcast de la semaine dernière. Encore, comme d'habitude, un grand merci à tout le monde. C'est vrai qu'on a de plus en plus de retours. Et merci à tous les auditeurs qui nous envoient des messages et qui commentent. C'est super gratifiant et ça nous donne encore plus envie d'aller encore un peu plus loin dans les podcasts et à vous apporter encore plus de valeur. Donc, un grand, grand merci.

  • Speaker #0

    Vraiment, merci beaucoup. Après, j'avoue, sur ce podcast-là, je me suis vraiment lâché. Donc, effectivement, ça peut ne pas plaire. C'est ça qu'on a eu.

  • Speaker #1

    On a eu pas heureux. J'ai eu plein de retours comme quoi tout le monde rigolait, tout le monde s'est bien marré. Ça donne un peu de bonne humeur, ça donne un peu de joie à l'auditeur. C'est quoi, évoluer comme ça ? Rigoler ? être dans la bonne humeur, on est sérieux quand il faut, mais on est là pour partager, on est là pour rigoler. On est comme ça.

  • Speaker #0

    Il y a eu des gens qui m'ont beaucoup rassuré, malgré qu'on a discuté avec Nico. On est comme ça, moi je suis comme ça et je ne suis pas prêt à changer. Au final, j'ai eu une période de doute de deux heures. Et au final... Ouais, voilà. Et au final... On est comme on est donc merci à tous pour votre soutien et puis merci beaucoup à toi Nico pour me soutenir au quotidien.

  • Speaker #1

    On est là pour se soutenir, on est là pour avancer et voilà je pense que au fur et à mesure du temps les podcasts vont s'améliorer, on n'est pas parfait, on fait en fonction de nous, on fait en fonction de notre envie voilà il faut le faire, on s'est lancé, on le fait. Et je pense que tu vois, le thème d'aujourd'hui sur la confiance en soi, ça passe par là. Parce que tu vois, moi, comme je t'avais dit et comme on en avait parlé sur le podcast, moi, j'ai toujours voulu faire un podcast. Ça me trottait depuis quelques mois, même presque une année. Et tu vois, c'est toujours l'appréhension de se lancer. Mais de quoi je vais parler ? Après, j'ai plein de choses à raconter. Mais tu vois, tu repousses toujours. Et alors, c'est peut-être un manque de confiance où tu te dis, bon, est-ce que je repousse toujours ? toujours ah bah je vais faire maintenant j'essaie tu as toujours un a toujours quelque chose qui fait que tu vas pas passer le cap tu vois ce que je veux dire et c'est vrai que ça passe un peu par là alors c'est pas que j'ai pas confiance en moi mais dans ce domaine là je connais pas c'est la première fois que tu vois comme toi et moi on fait des podcasts parler parler devant un micro à personne c'est vrai que c'est pas c'est pas donné à tous les c'est un peu compliqué c'est un métier un mine de rien mais c'est un métier

  • Speaker #0

    En faisant des recherches pour ce podcast, je suis tombé sur un docteur plutôt connu dans le monde de tout ce qui est neurologie, psychiatrie, etc. qui s'appelle Cyril Nuc, Boris Cyril Nuc. Et en fait, je vous invite vraiment à aller regarder. C'est quelqu'un qui est juif et qui en fait a été déporté à six ans. Excusez-moi si je dis des bêtises, mais en tout cas, toute sa famille a été quasiment décimée, sauf lui plus deux autres personnes. Et en fait, il explique comment il s'est relevé de ça, par la résilience et par sa passion sur le cerveau humain. Et du coup, pour tous ceux qui veulent comprendre les techniques pour remonter une confiance en soi, aujourd'hui, on va s'inspirer beaucoup de ses études. Et tu vois, Nico, il y a un truc qui est intéressant. entre nous, c'est que moi, tu vois, il y a des moments, plusieurs personnes sont venues me parler pour me demander comment on faisait tous les deux en termes d'état d'esprit. Pourquoi, en fait, pas forcément la confiance, mais pourquoi on continuait, on continuait, on continuait. Mais en fait, nous, on ne se pose pas de questions avec Nico. Et quand on se pose des questions, on appelle les bonnes personnes, soit lui, quand il a besoin, il m'appelle moi, ou moi, quand j'ai besoin, je l'appelle lui. Et en fait, on se remet les boosts. Et dans le podcast, vous allez voir qu'il y a des techniques qui font que s'entourer. Et ça, Delica, ça a été dit parce qu'il avait fait vraiment un merveilleux podcast sur l'entourage. En fait, juste l'entourage. Rappelez-vous, c'est quoi déjà ? C'est entourez-vous des cinq personnes qui vous ressemblent. Merde, je ne me rappelle plus. Tu vois, il y a un dicton. C'est du Mehdi, là.

  • Speaker #1

    C'est quoi ? C'est un truc comme ça. Voilà. Entourer des... Autour quoi des cinq personnes, la moyenne de tes cinq personnes ? Voilà. Un truc comme ça.

  • Speaker #0

    Si vous savez, mettez-le en commentaire, on en a besoin.

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Ils vont nous le mettre en commentaire, c'est bien. Bon, du coup, tu vois, par exemple, moi, la dernière semaine, j'ai eu beaucoup, beaucoup, beaucoup de galères. J'ai eu un mur de séparation entre une maison dans laquelle je suis en indivision avec deux personnes de ma famille qui s'est effondrée. J'ai voulu mener les négociations, on m'a interdit de les mener. Au final, j'avais tous les éléments pour pouvoir ne pas débourser un centime. Et la personne, enfin ma mère, a voulu mener les négociations. Au final, on se retrouve à payer 6 000 balles. J'ai eu dans une HCD un gros coup de chaud parce que je me suis dit qu'ils allaient me délèbrer mon truc. Donc je suis parti en mode warrior le matin. J'ai eu, enfin bref, j'ai eu le truc. Et en fait... ça continue quoi, la vie elle continue. Si à chaque fois que tu te manges des coups, tu t'arrêtes, et la transition sur le podcast d'aujourd'hui, la confiance en soi, si tu dis un truc tout simple, mais si tu dis je ne peux pas, je ne peux pas, en fait, bah oui, tu vas t'en convaincre. Alors que si tu essayes juste de dire je peux, je vais essayer, Tout de suite, en fait, ton état d'esprit, lui, il se met en mode on y va

  • Speaker #1

    En mode guerrier.

  • Speaker #0

    Mais bien sûr.

  • Speaker #1

    Et là-dessus, je te rejoins. C'est vrai que moi, tu vois, quand j'étais plus jeune, je ne savais pas trop ce que je voulais faire. Ce que je voulais, c'était réussir, gagner de l'argent. Moi, ma motivation, c'était l'argent. Je savais que… Je ne sais pas, franchement je ne pourrais pas te dire. J'ai toujours été motivé par l'argent, je le suis toujours. Et quand j'étais gamin, je me suis dit un jour que je serais riche. Je ne le suis pas encore.

  • Speaker #0

    Justement, ce qui est intéressant, c'est pourquoi riche ?

  • Speaker #1

    Je ne sais pas, écoute, si tu sais, j'aurais pu te dire, j'aurais voulu être pompier. Là, moi, c'était être footballeur et être riche. Pourquoi ? Je ne sais pas. Est-ce que c'est par rapport à ce que j'ai vécu étant petit ? Pourtant, je n'ai jamais manqué de rien. Moi, j'ai toujours bien vécu. On ne roulait pas sur l'or, mais voilà, mes parents vivaient très bien. J'ai toujours bien vécu, parti en vacances, manqué de rien. Mais je ne sais pas, j'ai toujours été attiré par l'argent. Quand j'étais petit, là, on a les applications, tu peux aller sur ton compte, tu peux savoir tout ce que tu as au niveau de ton sol, une bancaire, bref, tout. Et moi, quand j'étais gamin, mes parents m'ont ouvert la compte, je ne vais pas te dire à quel âge, mais je pense que ça devait être à l'adolescence. Et moi, je tenais un petit journal de bord de toutes mes dépenses et toutes mes rentrées. J'écrivais tout au jour prêt, t'imagines ?

  • Speaker #0

    C'est un truc de fou.

  • Speaker #1

    A 14, 15 filles. Donc, je savais tel montant. Et tu vois, pour savoir ce que tu avais comme solde dans ton compte, tu devais attendre tous les mois de recevoir ton revenu bancaire.

  • Speaker #0

    C'est clair.

  • Speaker #1

    Tu te rappelles de ça ?

  • Speaker #0

    Oui, carrément. Tu recevais le relevé.

  • Speaker #1

    Exactement. Et moi, tu sais quoi ? Au centime près, je savais combien j'avais. À n'importe quel temps du mois. Tu vois, pour te dire, tellement j'étais calibré au niveau des comptes, j'étais calibré de ouf. Et je ne sais pas, j'avais ce truc dans ma tête. Je ne savais pas quoi faire, comment, comment j'allais faire pour réussir. Et je savais que j'allais réussir.

  • Speaker #0

    C'est marrant. Parce que tu vois, en fait… C'est marrant. Oui, mais carrément. Parce que moi, je veux devenir riche. Mais juste pour avoir le choix et faire ce que je veux. En fait, c'est parce que je sais que le véhicule, l'argent, l'argent, c'est un véhicule pour moi. Et ça me permettra d'aller où je veux, quand je veux, de faire ce que je veux, au moment où je veux. Et on pourrait parler des origines de la confiance en soi, mec. D'après toi, en fait, même pour toi, à ton avis, les gens qui manquent de confiance en eux, ça vient d'où ? Est-ce que tu penses... Lâche-toi.

  • Speaker #1

    Je vais te donner mon exemple. Quand tu n'es pas... Quand tu n'es pas avec de la confiance en toi. Ce n'est pas inscrit dans tes gènes. Toi, tu vas avoir confiance. Toi, tu ne vas pas avoir confiance. Je pense que la confiance vient en fonction déjà de ton éducation. Par tes parents. Si tu as des parents aimants, si tu as des parents qui te... qui font tout pour toi, qui te montrent le chemin, qui sont là pour toi, qui ont de la bienveillance pour toi, ils vont t'apprendre les rudiments de la vie et tu vas avoir confiance. Pas à pas, tu vas prendre un peu confiance en toi. C'est les étapes de la vie, je pense. Et tu vas avoir d'autres personnes qui vont avoir un peu moins confiance en eux parce qu'ils ont eu une éducation qui a été un peu bancale, qui a été dure et pas d'amour. pas de déviance, donc tu reproduis un peu ça et du coup, les moindres choses que tu vas et que tu vas faire étant petit jusqu'à un certain âge, tu n'auras pas de... Comment t'expliquer ? Tu n'auras pas tes parents ou quelqu'un d'autre qui va te féliciter sur ce que tu as fait, que ce soit dans le sport, à l'école ou autre et du coup, tu n'as pas cette notion-là en fait. Tu ne sais pas ce qui est bon pour toi, ce qui n'est pas bon et ce qui est... Tu vois ce qui est bien, ce que tu as bien fait ou pas. Je pense qu'il y a deux zones.

  • Speaker #0

    Tu as visé juste parce que dans les trois quarts des études, les origines du manque de confiance en soi, ça vient de l'environnement familial. Alors, quand tu prends un environnement familial où tu as eu les parents qui ont été vraiment très portés sur la reconnaissance, c'est bien mon fils ou ma fille, peu importe. Dès l'enfance, on va voir que l'interaction avec les parents, si elle est positive, derrière, on a un terreau fertile pour que les gens aient confiance en eux. A l'inverse, si les gens sont trop surprotecteurs, l'enfant, vu qu'il n'a quasiment rien vécu avec les autres, parce que par exemple, moi, je vais te parler de mon éducation. C'est mon grand frère. Mes parents travaillaient tellement qu'en fait c'était mon grand frère qui m'élevait. Mais mon grand frère ça le saoulait. On a 14 ans de différence et lui il était prof de boxe taille. Donc les seules façons qu'il avait de communiquer avec moi c'était de me rabaisser. Et du coup moi étant petit en fait j'avais un gros manque de confiance en moi. Et arrivé à l'adolescence j'ai réussi à m'en sortir grâce à un truc. Est-ce que tu sais ce que c'est ?

  • Speaker #1

    Boxe taille.

  • Speaker #0

    disons qu'au niveau des sports de combat j'ai eu ce qu'il fallait oui si en fait c'est le sport parce que le sport en fait moi j'étais quelqu'un qui parlait pas quand j'étais petit et le sport vu que j'étais en toute humilité en toute modestie j'étais doué tu vois et ça m'a en fait quand je pratiquais le sport et que je voyais que j'étais bon en fait Autour de moi, on a commencé à me récompenser, à me dire c'est bien, etc. Et j'ai trouvé, en fait, je me suis réfugié dans le sport, mais à fond. Donc, je faisais plein de sports, etc. Et j'ai réussi à sortir de ma, à devenir, à avoir confiance en moi grâce au sport. Mais tu vois, moi, sur mes filles, il y en a une, en fait, la première, je l'ai surprotégée. Mais tellement surprotégée que, par exemple, on allait au parc. Dès que je voyais un enfant qui s'approchait d'elle, j'étais à deux pas d'elle. Et ça pendant très longtemps, elle était ultra timide, introvertie et en manque de confiance en elle. Et ça c'est ma responsabilité parce que c'est moi qui ne l'ai pas laissé vivre des expériences et son environnement en fait c'est moi qui l'ai flouté. Parce que...

  • Speaker #1

    Tu l'as un peu freiné par rapport à...

  • Speaker #0

    Ouais tout à fait.

  • Speaker #1

    Ah, par la peur que toi tu as par rapport à ce que ta fille peut avoir si tu... Si tu la laisses un peu trop, c'est ce qui est normal. On est tous protecteurs.

  • Speaker #0

    Tout à fait. Mais tu vois, après, il y a les premiers modèles pour les enfants et les ados. Les premiers modèles pour les enfants, c'est les parents. Si un enfant voit ses parents faire face aux épreuves, aux échecs, etc. de manière résiliente et toujours prendre les choses de façon positive et résoudre les problèmes. Plus tard, en fait, à plus de 80 ces enfants-là réussiront justement à avoir beaucoup plus de confiance en eux que d'autres qui sont dans un cadre familial très nocif, si je puis dire. Et du coup, le fait d'avoir une enfance pas agréable de ce point de vue-là peut créer, peut découler sur un gros manque de confiance en soi.

  • Speaker #1

    Oui, mais c'est ça. ça je l'entends bien et tu as raison là-dessus moi tu vois j'ai moi étant étant petit je sais pas que j'avais pas confiance en moi alors moi tu sais je faisais du foot j'ai fait du foot tu vois j'étais très bon au foot donc voilà tu avais la reconnaissance des autres la satisfaction tu vois ouais t'es bon joue là n'a ni passé la balle à nico il va marquer n'a ni même pas tout ça c'est vrai que ça me donne confiance après moi j'ai C'est vrai que moi, mes parents, mon père, je le voyais quasiment peu. Tu travaillais tellement. Je travaillais tellement, donc pas souvent là. Moi, j'ai le souvenir d'un père qui a charmé du travail. Je me suis charmé pour travailler, ma mère ne travaillait pas. Et elle a tout fait pour que nous, on se sente bien et qu'on ne manque de rien. Moi, j'avais cette image-là.

  • Speaker #0

    Est-ce qu'à un moment, tu en as voulu pour ça ?

  • Speaker #1

    Je pense, oui. Je pense que j'ai dû en vouloir. Alors, est-ce que c'est normal ou pas ? Je ne sais pas. Est-ce que tous les enfants d'un certain âge donnent contre leurs parents à un moment donné ? Je ne sais pas. Moi, je sais que pendant un moment donné, j'étais en rébellion contre eux.

  • Speaker #0

    À l'adolescence ?

  • Speaker #1

    À l'adolescence, oui. Alors, pourquoi ? Je ne pourrais pas te dire. Ce n'était pas une haine. C'était plus une… Je ne pourrais pas te dire. Je ne sais pas. Je pense qu'on passe tous par là à un moment donné. Moi, j'étais beaucoup dehors. J'ai beaucoup fait ma jeunesse dehors. Jamais chez moi. C'est vrai que quand tu es dehors et que tu es gamin, tu apprends beaucoup de choses. Tu vois des choses, tu t'as guéri, tu prends confiance parce que tu découvres la vie. C'est vrai que maintenant, à notre époque, moins les enfants sortent, mieux on se porte. Tu vois ce que je veux dire ? Avec tout ce qui se passe. On est vraiment très protecteur. Mais moi, j'avais cette facilité à découvrir les choses. Et c'est vrai que je ne sais pas que j'ai eu un manque de confiance, mais moi, j'avais du mal à m'exprimer devant beaucoup de monde. C'est-à-dire qu'avec mes potes, c'était très bien. Dès que j'étais en cours ou autre, il fallait s'exprimer à un exposé ou autre. J'avais beaucoup de mal. Très stressé et très... Pas confiance. Tu vois, j'avais vraiment pas confiance en moi à m'exprimer devant du monde.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu penses que...

  • Speaker #1

    Ça a pris du temps. Et ça a pris du temps avant que je passe ce cap-là.

  • Speaker #0

    Et justement, est-ce que tu penses que plus jeune, tu avais eu une interaction avec les autres, justement pour jouer dans la construction, tu vois, de toi ? quand tu étais à l'école, beaucoup plus jeune, est-ce que tu étais plutôt quelqu'un qui était introverti, tu ne parlais pas trop, ou tu pouvais justement échanger avec tout le monde ?

  • Speaker #1

    Non, moi je suis quelqu'un de... Je suis très sociable, moi je parle avec tout le monde.

  • Speaker #0

    Non, mais maintenant... Non,

  • Speaker #1

    mais même... En étant enfant, j'étais plus le perturbateur que le perturbé.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Donc là-dessus, il n'y avait pas de réel problème. ça peut être un problème aussi d'être comme ça, mais j'étais toujours actif, très actif. Mais j'avais quand même ce manque de confiance en moi, avec les autres. Est-ce que c'était peut-être pour ça que j'étais un peu actif ? Et en fait, ce cap-là a pris du temps à passer, a pris beaucoup de temps à passer. Et ça m'a traîné jusqu'au début de ma vie d'adulte. C'est un travail sur soi à faire.

  • Speaker #0

    En tout cas, tu vois, à l'adolescence, en faisant mes recherches, à la France Post 4, j'ai compris qu'à l'adolescence, c'était une grosse phase charnière, parce que c'est là que les enfants affirment leurs convictions. se retrouvent dans des boys bands, je ne sais pas comment on dit aujourd'hui, mais les k-pop et tout le machin, on veut adhérer à un groupe pour justement renforcer, trouver un sentiment d'appartenance, pour pouvoir se libérer du manque de confiance en soi. Le fait d'appartenir à une meute, à un groupe, fait que justement, tu te sens moins en danger. Et ça, c'est vraiment dans la phase d'adolescence. Et après, tu as les gens qui vont partir, commencer à continuer sur ce mode-là jusqu'au début de l'adulte, jusqu'à les 25, 30 ans. Et tu vois, je fais un parallèle avec l'immobilier. C'est pour ça qu'aujourd'hui, tu as des gens qui suivent des gourous d'Instagram, etc., qui leur font croire, parce qu'ils s'identifient à quelque chose qu'ils pensent ne jamais pouvoir être. dans le manque de confiance en soi, le rêve du paraître fait que toi, tu ne te sens pas capable, mais tu veux lui ressembler. Donc, en fait, tu t'identifies à lui. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire.

  • Speaker #1

    Si, je vois. De toute façon, tu le vois. Tu as beaucoup de vendeurs de rêves et tu as beaucoup de personnes qui s'identifient à eux, mais ils aimeraient bien, mais ils ne le font pas. Et ils restent quand même là, ils t'observent. Ils n'arrivent pas à passer ce cap-là parce que, comme tu dis, ils ont un manque de confiance pour passer le cap. C'est le parallèle de l'immobilier. Tu vas avoir des personnes qui vont passer à l'action et d'autres qui vont traîner de la pape parce qu'ils ont toujours… Ah ben non, j'ai un problème là. Ah ben, j'ai peut-être été sûr là, mais non, je ne peux pas. C'est trop tôt, il faut que je visite encore un peu plus. Tu vois, tu as deux mondes. Il faut déjà travailler sur soi avant de pouvoir avoir confiance. Il faut déjà s'estimer soi-même.

  • Speaker #0

    Mais tu vois, en fait, c'est bien ce que tu dis, parce que tu en as beaucoup qui veulent se comparer aux autres, mais qui ne se rendent pas compte qu'en fait, c'est important de penser à soi. Et il y a un truc qui me choque, moi, quand je vois à l'école, je parle beaucoup de l'enfance, parce qu'il y a énormément de problèmes qui viennent de là. Et après, on parlera de l'âge adulte. Mais tu vois, rappelle-toi, à l'école, à l'école, on te faisait voir uniquement les mauvaises choses. La prof, ou le prof, il te notait en rouge tout ce qui n'allait pas. Il allait entourer tout ce qui n'allait pas. On ne te mettait jamais en vert ce qui allait, tu vois. On te mettait juste une note, éventuellement, si tu étais au-dessus de 10. Et puis, tu vois, mais on est sur une fiche, sur une... en contrôle, quand tu récupérais ta feuille, tu voyais que du rouge.

  • Speaker #1

    Avec du rouge.

  • Speaker #0

    Exactement. Ouais, bon, alors moi, laisse tomber, mais toi...

  • Speaker #1

    Avec du rouge. On est tombés avec du rouge.

  • Speaker #0

    Mais en fait, là, alors je ne sais pas si c'est pas français ou pas, mais tu vois, moi, j'avais étudié, enfin, j'avais cherché des modes d'éducation, et par exemple, je posais... On était en train de faire l'étape de multiplication à mes filles. à ma dernière, Mélissa, et je lui pose, je ne sais pas, je lui dis 4x4, tu vois, et elle me donne un chiffre, mais qui a 4x4, au lieu de me dire 16, elle me dit 18, tu vois. Je lui dis, ben non, ce n'est pas ça. Et en fait, je regarde sur Internet et il y a des Québécois qui donnaient en fait leur technique et leur mode d'éducation. En fait, au Québec, quand tu vas demander 4x4 et l'enfant va te répondre un truc qui n'a rien à voir, ils vont dire, au lieu de dire non, ce n'est pas ça. ils vont te dire presque, continue, essaye et juste ce schéma là fait que l'enfant il ne se sent pas en échec, tu vois ce que je veux dire ou pas ? ça me rappelle mon enfance ah putain, elle est sauvée quand je faisais les dictées à chaque fois la prof me disait tu te rappelles, les dictées c'était de la meilleure note à la moins bonne note ou l'inverse, et moi je savais que je savais que si on commençait par les meilleures notes

  • Speaker #1

    je pouvais faire mes trucs j'étais le dernier tu vois j'avais tout le temps 0 donc j'avais 0 ou 4 tu vois 4 c'est ce que je faisais moi tu m'envoyais les bulletins tu sais tu t'envoies les bulletins où il fallait faire signer le devoir ou la dictée moi je faisais les bulletins sur mon père avec des 0 non mais oublie laisse tomber moi à l'école catastrophe pourtant je n'étais pas mauvais j'étais dans la moyenne mais catastrophe Tu peux te déchirer à chaque fois.

  • Speaker #0

    Moi, j'avais une technique à l'école. Premier trimestre, tranquille. Deuxième trimestre, bon, allez, on va commencer un petit peu à bosser. Et troisième trimestre, je déchirais tout. Juste pour pouvoir passer, tu vois. Ça a marché, sauf deux fois. Non, une fois, une fois. Ça a marché parce que j'ai réussi à esquiver. Ah ouais, non, mais il faut que je te raconte une anecdote. C'était obligé que ça allait par ton couille. C'était obligé, mec, c'était obligé. J'étais en cinquième. Et on me dit, ouais, bon, bah, au passage en quatrième, je voyais la classe de quatrième dans laquelle j'allais me retrouver. Et je me dis, j'étais un petit malin déjà à l'époque, et je me dis, putain, si je choisis italien, je vais me retrouver avec les intellos, mec. Donc moi, qu'est-ce que je fais ? Je choisis italien. Dans une classe, genre, ils faisaient allemand, italien, latin, machin et tout. Et moi, j'étais le cassos de la classe, mec. Mais j'avais esquivé tous les autres cassos. Et... Plusieurs fois dans ma vie scolaire, j'ai fait des petits trucs comme ça pour esquiver. Et à chaque fois, c'est passé, mec.

  • Speaker #1

    Ah, mais c'est clair. Tu as de la chance. Moi, je suis tombé à chaque fois dans les pires classes. Je préfère. Mais les pires, de la 6e à la 3e, les pires classes. Et dis-toi, attends, je vais te raconter un truc. J'arrive 3e, je fais la 3e. Moyen, tu vois, 10 de moyenne. C'est ce qui me sort. Bon, non, on va le faire redoubler. Attends, j'ai une bise de moyenne, je prends en seconde, tu vois, normal. Ils me disent non, tu vas redoubler. Je fasse le brevet, j'ai le brevet, on me fait redoubler. Mes parents, on leur dit, je vais redoubler votre fils. Qu'est-ce qu'ils disent ? Oui, mon fils, tu vas redoubler. Tu redoubles la troisième. Je sors de la troisième, je tiens de moyenne. Normal, tu redoubles. Easy. J'arrive en seconde. Je vais dans un lycée qui ne me plaît pas. Je me fous dans un truc technique. Rien à voir. Quand c'était, à l'époque, ça s'appelait STI. Je ne sais pas si tu te rappelles de ça.

  • Speaker #0

    C'est aussi industriel. Il y en avait des biens.

  • Speaker #1

    Il y avait des biens.

  • Speaker #0

    Il y avait des biens techniques.

  • Speaker #1

    Exactement. Je n'y fais pas. J'arrive en seconde.

  • Speaker #0

    Je tape des mauvaises notes. Bon, ma motion va vous faire redoubler. Je redouble ma seconde.

  • Speaker #1

    Ah, mais là, t'étais chaud, toi.

  • Speaker #0

    Je refais une deuxième seconde. Écoute,

  • Speaker #1

    j'arrive. Je me glace. Je me glace. Le mec à 30 ans de piste, il est au lycée encore.

  • Speaker #0

    Écoute, j'arrive en première. Je fais ma première. Tant bien que mal. Je suis un pote qui est dans une... Dans un lycée... Plus un lycée coupe-gorge. Laisse tomber, quoi. Bref. Tu peux pas parler au nana, sinon tu te faisais couper la gorge en sortant du lycée. Bref. Tu vois l'ambiance. J'arrive là-dedans, je fais la première, je passe en bac parce qu'il était espacé en terminale, normal, tu vois, il va te faire redoubler la première. Donc je passe en terminale, j'arrive au bac, bon bah déjà, j'ai pas le bac, je passe en rattrapage, j'ai pas le bac pour rattrapage, je pars le bac, j'arrive au bac, j'ai pas le bac. J'ai dit, vas-y, l'école, j'arrête, c'est pas pour moi. J'ai arrêté l'école.

  • Speaker #1

    Oh putain, mais ça aurait pu aller en BEP, mec. BEP 20.

  • Speaker #0

    Non, non, je voulais pas aller en BEP. Non, non, j'allais faire en BEP. Je savais pas ce que je voulais. Moi, je voulais tout.

  • Speaker #1

    Regarde, au final, tu travailles dans le bâtiment, mec.

  • Speaker #0

    Mais je voulais pas travailler dans le bâtiment, déjà, de base. Bref, écoute, il y avait pas un bon. Le bac, je l'ai pas eu de peu. Je le repasse à l'année prochaine. Et je valide que les... Je valide que les matières... J'ai eu la moyenne, je l'ai valide.

  • Speaker #1

    Ils ont été pas spiants avec toi.

  • Speaker #0

    Alors putain, laisse tomber. Il y a un bord, je te fais un résumé rapide. Et je me dis, bon, je le passe en candidat libre, normal. Je passe le bac à la fin de l'année. Donc je travaille, tu sais. Je fais quelques étapes, tu vois, toute l'année. Je reçois, je fais par le CNED. Je ne sais pas si tu te rappelles du CNED.

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr, à la maison. Voilà,

  • Speaker #0

    tu fais des études à la maison. Donc je reçois tous les cours. Je commence à travailler un peu. Tu connais, hein. Tu travailles un mois, tu lâches l'affaire.

  • Speaker #1

    Mec, c'est compliqué quand même.

  • Speaker #0

    C'est compliqué. J'arrive au bac, donc je m'assois pour le bac. Écoute, je fais toutes les épreuves. Reveloque, j'arrive au rattrapage. Il me manquait, mes frères, il me manquait 70 points. Je dis, oh là là, ça va être chaud. Ça va être chaud. Écoute, j'avais une matière, j'avais trois matières à rattraper. Et j'avais la matière l'écho droit. L'écho, je suis bon, tu vois. Je me suis dit, bon, tu es carré en écho, tu es fort. Et franchement, j'avais des bonnes notes. Mais bon, j'ai dû le repasser. J'arrive, je révise tout frère, tout tout tout. Il y a un truc que je n'avais pas révisé, je dis bon, c'est bon, ça passe à l'app. J'en ai tellement que tu vois quoi. J'arrive au bar avec la main, la meuf elle me dit le sujet, je dis ah putain, c'est tout que je n'ai pas révisé. J'étais, hé !

  • Speaker #1

    Elle n'a pas la peau. J'étais à noir. Regarde.

  • Speaker #0

    Hé, le chat noir, chat noir, qu'est-ce que je fais ? Je sors ma tchatche, et là tu vois, je commence à faire un peu le tchatcheur qui est limite en train de pleurer. l'examinatrice très sympa, elle me dit oui, mais qu'est-ce que vous voulez faire l'année prochaine ? Alors je lui explique, j'ai une école, j'ai ci, j'ai ça, et il me manque tant de points pour avoir le bac, ça fait la deuxième fois, j'ai 21 ans, vas-y, il faut y aller, donne-moi le bac. Elle fait quoi, elle a eu le pitié de moi, elle me dit, il vous manque combien de points ? Je dis, il me manque ça, je ne sais plus combien. Elle me dit, t'es quoi, elle m'a mis la note, je dis tiens, j'ai tout combien, elle m'a donné tous les points, j'ai eu mon bac, j'ai eu 10 000 frères.

  • Speaker #1

    Oh punaise !

  • Speaker #0

    Tu vois, j'ai plus gare.

  • Speaker #1

    Bon, recentrons le sujet sur la confiance en soi, malgré que cette anecdote soit vraiment respectée.

  • Speaker #0

    Écoute, ça passe un peu dans la confiance en soi.

  • Speaker #1

    Mais bien sûr. Tu sais que la confiance en soi, c'est comme un muscle, ça se travaille tout au long de sa vie.

  • Speaker #0

    Il y a des moments où... Tu sais que moi, comme je te disais, j'avais du mal à m'exprimer.

  • Speaker #1

    Vérité si je m'en mec.

  • Speaker #0

    Non, non, mais écoute, moi, j'avais du mal à m'exprimer devant beaucoup de monde. Tu vois, même pour les épreuves du bac, j'ai fait des études supérieures. Écoute, j'arrivais, j'étais en France. C'est quoi ? J'ai fait un blocage. Non, je ne pouvais pas. J'étais dans le mal. Écoute, à l'oral, j'avais peur de parler à l'oral.

  • Speaker #1

    C'est marrant,

  • Speaker #0

    ça. C'est fou. C'est un truc de dingue. En fait, ça se travaille et ça ne fait pas long. Ça fait quelques années que ça va mieux. D'accord. Et en fait, j'ai appris sur moi et j'ai appris à avoir confiance en moi quand j'ai commencé à travailler avec mon père. En fait, quand j'ai commencé à travailler, j'étais directement en Mille-Dans-Le-Bain. J'étais ouvrier, mais à côté de ça, je faisais tous les rendez-vous pour les gens.

  • Speaker #1

    Tu allais voir des gens, tu sortais de ta zone de confort et tu allais voir des gens.

  • Speaker #0

    Exactement. Et puis j'allais faire les zones. Donc au début, tu ne parles pas parce que tu ne connais pas trop, tu sais, tu es un petit vide. Et au fur et à mesure que tu côtoies les clients, des personnes, que tu bois du monde, que tu commences à t'ouvrir un peu plus.

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    Et c'est à partir de là que je me suis ouvert, tu sais, et que tu commences à prendre conscience que tu fais du bon travail. Et bien,

  • Speaker #1

    très bonne position, là. Et voilà,

  • Speaker #0

    les gens te... les gens te disent Ah, c'est bien ce que vous faites, vous travaillez bien. Et là, tu commences à prendre un petit peu plus de poids et tu te dis Bah ouais, en fait, je ne suis pas nul.

  • Speaker #1

    Et on va parler de comment renforcer sa confiance en soi et les techniques pour renforcer sa confiance en soi. Et tu vois, là, ce que tu viens d'évoquer, c'est magnifique parce qu'en fait, tu es sorti de ton confort, tu t'es mis dans une situation où, du coup, tu avais des objectifs et tu t'es défini des objectifs qui étaient réalisables. Tu n'es pas parti sur les trucs de ouf. Tu es parti en rendez-vous client. Les clients, tu n'avais pas le choix. Et petit à petit, en fait, tu as réussi à monter en skills, en compétences. Et la technique la plus facile, c'est l'affirmation positive. Tu vois ? L'affirmation positive, c'est tous les jours, plusieurs fois par jour, au lieu de dire, mais toi, en fait, toi... Il va falloir que tu t'encourages tout seul. Et ça, nous, avec Nico, on est très forts pour ça. En fait, tu vas te retrouver plusieurs fois dans l'année ou plusieurs fois par jour ou plusieurs fois par mois, etc. dans des situations un petit peu improbables où tu vas galérer. Et il n'y aura personne pour t'aider. Et c'est là qu'il va falloir que tu te répètes régulièrement des phrases positives et des encouragements, justement, pour que ton toit intérieur te dise Ok, on y va, on va réaliser ça. Et pour ça, en fait... il va falloir aussi que tu utilises la technique de la visualisation. En fait, te projeter, mais avec des objectifs qui sont réalisables. Si demain, avec Nico, moi j'ai 43, je dis ouais, je vais aller sur la Lune, à moins d'être blindé et de pouvoir payer Elon Musk, je crois que bon, c'est mort dans le film. Par contre, si je me dis...

  • Speaker #0

    Tu vas aller au Pond du Gérard ?

  • Speaker #1

    Je vais faire une fusée en carton. Au pire, tu vois, je peux devenir pilote d'avion. Déjà, tu vois, c'est pas mal. Je passe le PPL, il faut un petit peu d'ose. Mais non, mais voilà. En fait, tout est réalisable. La méditation, moi, perso, j'ai essayé. Ça ne marche pas sur moi, tu vois, me poser.

  • Speaker #0

    Ça ne marche pas de méditation ou de yoga. Oui,

  • Speaker #1

    voilà. Il y avait peut-être...

  • Speaker #0

    il y a peut-être des adeptes de yoga que je respecte.

  • Speaker #1

    Mais moi, ça ne va pas pour moi. Mais après, tu vois, des techniques comme yoga, ou excuse-moi, méditation, ou tenir un journal de gratitude, moi, franchement, tu vois, il y a un truc que je fais. La confiance en soi, pour moi, ça fait partie de la confiance. En fait, partout où je vais, je dis bonjour à tout le monde. Mais tout le monde, que ce soit une femme de ménage ou une directrice de ouf et tout. Je vais dire bonjour, je vais parler, comment ça va, etc. À tout le monde. Et il y a des gens qui ne s'attendent pas à ça, tu vois. Il y a des gens qui ne sont pas prêts.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, je suis d'accord avec toi. Et combien de personnes te répondent ? Sur 10 personnes.

  • Speaker #1

    Mais tout le monde. Moi, tout le monde me répond. Parce que je suis là,

  • Speaker #0

    je regarde. Moi, il ne répond pas. Il y a des gens, ils ne répondent pas. Ah ouais ? Tu leur dis bonjour, ils te regardent, ils ne répondent pas.

  • Speaker #1

    Moi, c'est... Par contre, attention, ce n'est pas genre je passe dans le dos, je dis bonjour, et voilà. Moi, je passe dans le dos, je dis bonjour, je regarde la personne dans les yeux, si je peux, etc. Comment ça va, etc. Par contre, j'ai une force, c'est que moi, je retiens les noms. J'ai une facilité. Après, c'est par mon passé. Je retiens les noms, que ce soit de la personne, des enfants, si je le sais, ou des époux. Je retiens ultra facilement et j'ai toujours un lien avec les gens. Et ça, systématiquement, on n'est plus dans la confiance en soi. Mais si je peux vous apporter ce petit tips là, retenez les noms de tous ceux que vous fréquentez, parce que tu vas les revoir dans un mois, tu sors juste un petit prénom, peu importe, c'est le chien, un enfant, la tante, le cousin, machin et tout, ils vont faire un pas en arrière, en fait, ah ouais, putain, lui il me connaît, il s'intéresse à moi. Et tout de suite, boum, tu peux rentrer en négociation si besoin ou quoi. Tu sais, moi je suis dans la merde avec ça,

  • Speaker #0

    j'arrive pas à retenir les noms des gens.

  • Speaker #1

    Tu en sais autre chose !

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, j'ai une très bonne mémoire, je me rappelle de ton visage, de tout.

  • Speaker #1

    Tu me sors une anecdote !

  • Speaker #0

    Non mais moi je dis, écoute, j'ai du mal à retenir les prénoms, rappelle-moi ton prénom. Moi je suis honnête, je préfère dire écoute, rappelle-moi ton prénom, je ne me rappelle plus. Et ce n'est pas un manque de respect, c'est juste que tu es du mal à retenir les prénoms. Tu vois, là, on a fait un peu le séminaire, enfin le séminaire, mais l'apéro avec...

  • Speaker #1

    Oui bien sûr.

  • Speaker #0

    J'ai vu tout le monde, on a vu tout le monde, tout le monde m'a dit son prénom. Il n'y en a aucun qui va se tenir.

  • Speaker #1

    Oui, mais après,

  • Speaker #0

    c'est pas... Après, je fais des essais.

  • Speaker #1

    Voilà, mais c'est pas trop méchant.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est pas méchant, c'est pour dire. Mais moi, tu vois, maintenant, j'ai tendance à parler avec les gens. Tu vois, je parle avec des gens dans la rue. Il y a beaucoup de personnes qui te regardent, mais genre tu leur dis bonjour, c'est comme si tu les avais insultés. Genre, ce n'est pas normal. Je trouve qu'en France, on a du mal à cohabiter, enfin pas à cohabiter, mais tu vois, se dire bonjour, normalement, ça devrait être normal, mais ce n'est pas normal. Bien sûr. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    On a une mentalité un peu bizarre. Là-dessus, c'est un peu bizarre. Mais bon.

  • Speaker #1

    La base de tout, les amis, il faut sortir de sa zone de confort. Franchement, il faut vraiment aller vous confronter à de nouvelles situations parce que sortir de sa zone de confort et aller sur des défis que de base vous n'alliez pas réaliser, ça va vous montrer que vous êtes capable de faire quelque chose, capable de faire du sport, capable de faire... Vous trouverez ça, on ne s'inquiète pas. Tout à l'heure, je parlais d'entourage. Mais mec, c'est la base, quoi. La base. Si tu appelles des gens et que ces gens-là, ils sont tous négatifs, mais tu vas être dans un mood négatif. Par contre, si tu appelles des potes, que ce soit des nanas ou des mecs, et que tout le monde est dans le positif et tout le monde a envie d'aller toucher la lune, c'est obligé que tu vas toucher la lune. Par contre, si tu es là...

  • Speaker #0

    C'est clair. C'est clair.

  • Speaker #1

    Eh oui. Si tu es là à fréquenter des gens qui sont tout le temps découverts, qui sont en train de fumer le bédo ou boire des bières, jouer à la PlayStation et que ça leur convient, tant mieux. Esquive, sors de ce cercle. Va dans un cercle où juste rien n'est.

  • Speaker #0

    C'est bien ce que tu dis parce que j'ai une anecdote là-dessus. Quand j'étais plus jeune, entre 17 et 20 ans, j'ai toujours vécu, j'ai rendu dans un petit village et j'étais une bonne de potes, une quinzaine, vingtaine de potes, que des mecs. On entraînait toujours ensemble, les soirées, tu connais, entre potes, à refaire le monde, à boire un petit coup, là ça fumait, enfin bref. Et tu fais toujours la même chose. Et moi, tu vois, moi je suis quelqu'un de… j'ai envie de m'ouvrir sur l'extérieur, tu vois, j'avais envie de découvrir le monde. Moi à cet âge-là, il fallait que je bouge, il fallait que j'aille à Paris, tout ça. Donc tu vois, j'avais ces potes-là qui voulaient toujours rester au même endroit et faire les mêmes choses de 15 piges à 25 piges. Et moi, tu vois, j'avais des moments avec eux, mais j'avais des moments...

  • Speaker #1

    Ils ne voulaient pas voir pas.

  • Speaker #0

    Oui, et puis ils ne voulaient pas faire autre chose. Je te dis, il fallait que je bouge, il fallait que je voie du monde, il fallait que je m'amuse. Et en fait, moi, tu vois, j'ai toujours fait du foot. Donc, j'avais des potes de foot et des très bons potes aussi avec qui je sortais. J'avais mes potes d'enfance et j'avais mes potes de foot et j'avais des potes de sortie.

  • Speaker #1

    Et tu vois,

  • Speaker #0

    quand j'allais dans différents cercles, tu vois, quand je sortais avec mes potes d'enfance... C'était toujours moi qui devais faire le premier pas, organiser les choses, réserver pour tout le monde. Je faisais tout pour tout le monde. Je me disais, putain, à un moment donné, j'en avais marre. Il y avait un mois de problème, c'était toujours à moi de le régler tout le temps. Et quand tu commences à sortir de ce confort avec des amis proches et que tu vas voir un autre cercle, écoute, moi je l'ai vu tout de suite. Je suis parti avec d'autres amis pour des soirées. j'avais pas besoin de négocier tout était nickel les autres faisaient ils faisaient le taf à ma place et quand tu te rends compte tu dis mais en fait je suis pas tout seul il ya d'autres mecs comme moi tu vois et moi ça va mais moi ce cette première phase comme ça que j'ai vécu ça m'avait marqué je pars en soirée avec des potes amants que je lag mais qui rentre nulle part obligé de leur dire de comment s'habiller pour les gars faut s'habiller comme ça ces soirées privées dans des beaux endroits à paris resté calme, souriant et j'avais ramené un autre pote à moi d'un autre cercle. Je lui dis bon vas-y viens, il y a une bonne soirée. Ecoute on arrive là-bas, qu'est-ce qui se passe ? Bon vous les gars vous rentrez pas vous êtes localés. Et mon autre pote il arrive, non mais vous savez voilà on est sur invitation, il commence à tchatcher, il sort sa tchac. Regardez nan mais, comme une lettre à la poste, allez les gars on rentre tous. Et tu vois j'ai ouvert les yeux, tu vois à ce moment là j'ai ouvert les yeux, je dis putain je suis pas tout seul. Faut que voilà. Il faut que je m'engouffre là-dedans. Et après, tu rencontres d'autres personnes qui sont comme toi, qui ont les mêmes envies, les mêmes objectifs. Et c'est vrai que pour avoir confiance en soi et l'estime de soi, déjà, il faut se donner des objectifs et les faire pas à pas.

  • Speaker #1

    Pas des petits objectifs.

  • Speaker #0

    Des petits objectifs.

  • Speaker #1

    C'est une méthode, ça. La méthode des pas à pas. Quand tu as un gros objectif, il faut y aller. En fait, tu vas décomposer et tu vas faire des petits objectifs. Par exemple, si tu te dis, je fais 100 000 euros de chiffre d'affaires l'année prochaine, tu vas décomposer par mois, par semaine, etc. Et du coup, tu vas te mettre en place une stratégie. Mais c'est une très bonne technique, ça.

  • Speaker #0

    J'ai toujours marché comme ça. Comme je t'ai dit quand j'étais gamin, je voulais gagner de l'argent, je voulais être footballeur. Je n'ai pas été footballeur. Je gagne ma vie. Je vais aller là où je veux aller. Mais j'ai toujours eu des objectifs. Quand j'ai commencé à travailler, et pourtant je n'ai pas bossé dans le bâtiment, je suis rentré là-dedans et j'ai vu qu'on pouvait faire de l'oseille. Je me suis dit, la prochaine étape, c'est d'acheter. Je commence à bosser, on va commencer à acheter un petit truc. j'ai acheté un petit truc. Après, j'ai grossi un petit peu. Je me suis dit, tiens, à 30 ans, comme tout le monde, à 30 ans, tu as ta Porsche, et puis tu seras content, tu gagneras tant. Je me suis dit, tiens, à 30 ans, tu seras comme ça. Je n'ai pas eu la Porsche, ce n'est pas grave.

  • Speaker #1

    J'avais d'autres choses. C'est juste décalé.

  • Speaker #0

    C'est juste décalé. Après,

  • Speaker #1

    c'est du matériel.

  • Speaker #0

    Je n'avais pas ça, mais j'avais plein d'autres biens à côté. Donc tu vois, je préfère avoir mes biens que ma voiture.

  • Speaker #1

    Attends, il faut que je raconte une anecdote. Tu sais, il y a quelques années, j'ai fait coach sportif à côté de mon travail. Je faisais, j'avais repris mes, pour ceux qui connaissent, un CQP. Après, j'ai passé un BPGEPS, activité de la forme. Et j'ai commencé à travailler dans des salles en banlieue. Ça me saoulait un peu, tu vois, parce que la clientèle, elle était vraiment top. Mais en fait, moi, je voulais gagner un peu d'oseille. Et donc, je me suis rendu dans le centre de Paris, dans des salles un peu stylées. Au début, je faisais des remplacements et très rapidement, mais vraiment, je faisais un essai, je mettais le feu. Et on me disait, vas-y, on aimerait bien te prendre. Alors, j'étais auto-entrepreneur. On aimerait bien te prendre. Alors, je ne te raconte même pas parce que je bossais conducteur de métro à l'époque. Et à côté, j'étais coach sportif, je donnais des cours collectifs. Et très rapidement, j'ai eu un carnet. J'étais booké sur plusieurs grosses salles dans Paris, des salles chic. Et je suis commencé à donner des cours particuliers. Et en fait, moi, j'ai jamais eu... J'avais les abdos, mais ils n'étaient pas saillants. J'ai jamais été physiquement... Même quand j'étais dans l'armée, j'ai toujours été sec, mais genre pas ouf. Et j'avais des collègues. Donc, des autres coachs sportifs qui étaient des monstres physiques. Et moi, en fait, j'étais celui qui prenait le plus d'oseille. Et on m'a demandé comment je faisais. Et j'ai mis du temps avant de réaliser. En fait, j'étais très fort sur un truc. C'est que mes clients, ils me choisissaient moi. Et en fait, à chaque séance, ils ressortaient. L'état d'esprit était boosté à 2 milliards de pourcents. Et ils avaient pris... j'allais voir certains 2-3 fois par semaine et en fait ils me demandaient de revenir parce que en fait le sport ça dégage à la fin de la séance de sport t'as des endorphines qui vont te faire sentir trop bien mais si en plus de ça t'as un coach qui est là et qui te fait comprendre en fait que t'es pas une merde et que tes objectifs si t'es gros et que tu peux devenir mince mais que en passant de gros à mince ça va prendre du temps mais que le chemin il est magnifique et qu'à chaque séance en fait il te fait penser que t'es le meilleur, en fait, la confiance en soi, elle remonte. Et ça, c'était mon secret, en fait. Et quand je te dis prendre beaucoup d'oseille, j'ai pris beaucoup, beaucoup, beaucoup d'oseille, mec. Et j'étais pas le plus beau. Mais juste parce qu'en fait, en termes de parole, les clients, ils ressortaient, ils avaient la banane, ils étaient boostés. En fait, moi, je faisais mon business. Le problème, c'est que j'ai arrêté parce que l'énergie que je leur donnais, ils me la pompaient, tu vois. Il me l'a pompé.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi ? Par exemple, ça pompe énormément. Et ce que tu racontes, c'est bien parce que moi, je ne l'ai pas vécu dans le sport, mais quand j'avais les boutiques, c'est pareil. Moi, j'ai appris à avoir confiance en moi, à faire de la vente. Et ce n'est pas évident de faire de la vente, d'être un bon vendeur. Moi, j'ai appris ça grâce à ma femme parce que c'est une très bonne vendeuse. Et elle m'a appris toutes les techniques. Et en fait, pour être vendeur, il faut que tu aies la fibre. Si tu n'as pas la fibre de parler et de donner du bonheur aux gens,

  • Speaker #1

    il faut que tu la fasses avoir. Soyez fier de vous, bon sang. Arrêtez de regarder les choses négatives. Pensez vraiment. Allez, là, on fait du Mehdi, il n'y a plus de feuilles, il n'y a plus de notes. On fait du Mehdi et du Nico, c'est parti. Il n'y a pas de cas de fin de chaîne.

  • Speaker #0

    Ce que je veux dire, c'est que moi, je donnais… Je donnais du bonheur aux gens quand je vendais des vêtements. En fait, tu venais chez moi, je vendais du rêve.

  • Speaker #1

    Tu es en kiff.

  • Speaker #0

    Il sortait en kiff et il passait un très bonbon. Et en fait, tu vois, moi, je considérais mon travail comme une pièce théâtrale. Tu vois ce que je veux dire ? Tu rentrais chez moi, il y avait du show. Et pour en arriver là, ça a pris du temps et j'ai dû travailler pour moi.

  • Speaker #1

    Mais non,

  • Speaker #0

    je te l'ai vu. Et pour te dire, la première fois que j'ai ouvert ma première boutique et que j'ai vendu un produit, j'étais en stress, mais tu ne pouvais pas savoir. Limite, je dégayais devant le client. Et en fait, il faut y aller étape par étape, se faire confiance, avoir confiance en soi et ne pas avoir peur. Et on va faire des erreurs. On va en faire,

  • Speaker #1

    j'en ai fait.

  • Speaker #0

    On apprend de ses erreurs et on va de l'avant. Et puis, on va voir.

  • Speaker #1

    La base,

  • Speaker #0

    bien sûr. Et toujours avoir un mindset de focus. Et moi, j'étais focus. Et tu rentrais chez moi. Et frère, moi, c'était le spectacle. Je te gérais trois, quatre clients.

  • Speaker #1

    Magnifique.

  • Speaker #0

    Et tu peux être sûr, je gagnais de l'oseille et je faisais des très bons paniers. Et les gens revenaient pour moi. Et les gens revenaient pour ma femme parce qu'on délivrait un, entre guillemets, un spectacle. Oui. Les gens te disent. Et les gens me disaient, non, on ne va pas chez l'élixir, on va chez Nico. On va chez Noël. Et quand ils te disent ça, c'est qu'en fait, ils ne viennent que pour toi. Et ça, ça prend du temps. Et comme on disait, il y a beaucoup d'étapes. Pas à pas, vous allez apprendre à avoir confiance en soi. Il faut avoir l'estime de soi. Chaque petite victoire, il faut se féliciter. Et vous allez voir, au fur et à mesure du temps, ça va progresser. Oui, mais l'échec... Il faut pas avoir peur de l'échec, exactement. L'échec n'est pas une échec. L'échec n'est pas un échec. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    Et moi, j'en ai eu des échecs. Des fois, j'ai fait de la merde. Et bien, écoute, tu fais de la merde.

  • Speaker #1

    Mais t'as appris.

  • Speaker #0

    Et puis tu continues. Et puis t'apprends. Et puis voilà. Tu te recasses la gueule. Et bien, tu rapprends. Et puis tu te relèves. Et en fait, on est... On est vraiment meilleur que quand on a le dos au mur. Tu vois ?

  • Speaker #1

    Quand on a le dos au mur. Attends, je vais donner une citation. Et c'est Eleonore Roosevelt, tu vois ? Personne ne peut vous faire vous sentir inférieur sans votre consentement. Prenez le contrôle de votre vie, cultivez votre confiance en vous et atteignez vos objectifs. Putain, c'est une meuf. Son gars, il est dead, mec. Et elle te sort ça. Ah,

  • Speaker #0

    c'est beau.

  • Speaker #1

    Tu vois ? C'est beau. Bon, après, je ne vais pas lire. Mais ce que je veux dire, c'est faites-vous confiance, bougez-vous le cul et arrêtez de croire, arrêtez de regarder des choses qui sont fausses. Bordel de merde, putain, faites, mettez-vous en marche. Aujourd'hui, là, vous avez Nico et Mehdi qui sont là pour vous délivrer du mindset, du gros mindset. Et franchement, nous, on a plein de questions. de plusieurs auditeurs et qui rentrent dans notre cercle, justement, pour nous demander des choses. Mais vous avez toutes les compétences nécessaires pour justement exploser. Vous croyez que nous, on est des surhommes ? Nous, en fait, on est juste des gens qui passent à l'action. Parce que, alors moi, la dernière fois, on me demandait de faire des fichiers Excel, etc. Mec, moi, je suis encore à la feuille de papier avec le stylo. Mais je suis dans l'action. Je suis dans l'action. Donc aujourd'hui, ça va, Virginia, elle est en train de m'apprendre à faire des fiches Excel. C'est vrai que c'est de la bombe. Mais en fait, moi, je suis dans l'opérationnel. Et j'ai toujours été comme ça. Action. Et j'adore en fait l'expression qui dit qu'un intelligent qui a son cul sur sa chaise fait moins qu'un con qui est dans l'action. Et en fait, moi, c'est ça. J'apprends sur le terrain. Je ne suis pas là à étudier des bouquins, des choses qui sont irréalisables, etc. Surtout qu'en plus, les trois quarts, vous avez tous les connaissances nécessaires pour être dans votre domaine. Qu'est-ce que vous vous attendez, merde ? Bougez-vous le cul !

  • Speaker #0

    Là-dessus, je te rejoins. Il ne faut pas avoir peur. Il faut se lancer.

  • Speaker #1

    Le regard des autres, on s'en tape.

  • Speaker #0

    Non, mais il ne faut pas avoir peur de se lancer, que ce soit dans la vie. tous les jours dans le business ou mobilier ou autre voilà ça vous aidera partout et au fur et à mesure du temps vous allez prendre conscience que la confiance en soi permet déjà d'être moralement déjà d'être mieux moralement et autour de vous vous avez vous sauve les personnes vont vous sentir mieux et faut y aller pour voilà vous mettre des objectifs moi j'ai toujours moi je marche à la carotte moi j'ai toujours marché à la carotte je les suis toujours des objectifs et que je les atteigne ou pas, quoi qu'il arrive, c'est le chemin qui va faire que vous allez progresser, même si vous n'atteignez pas votre objectif, donnez-vous-en. vous allez voir que vous allez progresser et vous allez avoir le meilleur style de vous. Et la confiance en soi arrivera naturellement. Et moi, c'est ce qui s'est passé. Au fur et à mesure des années, j'ai pris beaucoup de confiance en moi. Alors, pas trop d'excès de zèle non plus, mais voilà, confiance en soi, c'est en fonction de chacun.

  • Speaker #1

    Mais bien sûr, il y a des moments où on a des super hauts, c'est comme ça, c'est la vie. Non, après,

  • Speaker #0

    tout le monde,

  • Speaker #1

    entourez-vous. Il y a le ying et le yang. Entourez-vous, les amis.

  • Speaker #0

    Exactement. Et avec l'expérience, moi, je le vois maintenant, j'ai 43 ans. Franchement, les petites futilités du quotidien, franchement, ça me passe au-dessus. Mais comme vous ne pouvez pas savoir, et j'en ai parlé avec Mehdi Lannarpox, Mehdi est quand même assez impulsif. Il dégaine rapidement. Donc, je lui dis, laisse tomber. Franchement, moi, dans la rue, tu me croises, tu m'insultes. Je te regarde et je trace mon chemin. Je n'en ai rien à faire. C'est quoi ? Je n'en ai plus rien à foutre des gens. Tu vois, si par exemple, toi, tu commences à m'insulter, voilà, ça va me toucher. Parce qu'on est amis, on est potes,

  • Speaker #1

    on est héros.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est pour te dire. Moi, les personnes que je ne connais pas, franchement, tout le monde m'a cassé du sucre sur le dos et j'en ai encore plein le dos, mais je n'en ai rien à battre. Il n'y a vraiment rien à battre, tu ne peux pas savoir. Moi, j'ai été commerçant 15 ans, mais si tu savais tout ce qu'on disait sur ma tête, il y a longtemps, j'aurais sauté du pont si j'ai quitté tout le monde. Mais je m'en bats. Mais franchement, vous devez faire pareil. Vous avez des objectifs, tracez tout droit, et si vous gâchez sur le côté, vous mettez des coups de latte, et ça repart sur le bas-côté. Et gardez tous ceux qui sont bons avec vous.

  • Speaker #1

    Restez focus sur vos objectifs. Restez focus sur vos objectifs, restez focus sur votre famille, vos proches et votre cercle. Et si votre cercle ne vous convient pas, on switch, on change de cercle. Aujourd'hui avec Instagram, avec les réseaux sociaux... Et puis là, on est en train de créer une communauté qui est vraiment dans l'entraide. Bientôt, on fera le nécessaire pour créer une rencontre. Et croyez-moi que vous allez tous y gagner.

  • Speaker #0

    Oui, et comme Médhi dit, il faut y aller pas à pas. Mettez-vous des petits objectifs.

  • Speaker #1

    Tout à fait.

  • Speaker #0

    Et vous allez voir que ça va venir tout seul. Et ce n'est pas grave si vous ne réussissez pas, mais au moins, vous avez essayé, puis vous recommencez, puis si ça ne refait pas, vous recommencez, puis ça marchera toujours. De toute manière, moi, je le dis toujours, et lui, il dit, c'est pareil, le travail paye. Quoi qu'il arrive, quand vous êtes sérieux, quand vous bossez et que vous êtes focus, le travail paye. À un moment donné, ça paiera toujours. Et croyez-moi, c'est vrai ce que je dis. Moi, mon père me l'a dit il y a des années, il y a 20 ans en arrière, il m'a dit, écoute, tu veux quelque chose, travaille, et un jour, ça paiera.

  • Speaker #1

    On est deux exemples.

  • Speaker #0

    Exactement. Et on n'est pas des warriors. Ne croyez pas qu'on est des warriors, on est comme vous. On a commencé, on n'avait rien. Et puis voilà, on fait notre vie. Et puis au fur et à mesure de votre vie, vous allez progresser, vous allez découvrir des choses, vous allez avoir de l'expérience. Et croyez-moi que si vous êtes focus,

  • Speaker #1

    ça va fonctionner. La dernière fois, on parlait avec un mec qui est connu sur les réseaux et on échangeait. Et nous, on est tout le temps tenus de chantier, on fait notre truc, etc. Et le mec, il a quand même plusieurs dizaines de milliers de followers. Donc, tu t'attends quand même que le gars, quand il cause, putain, mais mec, Nico, on lui met une pilule en termes de patrimoine. On l'explose. Et le gars, quand tu parles avec lui sur les réseaux, c'est le mec, il a plusieurs dizaines de milliers de followers. Et il est influenceur emo. Et toi, t'es là, tu te dis, putain... Alors moi, je vais parler pour moi. J'ai 260 abonnés. Merci à tous les amis. Et encore, dedans, il y a plein de... Il y a plein de... Ce que je veux dire, en fait, c'est que l'habit ne fait pas le moine, les amis.

  • Speaker #0

    Vous ne vous focalisez pas sur les... Il faut arrêter de croire que la vie est belle sur Insta.

  • Speaker #1

    Les gens qui font vraiment de l'oseille, ils ont pas le temps d'être dans le... paraître de Instagram. Bon, on va se mettre dans la merde. On va se mettre dans la merde. Belle parole, Nico.

  • Speaker #0

    Non, mais voilà, pour dire ne croyez pas tout ce qu'on vous dit. Nous, on est des gens... Exactement. Nous, on est des gens médias. On est des gens simples. On est comme vous.

  • Speaker #1

    On l'entoure.

  • Speaker #0

    Tout le monde peut réussir. Écoutez-moi, toutefois, vous me voyez dans la rue. J'ai un caillou ou un pavé tellement je sais pas.

  • Speaker #1

    Le mec qui ouvre une Kangoo.

  • Speaker #0

    Bref, moi tu me vois dans la rue, jeter des cailloux, donner un euro, tu vois. Et puis je m'en bats, je m'en bats à l'expect franchement de ce que les gens pensent, franchement. arrêtez de prendre pour contents ce que les gens disent de vous. Tracez, s'ils parlent de vous, c'est que ce ne sont pas des amis, ce ne sont pas des personnes que vous devez avoir dans votre cercle. Moi, tous mes potes… Les noix de snif,

  • Speaker #1

    bye bye. Perdez votre temps,

  • Speaker #0

    next. Moi, tous mes potes, ils me disent, allez, vas-y, c'est bien, il faut continuer. On s'encourage tous. C'est comme ça. Vous faites le tri au fur et à mesure des années. Mais tout le monde peut y arriver.

  • Speaker #1

    Sur ces belles paroles. Sur ces belles paroles.

  • Speaker #0

    Tu n'as pas envie que je m'obtene.

  • Speaker #1

    Non, parce que je ne veux pas qu'on se foute dans la merde non plus. Alors, les amis, encore merci pour la semaine dernière et pour les retours que vous nous avez faits. On vous souhaite une très bonne semaine. Et pour ceux, franchement, qui continuent de nous encourager, merci vraiment pour tout. N'hésitez pas à partager à vos proches les podcasts, parce que je pense qu'on délivre beaucoup de tips. Et pour tout ça, merci encore. Likez. partagez, si possible notez ah, Monico veut dire quelque chose ouais voilà,

  • Speaker #0

    là pour l'instant on fait des podcasts audio mais on va bientôt se mettre sur Youtube non non mais là aujourd'hui vous voyez pas mais il a fait déjà son sapin de Noël il est tombé, j'ai l'impression que il va descendre de la finale vive cette période là

  • Speaker #1

    Noël pour moi c'est une des meilleures périodes de la vie bah ouais mais là j'ai pas pu te filmer là bah ouais Tu as fait le message de bonne semaine à tous.

  • Speaker #0

    Exactement, les amis. Merci encore pour la force. Continuez à nous écouter. On remercie tout le monde parce que les audiences commencent à grimper. Franchement, ça fait plaisir. J'espère que ce podcast vous a plu. Comme d'habitude, vous mettez un 5 étoiles. J'ai vu qu'il y avait des gens qui avaient mis des 5 étoiles. Je vous en remercie beaucoup. Merci beaucoup. Sur un podcast, sur Spotify, sur toutes les plateformes, les commentaires, c'est top. N'hésitez pas surtout à partager et à en parler à vos amis. Et on se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau podcast. Et on vous dit bonne soirée, bonne journée.

  • Speaker #1

    Bye bye les amis.

Chapters

  • Introduction et présentation des hôtes

    00:00

  • Discussion sur la confiance en soi et son importance

    00:34

  • Les expériences personnelles de Niko et Mehdi

    01:52

  • Techniques pour renforcer la confiance en soi

    05:56

  • Conclusion et remerciements aux auditeurs

    01:00:30

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Description

Dans cet épisode captivant de "Riche d'Expériences", Niko et Mehdi vous plongent au cœur d'un sujet essentiel : la confiance en soi. Souvent sous-estimée, la confiance en soi est pourtant la clé qui ouvre les portes de l'indépendance financière. À travers leurs expériences personnelles et professionnelles, nos deux animateurs vous offrent un éclairage unique sur la manière dont cette qualité peut être cultivée et renforcée. Ils partagent des stratégies concrètes et des objectifs clairs qui vous aideront à bâtir une confiance solide, indispensable pour avancer dans votre parcours financier.


Niko vous raconte avec authenticité son parcours, les défis qu'il a dû surmonter et comment ces épreuves l'ont forgé. Son histoire personnelle est une source d'inspiration, illustrant que chaque obstacle peut devenir une opportunité de croissance. De son côté, Mehdi aborde l'impact de l'éducation et des valeurs familiales sur la confiance en soi. Ensemble, ils soulignent l'importance de sortir de sa zone de confort, d'oser prendre des risques et de s'entourer de personnes positives qui vous élèvent.


Cet épisode est bien plus qu'une simple discussion ; c'est un véritable appel à l'action. Niko et Mehdi encouragent chaque auditeur à croire en lui-même et à passer à l'action. Ils partagent des conseils pratiques pour célébrer chaque petite victoire sur le chemin de l'indépendance financière. En effet, chaque pas compte, et il est crucial de reconnaître les progrès, même les plus modestes.


Les échecs, souvent perçus comme des freins, sont en réalité des étapes incontournables du processus d'apprentissage. Niko et Mehdi vous rappellent que chaque échec est une leçon précieuse qui vous rapproche de vos objectifs. Dans cet épisode, vous découvrirez comment transformer vos doutes en forces et comment faire de la confiance en soi un pilier de votre succès.


Ne manquez pas cette occasion d'enrichir votre parcours vers l'indépendance financière. "Riche d'Expériences" vous offre des clés pour renforcer votre confiance en vous et vous inciter à avancer. Que vous soyez entrepreneur, salarié ou simplement en quête de développement personnel, cet épisode est fait pour vous. Écoutez-le et laissez-vous inspirer par des histoires authentiques, des conseils pratiques et une vision positive de l'avenir. Ensemble, construisons une confiance en soi inébranlable, car c'est le premier pas vers la réalisation de vos rêves financiers.


Bienvenue sur "Riche d'expérience", le podcast qui vous ouvre les portes de la liberté financière, et bien plus encore. Chaque semaine, on vous livre des stratégies concrètes pour booster vos revenus et atteindre vos objectifs. Ici, pas de bla bla inutile, juste des conseils d'experts pour valoriser votre patrimoine, faire fructifier vos investissements, et transformer vos idées en succès. Vous entendrez aussi des témoignages inspirants de personnes comme vous, qui ont su partir de zéro pour bâtir un avenir solide.

Que vous cherchiez à arrondir vos fins de mois, à obtenir des conseils pratiques ou à puiser de l'inspiration, ce podcast est fait pour vous. Alors, préparez-vous à prendre en main votre destin financier.

Nous sommes Mehdi et Niko, deux entrepreneurs avec des parcours différents, mais un objectif commun : vous donner les clés pour réussir, avec un mindset de folie, des astuces concrètes et des solutions sans bullshit.





Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Riche d'expérience. Vous souhaitez vous enrichir en partant de zéro avec un salaire moyen et sans attendre 20 ans pour voir le résultat ? Vous êtes au bon endroit. Nous sommes Nico et Mehdi, deux entrepreneurs au parcours différent mais avec une vision commune, l'indépendance financière. Chaque jeudi, nous parlerons IMO, bourse et entrepreneuriat pour vous partager les stratégies et techniques qui auparavant étaient réservées à une élite. Avec nous, vous découvrirez comment débuter, même avec un petit budget, en ayant des astuces pour éviter les pièges, maximiser vos gains et apprendre à investir intelligemment, même si vous n'y connaissiez rien car nous sommes à votre image. Alors oubliez le mythe des années de galère, il est temps de passer à l'action et de construire enfin votre richesse. C'est parti pour l'épisode du jour. Yeah ! Alors Monico, quoi de neuf ?

  • Speaker #1

    Bah écoute, comme d'hab, toujours le taf. Toujours et toujours. Mais non, là c'est bien, on a passé un bon petit week-end. Bon,

  • Speaker #0

    qu'est-ce que t'as fait de beau alors ?

  • Speaker #1

    Écoute, qu'est-ce que j'ai fait de beau ? J'ai pas arrêté avec les ménages. Ouais,

  • Speaker #0

    c'est magnifique. Tu sais que, franchement, moi, je vais te dire un truc, tu vois, et il m'en fout s'il écoute. Mon frère, c'est une fédulogie, mec. On ne s'entend pas, mais c'est une fédulogie. Il est en galère, il travaille dans une déchetterie. C'était un mec qui gagnait 6-7 000 euros par mois. Et aujourd'hui, je lui dis, mais mec, monte une conciergerie. Et si tu ne veux pas monter de conciergerie, monte une boîte de ménage. Et en fait, il me dit non et tout. Tu sais, les faits, genre, c'est du taf de merde et tout. Mais mec, tu es doué pour ça. Fais-le, tu vois. Et je me pose...

  • Speaker #1

    Moi, je te dis, je suis maniaque.

  • Speaker #0

    Mais je ne me poserai même pas de questions. Tu es en galère, tu gagnes. Tu sais quoi ? Il a quitté une compagnie aérienne pour gagner. Aujourd'hui, il travaille dans une déchetterie, mec.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas dévalorisant, c'est bien aussi.

  • Speaker #0

    Mais non, on s'en fout. Le mec, il est doué pour un truc et il travaille pour un patron. En fait, c'est le thème du jour, la confiance en soi. On va en parler, tu vois. Le mec, en fait...

  • Speaker #1

    Mais oui, comme tu dis, ce week-end, j'ai passé mon week-end à ne pas faire des ménages tout le temps, mais j'ai fait trois jours de ménage sur les MC des pas arrivés, des pas arrivés, ça paraît.

  • Speaker #0

    Bon, voyons le positif. Tu prends du cash.

  • Speaker #1

    Oui, non, non. Après, je ne fais pas tout le ménage. J'aide parce que ça va plus vite et comme ça, les femmes de ménage prennent moins de temps, tu vois. Mais non, après, ça ne me dérange pas. Mais c'est vrai que faire ça tous les jours, sans compter un peu derrière, tu as tout le linge, tous les draps, les serviettes.

  • Speaker #0

    Après, ce qu'il faut se dire, c'est que ça fait partie du business. La LCD, les locations courte durée, sans le ménage, ben voilà quoi. Donc, le nerf de la guerre, c'est le ménage et le service. Donc, en même temps, le fait de... Bon, après, toi, c'est quand même une prestation qui est très standing. Déléguer la totalité par rapport au client que vous avez, par rapport au prix de l'annuité, on va dire que… C'est trop.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    c'est obligé. C'est trop. Et si, justement, aujourd'hui, tu arrives à être à ce niveau de performance, c'est parce que, justement, autant Noël, donc ton épouse que toi, vous avez un pied dedans. Exactement.

  • Speaker #1

    Et heureusement, parce qu'on a accueilli des charges très strictes au niveau du ménage. Voilà. rien traîne c'est pour ça que moi ça me dérange pas d'aller les aider tu vois je fais des cuisines moi les cuisines voilà moi je sais que les cuisines par poil qui prennent c'est nickel chrome mais bon voilà ça ça prend un peu de temps mais on était pas on n'a rien il ya des inconvénients et des avantages dans tous les domaines soit la lcd ou que ce soit dans le business que ce soit un salariat partout en fait tu vois tu as des avantages et des inconvénients bon après ça me gêne pas moi j'aime bien j'aime bien c'est pas dérangeant Mais voilà, ça m'a pris mon week-end, plus la vie de famille, plus tout ça.

  • Speaker #0

    Beau gosse.

  • Speaker #1

    Ça passe vite.

  • Speaker #0

    Beau gosse. Bon, est-ce que tu as d'autres choses à rajouter ? Nous faire partager, nous partager, pardon.

  • Speaker #1

    Déjà, je voudrais revenir sur le podcast de la semaine dernière. Encore, comme d'habitude, un grand merci à tout le monde. C'est vrai qu'on a de plus en plus de retours. Et merci à tous les auditeurs qui nous envoient des messages et qui commentent. C'est super gratifiant et ça nous donne encore plus envie d'aller encore un peu plus loin dans les podcasts et à vous apporter encore plus de valeur. Donc, un grand, grand merci.

  • Speaker #0

    Vraiment, merci beaucoup. Après, j'avoue, sur ce podcast-là, je me suis vraiment lâché. Donc, effectivement, ça peut ne pas plaire. C'est ça qu'on a eu.

  • Speaker #1

    On a eu pas heureux. J'ai eu plein de retours comme quoi tout le monde rigolait, tout le monde s'est bien marré. Ça donne un peu de bonne humeur, ça donne un peu de joie à l'auditeur. C'est quoi, évoluer comme ça ? Rigoler ? être dans la bonne humeur, on est sérieux quand il faut, mais on est là pour partager, on est là pour rigoler. On est comme ça.

  • Speaker #0

    Il y a eu des gens qui m'ont beaucoup rassuré, malgré qu'on a discuté avec Nico. On est comme ça, moi je suis comme ça et je ne suis pas prêt à changer. Au final, j'ai eu une période de doute de deux heures. Et au final... Ouais, voilà. Et au final... On est comme on est donc merci à tous pour votre soutien et puis merci beaucoup à toi Nico pour me soutenir au quotidien.

  • Speaker #1

    On est là pour se soutenir, on est là pour avancer et voilà je pense que au fur et à mesure du temps les podcasts vont s'améliorer, on n'est pas parfait, on fait en fonction de nous, on fait en fonction de notre envie voilà il faut le faire, on s'est lancé, on le fait. Et je pense que tu vois, le thème d'aujourd'hui sur la confiance en soi, ça passe par là. Parce que tu vois, moi, comme je t'avais dit et comme on en avait parlé sur le podcast, moi, j'ai toujours voulu faire un podcast. Ça me trottait depuis quelques mois, même presque une année. Et tu vois, c'est toujours l'appréhension de se lancer. Mais de quoi je vais parler ? Après, j'ai plein de choses à raconter. Mais tu vois, tu repousses toujours. Et alors, c'est peut-être un manque de confiance où tu te dis, bon, est-ce que je repousse toujours ? toujours ah bah je vais faire maintenant j'essaie tu as toujours un a toujours quelque chose qui fait que tu vas pas passer le cap tu vois ce que je veux dire et c'est vrai que ça passe un peu par là alors c'est pas que j'ai pas confiance en moi mais dans ce domaine là je connais pas c'est la première fois que tu vois comme toi et moi on fait des podcasts parler parler devant un micro à personne c'est vrai que c'est pas c'est pas donné à tous les c'est un peu compliqué c'est un métier un mine de rien mais c'est un métier

  • Speaker #0

    En faisant des recherches pour ce podcast, je suis tombé sur un docteur plutôt connu dans le monde de tout ce qui est neurologie, psychiatrie, etc. qui s'appelle Cyril Nuc, Boris Cyril Nuc. Et en fait, je vous invite vraiment à aller regarder. C'est quelqu'un qui est juif et qui en fait a été déporté à six ans. Excusez-moi si je dis des bêtises, mais en tout cas, toute sa famille a été quasiment décimée, sauf lui plus deux autres personnes. Et en fait, il explique comment il s'est relevé de ça, par la résilience et par sa passion sur le cerveau humain. Et du coup, pour tous ceux qui veulent comprendre les techniques pour remonter une confiance en soi, aujourd'hui, on va s'inspirer beaucoup de ses études. Et tu vois, Nico, il y a un truc qui est intéressant. entre nous, c'est que moi, tu vois, il y a des moments, plusieurs personnes sont venues me parler pour me demander comment on faisait tous les deux en termes d'état d'esprit. Pourquoi, en fait, pas forcément la confiance, mais pourquoi on continuait, on continuait, on continuait. Mais en fait, nous, on ne se pose pas de questions avec Nico. Et quand on se pose des questions, on appelle les bonnes personnes, soit lui, quand il a besoin, il m'appelle moi, ou moi, quand j'ai besoin, je l'appelle lui. Et en fait, on se remet les boosts. Et dans le podcast, vous allez voir qu'il y a des techniques qui font que s'entourer. Et ça, Delica, ça a été dit parce qu'il avait fait vraiment un merveilleux podcast sur l'entourage. En fait, juste l'entourage. Rappelez-vous, c'est quoi déjà ? C'est entourez-vous des cinq personnes qui vous ressemblent. Merde, je ne me rappelle plus. Tu vois, il y a un dicton. C'est du Mehdi, là.

  • Speaker #1

    C'est quoi ? C'est un truc comme ça. Voilà. Entourer des... Autour quoi des cinq personnes, la moyenne de tes cinq personnes ? Voilà. Un truc comme ça.

  • Speaker #0

    Si vous savez, mettez-le en commentaire, on en a besoin.

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Ils vont nous le mettre en commentaire, c'est bien. Bon, du coup, tu vois, par exemple, moi, la dernière semaine, j'ai eu beaucoup, beaucoup, beaucoup de galères. J'ai eu un mur de séparation entre une maison dans laquelle je suis en indivision avec deux personnes de ma famille qui s'est effondrée. J'ai voulu mener les négociations, on m'a interdit de les mener. Au final, j'avais tous les éléments pour pouvoir ne pas débourser un centime. Et la personne, enfin ma mère, a voulu mener les négociations. Au final, on se retrouve à payer 6 000 balles. J'ai eu dans une HCD un gros coup de chaud parce que je me suis dit qu'ils allaient me délèbrer mon truc. Donc je suis parti en mode warrior le matin. J'ai eu, enfin bref, j'ai eu le truc. Et en fait... ça continue quoi, la vie elle continue. Si à chaque fois que tu te manges des coups, tu t'arrêtes, et la transition sur le podcast d'aujourd'hui, la confiance en soi, si tu dis un truc tout simple, mais si tu dis je ne peux pas, je ne peux pas, en fait, bah oui, tu vas t'en convaincre. Alors que si tu essayes juste de dire je peux, je vais essayer, Tout de suite, en fait, ton état d'esprit, lui, il se met en mode on y va

  • Speaker #1

    En mode guerrier.

  • Speaker #0

    Mais bien sûr.

  • Speaker #1

    Et là-dessus, je te rejoins. C'est vrai que moi, tu vois, quand j'étais plus jeune, je ne savais pas trop ce que je voulais faire. Ce que je voulais, c'était réussir, gagner de l'argent. Moi, ma motivation, c'était l'argent. Je savais que… Je ne sais pas, franchement je ne pourrais pas te dire. J'ai toujours été motivé par l'argent, je le suis toujours. Et quand j'étais gamin, je me suis dit un jour que je serais riche. Je ne le suis pas encore.

  • Speaker #0

    Justement, ce qui est intéressant, c'est pourquoi riche ?

  • Speaker #1

    Je ne sais pas, écoute, si tu sais, j'aurais pu te dire, j'aurais voulu être pompier. Là, moi, c'était être footballeur et être riche. Pourquoi ? Je ne sais pas. Est-ce que c'est par rapport à ce que j'ai vécu étant petit ? Pourtant, je n'ai jamais manqué de rien. Moi, j'ai toujours bien vécu. On ne roulait pas sur l'or, mais voilà, mes parents vivaient très bien. J'ai toujours bien vécu, parti en vacances, manqué de rien. Mais je ne sais pas, j'ai toujours été attiré par l'argent. Quand j'étais petit, là, on a les applications, tu peux aller sur ton compte, tu peux savoir tout ce que tu as au niveau de ton sol, une bancaire, bref, tout. Et moi, quand j'étais gamin, mes parents m'ont ouvert la compte, je ne vais pas te dire à quel âge, mais je pense que ça devait être à l'adolescence. Et moi, je tenais un petit journal de bord de toutes mes dépenses et toutes mes rentrées. J'écrivais tout au jour prêt, t'imagines ?

  • Speaker #0

    C'est un truc de fou.

  • Speaker #1

    A 14, 15 filles. Donc, je savais tel montant. Et tu vois, pour savoir ce que tu avais comme solde dans ton compte, tu devais attendre tous les mois de recevoir ton revenu bancaire.

  • Speaker #0

    C'est clair.

  • Speaker #1

    Tu te rappelles de ça ?

  • Speaker #0

    Oui, carrément. Tu recevais le relevé.

  • Speaker #1

    Exactement. Et moi, tu sais quoi ? Au centime près, je savais combien j'avais. À n'importe quel temps du mois. Tu vois, pour te dire, tellement j'étais calibré au niveau des comptes, j'étais calibré de ouf. Et je ne sais pas, j'avais ce truc dans ma tête. Je ne savais pas quoi faire, comment, comment j'allais faire pour réussir. Et je savais que j'allais réussir.

  • Speaker #0

    C'est marrant. Parce que tu vois, en fait… C'est marrant. Oui, mais carrément. Parce que moi, je veux devenir riche. Mais juste pour avoir le choix et faire ce que je veux. En fait, c'est parce que je sais que le véhicule, l'argent, l'argent, c'est un véhicule pour moi. Et ça me permettra d'aller où je veux, quand je veux, de faire ce que je veux, au moment où je veux. Et on pourrait parler des origines de la confiance en soi, mec. D'après toi, en fait, même pour toi, à ton avis, les gens qui manquent de confiance en eux, ça vient d'où ? Est-ce que tu penses... Lâche-toi.

  • Speaker #1

    Je vais te donner mon exemple. Quand tu n'es pas... Quand tu n'es pas avec de la confiance en toi. Ce n'est pas inscrit dans tes gènes. Toi, tu vas avoir confiance. Toi, tu ne vas pas avoir confiance. Je pense que la confiance vient en fonction déjà de ton éducation. Par tes parents. Si tu as des parents aimants, si tu as des parents qui te... qui font tout pour toi, qui te montrent le chemin, qui sont là pour toi, qui ont de la bienveillance pour toi, ils vont t'apprendre les rudiments de la vie et tu vas avoir confiance. Pas à pas, tu vas prendre un peu confiance en toi. C'est les étapes de la vie, je pense. Et tu vas avoir d'autres personnes qui vont avoir un peu moins confiance en eux parce qu'ils ont eu une éducation qui a été un peu bancale, qui a été dure et pas d'amour. pas de déviance, donc tu reproduis un peu ça et du coup, les moindres choses que tu vas et que tu vas faire étant petit jusqu'à un certain âge, tu n'auras pas de... Comment t'expliquer ? Tu n'auras pas tes parents ou quelqu'un d'autre qui va te féliciter sur ce que tu as fait, que ce soit dans le sport, à l'école ou autre et du coup, tu n'as pas cette notion-là en fait. Tu ne sais pas ce qui est bon pour toi, ce qui n'est pas bon et ce qui est... Tu vois ce qui est bien, ce que tu as bien fait ou pas. Je pense qu'il y a deux zones.

  • Speaker #0

    Tu as visé juste parce que dans les trois quarts des études, les origines du manque de confiance en soi, ça vient de l'environnement familial. Alors, quand tu prends un environnement familial où tu as eu les parents qui ont été vraiment très portés sur la reconnaissance, c'est bien mon fils ou ma fille, peu importe. Dès l'enfance, on va voir que l'interaction avec les parents, si elle est positive, derrière, on a un terreau fertile pour que les gens aient confiance en eux. A l'inverse, si les gens sont trop surprotecteurs, l'enfant, vu qu'il n'a quasiment rien vécu avec les autres, parce que par exemple, moi, je vais te parler de mon éducation. C'est mon grand frère. Mes parents travaillaient tellement qu'en fait c'était mon grand frère qui m'élevait. Mais mon grand frère ça le saoulait. On a 14 ans de différence et lui il était prof de boxe taille. Donc les seules façons qu'il avait de communiquer avec moi c'était de me rabaisser. Et du coup moi étant petit en fait j'avais un gros manque de confiance en moi. Et arrivé à l'adolescence j'ai réussi à m'en sortir grâce à un truc. Est-ce que tu sais ce que c'est ?

  • Speaker #1

    Boxe taille.

  • Speaker #0

    disons qu'au niveau des sports de combat j'ai eu ce qu'il fallait oui si en fait c'est le sport parce que le sport en fait moi j'étais quelqu'un qui parlait pas quand j'étais petit et le sport vu que j'étais en toute humilité en toute modestie j'étais doué tu vois et ça m'a en fait quand je pratiquais le sport et que je voyais que j'étais bon en fait Autour de moi, on a commencé à me récompenser, à me dire c'est bien, etc. Et j'ai trouvé, en fait, je me suis réfugié dans le sport, mais à fond. Donc, je faisais plein de sports, etc. Et j'ai réussi à sortir de ma, à devenir, à avoir confiance en moi grâce au sport. Mais tu vois, moi, sur mes filles, il y en a une, en fait, la première, je l'ai surprotégée. Mais tellement surprotégée que, par exemple, on allait au parc. Dès que je voyais un enfant qui s'approchait d'elle, j'étais à deux pas d'elle. Et ça pendant très longtemps, elle était ultra timide, introvertie et en manque de confiance en elle. Et ça c'est ma responsabilité parce que c'est moi qui ne l'ai pas laissé vivre des expériences et son environnement en fait c'est moi qui l'ai flouté. Parce que...

  • Speaker #1

    Tu l'as un peu freiné par rapport à...

  • Speaker #0

    Ouais tout à fait.

  • Speaker #1

    Ah, par la peur que toi tu as par rapport à ce que ta fille peut avoir si tu... Si tu la laisses un peu trop, c'est ce qui est normal. On est tous protecteurs.

  • Speaker #0

    Tout à fait. Mais tu vois, après, il y a les premiers modèles pour les enfants et les ados. Les premiers modèles pour les enfants, c'est les parents. Si un enfant voit ses parents faire face aux épreuves, aux échecs, etc. de manière résiliente et toujours prendre les choses de façon positive et résoudre les problèmes. Plus tard, en fait, à plus de 80 ces enfants-là réussiront justement à avoir beaucoup plus de confiance en eux que d'autres qui sont dans un cadre familial très nocif, si je puis dire. Et du coup, le fait d'avoir une enfance pas agréable de ce point de vue-là peut créer, peut découler sur un gros manque de confiance en soi.

  • Speaker #1

    Oui, mais c'est ça. ça je l'entends bien et tu as raison là-dessus moi tu vois j'ai moi étant étant petit je sais pas que j'avais pas confiance en moi alors moi tu sais je faisais du foot j'ai fait du foot tu vois j'étais très bon au foot donc voilà tu avais la reconnaissance des autres la satisfaction tu vois ouais t'es bon joue là n'a ni passé la balle à nico il va marquer n'a ni même pas tout ça c'est vrai que ça me donne confiance après moi j'ai C'est vrai que moi, mes parents, mon père, je le voyais quasiment peu. Tu travaillais tellement. Je travaillais tellement, donc pas souvent là. Moi, j'ai le souvenir d'un père qui a charmé du travail. Je me suis charmé pour travailler, ma mère ne travaillait pas. Et elle a tout fait pour que nous, on se sente bien et qu'on ne manque de rien. Moi, j'avais cette image-là.

  • Speaker #0

    Est-ce qu'à un moment, tu en as voulu pour ça ?

  • Speaker #1

    Je pense, oui. Je pense que j'ai dû en vouloir. Alors, est-ce que c'est normal ou pas ? Je ne sais pas. Est-ce que tous les enfants d'un certain âge donnent contre leurs parents à un moment donné ? Je ne sais pas. Moi, je sais que pendant un moment donné, j'étais en rébellion contre eux.

  • Speaker #0

    À l'adolescence ?

  • Speaker #1

    À l'adolescence, oui. Alors, pourquoi ? Je ne pourrais pas te dire. Ce n'était pas une haine. C'était plus une… Je ne pourrais pas te dire. Je ne sais pas. Je pense qu'on passe tous par là à un moment donné. Moi, j'étais beaucoup dehors. J'ai beaucoup fait ma jeunesse dehors. Jamais chez moi. C'est vrai que quand tu es dehors et que tu es gamin, tu apprends beaucoup de choses. Tu vois des choses, tu t'as guéri, tu prends confiance parce que tu découvres la vie. C'est vrai que maintenant, à notre époque, moins les enfants sortent, mieux on se porte. Tu vois ce que je veux dire ? Avec tout ce qui se passe. On est vraiment très protecteur. Mais moi, j'avais cette facilité à découvrir les choses. Et c'est vrai que je ne sais pas que j'ai eu un manque de confiance, mais moi, j'avais du mal à m'exprimer devant beaucoup de monde. C'est-à-dire qu'avec mes potes, c'était très bien. Dès que j'étais en cours ou autre, il fallait s'exprimer à un exposé ou autre. J'avais beaucoup de mal. Très stressé et très... Pas confiance. Tu vois, j'avais vraiment pas confiance en moi à m'exprimer devant du monde.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu penses que...

  • Speaker #1

    Ça a pris du temps. Et ça a pris du temps avant que je passe ce cap-là.

  • Speaker #0

    Et justement, est-ce que tu penses que plus jeune, tu avais eu une interaction avec les autres, justement pour jouer dans la construction, tu vois, de toi ? quand tu étais à l'école, beaucoup plus jeune, est-ce que tu étais plutôt quelqu'un qui était introverti, tu ne parlais pas trop, ou tu pouvais justement échanger avec tout le monde ?

  • Speaker #1

    Non, moi je suis quelqu'un de... Je suis très sociable, moi je parle avec tout le monde.

  • Speaker #0

    Non, mais maintenant... Non,

  • Speaker #1

    mais même... En étant enfant, j'étais plus le perturbateur que le perturbé.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Donc là-dessus, il n'y avait pas de réel problème. ça peut être un problème aussi d'être comme ça, mais j'étais toujours actif, très actif. Mais j'avais quand même ce manque de confiance en moi, avec les autres. Est-ce que c'était peut-être pour ça que j'étais un peu actif ? Et en fait, ce cap-là a pris du temps à passer, a pris beaucoup de temps à passer. Et ça m'a traîné jusqu'au début de ma vie d'adulte. C'est un travail sur soi à faire.

  • Speaker #0

    En tout cas, tu vois, à l'adolescence, en faisant mes recherches, à la France Post 4, j'ai compris qu'à l'adolescence, c'était une grosse phase charnière, parce que c'est là que les enfants affirment leurs convictions. se retrouvent dans des boys bands, je ne sais pas comment on dit aujourd'hui, mais les k-pop et tout le machin, on veut adhérer à un groupe pour justement renforcer, trouver un sentiment d'appartenance, pour pouvoir se libérer du manque de confiance en soi. Le fait d'appartenir à une meute, à un groupe, fait que justement, tu te sens moins en danger. Et ça, c'est vraiment dans la phase d'adolescence. Et après, tu as les gens qui vont partir, commencer à continuer sur ce mode-là jusqu'au début de l'adulte, jusqu'à les 25, 30 ans. Et tu vois, je fais un parallèle avec l'immobilier. C'est pour ça qu'aujourd'hui, tu as des gens qui suivent des gourous d'Instagram, etc., qui leur font croire, parce qu'ils s'identifient à quelque chose qu'ils pensent ne jamais pouvoir être. dans le manque de confiance en soi, le rêve du paraître fait que toi, tu ne te sens pas capable, mais tu veux lui ressembler. Donc, en fait, tu t'identifies à lui. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire.

  • Speaker #1

    Si, je vois. De toute façon, tu le vois. Tu as beaucoup de vendeurs de rêves et tu as beaucoup de personnes qui s'identifient à eux, mais ils aimeraient bien, mais ils ne le font pas. Et ils restent quand même là, ils t'observent. Ils n'arrivent pas à passer ce cap-là parce que, comme tu dis, ils ont un manque de confiance pour passer le cap. C'est le parallèle de l'immobilier. Tu vas avoir des personnes qui vont passer à l'action et d'autres qui vont traîner de la pape parce qu'ils ont toujours… Ah ben non, j'ai un problème là. Ah ben, j'ai peut-être été sûr là, mais non, je ne peux pas. C'est trop tôt, il faut que je visite encore un peu plus. Tu vois, tu as deux mondes. Il faut déjà travailler sur soi avant de pouvoir avoir confiance. Il faut déjà s'estimer soi-même.

  • Speaker #0

    Mais tu vois, en fait, c'est bien ce que tu dis, parce que tu en as beaucoup qui veulent se comparer aux autres, mais qui ne se rendent pas compte qu'en fait, c'est important de penser à soi. Et il y a un truc qui me choque, moi, quand je vois à l'école, je parle beaucoup de l'enfance, parce qu'il y a énormément de problèmes qui viennent de là. Et après, on parlera de l'âge adulte. Mais tu vois, rappelle-toi, à l'école, à l'école, on te faisait voir uniquement les mauvaises choses. La prof, ou le prof, il te notait en rouge tout ce qui n'allait pas. Il allait entourer tout ce qui n'allait pas. On ne te mettait jamais en vert ce qui allait, tu vois. On te mettait juste une note, éventuellement, si tu étais au-dessus de 10. Et puis, tu vois, mais on est sur une fiche, sur une... en contrôle, quand tu récupérais ta feuille, tu voyais que du rouge.

  • Speaker #1

    Avec du rouge.

  • Speaker #0

    Exactement. Ouais, bon, alors moi, laisse tomber, mais toi...

  • Speaker #1

    Avec du rouge. On est tombés avec du rouge.

  • Speaker #0

    Mais en fait, là, alors je ne sais pas si c'est pas français ou pas, mais tu vois, moi, j'avais étudié, enfin, j'avais cherché des modes d'éducation, et par exemple, je posais... On était en train de faire l'étape de multiplication à mes filles. à ma dernière, Mélissa, et je lui pose, je ne sais pas, je lui dis 4x4, tu vois, et elle me donne un chiffre, mais qui a 4x4, au lieu de me dire 16, elle me dit 18, tu vois. Je lui dis, ben non, ce n'est pas ça. Et en fait, je regarde sur Internet et il y a des Québécois qui donnaient en fait leur technique et leur mode d'éducation. En fait, au Québec, quand tu vas demander 4x4 et l'enfant va te répondre un truc qui n'a rien à voir, ils vont dire, au lieu de dire non, ce n'est pas ça. ils vont te dire presque, continue, essaye et juste ce schéma là fait que l'enfant il ne se sent pas en échec, tu vois ce que je veux dire ou pas ? ça me rappelle mon enfance ah putain, elle est sauvée quand je faisais les dictées à chaque fois la prof me disait tu te rappelles, les dictées c'était de la meilleure note à la moins bonne note ou l'inverse, et moi je savais que je savais que si on commençait par les meilleures notes

  • Speaker #1

    je pouvais faire mes trucs j'étais le dernier tu vois j'avais tout le temps 0 donc j'avais 0 ou 4 tu vois 4 c'est ce que je faisais moi tu m'envoyais les bulletins tu sais tu t'envoies les bulletins où il fallait faire signer le devoir ou la dictée moi je faisais les bulletins sur mon père avec des 0 non mais oublie laisse tomber moi à l'école catastrophe pourtant je n'étais pas mauvais j'étais dans la moyenne mais catastrophe Tu peux te déchirer à chaque fois.

  • Speaker #0

    Moi, j'avais une technique à l'école. Premier trimestre, tranquille. Deuxième trimestre, bon, allez, on va commencer un petit peu à bosser. Et troisième trimestre, je déchirais tout. Juste pour pouvoir passer, tu vois. Ça a marché, sauf deux fois. Non, une fois, une fois. Ça a marché parce que j'ai réussi à esquiver. Ah ouais, non, mais il faut que je te raconte une anecdote. C'était obligé que ça allait par ton couille. C'était obligé, mec, c'était obligé. J'étais en cinquième. Et on me dit, ouais, bon, bah, au passage en quatrième, je voyais la classe de quatrième dans laquelle j'allais me retrouver. Et je me dis, j'étais un petit malin déjà à l'époque, et je me dis, putain, si je choisis italien, je vais me retrouver avec les intellos, mec. Donc moi, qu'est-ce que je fais ? Je choisis italien. Dans une classe, genre, ils faisaient allemand, italien, latin, machin et tout. Et moi, j'étais le cassos de la classe, mec. Mais j'avais esquivé tous les autres cassos. Et... Plusieurs fois dans ma vie scolaire, j'ai fait des petits trucs comme ça pour esquiver. Et à chaque fois, c'est passé, mec.

  • Speaker #1

    Ah, mais c'est clair. Tu as de la chance. Moi, je suis tombé à chaque fois dans les pires classes. Je préfère. Mais les pires, de la 6e à la 3e, les pires classes. Et dis-toi, attends, je vais te raconter un truc. J'arrive 3e, je fais la 3e. Moyen, tu vois, 10 de moyenne. C'est ce qui me sort. Bon, non, on va le faire redoubler. Attends, j'ai une bise de moyenne, je prends en seconde, tu vois, normal. Ils me disent non, tu vas redoubler. Je fasse le brevet, j'ai le brevet, on me fait redoubler. Mes parents, on leur dit, je vais redoubler votre fils. Qu'est-ce qu'ils disent ? Oui, mon fils, tu vas redoubler. Tu redoubles la troisième. Je sors de la troisième, je tiens de moyenne. Normal, tu redoubles. Easy. J'arrive en seconde. Je vais dans un lycée qui ne me plaît pas. Je me fous dans un truc technique. Rien à voir. Quand c'était, à l'époque, ça s'appelait STI. Je ne sais pas si tu te rappelles de ça.

  • Speaker #0

    C'est aussi industriel. Il y en avait des biens.

  • Speaker #1

    Il y avait des biens.

  • Speaker #0

    Il y avait des biens techniques.

  • Speaker #1

    Exactement. Je n'y fais pas. J'arrive en seconde.

  • Speaker #0

    Je tape des mauvaises notes. Bon, ma motion va vous faire redoubler. Je redouble ma seconde.

  • Speaker #1

    Ah, mais là, t'étais chaud, toi.

  • Speaker #0

    Je refais une deuxième seconde. Écoute,

  • Speaker #1

    j'arrive. Je me glace. Je me glace. Le mec à 30 ans de piste, il est au lycée encore.

  • Speaker #0

    Écoute, j'arrive en première. Je fais ma première. Tant bien que mal. Je suis un pote qui est dans une... Dans un lycée... Plus un lycée coupe-gorge. Laisse tomber, quoi. Bref. Tu peux pas parler au nana, sinon tu te faisais couper la gorge en sortant du lycée. Bref. Tu vois l'ambiance. J'arrive là-dedans, je fais la première, je passe en bac parce qu'il était espacé en terminale, normal, tu vois, il va te faire redoubler la première. Donc je passe en terminale, j'arrive au bac, bon bah déjà, j'ai pas le bac, je passe en rattrapage, j'ai pas le bac pour rattrapage, je pars le bac, j'arrive au bac, j'ai pas le bac. J'ai dit, vas-y, l'école, j'arrête, c'est pas pour moi. J'ai arrêté l'école.

  • Speaker #1

    Oh putain, mais ça aurait pu aller en BEP, mec. BEP 20.

  • Speaker #0

    Non, non, je voulais pas aller en BEP. Non, non, j'allais faire en BEP. Je savais pas ce que je voulais. Moi, je voulais tout.

  • Speaker #1

    Regarde, au final, tu travailles dans le bâtiment, mec.

  • Speaker #0

    Mais je voulais pas travailler dans le bâtiment, déjà, de base. Bref, écoute, il y avait pas un bon. Le bac, je l'ai pas eu de peu. Je le repasse à l'année prochaine. Et je valide que les... Je valide que les matières... J'ai eu la moyenne, je l'ai valide.

  • Speaker #1

    Ils ont été pas spiants avec toi.

  • Speaker #0

    Alors putain, laisse tomber. Il y a un bord, je te fais un résumé rapide. Et je me dis, bon, je le passe en candidat libre, normal. Je passe le bac à la fin de l'année. Donc je travaille, tu sais. Je fais quelques étapes, tu vois, toute l'année. Je reçois, je fais par le CNED. Je ne sais pas si tu te rappelles du CNED.

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr, à la maison. Voilà,

  • Speaker #0

    tu fais des études à la maison. Donc je reçois tous les cours. Je commence à travailler un peu. Tu connais, hein. Tu travailles un mois, tu lâches l'affaire.

  • Speaker #1

    Mec, c'est compliqué quand même.

  • Speaker #0

    C'est compliqué. J'arrive au bac, donc je m'assois pour le bac. Écoute, je fais toutes les épreuves. Reveloque, j'arrive au rattrapage. Il me manquait, mes frères, il me manquait 70 points. Je dis, oh là là, ça va être chaud. Ça va être chaud. Écoute, j'avais une matière, j'avais trois matières à rattraper. Et j'avais la matière l'écho droit. L'écho, je suis bon, tu vois. Je me suis dit, bon, tu es carré en écho, tu es fort. Et franchement, j'avais des bonnes notes. Mais bon, j'ai dû le repasser. J'arrive, je révise tout frère, tout tout tout. Il y a un truc que je n'avais pas révisé, je dis bon, c'est bon, ça passe à l'app. J'en ai tellement que tu vois quoi. J'arrive au bar avec la main, la meuf elle me dit le sujet, je dis ah putain, c'est tout que je n'ai pas révisé. J'étais, hé !

  • Speaker #1

    Elle n'a pas la peau. J'étais à noir. Regarde.

  • Speaker #0

    Hé, le chat noir, chat noir, qu'est-ce que je fais ? Je sors ma tchatche, et là tu vois, je commence à faire un peu le tchatcheur qui est limite en train de pleurer. l'examinatrice très sympa, elle me dit oui, mais qu'est-ce que vous voulez faire l'année prochaine ? Alors je lui explique, j'ai une école, j'ai ci, j'ai ça, et il me manque tant de points pour avoir le bac, ça fait la deuxième fois, j'ai 21 ans, vas-y, il faut y aller, donne-moi le bac. Elle fait quoi, elle a eu le pitié de moi, elle me dit, il vous manque combien de points ? Je dis, il me manque ça, je ne sais plus combien. Elle me dit, t'es quoi, elle m'a mis la note, je dis tiens, j'ai tout combien, elle m'a donné tous les points, j'ai eu mon bac, j'ai eu 10 000 frères.

  • Speaker #1

    Oh punaise !

  • Speaker #0

    Tu vois, j'ai plus gare.

  • Speaker #1

    Bon, recentrons le sujet sur la confiance en soi, malgré que cette anecdote soit vraiment respectée.

  • Speaker #0

    Écoute, ça passe un peu dans la confiance en soi.

  • Speaker #1

    Mais bien sûr. Tu sais que la confiance en soi, c'est comme un muscle, ça se travaille tout au long de sa vie.

  • Speaker #0

    Il y a des moments où... Tu sais que moi, comme je te disais, j'avais du mal à m'exprimer.

  • Speaker #1

    Vérité si je m'en mec.

  • Speaker #0

    Non, non, mais écoute, moi, j'avais du mal à m'exprimer devant beaucoup de monde. Tu vois, même pour les épreuves du bac, j'ai fait des études supérieures. Écoute, j'arrivais, j'étais en France. C'est quoi ? J'ai fait un blocage. Non, je ne pouvais pas. J'étais dans le mal. Écoute, à l'oral, j'avais peur de parler à l'oral.

  • Speaker #1

    C'est marrant,

  • Speaker #0

    ça. C'est fou. C'est un truc de dingue. En fait, ça se travaille et ça ne fait pas long. Ça fait quelques années que ça va mieux. D'accord. Et en fait, j'ai appris sur moi et j'ai appris à avoir confiance en moi quand j'ai commencé à travailler avec mon père. En fait, quand j'ai commencé à travailler, j'étais directement en Mille-Dans-Le-Bain. J'étais ouvrier, mais à côté de ça, je faisais tous les rendez-vous pour les gens.

  • Speaker #1

    Tu allais voir des gens, tu sortais de ta zone de confort et tu allais voir des gens.

  • Speaker #0

    Exactement. Et puis j'allais faire les zones. Donc au début, tu ne parles pas parce que tu ne connais pas trop, tu sais, tu es un petit vide. Et au fur et à mesure que tu côtoies les clients, des personnes, que tu bois du monde, que tu commences à t'ouvrir un peu plus.

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    Et c'est à partir de là que je me suis ouvert, tu sais, et que tu commences à prendre conscience que tu fais du bon travail. Et bien,

  • Speaker #1

    très bonne position, là. Et voilà,

  • Speaker #0

    les gens te... les gens te disent Ah, c'est bien ce que vous faites, vous travaillez bien. Et là, tu commences à prendre un petit peu plus de poids et tu te dis Bah ouais, en fait, je ne suis pas nul.

  • Speaker #1

    Et on va parler de comment renforcer sa confiance en soi et les techniques pour renforcer sa confiance en soi. Et tu vois, là, ce que tu viens d'évoquer, c'est magnifique parce qu'en fait, tu es sorti de ton confort, tu t'es mis dans une situation où, du coup, tu avais des objectifs et tu t'es défini des objectifs qui étaient réalisables. Tu n'es pas parti sur les trucs de ouf. Tu es parti en rendez-vous client. Les clients, tu n'avais pas le choix. Et petit à petit, en fait, tu as réussi à monter en skills, en compétences. Et la technique la plus facile, c'est l'affirmation positive. Tu vois ? L'affirmation positive, c'est tous les jours, plusieurs fois par jour, au lieu de dire, mais toi, en fait, toi... Il va falloir que tu t'encourages tout seul. Et ça, nous, avec Nico, on est très forts pour ça. En fait, tu vas te retrouver plusieurs fois dans l'année ou plusieurs fois par jour ou plusieurs fois par mois, etc. dans des situations un petit peu improbables où tu vas galérer. Et il n'y aura personne pour t'aider. Et c'est là qu'il va falloir que tu te répètes régulièrement des phrases positives et des encouragements, justement, pour que ton toit intérieur te dise Ok, on y va, on va réaliser ça. Et pour ça, en fait... il va falloir aussi que tu utilises la technique de la visualisation. En fait, te projeter, mais avec des objectifs qui sont réalisables. Si demain, avec Nico, moi j'ai 43, je dis ouais, je vais aller sur la Lune, à moins d'être blindé et de pouvoir payer Elon Musk, je crois que bon, c'est mort dans le film. Par contre, si je me dis...

  • Speaker #0

    Tu vas aller au Pond du Gérard ?

  • Speaker #1

    Je vais faire une fusée en carton. Au pire, tu vois, je peux devenir pilote d'avion. Déjà, tu vois, c'est pas mal. Je passe le PPL, il faut un petit peu d'ose. Mais non, mais voilà. En fait, tout est réalisable. La méditation, moi, perso, j'ai essayé. Ça ne marche pas sur moi, tu vois, me poser.

  • Speaker #0

    Ça ne marche pas de méditation ou de yoga. Oui,

  • Speaker #1

    voilà. Il y avait peut-être...

  • Speaker #0

    il y a peut-être des adeptes de yoga que je respecte.

  • Speaker #1

    Mais moi, ça ne va pas pour moi. Mais après, tu vois, des techniques comme yoga, ou excuse-moi, méditation, ou tenir un journal de gratitude, moi, franchement, tu vois, il y a un truc que je fais. La confiance en soi, pour moi, ça fait partie de la confiance. En fait, partout où je vais, je dis bonjour à tout le monde. Mais tout le monde, que ce soit une femme de ménage ou une directrice de ouf et tout. Je vais dire bonjour, je vais parler, comment ça va, etc. À tout le monde. Et il y a des gens qui ne s'attendent pas à ça, tu vois. Il y a des gens qui ne sont pas prêts.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, je suis d'accord avec toi. Et combien de personnes te répondent ? Sur 10 personnes.

  • Speaker #1

    Mais tout le monde. Moi, tout le monde me répond. Parce que je suis là,

  • Speaker #0

    je regarde. Moi, il ne répond pas. Il y a des gens, ils ne répondent pas. Ah ouais ? Tu leur dis bonjour, ils te regardent, ils ne répondent pas.

  • Speaker #1

    Moi, c'est... Par contre, attention, ce n'est pas genre je passe dans le dos, je dis bonjour, et voilà. Moi, je passe dans le dos, je dis bonjour, je regarde la personne dans les yeux, si je peux, etc. Comment ça va, etc. Par contre, j'ai une force, c'est que moi, je retiens les noms. J'ai une facilité. Après, c'est par mon passé. Je retiens les noms, que ce soit de la personne, des enfants, si je le sais, ou des époux. Je retiens ultra facilement et j'ai toujours un lien avec les gens. Et ça, systématiquement, on n'est plus dans la confiance en soi. Mais si je peux vous apporter ce petit tips là, retenez les noms de tous ceux que vous fréquentez, parce que tu vas les revoir dans un mois, tu sors juste un petit prénom, peu importe, c'est le chien, un enfant, la tante, le cousin, machin et tout, ils vont faire un pas en arrière, en fait, ah ouais, putain, lui il me connaît, il s'intéresse à moi. Et tout de suite, boum, tu peux rentrer en négociation si besoin ou quoi. Tu sais, moi je suis dans la merde avec ça,

  • Speaker #0

    j'arrive pas à retenir les noms des gens.

  • Speaker #1

    Tu en sais autre chose !

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, j'ai une très bonne mémoire, je me rappelle de ton visage, de tout.

  • Speaker #1

    Tu me sors une anecdote !

  • Speaker #0

    Non mais moi je dis, écoute, j'ai du mal à retenir les prénoms, rappelle-moi ton prénom. Moi je suis honnête, je préfère dire écoute, rappelle-moi ton prénom, je ne me rappelle plus. Et ce n'est pas un manque de respect, c'est juste que tu es du mal à retenir les prénoms. Tu vois, là, on a fait un peu le séminaire, enfin le séminaire, mais l'apéro avec...

  • Speaker #1

    Oui bien sûr.

  • Speaker #0

    J'ai vu tout le monde, on a vu tout le monde, tout le monde m'a dit son prénom. Il n'y en a aucun qui va se tenir.

  • Speaker #1

    Oui, mais après,

  • Speaker #0

    c'est pas... Après, je fais des essais.

  • Speaker #1

    Voilà, mais c'est pas trop méchant.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est pas méchant, c'est pour dire. Mais moi, tu vois, maintenant, j'ai tendance à parler avec les gens. Tu vois, je parle avec des gens dans la rue. Il y a beaucoup de personnes qui te regardent, mais genre tu leur dis bonjour, c'est comme si tu les avais insultés. Genre, ce n'est pas normal. Je trouve qu'en France, on a du mal à cohabiter, enfin pas à cohabiter, mais tu vois, se dire bonjour, normalement, ça devrait être normal, mais ce n'est pas normal. Bien sûr. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    On a une mentalité un peu bizarre. Là-dessus, c'est un peu bizarre. Mais bon.

  • Speaker #1

    La base de tout, les amis, il faut sortir de sa zone de confort. Franchement, il faut vraiment aller vous confronter à de nouvelles situations parce que sortir de sa zone de confort et aller sur des défis que de base vous n'alliez pas réaliser, ça va vous montrer que vous êtes capable de faire quelque chose, capable de faire du sport, capable de faire... Vous trouverez ça, on ne s'inquiète pas. Tout à l'heure, je parlais d'entourage. Mais mec, c'est la base, quoi. La base. Si tu appelles des gens et que ces gens-là, ils sont tous négatifs, mais tu vas être dans un mood négatif. Par contre, si tu appelles des potes, que ce soit des nanas ou des mecs, et que tout le monde est dans le positif et tout le monde a envie d'aller toucher la lune, c'est obligé que tu vas toucher la lune. Par contre, si tu es là...

  • Speaker #0

    C'est clair. C'est clair.

  • Speaker #1

    Eh oui. Si tu es là à fréquenter des gens qui sont tout le temps découverts, qui sont en train de fumer le bédo ou boire des bières, jouer à la PlayStation et que ça leur convient, tant mieux. Esquive, sors de ce cercle. Va dans un cercle où juste rien n'est.

  • Speaker #0

    C'est bien ce que tu dis parce que j'ai une anecdote là-dessus. Quand j'étais plus jeune, entre 17 et 20 ans, j'ai toujours vécu, j'ai rendu dans un petit village et j'étais une bonne de potes, une quinzaine, vingtaine de potes, que des mecs. On entraînait toujours ensemble, les soirées, tu connais, entre potes, à refaire le monde, à boire un petit coup, là ça fumait, enfin bref. Et tu fais toujours la même chose. Et moi, tu vois, moi je suis quelqu'un de… j'ai envie de m'ouvrir sur l'extérieur, tu vois, j'avais envie de découvrir le monde. Moi à cet âge-là, il fallait que je bouge, il fallait que j'aille à Paris, tout ça. Donc tu vois, j'avais ces potes-là qui voulaient toujours rester au même endroit et faire les mêmes choses de 15 piges à 25 piges. Et moi, tu vois, j'avais des moments avec eux, mais j'avais des moments...

  • Speaker #1

    Ils ne voulaient pas voir pas.

  • Speaker #0

    Oui, et puis ils ne voulaient pas faire autre chose. Je te dis, il fallait que je bouge, il fallait que je voie du monde, il fallait que je m'amuse. Et en fait, moi, tu vois, j'ai toujours fait du foot. Donc, j'avais des potes de foot et des très bons potes aussi avec qui je sortais. J'avais mes potes d'enfance et j'avais mes potes de foot et j'avais des potes de sortie.

  • Speaker #1

    Et tu vois,

  • Speaker #0

    quand j'allais dans différents cercles, tu vois, quand je sortais avec mes potes d'enfance... C'était toujours moi qui devais faire le premier pas, organiser les choses, réserver pour tout le monde. Je faisais tout pour tout le monde. Je me disais, putain, à un moment donné, j'en avais marre. Il y avait un mois de problème, c'était toujours à moi de le régler tout le temps. Et quand tu commences à sortir de ce confort avec des amis proches et que tu vas voir un autre cercle, écoute, moi je l'ai vu tout de suite. Je suis parti avec d'autres amis pour des soirées. j'avais pas besoin de négocier tout était nickel les autres faisaient ils faisaient le taf à ma place et quand tu te rends compte tu dis mais en fait je suis pas tout seul il ya d'autres mecs comme moi tu vois et moi ça va mais moi ce cette première phase comme ça que j'ai vécu ça m'avait marqué je pars en soirée avec des potes amants que je lag mais qui rentre nulle part obligé de leur dire de comment s'habiller pour les gars faut s'habiller comme ça ces soirées privées dans des beaux endroits à paris resté calme, souriant et j'avais ramené un autre pote à moi d'un autre cercle. Je lui dis bon vas-y viens, il y a une bonne soirée. Ecoute on arrive là-bas, qu'est-ce qui se passe ? Bon vous les gars vous rentrez pas vous êtes localés. Et mon autre pote il arrive, non mais vous savez voilà on est sur invitation, il commence à tchatcher, il sort sa tchac. Regardez nan mais, comme une lettre à la poste, allez les gars on rentre tous. Et tu vois j'ai ouvert les yeux, tu vois à ce moment là j'ai ouvert les yeux, je dis putain je suis pas tout seul. Faut que voilà. Il faut que je m'engouffre là-dedans. Et après, tu rencontres d'autres personnes qui sont comme toi, qui ont les mêmes envies, les mêmes objectifs. Et c'est vrai que pour avoir confiance en soi et l'estime de soi, déjà, il faut se donner des objectifs et les faire pas à pas.

  • Speaker #1

    Pas des petits objectifs.

  • Speaker #0

    Des petits objectifs.

  • Speaker #1

    C'est une méthode, ça. La méthode des pas à pas. Quand tu as un gros objectif, il faut y aller. En fait, tu vas décomposer et tu vas faire des petits objectifs. Par exemple, si tu te dis, je fais 100 000 euros de chiffre d'affaires l'année prochaine, tu vas décomposer par mois, par semaine, etc. Et du coup, tu vas te mettre en place une stratégie. Mais c'est une très bonne technique, ça.

  • Speaker #0

    J'ai toujours marché comme ça. Comme je t'ai dit quand j'étais gamin, je voulais gagner de l'argent, je voulais être footballeur. Je n'ai pas été footballeur. Je gagne ma vie. Je vais aller là où je veux aller. Mais j'ai toujours eu des objectifs. Quand j'ai commencé à travailler, et pourtant je n'ai pas bossé dans le bâtiment, je suis rentré là-dedans et j'ai vu qu'on pouvait faire de l'oseille. Je me suis dit, la prochaine étape, c'est d'acheter. Je commence à bosser, on va commencer à acheter un petit truc. j'ai acheté un petit truc. Après, j'ai grossi un petit peu. Je me suis dit, tiens, à 30 ans, comme tout le monde, à 30 ans, tu as ta Porsche, et puis tu seras content, tu gagneras tant. Je me suis dit, tiens, à 30 ans, tu seras comme ça. Je n'ai pas eu la Porsche, ce n'est pas grave.

  • Speaker #1

    J'avais d'autres choses. C'est juste décalé.

  • Speaker #0

    C'est juste décalé. Après,

  • Speaker #1

    c'est du matériel.

  • Speaker #0

    Je n'avais pas ça, mais j'avais plein d'autres biens à côté. Donc tu vois, je préfère avoir mes biens que ma voiture.

  • Speaker #1

    Attends, il faut que je raconte une anecdote. Tu sais, il y a quelques années, j'ai fait coach sportif à côté de mon travail. Je faisais, j'avais repris mes, pour ceux qui connaissent, un CQP. Après, j'ai passé un BPGEPS, activité de la forme. Et j'ai commencé à travailler dans des salles en banlieue. Ça me saoulait un peu, tu vois, parce que la clientèle, elle était vraiment top. Mais en fait, moi, je voulais gagner un peu d'oseille. Et donc, je me suis rendu dans le centre de Paris, dans des salles un peu stylées. Au début, je faisais des remplacements et très rapidement, mais vraiment, je faisais un essai, je mettais le feu. Et on me disait, vas-y, on aimerait bien te prendre. Alors, j'étais auto-entrepreneur. On aimerait bien te prendre. Alors, je ne te raconte même pas parce que je bossais conducteur de métro à l'époque. Et à côté, j'étais coach sportif, je donnais des cours collectifs. Et très rapidement, j'ai eu un carnet. J'étais booké sur plusieurs grosses salles dans Paris, des salles chic. Et je suis commencé à donner des cours particuliers. Et en fait, moi, j'ai jamais eu... J'avais les abdos, mais ils n'étaient pas saillants. J'ai jamais été physiquement... Même quand j'étais dans l'armée, j'ai toujours été sec, mais genre pas ouf. Et j'avais des collègues. Donc, des autres coachs sportifs qui étaient des monstres physiques. Et moi, en fait, j'étais celui qui prenait le plus d'oseille. Et on m'a demandé comment je faisais. Et j'ai mis du temps avant de réaliser. En fait, j'étais très fort sur un truc. C'est que mes clients, ils me choisissaient moi. Et en fait, à chaque séance, ils ressortaient. L'état d'esprit était boosté à 2 milliards de pourcents. Et ils avaient pris... j'allais voir certains 2-3 fois par semaine et en fait ils me demandaient de revenir parce que en fait le sport ça dégage à la fin de la séance de sport t'as des endorphines qui vont te faire sentir trop bien mais si en plus de ça t'as un coach qui est là et qui te fait comprendre en fait que t'es pas une merde et que tes objectifs si t'es gros et que tu peux devenir mince mais que en passant de gros à mince ça va prendre du temps mais que le chemin il est magnifique et qu'à chaque séance en fait il te fait penser que t'es le meilleur, en fait, la confiance en soi, elle remonte. Et ça, c'était mon secret, en fait. Et quand je te dis prendre beaucoup d'oseille, j'ai pris beaucoup, beaucoup, beaucoup d'oseille, mec. Et j'étais pas le plus beau. Mais juste parce qu'en fait, en termes de parole, les clients, ils ressortaient, ils avaient la banane, ils étaient boostés. En fait, moi, je faisais mon business. Le problème, c'est que j'ai arrêté parce que l'énergie que je leur donnais, ils me la pompaient, tu vois. Il me l'a pompé.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi ? Par exemple, ça pompe énormément. Et ce que tu racontes, c'est bien parce que moi, je ne l'ai pas vécu dans le sport, mais quand j'avais les boutiques, c'est pareil. Moi, j'ai appris à avoir confiance en moi, à faire de la vente. Et ce n'est pas évident de faire de la vente, d'être un bon vendeur. Moi, j'ai appris ça grâce à ma femme parce que c'est une très bonne vendeuse. Et elle m'a appris toutes les techniques. Et en fait, pour être vendeur, il faut que tu aies la fibre. Si tu n'as pas la fibre de parler et de donner du bonheur aux gens,

  • Speaker #1

    il faut que tu la fasses avoir. Soyez fier de vous, bon sang. Arrêtez de regarder les choses négatives. Pensez vraiment. Allez, là, on fait du Mehdi, il n'y a plus de feuilles, il n'y a plus de notes. On fait du Mehdi et du Nico, c'est parti. Il n'y a pas de cas de fin de chaîne.

  • Speaker #0

    Ce que je veux dire, c'est que moi, je donnais… Je donnais du bonheur aux gens quand je vendais des vêtements. En fait, tu venais chez moi, je vendais du rêve.

  • Speaker #1

    Tu es en kiff.

  • Speaker #0

    Il sortait en kiff et il passait un très bonbon. Et en fait, tu vois, moi, je considérais mon travail comme une pièce théâtrale. Tu vois ce que je veux dire ? Tu rentrais chez moi, il y avait du show. Et pour en arriver là, ça a pris du temps et j'ai dû travailler pour moi.

  • Speaker #1

    Mais non,

  • Speaker #0

    je te l'ai vu. Et pour te dire, la première fois que j'ai ouvert ma première boutique et que j'ai vendu un produit, j'étais en stress, mais tu ne pouvais pas savoir. Limite, je dégayais devant le client. Et en fait, il faut y aller étape par étape, se faire confiance, avoir confiance en soi et ne pas avoir peur. Et on va faire des erreurs. On va en faire,

  • Speaker #1

    j'en ai fait.

  • Speaker #0

    On apprend de ses erreurs et on va de l'avant. Et puis, on va voir.

  • Speaker #1

    La base,

  • Speaker #0

    bien sûr. Et toujours avoir un mindset de focus. Et moi, j'étais focus. Et tu rentrais chez moi. Et frère, moi, c'était le spectacle. Je te gérais trois, quatre clients.

  • Speaker #1

    Magnifique.

  • Speaker #0

    Et tu peux être sûr, je gagnais de l'oseille et je faisais des très bons paniers. Et les gens revenaient pour moi. Et les gens revenaient pour ma femme parce qu'on délivrait un, entre guillemets, un spectacle. Oui. Les gens te disent. Et les gens me disaient, non, on ne va pas chez l'élixir, on va chez Nico. On va chez Noël. Et quand ils te disent ça, c'est qu'en fait, ils ne viennent que pour toi. Et ça, ça prend du temps. Et comme on disait, il y a beaucoup d'étapes. Pas à pas, vous allez apprendre à avoir confiance en soi. Il faut avoir l'estime de soi. Chaque petite victoire, il faut se féliciter. Et vous allez voir, au fur et à mesure du temps, ça va progresser. Oui, mais l'échec... Il faut pas avoir peur de l'échec, exactement. L'échec n'est pas une échec. L'échec n'est pas un échec. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    Et moi, j'en ai eu des échecs. Des fois, j'ai fait de la merde. Et bien, écoute, tu fais de la merde.

  • Speaker #1

    Mais t'as appris.

  • Speaker #0

    Et puis tu continues. Et puis t'apprends. Et puis voilà. Tu te recasses la gueule. Et bien, tu rapprends. Et puis tu te relèves. Et en fait, on est... On est vraiment meilleur que quand on a le dos au mur. Tu vois ?

  • Speaker #1

    Quand on a le dos au mur. Attends, je vais donner une citation. Et c'est Eleonore Roosevelt, tu vois ? Personne ne peut vous faire vous sentir inférieur sans votre consentement. Prenez le contrôle de votre vie, cultivez votre confiance en vous et atteignez vos objectifs. Putain, c'est une meuf. Son gars, il est dead, mec. Et elle te sort ça. Ah,

  • Speaker #0

    c'est beau.

  • Speaker #1

    Tu vois ? C'est beau. Bon, après, je ne vais pas lire. Mais ce que je veux dire, c'est faites-vous confiance, bougez-vous le cul et arrêtez de croire, arrêtez de regarder des choses qui sont fausses. Bordel de merde, putain, faites, mettez-vous en marche. Aujourd'hui, là, vous avez Nico et Mehdi qui sont là pour vous délivrer du mindset, du gros mindset. Et franchement, nous, on a plein de questions. de plusieurs auditeurs et qui rentrent dans notre cercle, justement, pour nous demander des choses. Mais vous avez toutes les compétences nécessaires pour justement exploser. Vous croyez que nous, on est des surhommes ? Nous, en fait, on est juste des gens qui passent à l'action. Parce que, alors moi, la dernière fois, on me demandait de faire des fichiers Excel, etc. Mec, moi, je suis encore à la feuille de papier avec le stylo. Mais je suis dans l'action. Je suis dans l'action. Donc aujourd'hui, ça va, Virginia, elle est en train de m'apprendre à faire des fiches Excel. C'est vrai que c'est de la bombe. Mais en fait, moi, je suis dans l'opérationnel. Et j'ai toujours été comme ça. Action. Et j'adore en fait l'expression qui dit qu'un intelligent qui a son cul sur sa chaise fait moins qu'un con qui est dans l'action. Et en fait, moi, c'est ça. J'apprends sur le terrain. Je ne suis pas là à étudier des bouquins, des choses qui sont irréalisables, etc. Surtout qu'en plus, les trois quarts, vous avez tous les connaissances nécessaires pour être dans votre domaine. Qu'est-ce que vous vous attendez, merde ? Bougez-vous le cul !

  • Speaker #0

    Là-dessus, je te rejoins. Il ne faut pas avoir peur. Il faut se lancer.

  • Speaker #1

    Le regard des autres, on s'en tape.

  • Speaker #0

    Non, mais il ne faut pas avoir peur de se lancer, que ce soit dans la vie. tous les jours dans le business ou mobilier ou autre voilà ça vous aidera partout et au fur et à mesure du temps vous allez prendre conscience que la confiance en soi permet déjà d'être moralement déjà d'être mieux moralement et autour de vous vous avez vous sauve les personnes vont vous sentir mieux et faut y aller pour voilà vous mettre des objectifs moi j'ai toujours moi je marche à la carotte moi j'ai toujours marché à la carotte je les suis toujours des objectifs et que je les atteigne ou pas, quoi qu'il arrive, c'est le chemin qui va faire que vous allez progresser, même si vous n'atteignez pas votre objectif, donnez-vous-en. vous allez voir que vous allez progresser et vous allez avoir le meilleur style de vous. Et la confiance en soi arrivera naturellement. Et moi, c'est ce qui s'est passé. Au fur et à mesure des années, j'ai pris beaucoup de confiance en moi. Alors, pas trop d'excès de zèle non plus, mais voilà, confiance en soi, c'est en fonction de chacun.

  • Speaker #1

    Mais bien sûr, il y a des moments où on a des super hauts, c'est comme ça, c'est la vie. Non, après,

  • Speaker #0

    tout le monde,

  • Speaker #1

    entourez-vous. Il y a le ying et le yang. Entourez-vous, les amis.

  • Speaker #0

    Exactement. Et avec l'expérience, moi, je le vois maintenant, j'ai 43 ans. Franchement, les petites futilités du quotidien, franchement, ça me passe au-dessus. Mais comme vous ne pouvez pas savoir, et j'en ai parlé avec Mehdi Lannarpox, Mehdi est quand même assez impulsif. Il dégaine rapidement. Donc, je lui dis, laisse tomber. Franchement, moi, dans la rue, tu me croises, tu m'insultes. Je te regarde et je trace mon chemin. Je n'en ai rien à faire. C'est quoi ? Je n'en ai plus rien à foutre des gens. Tu vois, si par exemple, toi, tu commences à m'insulter, voilà, ça va me toucher. Parce qu'on est amis, on est potes,

  • Speaker #1

    on est héros.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est pour te dire. Moi, les personnes que je ne connais pas, franchement, tout le monde m'a cassé du sucre sur le dos et j'en ai encore plein le dos, mais je n'en ai rien à battre. Il n'y a vraiment rien à battre, tu ne peux pas savoir. Moi, j'ai été commerçant 15 ans, mais si tu savais tout ce qu'on disait sur ma tête, il y a longtemps, j'aurais sauté du pont si j'ai quitté tout le monde. Mais je m'en bats. Mais franchement, vous devez faire pareil. Vous avez des objectifs, tracez tout droit, et si vous gâchez sur le côté, vous mettez des coups de latte, et ça repart sur le bas-côté. Et gardez tous ceux qui sont bons avec vous.

  • Speaker #1

    Restez focus sur vos objectifs. Restez focus sur vos objectifs, restez focus sur votre famille, vos proches et votre cercle. Et si votre cercle ne vous convient pas, on switch, on change de cercle. Aujourd'hui avec Instagram, avec les réseaux sociaux... Et puis là, on est en train de créer une communauté qui est vraiment dans l'entraide. Bientôt, on fera le nécessaire pour créer une rencontre. Et croyez-moi que vous allez tous y gagner.

  • Speaker #0

    Oui, et comme Médhi dit, il faut y aller pas à pas. Mettez-vous des petits objectifs.

  • Speaker #1

    Tout à fait.

  • Speaker #0

    Et vous allez voir que ça va venir tout seul. Et ce n'est pas grave si vous ne réussissez pas, mais au moins, vous avez essayé, puis vous recommencez, puis si ça ne refait pas, vous recommencez, puis ça marchera toujours. De toute manière, moi, je le dis toujours, et lui, il dit, c'est pareil, le travail paye. Quoi qu'il arrive, quand vous êtes sérieux, quand vous bossez et que vous êtes focus, le travail paye. À un moment donné, ça paiera toujours. Et croyez-moi, c'est vrai ce que je dis. Moi, mon père me l'a dit il y a des années, il y a 20 ans en arrière, il m'a dit, écoute, tu veux quelque chose, travaille, et un jour, ça paiera.

  • Speaker #1

    On est deux exemples.

  • Speaker #0

    Exactement. Et on n'est pas des warriors. Ne croyez pas qu'on est des warriors, on est comme vous. On a commencé, on n'avait rien. Et puis voilà, on fait notre vie. Et puis au fur et à mesure de votre vie, vous allez progresser, vous allez découvrir des choses, vous allez avoir de l'expérience. Et croyez-moi que si vous êtes focus,

  • Speaker #1

    ça va fonctionner. La dernière fois, on parlait avec un mec qui est connu sur les réseaux et on échangeait. Et nous, on est tout le temps tenus de chantier, on fait notre truc, etc. Et le mec, il a quand même plusieurs dizaines de milliers de followers. Donc, tu t'attends quand même que le gars, quand il cause, putain, mais mec, Nico, on lui met une pilule en termes de patrimoine. On l'explose. Et le gars, quand tu parles avec lui sur les réseaux, c'est le mec, il a plusieurs dizaines de milliers de followers. Et il est influenceur emo. Et toi, t'es là, tu te dis, putain... Alors moi, je vais parler pour moi. J'ai 260 abonnés. Merci à tous les amis. Et encore, dedans, il y a plein de... Il y a plein de... Ce que je veux dire, en fait, c'est que l'habit ne fait pas le moine, les amis.

  • Speaker #0

    Vous ne vous focalisez pas sur les... Il faut arrêter de croire que la vie est belle sur Insta.

  • Speaker #1

    Les gens qui font vraiment de l'oseille, ils ont pas le temps d'être dans le... paraître de Instagram. Bon, on va se mettre dans la merde. On va se mettre dans la merde. Belle parole, Nico.

  • Speaker #0

    Non, mais voilà, pour dire ne croyez pas tout ce qu'on vous dit. Nous, on est des gens... Exactement. Nous, on est des gens médias. On est des gens simples. On est comme vous.

  • Speaker #1

    On l'entoure.

  • Speaker #0

    Tout le monde peut réussir. Écoutez-moi, toutefois, vous me voyez dans la rue. J'ai un caillou ou un pavé tellement je sais pas.

  • Speaker #1

    Le mec qui ouvre une Kangoo.

  • Speaker #0

    Bref, moi tu me vois dans la rue, jeter des cailloux, donner un euro, tu vois. Et puis je m'en bats, je m'en bats à l'expect franchement de ce que les gens pensent, franchement. arrêtez de prendre pour contents ce que les gens disent de vous. Tracez, s'ils parlent de vous, c'est que ce ne sont pas des amis, ce ne sont pas des personnes que vous devez avoir dans votre cercle. Moi, tous mes potes… Les noix de snif,

  • Speaker #1

    bye bye. Perdez votre temps,

  • Speaker #0

    next. Moi, tous mes potes, ils me disent, allez, vas-y, c'est bien, il faut continuer. On s'encourage tous. C'est comme ça. Vous faites le tri au fur et à mesure des années. Mais tout le monde peut y arriver.

  • Speaker #1

    Sur ces belles paroles. Sur ces belles paroles.

  • Speaker #0

    Tu n'as pas envie que je m'obtene.

  • Speaker #1

    Non, parce que je ne veux pas qu'on se foute dans la merde non plus. Alors, les amis, encore merci pour la semaine dernière et pour les retours que vous nous avez faits. On vous souhaite une très bonne semaine. Et pour ceux, franchement, qui continuent de nous encourager, merci vraiment pour tout. N'hésitez pas à partager à vos proches les podcasts, parce que je pense qu'on délivre beaucoup de tips. Et pour tout ça, merci encore. Likez. partagez, si possible notez ah, Monico veut dire quelque chose ouais voilà,

  • Speaker #0

    là pour l'instant on fait des podcasts audio mais on va bientôt se mettre sur Youtube non non mais là aujourd'hui vous voyez pas mais il a fait déjà son sapin de Noël il est tombé, j'ai l'impression que il va descendre de la finale vive cette période là

  • Speaker #1

    Noël pour moi c'est une des meilleures périodes de la vie bah ouais mais là j'ai pas pu te filmer là bah ouais Tu as fait le message de bonne semaine à tous.

  • Speaker #0

    Exactement, les amis. Merci encore pour la force. Continuez à nous écouter. On remercie tout le monde parce que les audiences commencent à grimper. Franchement, ça fait plaisir. J'espère que ce podcast vous a plu. Comme d'habitude, vous mettez un 5 étoiles. J'ai vu qu'il y avait des gens qui avaient mis des 5 étoiles. Je vous en remercie beaucoup. Merci beaucoup. Sur un podcast, sur Spotify, sur toutes les plateformes, les commentaires, c'est top. N'hésitez pas surtout à partager et à en parler à vos amis. Et on se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau podcast. Et on vous dit bonne soirée, bonne journée.

  • Speaker #1

    Bye bye les amis.

Chapters

  • Introduction et présentation des hôtes

    00:00

  • Discussion sur la confiance en soi et son importance

    00:34

  • Les expériences personnelles de Niko et Mehdi

    01:52

  • Techniques pour renforcer la confiance en soi

    05:56

  • Conclusion et remerciements aux auditeurs

    01:00:30

Description

Dans cet épisode captivant de "Riche d'Expériences", Niko et Mehdi vous plongent au cœur d'un sujet essentiel : la confiance en soi. Souvent sous-estimée, la confiance en soi est pourtant la clé qui ouvre les portes de l'indépendance financière. À travers leurs expériences personnelles et professionnelles, nos deux animateurs vous offrent un éclairage unique sur la manière dont cette qualité peut être cultivée et renforcée. Ils partagent des stratégies concrètes et des objectifs clairs qui vous aideront à bâtir une confiance solide, indispensable pour avancer dans votre parcours financier.


Niko vous raconte avec authenticité son parcours, les défis qu'il a dû surmonter et comment ces épreuves l'ont forgé. Son histoire personnelle est une source d'inspiration, illustrant que chaque obstacle peut devenir une opportunité de croissance. De son côté, Mehdi aborde l'impact de l'éducation et des valeurs familiales sur la confiance en soi. Ensemble, ils soulignent l'importance de sortir de sa zone de confort, d'oser prendre des risques et de s'entourer de personnes positives qui vous élèvent.


Cet épisode est bien plus qu'une simple discussion ; c'est un véritable appel à l'action. Niko et Mehdi encouragent chaque auditeur à croire en lui-même et à passer à l'action. Ils partagent des conseils pratiques pour célébrer chaque petite victoire sur le chemin de l'indépendance financière. En effet, chaque pas compte, et il est crucial de reconnaître les progrès, même les plus modestes.


Les échecs, souvent perçus comme des freins, sont en réalité des étapes incontournables du processus d'apprentissage. Niko et Mehdi vous rappellent que chaque échec est une leçon précieuse qui vous rapproche de vos objectifs. Dans cet épisode, vous découvrirez comment transformer vos doutes en forces et comment faire de la confiance en soi un pilier de votre succès.


Ne manquez pas cette occasion d'enrichir votre parcours vers l'indépendance financière. "Riche d'Expériences" vous offre des clés pour renforcer votre confiance en vous et vous inciter à avancer. Que vous soyez entrepreneur, salarié ou simplement en quête de développement personnel, cet épisode est fait pour vous. Écoutez-le et laissez-vous inspirer par des histoires authentiques, des conseils pratiques et une vision positive de l'avenir. Ensemble, construisons une confiance en soi inébranlable, car c'est le premier pas vers la réalisation de vos rêves financiers.


Bienvenue sur "Riche d'expérience", le podcast qui vous ouvre les portes de la liberté financière, et bien plus encore. Chaque semaine, on vous livre des stratégies concrètes pour booster vos revenus et atteindre vos objectifs. Ici, pas de bla bla inutile, juste des conseils d'experts pour valoriser votre patrimoine, faire fructifier vos investissements, et transformer vos idées en succès. Vous entendrez aussi des témoignages inspirants de personnes comme vous, qui ont su partir de zéro pour bâtir un avenir solide.

Que vous cherchiez à arrondir vos fins de mois, à obtenir des conseils pratiques ou à puiser de l'inspiration, ce podcast est fait pour vous. Alors, préparez-vous à prendre en main votre destin financier.

Nous sommes Mehdi et Niko, deux entrepreneurs avec des parcours différents, mais un objectif commun : vous donner les clés pour réussir, avec un mindset de folie, des astuces concrètes et des solutions sans bullshit.





Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Riche d'expérience. Vous souhaitez vous enrichir en partant de zéro avec un salaire moyen et sans attendre 20 ans pour voir le résultat ? Vous êtes au bon endroit. Nous sommes Nico et Mehdi, deux entrepreneurs au parcours différent mais avec une vision commune, l'indépendance financière. Chaque jeudi, nous parlerons IMO, bourse et entrepreneuriat pour vous partager les stratégies et techniques qui auparavant étaient réservées à une élite. Avec nous, vous découvrirez comment débuter, même avec un petit budget, en ayant des astuces pour éviter les pièges, maximiser vos gains et apprendre à investir intelligemment, même si vous n'y connaissiez rien car nous sommes à votre image. Alors oubliez le mythe des années de galère, il est temps de passer à l'action et de construire enfin votre richesse. C'est parti pour l'épisode du jour. Yeah ! Alors Monico, quoi de neuf ?

  • Speaker #1

    Bah écoute, comme d'hab, toujours le taf. Toujours et toujours. Mais non, là c'est bien, on a passé un bon petit week-end. Bon,

  • Speaker #0

    qu'est-ce que t'as fait de beau alors ?

  • Speaker #1

    Écoute, qu'est-ce que j'ai fait de beau ? J'ai pas arrêté avec les ménages. Ouais,

  • Speaker #0

    c'est magnifique. Tu sais que, franchement, moi, je vais te dire un truc, tu vois, et il m'en fout s'il écoute. Mon frère, c'est une fédulogie, mec. On ne s'entend pas, mais c'est une fédulogie. Il est en galère, il travaille dans une déchetterie. C'était un mec qui gagnait 6-7 000 euros par mois. Et aujourd'hui, je lui dis, mais mec, monte une conciergerie. Et si tu ne veux pas monter de conciergerie, monte une boîte de ménage. Et en fait, il me dit non et tout. Tu sais, les faits, genre, c'est du taf de merde et tout. Mais mec, tu es doué pour ça. Fais-le, tu vois. Et je me pose...

  • Speaker #1

    Moi, je te dis, je suis maniaque.

  • Speaker #0

    Mais je ne me poserai même pas de questions. Tu es en galère, tu gagnes. Tu sais quoi ? Il a quitté une compagnie aérienne pour gagner. Aujourd'hui, il travaille dans une déchetterie, mec.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas dévalorisant, c'est bien aussi.

  • Speaker #0

    Mais non, on s'en fout. Le mec, il est doué pour un truc et il travaille pour un patron. En fait, c'est le thème du jour, la confiance en soi. On va en parler, tu vois. Le mec, en fait...

  • Speaker #1

    Mais oui, comme tu dis, ce week-end, j'ai passé mon week-end à ne pas faire des ménages tout le temps, mais j'ai fait trois jours de ménage sur les MC des pas arrivés, des pas arrivés, ça paraît.

  • Speaker #0

    Bon, voyons le positif. Tu prends du cash.

  • Speaker #1

    Oui, non, non. Après, je ne fais pas tout le ménage. J'aide parce que ça va plus vite et comme ça, les femmes de ménage prennent moins de temps, tu vois. Mais non, après, ça ne me dérange pas. Mais c'est vrai que faire ça tous les jours, sans compter un peu derrière, tu as tout le linge, tous les draps, les serviettes.

  • Speaker #0

    Après, ce qu'il faut se dire, c'est que ça fait partie du business. La LCD, les locations courte durée, sans le ménage, ben voilà quoi. Donc, le nerf de la guerre, c'est le ménage et le service. Donc, en même temps, le fait de... Bon, après, toi, c'est quand même une prestation qui est très standing. Déléguer la totalité par rapport au client que vous avez, par rapport au prix de l'annuité, on va dire que… C'est trop.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    c'est obligé. C'est trop. Et si, justement, aujourd'hui, tu arrives à être à ce niveau de performance, c'est parce que, justement, autant Noël, donc ton épouse que toi, vous avez un pied dedans. Exactement.

  • Speaker #1

    Et heureusement, parce qu'on a accueilli des charges très strictes au niveau du ménage. Voilà. rien traîne c'est pour ça que moi ça me dérange pas d'aller les aider tu vois je fais des cuisines moi les cuisines voilà moi je sais que les cuisines par poil qui prennent c'est nickel chrome mais bon voilà ça ça prend un peu de temps mais on était pas on n'a rien il ya des inconvénients et des avantages dans tous les domaines soit la lcd ou que ce soit dans le business que ce soit un salariat partout en fait tu vois tu as des avantages et des inconvénients bon après ça me gêne pas moi j'aime bien j'aime bien c'est pas dérangeant Mais voilà, ça m'a pris mon week-end, plus la vie de famille, plus tout ça.

  • Speaker #0

    Beau gosse.

  • Speaker #1

    Ça passe vite.

  • Speaker #0

    Beau gosse. Bon, est-ce que tu as d'autres choses à rajouter ? Nous faire partager, nous partager, pardon.

  • Speaker #1

    Déjà, je voudrais revenir sur le podcast de la semaine dernière. Encore, comme d'habitude, un grand merci à tout le monde. C'est vrai qu'on a de plus en plus de retours. Et merci à tous les auditeurs qui nous envoient des messages et qui commentent. C'est super gratifiant et ça nous donne encore plus envie d'aller encore un peu plus loin dans les podcasts et à vous apporter encore plus de valeur. Donc, un grand, grand merci.

  • Speaker #0

    Vraiment, merci beaucoup. Après, j'avoue, sur ce podcast-là, je me suis vraiment lâché. Donc, effectivement, ça peut ne pas plaire. C'est ça qu'on a eu.

  • Speaker #1

    On a eu pas heureux. J'ai eu plein de retours comme quoi tout le monde rigolait, tout le monde s'est bien marré. Ça donne un peu de bonne humeur, ça donne un peu de joie à l'auditeur. C'est quoi, évoluer comme ça ? Rigoler ? être dans la bonne humeur, on est sérieux quand il faut, mais on est là pour partager, on est là pour rigoler. On est comme ça.

  • Speaker #0

    Il y a eu des gens qui m'ont beaucoup rassuré, malgré qu'on a discuté avec Nico. On est comme ça, moi je suis comme ça et je ne suis pas prêt à changer. Au final, j'ai eu une période de doute de deux heures. Et au final... Ouais, voilà. Et au final... On est comme on est donc merci à tous pour votre soutien et puis merci beaucoup à toi Nico pour me soutenir au quotidien.

  • Speaker #1

    On est là pour se soutenir, on est là pour avancer et voilà je pense que au fur et à mesure du temps les podcasts vont s'améliorer, on n'est pas parfait, on fait en fonction de nous, on fait en fonction de notre envie voilà il faut le faire, on s'est lancé, on le fait. Et je pense que tu vois, le thème d'aujourd'hui sur la confiance en soi, ça passe par là. Parce que tu vois, moi, comme je t'avais dit et comme on en avait parlé sur le podcast, moi, j'ai toujours voulu faire un podcast. Ça me trottait depuis quelques mois, même presque une année. Et tu vois, c'est toujours l'appréhension de se lancer. Mais de quoi je vais parler ? Après, j'ai plein de choses à raconter. Mais tu vois, tu repousses toujours. Et alors, c'est peut-être un manque de confiance où tu te dis, bon, est-ce que je repousse toujours ? toujours ah bah je vais faire maintenant j'essaie tu as toujours un a toujours quelque chose qui fait que tu vas pas passer le cap tu vois ce que je veux dire et c'est vrai que ça passe un peu par là alors c'est pas que j'ai pas confiance en moi mais dans ce domaine là je connais pas c'est la première fois que tu vois comme toi et moi on fait des podcasts parler parler devant un micro à personne c'est vrai que c'est pas c'est pas donné à tous les c'est un peu compliqué c'est un métier un mine de rien mais c'est un métier

  • Speaker #0

    En faisant des recherches pour ce podcast, je suis tombé sur un docteur plutôt connu dans le monde de tout ce qui est neurologie, psychiatrie, etc. qui s'appelle Cyril Nuc, Boris Cyril Nuc. Et en fait, je vous invite vraiment à aller regarder. C'est quelqu'un qui est juif et qui en fait a été déporté à six ans. Excusez-moi si je dis des bêtises, mais en tout cas, toute sa famille a été quasiment décimée, sauf lui plus deux autres personnes. Et en fait, il explique comment il s'est relevé de ça, par la résilience et par sa passion sur le cerveau humain. Et du coup, pour tous ceux qui veulent comprendre les techniques pour remonter une confiance en soi, aujourd'hui, on va s'inspirer beaucoup de ses études. Et tu vois, Nico, il y a un truc qui est intéressant. entre nous, c'est que moi, tu vois, il y a des moments, plusieurs personnes sont venues me parler pour me demander comment on faisait tous les deux en termes d'état d'esprit. Pourquoi, en fait, pas forcément la confiance, mais pourquoi on continuait, on continuait, on continuait. Mais en fait, nous, on ne se pose pas de questions avec Nico. Et quand on se pose des questions, on appelle les bonnes personnes, soit lui, quand il a besoin, il m'appelle moi, ou moi, quand j'ai besoin, je l'appelle lui. Et en fait, on se remet les boosts. Et dans le podcast, vous allez voir qu'il y a des techniques qui font que s'entourer. Et ça, Delica, ça a été dit parce qu'il avait fait vraiment un merveilleux podcast sur l'entourage. En fait, juste l'entourage. Rappelez-vous, c'est quoi déjà ? C'est entourez-vous des cinq personnes qui vous ressemblent. Merde, je ne me rappelle plus. Tu vois, il y a un dicton. C'est du Mehdi, là.

  • Speaker #1

    C'est quoi ? C'est un truc comme ça. Voilà. Entourer des... Autour quoi des cinq personnes, la moyenne de tes cinq personnes ? Voilà. Un truc comme ça.

  • Speaker #0

    Si vous savez, mettez-le en commentaire, on en a besoin.

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Ils vont nous le mettre en commentaire, c'est bien. Bon, du coup, tu vois, par exemple, moi, la dernière semaine, j'ai eu beaucoup, beaucoup, beaucoup de galères. J'ai eu un mur de séparation entre une maison dans laquelle je suis en indivision avec deux personnes de ma famille qui s'est effondrée. J'ai voulu mener les négociations, on m'a interdit de les mener. Au final, j'avais tous les éléments pour pouvoir ne pas débourser un centime. Et la personne, enfin ma mère, a voulu mener les négociations. Au final, on se retrouve à payer 6 000 balles. J'ai eu dans une HCD un gros coup de chaud parce que je me suis dit qu'ils allaient me délèbrer mon truc. Donc je suis parti en mode warrior le matin. J'ai eu, enfin bref, j'ai eu le truc. Et en fait... ça continue quoi, la vie elle continue. Si à chaque fois que tu te manges des coups, tu t'arrêtes, et la transition sur le podcast d'aujourd'hui, la confiance en soi, si tu dis un truc tout simple, mais si tu dis je ne peux pas, je ne peux pas, en fait, bah oui, tu vas t'en convaincre. Alors que si tu essayes juste de dire je peux, je vais essayer, Tout de suite, en fait, ton état d'esprit, lui, il se met en mode on y va

  • Speaker #1

    En mode guerrier.

  • Speaker #0

    Mais bien sûr.

  • Speaker #1

    Et là-dessus, je te rejoins. C'est vrai que moi, tu vois, quand j'étais plus jeune, je ne savais pas trop ce que je voulais faire. Ce que je voulais, c'était réussir, gagner de l'argent. Moi, ma motivation, c'était l'argent. Je savais que… Je ne sais pas, franchement je ne pourrais pas te dire. J'ai toujours été motivé par l'argent, je le suis toujours. Et quand j'étais gamin, je me suis dit un jour que je serais riche. Je ne le suis pas encore.

  • Speaker #0

    Justement, ce qui est intéressant, c'est pourquoi riche ?

  • Speaker #1

    Je ne sais pas, écoute, si tu sais, j'aurais pu te dire, j'aurais voulu être pompier. Là, moi, c'était être footballeur et être riche. Pourquoi ? Je ne sais pas. Est-ce que c'est par rapport à ce que j'ai vécu étant petit ? Pourtant, je n'ai jamais manqué de rien. Moi, j'ai toujours bien vécu. On ne roulait pas sur l'or, mais voilà, mes parents vivaient très bien. J'ai toujours bien vécu, parti en vacances, manqué de rien. Mais je ne sais pas, j'ai toujours été attiré par l'argent. Quand j'étais petit, là, on a les applications, tu peux aller sur ton compte, tu peux savoir tout ce que tu as au niveau de ton sol, une bancaire, bref, tout. Et moi, quand j'étais gamin, mes parents m'ont ouvert la compte, je ne vais pas te dire à quel âge, mais je pense que ça devait être à l'adolescence. Et moi, je tenais un petit journal de bord de toutes mes dépenses et toutes mes rentrées. J'écrivais tout au jour prêt, t'imagines ?

  • Speaker #0

    C'est un truc de fou.

  • Speaker #1

    A 14, 15 filles. Donc, je savais tel montant. Et tu vois, pour savoir ce que tu avais comme solde dans ton compte, tu devais attendre tous les mois de recevoir ton revenu bancaire.

  • Speaker #0

    C'est clair.

  • Speaker #1

    Tu te rappelles de ça ?

  • Speaker #0

    Oui, carrément. Tu recevais le relevé.

  • Speaker #1

    Exactement. Et moi, tu sais quoi ? Au centime près, je savais combien j'avais. À n'importe quel temps du mois. Tu vois, pour te dire, tellement j'étais calibré au niveau des comptes, j'étais calibré de ouf. Et je ne sais pas, j'avais ce truc dans ma tête. Je ne savais pas quoi faire, comment, comment j'allais faire pour réussir. Et je savais que j'allais réussir.

  • Speaker #0

    C'est marrant. Parce que tu vois, en fait… C'est marrant. Oui, mais carrément. Parce que moi, je veux devenir riche. Mais juste pour avoir le choix et faire ce que je veux. En fait, c'est parce que je sais que le véhicule, l'argent, l'argent, c'est un véhicule pour moi. Et ça me permettra d'aller où je veux, quand je veux, de faire ce que je veux, au moment où je veux. Et on pourrait parler des origines de la confiance en soi, mec. D'après toi, en fait, même pour toi, à ton avis, les gens qui manquent de confiance en eux, ça vient d'où ? Est-ce que tu penses... Lâche-toi.

  • Speaker #1

    Je vais te donner mon exemple. Quand tu n'es pas... Quand tu n'es pas avec de la confiance en toi. Ce n'est pas inscrit dans tes gènes. Toi, tu vas avoir confiance. Toi, tu ne vas pas avoir confiance. Je pense que la confiance vient en fonction déjà de ton éducation. Par tes parents. Si tu as des parents aimants, si tu as des parents qui te... qui font tout pour toi, qui te montrent le chemin, qui sont là pour toi, qui ont de la bienveillance pour toi, ils vont t'apprendre les rudiments de la vie et tu vas avoir confiance. Pas à pas, tu vas prendre un peu confiance en toi. C'est les étapes de la vie, je pense. Et tu vas avoir d'autres personnes qui vont avoir un peu moins confiance en eux parce qu'ils ont eu une éducation qui a été un peu bancale, qui a été dure et pas d'amour. pas de déviance, donc tu reproduis un peu ça et du coup, les moindres choses que tu vas et que tu vas faire étant petit jusqu'à un certain âge, tu n'auras pas de... Comment t'expliquer ? Tu n'auras pas tes parents ou quelqu'un d'autre qui va te féliciter sur ce que tu as fait, que ce soit dans le sport, à l'école ou autre et du coup, tu n'as pas cette notion-là en fait. Tu ne sais pas ce qui est bon pour toi, ce qui n'est pas bon et ce qui est... Tu vois ce qui est bien, ce que tu as bien fait ou pas. Je pense qu'il y a deux zones.

  • Speaker #0

    Tu as visé juste parce que dans les trois quarts des études, les origines du manque de confiance en soi, ça vient de l'environnement familial. Alors, quand tu prends un environnement familial où tu as eu les parents qui ont été vraiment très portés sur la reconnaissance, c'est bien mon fils ou ma fille, peu importe. Dès l'enfance, on va voir que l'interaction avec les parents, si elle est positive, derrière, on a un terreau fertile pour que les gens aient confiance en eux. A l'inverse, si les gens sont trop surprotecteurs, l'enfant, vu qu'il n'a quasiment rien vécu avec les autres, parce que par exemple, moi, je vais te parler de mon éducation. C'est mon grand frère. Mes parents travaillaient tellement qu'en fait c'était mon grand frère qui m'élevait. Mais mon grand frère ça le saoulait. On a 14 ans de différence et lui il était prof de boxe taille. Donc les seules façons qu'il avait de communiquer avec moi c'était de me rabaisser. Et du coup moi étant petit en fait j'avais un gros manque de confiance en moi. Et arrivé à l'adolescence j'ai réussi à m'en sortir grâce à un truc. Est-ce que tu sais ce que c'est ?

  • Speaker #1

    Boxe taille.

  • Speaker #0

    disons qu'au niveau des sports de combat j'ai eu ce qu'il fallait oui si en fait c'est le sport parce que le sport en fait moi j'étais quelqu'un qui parlait pas quand j'étais petit et le sport vu que j'étais en toute humilité en toute modestie j'étais doué tu vois et ça m'a en fait quand je pratiquais le sport et que je voyais que j'étais bon en fait Autour de moi, on a commencé à me récompenser, à me dire c'est bien, etc. Et j'ai trouvé, en fait, je me suis réfugié dans le sport, mais à fond. Donc, je faisais plein de sports, etc. Et j'ai réussi à sortir de ma, à devenir, à avoir confiance en moi grâce au sport. Mais tu vois, moi, sur mes filles, il y en a une, en fait, la première, je l'ai surprotégée. Mais tellement surprotégée que, par exemple, on allait au parc. Dès que je voyais un enfant qui s'approchait d'elle, j'étais à deux pas d'elle. Et ça pendant très longtemps, elle était ultra timide, introvertie et en manque de confiance en elle. Et ça c'est ma responsabilité parce que c'est moi qui ne l'ai pas laissé vivre des expériences et son environnement en fait c'est moi qui l'ai flouté. Parce que...

  • Speaker #1

    Tu l'as un peu freiné par rapport à...

  • Speaker #0

    Ouais tout à fait.

  • Speaker #1

    Ah, par la peur que toi tu as par rapport à ce que ta fille peut avoir si tu... Si tu la laisses un peu trop, c'est ce qui est normal. On est tous protecteurs.

  • Speaker #0

    Tout à fait. Mais tu vois, après, il y a les premiers modèles pour les enfants et les ados. Les premiers modèles pour les enfants, c'est les parents. Si un enfant voit ses parents faire face aux épreuves, aux échecs, etc. de manière résiliente et toujours prendre les choses de façon positive et résoudre les problèmes. Plus tard, en fait, à plus de 80 ces enfants-là réussiront justement à avoir beaucoup plus de confiance en eux que d'autres qui sont dans un cadre familial très nocif, si je puis dire. Et du coup, le fait d'avoir une enfance pas agréable de ce point de vue-là peut créer, peut découler sur un gros manque de confiance en soi.

  • Speaker #1

    Oui, mais c'est ça. ça je l'entends bien et tu as raison là-dessus moi tu vois j'ai moi étant étant petit je sais pas que j'avais pas confiance en moi alors moi tu sais je faisais du foot j'ai fait du foot tu vois j'étais très bon au foot donc voilà tu avais la reconnaissance des autres la satisfaction tu vois ouais t'es bon joue là n'a ni passé la balle à nico il va marquer n'a ni même pas tout ça c'est vrai que ça me donne confiance après moi j'ai C'est vrai que moi, mes parents, mon père, je le voyais quasiment peu. Tu travaillais tellement. Je travaillais tellement, donc pas souvent là. Moi, j'ai le souvenir d'un père qui a charmé du travail. Je me suis charmé pour travailler, ma mère ne travaillait pas. Et elle a tout fait pour que nous, on se sente bien et qu'on ne manque de rien. Moi, j'avais cette image-là.

  • Speaker #0

    Est-ce qu'à un moment, tu en as voulu pour ça ?

  • Speaker #1

    Je pense, oui. Je pense que j'ai dû en vouloir. Alors, est-ce que c'est normal ou pas ? Je ne sais pas. Est-ce que tous les enfants d'un certain âge donnent contre leurs parents à un moment donné ? Je ne sais pas. Moi, je sais que pendant un moment donné, j'étais en rébellion contre eux.

  • Speaker #0

    À l'adolescence ?

  • Speaker #1

    À l'adolescence, oui. Alors, pourquoi ? Je ne pourrais pas te dire. Ce n'était pas une haine. C'était plus une… Je ne pourrais pas te dire. Je ne sais pas. Je pense qu'on passe tous par là à un moment donné. Moi, j'étais beaucoup dehors. J'ai beaucoup fait ma jeunesse dehors. Jamais chez moi. C'est vrai que quand tu es dehors et que tu es gamin, tu apprends beaucoup de choses. Tu vois des choses, tu t'as guéri, tu prends confiance parce que tu découvres la vie. C'est vrai que maintenant, à notre époque, moins les enfants sortent, mieux on se porte. Tu vois ce que je veux dire ? Avec tout ce qui se passe. On est vraiment très protecteur. Mais moi, j'avais cette facilité à découvrir les choses. Et c'est vrai que je ne sais pas que j'ai eu un manque de confiance, mais moi, j'avais du mal à m'exprimer devant beaucoup de monde. C'est-à-dire qu'avec mes potes, c'était très bien. Dès que j'étais en cours ou autre, il fallait s'exprimer à un exposé ou autre. J'avais beaucoup de mal. Très stressé et très... Pas confiance. Tu vois, j'avais vraiment pas confiance en moi à m'exprimer devant du monde.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu penses que...

  • Speaker #1

    Ça a pris du temps. Et ça a pris du temps avant que je passe ce cap-là.

  • Speaker #0

    Et justement, est-ce que tu penses que plus jeune, tu avais eu une interaction avec les autres, justement pour jouer dans la construction, tu vois, de toi ? quand tu étais à l'école, beaucoup plus jeune, est-ce que tu étais plutôt quelqu'un qui était introverti, tu ne parlais pas trop, ou tu pouvais justement échanger avec tout le monde ?

  • Speaker #1

    Non, moi je suis quelqu'un de... Je suis très sociable, moi je parle avec tout le monde.

  • Speaker #0

    Non, mais maintenant... Non,

  • Speaker #1

    mais même... En étant enfant, j'étais plus le perturbateur que le perturbé.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Donc là-dessus, il n'y avait pas de réel problème. ça peut être un problème aussi d'être comme ça, mais j'étais toujours actif, très actif. Mais j'avais quand même ce manque de confiance en moi, avec les autres. Est-ce que c'était peut-être pour ça que j'étais un peu actif ? Et en fait, ce cap-là a pris du temps à passer, a pris beaucoup de temps à passer. Et ça m'a traîné jusqu'au début de ma vie d'adulte. C'est un travail sur soi à faire.

  • Speaker #0

    En tout cas, tu vois, à l'adolescence, en faisant mes recherches, à la France Post 4, j'ai compris qu'à l'adolescence, c'était une grosse phase charnière, parce que c'est là que les enfants affirment leurs convictions. se retrouvent dans des boys bands, je ne sais pas comment on dit aujourd'hui, mais les k-pop et tout le machin, on veut adhérer à un groupe pour justement renforcer, trouver un sentiment d'appartenance, pour pouvoir se libérer du manque de confiance en soi. Le fait d'appartenir à une meute, à un groupe, fait que justement, tu te sens moins en danger. Et ça, c'est vraiment dans la phase d'adolescence. Et après, tu as les gens qui vont partir, commencer à continuer sur ce mode-là jusqu'au début de l'adulte, jusqu'à les 25, 30 ans. Et tu vois, je fais un parallèle avec l'immobilier. C'est pour ça qu'aujourd'hui, tu as des gens qui suivent des gourous d'Instagram, etc., qui leur font croire, parce qu'ils s'identifient à quelque chose qu'ils pensent ne jamais pouvoir être. dans le manque de confiance en soi, le rêve du paraître fait que toi, tu ne te sens pas capable, mais tu veux lui ressembler. Donc, en fait, tu t'identifies à lui. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire.

  • Speaker #1

    Si, je vois. De toute façon, tu le vois. Tu as beaucoup de vendeurs de rêves et tu as beaucoup de personnes qui s'identifient à eux, mais ils aimeraient bien, mais ils ne le font pas. Et ils restent quand même là, ils t'observent. Ils n'arrivent pas à passer ce cap-là parce que, comme tu dis, ils ont un manque de confiance pour passer le cap. C'est le parallèle de l'immobilier. Tu vas avoir des personnes qui vont passer à l'action et d'autres qui vont traîner de la pape parce qu'ils ont toujours… Ah ben non, j'ai un problème là. Ah ben, j'ai peut-être été sûr là, mais non, je ne peux pas. C'est trop tôt, il faut que je visite encore un peu plus. Tu vois, tu as deux mondes. Il faut déjà travailler sur soi avant de pouvoir avoir confiance. Il faut déjà s'estimer soi-même.

  • Speaker #0

    Mais tu vois, en fait, c'est bien ce que tu dis, parce que tu en as beaucoup qui veulent se comparer aux autres, mais qui ne se rendent pas compte qu'en fait, c'est important de penser à soi. Et il y a un truc qui me choque, moi, quand je vois à l'école, je parle beaucoup de l'enfance, parce qu'il y a énormément de problèmes qui viennent de là. Et après, on parlera de l'âge adulte. Mais tu vois, rappelle-toi, à l'école, à l'école, on te faisait voir uniquement les mauvaises choses. La prof, ou le prof, il te notait en rouge tout ce qui n'allait pas. Il allait entourer tout ce qui n'allait pas. On ne te mettait jamais en vert ce qui allait, tu vois. On te mettait juste une note, éventuellement, si tu étais au-dessus de 10. Et puis, tu vois, mais on est sur une fiche, sur une... en contrôle, quand tu récupérais ta feuille, tu voyais que du rouge.

  • Speaker #1

    Avec du rouge.

  • Speaker #0

    Exactement. Ouais, bon, alors moi, laisse tomber, mais toi...

  • Speaker #1

    Avec du rouge. On est tombés avec du rouge.

  • Speaker #0

    Mais en fait, là, alors je ne sais pas si c'est pas français ou pas, mais tu vois, moi, j'avais étudié, enfin, j'avais cherché des modes d'éducation, et par exemple, je posais... On était en train de faire l'étape de multiplication à mes filles. à ma dernière, Mélissa, et je lui pose, je ne sais pas, je lui dis 4x4, tu vois, et elle me donne un chiffre, mais qui a 4x4, au lieu de me dire 16, elle me dit 18, tu vois. Je lui dis, ben non, ce n'est pas ça. Et en fait, je regarde sur Internet et il y a des Québécois qui donnaient en fait leur technique et leur mode d'éducation. En fait, au Québec, quand tu vas demander 4x4 et l'enfant va te répondre un truc qui n'a rien à voir, ils vont dire, au lieu de dire non, ce n'est pas ça. ils vont te dire presque, continue, essaye et juste ce schéma là fait que l'enfant il ne se sent pas en échec, tu vois ce que je veux dire ou pas ? ça me rappelle mon enfance ah putain, elle est sauvée quand je faisais les dictées à chaque fois la prof me disait tu te rappelles, les dictées c'était de la meilleure note à la moins bonne note ou l'inverse, et moi je savais que je savais que si on commençait par les meilleures notes

  • Speaker #1

    je pouvais faire mes trucs j'étais le dernier tu vois j'avais tout le temps 0 donc j'avais 0 ou 4 tu vois 4 c'est ce que je faisais moi tu m'envoyais les bulletins tu sais tu t'envoies les bulletins où il fallait faire signer le devoir ou la dictée moi je faisais les bulletins sur mon père avec des 0 non mais oublie laisse tomber moi à l'école catastrophe pourtant je n'étais pas mauvais j'étais dans la moyenne mais catastrophe Tu peux te déchirer à chaque fois.

  • Speaker #0

    Moi, j'avais une technique à l'école. Premier trimestre, tranquille. Deuxième trimestre, bon, allez, on va commencer un petit peu à bosser. Et troisième trimestre, je déchirais tout. Juste pour pouvoir passer, tu vois. Ça a marché, sauf deux fois. Non, une fois, une fois. Ça a marché parce que j'ai réussi à esquiver. Ah ouais, non, mais il faut que je te raconte une anecdote. C'était obligé que ça allait par ton couille. C'était obligé, mec, c'était obligé. J'étais en cinquième. Et on me dit, ouais, bon, bah, au passage en quatrième, je voyais la classe de quatrième dans laquelle j'allais me retrouver. Et je me dis, j'étais un petit malin déjà à l'époque, et je me dis, putain, si je choisis italien, je vais me retrouver avec les intellos, mec. Donc moi, qu'est-ce que je fais ? Je choisis italien. Dans une classe, genre, ils faisaient allemand, italien, latin, machin et tout. Et moi, j'étais le cassos de la classe, mec. Mais j'avais esquivé tous les autres cassos. Et... Plusieurs fois dans ma vie scolaire, j'ai fait des petits trucs comme ça pour esquiver. Et à chaque fois, c'est passé, mec.

  • Speaker #1

    Ah, mais c'est clair. Tu as de la chance. Moi, je suis tombé à chaque fois dans les pires classes. Je préfère. Mais les pires, de la 6e à la 3e, les pires classes. Et dis-toi, attends, je vais te raconter un truc. J'arrive 3e, je fais la 3e. Moyen, tu vois, 10 de moyenne. C'est ce qui me sort. Bon, non, on va le faire redoubler. Attends, j'ai une bise de moyenne, je prends en seconde, tu vois, normal. Ils me disent non, tu vas redoubler. Je fasse le brevet, j'ai le brevet, on me fait redoubler. Mes parents, on leur dit, je vais redoubler votre fils. Qu'est-ce qu'ils disent ? Oui, mon fils, tu vas redoubler. Tu redoubles la troisième. Je sors de la troisième, je tiens de moyenne. Normal, tu redoubles. Easy. J'arrive en seconde. Je vais dans un lycée qui ne me plaît pas. Je me fous dans un truc technique. Rien à voir. Quand c'était, à l'époque, ça s'appelait STI. Je ne sais pas si tu te rappelles de ça.

  • Speaker #0

    C'est aussi industriel. Il y en avait des biens.

  • Speaker #1

    Il y avait des biens.

  • Speaker #0

    Il y avait des biens techniques.

  • Speaker #1

    Exactement. Je n'y fais pas. J'arrive en seconde.

  • Speaker #0

    Je tape des mauvaises notes. Bon, ma motion va vous faire redoubler. Je redouble ma seconde.

  • Speaker #1

    Ah, mais là, t'étais chaud, toi.

  • Speaker #0

    Je refais une deuxième seconde. Écoute,

  • Speaker #1

    j'arrive. Je me glace. Je me glace. Le mec à 30 ans de piste, il est au lycée encore.

  • Speaker #0

    Écoute, j'arrive en première. Je fais ma première. Tant bien que mal. Je suis un pote qui est dans une... Dans un lycée... Plus un lycée coupe-gorge. Laisse tomber, quoi. Bref. Tu peux pas parler au nana, sinon tu te faisais couper la gorge en sortant du lycée. Bref. Tu vois l'ambiance. J'arrive là-dedans, je fais la première, je passe en bac parce qu'il était espacé en terminale, normal, tu vois, il va te faire redoubler la première. Donc je passe en terminale, j'arrive au bac, bon bah déjà, j'ai pas le bac, je passe en rattrapage, j'ai pas le bac pour rattrapage, je pars le bac, j'arrive au bac, j'ai pas le bac. J'ai dit, vas-y, l'école, j'arrête, c'est pas pour moi. J'ai arrêté l'école.

  • Speaker #1

    Oh putain, mais ça aurait pu aller en BEP, mec. BEP 20.

  • Speaker #0

    Non, non, je voulais pas aller en BEP. Non, non, j'allais faire en BEP. Je savais pas ce que je voulais. Moi, je voulais tout.

  • Speaker #1

    Regarde, au final, tu travailles dans le bâtiment, mec.

  • Speaker #0

    Mais je voulais pas travailler dans le bâtiment, déjà, de base. Bref, écoute, il y avait pas un bon. Le bac, je l'ai pas eu de peu. Je le repasse à l'année prochaine. Et je valide que les... Je valide que les matières... J'ai eu la moyenne, je l'ai valide.

  • Speaker #1

    Ils ont été pas spiants avec toi.

  • Speaker #0

    Alors putain, laisse tomber. Il y a un bord, je te fais un résumé rapide. Et je me dis, bon, je le passe en candidat libre, normal. Je passe le bac à la fin de l'année. Donc je travaille, tu sais. Je fais quelques étapes, tu vois, toute l'année. Je reçois, je fais par le CNED. Je ne sais pas si tu te rappelles du CNED.

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr, à la maison. Voilà,

  • Speaker #0

    tu fais des études à la maison. Donc je reçois tous les cours. Je commence à travailler un peu. Tu connais, hein. Tu travailles un mois, tu lâches l'affaire.

  • Speaker #1

    Mec, c'est compliqué quand même.

  • Speaker #0

    C'est compliqué. J'arrive au bac, donc je m'assois pour le bac. Écoute, je fais toutes les épreuves. Reveloque, j'arrive au rattrapage. Il me manquait, mes frères, il me manquait 70 points. Je dis, oh là là, ça va être chaud. Ça va être chaud. Écoute, j'avais une matière, j'avais trois matières à rattraper. Et j'avais la matière l'écho droit. L'écho, je suis bon, tu vois. Je me suis dit, bon, tu es carré en écho, tu es fort. Et franchement, j'avais des bonnes notes. Mais bon, j'ai dû le repasser. J'arrive, je révise tout frère, tout tout tout. Il y a un truc que je n'avais pas révisé, je dis bon, c'est bon, ça passe à l'app. J'en ai tellement que tu vois quoi. J'arrive au bar avec la main, la meuf elle me dit le sujet, je dis ah putain, c'est tout que je n'ai pas révisé. J'étais, hé !

  • Speaker #1

    Elle n'a pas la peau. J'étais à noir. Regarde.

  • Speaker #0

    Hé, le chat noir, chat noir, qu'est-ce que je fais ? Je sors ma tchatche, et là tu vois, je commence à faire un peu le tchatcheur qui est limite en train de pleurer. l'examinatrice très sympa, elle me dit oui, mais qu'est-ce que vous voulez faire l'année prochaine ? Alors je lui explique, j'ai une école, j'ai ci, j'ai ça, et il me manque tant de points pour avoir le bac, ça fait la deuxième fois, j'ai 21 ans, vas-y, il faut y aller, donne-moi le bac. Elle fait quoi, elle a eu le pitié de moi, elle me dit, il vous manque combien de points ? Je dis, il me manque ça, je ne sais plus combien. Elle me dit, t'es quoi, elle m'a mis la note, je dis tiens, j'ai tout combien, elle m'a donné tous les points, j'ai eu mon bac, j'ai eu 10 000 frères.

  • Speaker #1

    Oh punaise !

  • Speaker #0

    Tu vois, j'ai plus gare.

  • Speaker #1

    Bon, recentrons le sujet sur la confiance en soi, malgré que cette anecdote soit vraiment respectée.

  • Speaker #0

    Écoute, ça passe un peu dans la confiance en soi.

  • Speaker #1

    Mais bien sûr. Tu sais que la confiance en soi, c'est comme un muscle, ça se travaille tout au long de sa vie.

  • Speaker #0

    Il y a des moments où... Tu sais que moi, comme je te disais, j'avais du mal à m'exprimer.

  • Speaker #1

    Vérité si je m'en mec.

  • Speaker #0

    Non, non, mais écoute, moi, j'avais du mal à m'exprimer devant beaucoup de monde. Tu vois, même pour les épreuves du bac, j'ai fait des études supérieures. Écoute, j'arrivais, j'étais en France. C'est quoi ? J'ai fait un blocage. Non, je ne pouvais pas. J'étais dans le mal. Écoute, à l'oral, j'avais peur de parler à l'oral.

  • Speaker #1

    C'est marrant,

  • Speaker #0

    ça. C'est fou. C'est un truc de dingue. En fait, ça se travaille et ça ne fait pas long. Ça fait quelques années que ça va mieux. D'accord. Et en fait, j'ai appris sur moi et j'ai appris à avoir confiance en moi quand j'ai commencé à travailler avec mon père. En fait, quand j'ai commencé à travailler, j'étais directement en Mille-Dans-Le-Bain. J'étais ouvrier, mais à côté de ça, je faisais tous les rendez-vous pour les gens.

  • Speaker #1

    Tu allais voir des gens, tu sortais de ta zone de confort et tu allais voir des gens.

  • Speaker #0

    Exactement. Et puis j'allais faire les zones. Donc au début, tu ne parles pas parce que tu ne connais pas trop, tu sais, tu es un petit vide. Et au fur et à mesure que tu côtoies les clients, des personnes, que tu bois du monde, que tu commences à t'ouvrir un peu plus.

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    Et c'est à partir de là que je me suis ouvert, tu sais, et que tu commences à prendre conscience que tu fais du bon travail. Et bien,

  • Speaker #1

    très bonne position, là. Et voilà,

  • Speaker #0

    les gens te... les gens te disent Ah, c'est bien ce que vous faites, vous travaillez bien. Et là, tu commences à prendre un petit peu plus de poids et tu te dis Bah ouais, en fait, je ne suis pas nul.

  • Speaker #1

    Et on va parler de comment renforcer sa confiance en soi et les techniques pour renforcer sa confiance en soi. Et tu vois, là, ce que tu viens d'évoquer, c'est magnifique parce qu'en fait, tu es sorti de ton confort, tu t'es mis dans une situation où, du coup, tu avais des objectifs et tu t'es défini des objectifs qui étaient réalisables. Tu n'es pas parti sur les trucs de ouf. Tu es parti en rendez-vous client. Les clients, tu n'avais pas le choix. Et petit à petit, en fait, tu as réussi à monter en skills, en compétences. Et la technique la plus facile, c'est l'affirmation positive. Tu vois ? L'affirmation positive, c'est tous les jours, plusieurs fois par jour, au lieu de dire, mais toi, en fait, toi... Il va falloir que tu t'encourages tout seul. Et ça, nous, avec Nico, on est très forts pour ça. En fait, tu vas te retrouver plusieurs fois dans l'année ou plusieurs fois par jour ou plusieurs fois par mois, etc. dans des situations un petit peu improbables où tu vas galérer. Et il n'y aura personne pour t'aider. Et c'est là qu'il va falloir que tu te répètes régulièrement des phrases positives et des encouragements, justement, pour que ton toit intérieur te dise Ok, on y va, on va réaliser ça. Et pour ça, en fait... il va falloir aussi que tu utilises la technique de la visualisation. En fait, te projeter, mais avec des objectifs qui sont réalisables. Si demain, avec Nico, moi j'ai 43, je dis ouais, je vais aller sur la Lune, à moins d'être blindé et de pouvoir payer Elon Musk, je crois que bon, c'est mort dans le film. Par contre, si je me dis...

  • Speaker #0

    Tu vas aller au Pond du Gérard ?

  • Speaker #1

    Je vais faire une fusée en carton. Au pire, tu vois, je peux devenir pilote d'avion. Déjà, tu vois, c'est pas mal. Je passe le PPL, il faut un petit peu d'ose. Mais non, mais voilà. En fait, tout est réalisable. La méditation, moi, perso, j'ai essayé. Ça ne marche pas sur moi, tu vois, me poser.

  • Speaker #0

    Ça ne marche pas de méditation ou de yoga. Oui,

  • Speaker #1

    voilà. Il y avait peut-être...

  • Speaker #0

    il y a peut-être des adeptes de yoga que je respecte.

  • Speaker #1

    Mais moi, ça ne va pas pour moi. Mais après, tu vois, des techniques comme yoga, ou excuse-moi, méditation, ou tenir un journal de gratitude, moi, franchement, tu vois, il y a un truc que je fais. La confiance en soi, pour moi, ça fait partie de la confiance. En fait, partout où je vais, je dis bonjour à tout le monde. Mais tout le monde, que ce soit une femme de ménage ou une directrice de ouf et tout. Je vais dire bonjour, je vais parler, comment ça va, etc. À tout le monde. Et il y a des gens qui ne s'attendent pas à ça, tu vois. Il y a des gens qui ne sont pas prêts.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, je suis d'accord avec toi. Et combien de personnes te répondent ? Sur 10 personnes.

  • Speaker #1

    Mais tout le monde. Moi, tout le monde me répond. Parce que je suis là,

  • Speaker #0

    je regarde. Moi, il ne répond pas. Il y a des gens, ils ne répondent pas. Ah ouais ? Tu leur dis bonjour, ils te regardent, ils ne répondent pas.

  • Speaker #1

    Moi, c'est... Par contre, attention, ce n'est pas genre je passe dans le dos, je dis bonjour, et voilà. Moi, je passe dans le dos, je dis bonjour, je regarde la personne dans les yeux, si je peux, etc. Comment ça va, etc. Par contre, j'ai une force, c'est que moi, je retiens les noms. J'ai une facilité. Après, c'est par mon passé. Je retiens les noms, que ce soit de la personne, des enfants, si je le sais, ou des époux. Je retiens ultra facilement et j'ai toujours un lien avec les gens. Et ça, systématiquement, on n'est plus dans la confiance en soi. Mais si je peux vous apporter ce petit tips là, retenez les noms de tous ceux que vous fréquentez, parce que tu vas les revoir dans un mois, tu sors juste un petit prénom, peu importe, c'est le chien, un enfant, la tante, le cousin, machin et tout, ils vont faire un pas en arrière, en fait, ah ouais, putain, lui il me connaît, il s'intéresse à moi. Et tout de suite, boum, tu peux rentrer en négociation si besoin ou quoi. Tu sais, moi je suis dans la merde avec ça,

  • Speaker #0

    j'arrive pas à retenir les noms des gens.

  • Speaker #1

    Tu en sais autre chose !

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, j'ai une très bonne mémoire, je me rappelle de ton visage, de tout.

  • Speaker #1

    Tu me sors une anecdote !

  • Speaker #0

    Non mais moi je dis, écoute, j'ai du mal à retenir les prénoms, rappelle-moi ton prénom. Moi je suis honnête, je préfère dire écoute, rappelle-moi ton prénom, je ne me rappelle plus. Et ce n'est pas un manque de respect, c'est juste que tu es du mal à retenir les prénoms. Tu vois, là, on a fait un peu le séminaire, enfin le séminaire, mais l'apéro avec...

  • Speaker #1

    Oui bien sûr.

  • Speaker #0

    J'ai vu tout le monde, on a vu tout le monde, tout le monde m'a dit son prénom. Il n'y en a aucun qui va se tenir.

  • Speaker #1

    Oui, mais après,

  • Speaker #0

    c'est pas... Après, je fais des essais.

  • Speaker #1

    Voilà, mais c'est pas trop méchant.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est pas méchant, c'est pour dire. Mais moi, tu vois, maintenant, j'ai tendance à parler avec les gens. Tu vois, je parle avec des gens dans la rue. Il y a beaucoup de personnes qui te regardent, mais genre tu leur dis bonjour, c'est comme si tu les avais insultés. Genre, ce n'est pas normal. Je trouve qu'en France, on a du mal à cohabiter, enfin pas à cohabiter, mais tu vois, se dire bonjour, normalement, ça devrait être normal, mais ce n'est pas normal. Bien sûr. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    On a une mentalité un peu bizarre. Là-dessus, c'est un peu bizarre. Mais bon.

  • Speaker #1

    La base de tout, les amis, il faut sortir de sa zone de confort. Franchement, il faut vraiment aller vous confronter à de nouvelles situations parce que sortir de sa zone de confort et aller sur des défis que de base vous n'alliez pas réaliser, ça va vous montrer que vous êtes capable de faire quelque chose, capable de faire du sport, capable de faire... Vous trouverez ça, on ne s'inquiète pas. Tout à l'heure, je parlais d'entourage. Mais mec, c'est la base, quoi. La base. Si tu appelles des gens et que ces gens-là, ils sont tous négatifs, mais tu vas être dans un mood négatif. Par contre, si tu appelles des potes, que ce soit des nanas ou des mecs, et que tout le monde est dans le positif et tout le monde a envie d'aller toucher la lune, c'est obligé que tu vas toucher la lune. Par contre, si tu es là...

  • Speaker #0

    C'est clair. C'est clair.

  • Speaker #1

    Eh oui. Si tu es là à fréquenter des gens qui sont tout le temps découverts, qui sont en train de fumer le bédo ou boire des bières, jouer à la PlayStation et que ça leur convient, tant mieux. Esquive, sors de ce cercle. Va dans un cercle où juste rien n'est.

  • Speaker #0

    C'est bien ce que tu dis parce que j'ai une anecdote là-dessus. Quand j'étais plus jeune, entre 17 et 20 ans, j'ai toujours vécu, j'ai rendu dans un petit village et j'étais une bonne de potes, une quinzaine, vingtaine de potes, que des mecs. On entraînait toujours ensemble, les soirées, tu connais, entre potes, à refaire le monde, à boire un petit coup, là ça fumait, enfin bref. Et tu fais toujours la même chose. Et moi, tu vois, moi je suis quelqu'un de… j'ai envie de m'ouvrir sur l'extérieur, tu vois, j'avais envie de découvrir le monde. Moi à cet âge-là, il fallait que je bouge, il fallait que j'aille à Paris, tout ça. Donc tu vois, j'avais ces potes-là qui voulaient toujours rester au même endroit et faire les mêmes choses de 15 piges à 25 piges. Et moi, tu vois, j'avais des moments avec eux, mais j'avais des moments...

  • Speaker #1

    Ils ne voulaient pas voir pas.

  • Speaker #0

    Oui, et puis ils ne voulaient pas faire autre chose. Je te dis, il fallait que je bouge, il fallait que je voie du monde, il fallait que je m'amuse. Et en fait, moi, tu vois, j'ai toujours fait du foot. Donc, j'avais des potes de foot et des très bons potes aussi avec qui je sortais. J'avais mes potes d'enfance et j'avais mes potes de foot et j'avais des potes de sortie.

  • Speaker #1

    Et tu vois,

  • Speaker #0

    quand j'allais dans différents cercles, tu vois, quand je sortais avec mes potes d'enfance... C'était toujours moi qui devais faire le premier pas, organiser les choses, réserver pour tout le monde. Je faisais tout pour tout le monde. Je me disais, putain, à un moment donné, j'en avais marre. Il y avait un mois de problème, c'était toujours à moi de le régler tout le temps. Et quand tu commences à sortir de ce confort avec des amis proches et que tu vas voir un autre cercle, écoute, moi je l'ai vu tout de suite. Je suis parti avec d'autres amis pour des soirées. j'avais pas besoin de négocier tout était nickel les autres faisaient ils faisaient le taf à ma place et quand tu te rends compte tu dis mais en fait je suis pas tout seul il ya d'autres mecs comme moi tu vois et moi ça va mais moi ce cette première phase comme ça que j'ai vécu ça m'avait marqué je pars en soirée avec des potes amants que je lag mais qui rentre nulle part obligé de leur dire de comment s'habiller pour les gars faut s'habiller comme ça ces soirées privées dans des beaux endroits à paris resté calme, souriant et j'avais ramené un autre pote à moi d'un autre cercle. Je lui dis bon vas-y viens, il y a une bonne soirée. Ecoute on arrive là-bas, qu'est-ce qui se passe ? Bon vous les gars vous rentrez pas vous êtes localés. Et mon autre pote il arrive, non mais vous savez voilà on est sur invitation, il commence à tchatcher, il sort sa tchac. Regardez nan mais, comme une lettre à la poste, allez les gars on rentre tous. Et tu vois j'ai ouvert les yeux, tu vois à ce moment là j'ai ouvert les yeux, je dis putain je suis pas tout seul. Faut que voilà. Il faut que je m'engouffre là-dedans. Et après, tu rencontres d'autres personnes qui sont comme toi, qui ont les mêmes envies, les mêmes objectifs. Et c'est vrai que pour avoir confiance en soi et l'estime de soi, déjà, il faut se donner des objectifs et les faire pas à pas.

  • Speaker #1

    Pas des petits objectifs.

  • Speaker #0

    Des petits objectifs.

  • Speaker #1

    C'est une méthode, ça. La méthode des pas à pas. Quand tu as un gros objectif, il faut y aller. En fait, tu vas décomposer et tu vas faire des petits objectifs. Par exemple, si tu te dis, je fais 100 000 euros de chiffre d'affaires l'année prochaine, tu vas décomposer par mois, par semaine, etc. Et du coup, tu vas te mettre en place une stratégie. Mais c'est une très bonne technique, ça.

  • Speaker #0

    J'ai toujours marché comme ça. Comme je t'ai dit quand j'étais gamin, je voulais gagner de l'argent, je voulais être footballeur. Je n'ai pas été footballeur. Je gagne ma vie. Je vais aller là où je veux aller. Mais j'ai toujours eu des objectifs. Quand j'ai commencé à travailler, et pourtant je n'ai pas bossé dans le bâtiment, je suis rentré là-dedans et j'ai vu qu'on pouvait faire de l'oseille. Je me suis dit, la prochaine étape, c'est d'acheter. Je commence à bosser, on va commencer à acheter un petit truc. j'ai acheté un petit truc. Après, j'ai grossi un petit peu. Je me suis dit, tiens, à 30 ans, comme tout le monde, à 30 ans, tu as ta Porsche, et puis tu seras content, tu gagneras tant. Je me suis dit, tiens, à 30 ans, tu seras comme ça. Je n'ai pas eu la Porsche, ce n'est pas grave.

  • Speaker #1

    J'avais d'autres choses. C'est juste décalé.

  • Speaker #0

    C'est juste décalé. Après,

  • Speaker #1

    c'est du matériel.

  • Speaker #0

    Je n'avais pas ça, mais j'avais plein d'autres biens à côté. Donc tu vois, je préfère avoir mes biens que ma voiture.

  • Speaker #1

    Attends, il faut que je raconte une anecdote. Tu sais, il y a quelques années, j'ai fait coach sportif à côté de mon travail. Je faisais, j'avais repris mes, pour ceux qui connaissent, un CQP. Après, j'ai passé un BPGEPS, activité de la forme. Et j'ai commencé à travailler dans des salles en banlieue. Ça me saoulait un peu, tu vois, parce que la clientèle, elle était vraiment top. Mais en fait, moi, je voulais gagner un peu d'oseille. Et donc, je me suis rendu dans le centre de Paris, dans des salles un peu stylées. Au début, je faisais des remplacements et très rapidement, mais vraiment, je faisais un essai, je mettais le feu. Et on me disait, vas-y, on aimerait bien te prendre. Alors, j'étais auto-entrepreneur. On aimerait bien te prendre. Alors, je ne te raconte même pas parce que je bossais conducteur de métro à l'époque. Et à côté, j'étais coach sportif, je donnais des cours collectifs. Et très rapidement, j'ai eu un carnet. J'étais booké sur plusieurs grosses salles dans Paris, des salles chic. Et je suis commencé à donner des cours particuliers. Et en fait, moi, j'ai jamais eu... J'avais les abdos, mais ils n'étaient pas saillants. J'ai jamais été physiquement... Même quand j'étais dans l'armée, j'ai toujours été sec, mais genre pas ouf. Et j'avais des collègues. Donc, des autres coachs sportifs qui étaient des monstres physiques. Et moi, en fait, j'étais celui qui prenait le plus d'oseille. Et on m'a demandé comment je faisais. Et j'ai mis du temps avant de réaliser. En fait, j'étais très fort sur un truc. C'est que mes clients, ils me choisissaient moi. Et en fait, à chaque séance, ils ressortaient. L'état d'esprit était boosté à 2 milliards de pourcents. Et ils avaient pris... j'allais voir certains 2-3 fois par semaine et en fait ils me demandaient de revenir parce que en fait le sport ça dégage à la fin de la séance de sport t'as des endorphines qui vont te faire sentir trop bien mais si en plus de ça t'as un coach qui est là et qui te fait comprendre en fait que t'es pas une merde et que tes objectifs si t'es gros et que tu peux devenir mince mais que en passant de gros à mince ça va prendre du temps mais que le chemin il est magnifique et qu'à chaque séance en fait il te fait penser que t'es le meilleur, en fait, la confiance en soi, elle remonte. Et ça, c'était mon secret, en fait. Et quand je te dis prendre beaucoup d'oseille, j'ai pris beaucoup, beaucoup, beaucoup d'oseille, mec. Et j'étais pas le plus beau. Mais juste parce qu'en fait, en termes de parole, les clients, ils ressortaient, ils avaient la banane, ils étaient boostés. En fait, moi, je faisais mon business. Le problème, c'est que j'ai arrêté parce que l'énergie que je leur donnais, ils me la pompaient, tu vois. Il me l'a pompé.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi ? Par exemple, ça pompe énormément. Et ce que tu racontes, c'est bien parce que moi, je ne l'ai pas vécu dans le sport, mais quand j'avais les boutiques, c'est pareil. Moi, j'ai appris à avoir confiance en moi, à faire de la vente. Et ce n'est pas évident de faire de la vente, d'être un bon vendeur. Moi, j'ai appris ça grâce à ma femme parce que c'est une très bonne vendeuse. Et elle m'a appris toutes les techniques. Et en fait, pour être vendeur, il faut que tu aies la fibre. Si tu n'as pas la fibre de parler et de donner du bonheur aux gens,

  • Speaker #1

    il faut que tu la fasses avoir. Soyez fier de vous, bon sang. Arrêtez de regarder les choses négatives. Pensez vraiment. Allez, là, on fait du Mehdi, il n'y a plus de feuilles, il n'y a plus de notes. On fait du Mehdi et du Nico, c'est parti. Il n'y a pas de cas de fin de chaîne.

  • Speaker #0

    Ce que je veux dire, c'est que moi, je donnais… Je donnais du bonheur aux gens quand je vendais des vêtements. En fait, tu venais chez moi, je vendais du rêve.

  • Speaker #1

    Tu es en kiff.

  • Speaker #0

    Il sortait en kiff et il passait un très bonbon. Et en fait, tu vois, moi, je considérais mon travail comme une pièce théâtrale. Tu vois ce que je veux dire ? Tu rentrais chez moi, il y avait du show. Et pour en arriver là, ça a pris du temps et j'ai dû travailler pour moi.

  • Speaker #1

    Mais non,

  • Speaker #0

    je te l'ai vu. Et pour te dire, la première fois que j'ai ouvert ma première boutique et que j'ai vendu un produit, j'étais en stress, mais tu ne pouvais pas savoir. Limite, je dégayais devant le client. Et en fait, il faut y aller étape par étape, se faire confiance, avoir confiance en soi et ne pas avoir peur. Et on va faire des erreurs. On va en faire,

  • Speaker #1

    j'en ai fait.

  • Speaker #0

    On apprend de ses erreurs et on va de l'avant. Et puis, on va voir.

  • Speaker #1

    La base,

  • Speaker #0

    bien sûr. Et toujours avoir un mindset de focus. Et moi, j'étais focus. Et tu rentrais chez moi. Et frère, moi, c'était le spectacle. Je te gérais trois, quatre clients.

  • Speaker #1

    Magnifique.

  • Speaker #0

    Et tu peux être sûr, je gagnais de l'oseille et je faisais des très bons paniers. Et les gens revenaient pour moi. Et les gens revenaient pour ma femme parce qu'on délivrait un, entre guillemets, un spectacle. Oui. Les gens te disent. Et les gens me disaient, non, on ne va pas chez l'élixir, on va chez Nico. On va chez Noël. Et quand ils te disent ça, c'est qu'en fait, ils ne viennent que pour toi. Et ça, ça prend du temps. Et comme on disait, il y a beaucoup d'étapes. Pas à pas, vous allez apprendre à avoir confiance en soi. Il faut avoir l'estime de soi. Chaque petite victoire, il faut se féliciter. Et vous allez voir, au fur et à mesure du temps, ça va progresser. Oui, mais l'échec... Il faut pas avoir peur de l'échec, exactement. L'échec n'est pas une échec. L'échec n'est pas un échec. Tu vois ce que je veux dire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    Et moi, j'en ai eu des échecs. Des fois, j'ai fait de la merde. Et bien, écoute, tu fais de la merde.

  • Speaker #1

    Mais t'as appris.

  • Speaker #0

    Et puis tu continues. Et puis t'apprends. Et puis voilà. Tu te recasses la gueule. Et bien, tu rapprends. Et puis tu te relèves. Et en fait, on est... On est vraiment meilleur que quand on a le dos au mur. Tu vois ?

  • Speaker #1

    Quand on a le dos au mur. Attends, je vais donner une citation. Et c'est Eleonore Roosevelt, tu vois ? Personne ne peut vous faire vous sentir inférieur sans votre consentement. Prenez le contrôle de votre vie, cultivez votre confiance en vous et atteignez vos objectifs. Putain, c'est une meuf. Son gars, il est dead, mec. Et elle te sort ça. Ah,

  • Speaker #0

    c'est beau.

  • Speaker #1

    Tu vois ? C'est beau. Bon, après, je ne vais pas lire. Mais ce que je veux dire, c'est faites-vous confiance, bougez-vous le cul et arrêtez de croire, arrêtez de regarder des choses qui sont fausses. Bordel de merde, putain, faites, mettez-vous en marche. Aujourd'hui, là, vous avez Nico et Mehdi qui sont là pour vous délivrer du mindset, du gros mindset. Et franchement, nous, on a plein de questions. de plusieurs auditeurs et qui rentrent dans notre cercle, justement, pour nous demander des choses. Mais vous avez toutes les compétences nécessaires pour justement exploser. Vous croyez que nous, on est des surhommes ? Nous, en fait, on est juste des gens qui passent à l'action. Parce que, alors moi, la dernière fois, on me demandait de faire des fichiers Excel, etc. Mec, moi, je suis encore à la feuille de papier avec le stylo. Mais je suis dans l'action. Je suis dans l'action. Donc aujourd'hui, ça va, Virginia, elle est en train de m'apprendre à faire des fiches Excel. C'est vrai que c'est de la bombe. Mais en fait, moi, je suis dans l'opérationnel. Et j'ai toujours été comme ça. Action. Et j'adore en fait l'expression qui dit qu'un intelligent qui a son cul sur sa chaise fait moins qu'un con qui est dans l'action. Et en fait, moi, c'est ça. J'apprends sur le terrain. Je ne suis pas là à étudier des bouquins, des choses qui sont irréalisables, etc. Surtout qu'en plus, les trois quarts, vous avez tous les connaissances nécessaires pour être dans votre domaine. Qu'est-ce que vous vous attendez, merde ? Bougez-vous le cul !

  • Speaker #0

    Là-dessus, je te rejoins. Il ne faut pas avoir peur. Il faut se lancer.

  • Speaker #1

    Le regard des autres, on s'en tape.

  • Speaker #0

    Non, mais il ne faut pas avoir peur de se lancer, que ce soit dans la vie. tous les jours dans le business ou mobilier ou autre voilà ça vous aidera partout et au fur et à mesure du temps vous allez prendre conscience que la confiance en soi permet déjà d'être moralement déjà d'être mieux moralement et autour de vous vous avez vous sauve les personnes vont vous sentir mieux et faut y aller pour voilà vous mettre des objectifs moi j'ai toujours moi je marche à la carotte moi j'ai toujours marché à la carotte je les suis toujours des objectifs et que je les atteigne ou pas, quoi qu'il arrive, c'est le chemin qui va faire que vous allez progresser, même si vous n'atteignez pas votre objectif, donnez-vous-en. vous allez voir que vous allez progresser et vous allez avoir le meilleur style de vous. Et la confiance en soi arrivera naturellement. Et moi, c'est ce qui s'est passé. Au fur et à mesure des années, j'ai pris beaucoup de confiance en moi. Alors, pas trop d'excès de zèle non plus, mais voilà, confiance en soi, c'est en fonction de chacun.

  • Speaker #1

    Mais bien sûr, il y a des moments où on a des super hauts, c'est comme ça, c'est la vie. Non, après,

  • Speaker #0

    tout le monde,

  • Speaker #1

    entourez-vous. Il y a le ying et le yang. Entourez-vous, les amis.

  • Speaker #0

    Exactement. Et avec l'expérience, moi, je le vois maintenant, j'ai 43 ans. Franchement, les petites futilités du quotidien, franchement, ça me passe au-dessus. Mais comme vous ne pouvez pas savoir, et j'en ai parlé avec Mehdi Lannarpox, Mehdi est quand même assez impulsif. Il dégaine rapidement. Donc, je lui dis, laisse tomber. Franchement, moi, dans la rue, tu me croises, tu m'insultes. Je te regarde et je trace mon chemin. Je n'en ai rien à faire. C'est quoi ? Je n'en ai plus rien à foutre des gens. Tu vois, si par exemple, toi, tu commences à m'insulter, voilà, ça va me toucher. Parce qu'on est amis, on est potes,

  • Speaker #1

    on est héros.

  • Speaker #0

    Non, mais c'est pour te dire. Moi, les personnes que je ne connais pas, franchement, tout le monde m'a cassé du sucre sur le dos et j'en ai encore plein le dos, mais je n'en ai rien à battre. Il n'y a vraiment rien à battre, tu ne peux pas savoir. Moi, j'ai été commerçant 15 ans, mais si tu savais tout ce qu'on disait sur ma tête, il y a longtemps, j'aurais sauté du pont si j'ai quitté tout le monde. Mais je m'en bats. Mais franchement, vous devez faire pareil. Vous avez des objectifs, tracez tout droit, et si vous gâchez sur le côté, vous mettez des coups de latte, et ça repart sur le bas-côté. Et gardez tous ceux qui sont bons avec vous.

  • Speaker #1

    Restez focus sur vos objectifs. Restez focus sur vos objectifs, restez focus sur votre famille, vos proches et votre cercle. Et si votre cercle ne vous convient pas, on switch, on change de cercle. Aujourd'hui avec Instagram, avec les réseaux sociaux... Et puis là, on est en train de créer une communauté qui est vraiment dans l'entraide. Bientôt, on fera le nécessaire pour créer une rencontre. Et croyez-moi que vous allez tous y gagner.

  • Speaker #0

    Oui, et comme Médhi dit, il faut y aller pas à pas. Mettez-vous des petits objectifs.

  • Speaker #1

    Tout à fait.

  • Speaker #0

    Et vous allez voir que ça va venir tout seul. Et ce n'est pas grave si vous ne réussissez pas, mais au moins, vous avez essayé, puis vous recommencez, puis si ça ne refait pas, vous recommencez, puis ça marchera toujours. De toute manière, moi, je le dis toujours, et lui, il dit, c'est pareil, le travail paye. Quoi qu'il arrive, quand vous êtes sérieux, quand vous bossez et que vous êtes focus, le travail paye. À un moment donné, ça paiera toujours. Et croyez-moi, c'est vrai ce que je dis. Moi, mon père me l'a dit il y a des années, il y a 20 ans en arrière, il m'a dit, écoute, tu veux quelque chose, travaille, et un jour, ça paiera.

  • Speaker #1

    On est deux exemples.

  • Speaker #0

    Exactement. Et on n'est pas des warriors. Ne croyez pas qu'on est des warriors, on est comme vous. On a commencé, on n'avait rien. Et puis voilà, on fait notre vie. Et puis au fur et à mesure de votre vie, vous allez progresser, vous allez découvrir des choses, vous allez avoir de l'expérience. Et croyez-moi que si vous êtes focus,

  • Speaker #1

    ça va fonctionner. La dernière fois, on parlait avec un mec qui est connu sur les réseaux et on échangeait. Et nous, on est tout le temps tenus de chantier, on fait notre truc, etc. Et le mec, il a quand même plusieurs dizaines de milliers de followers. Donc, tu t'attends quand même que le gars, quand il cause, putain, mais mec, Nico, on lui met une pilule en termes de patrimoine. On l'explose. Et le gars, quand tu parles avec lui sur les réseaux, c'est le mec, il a plusieurs dizaines de milliers de followers. Et il est influenceur emo. Et toi, t'es là, tu te dis, putain... Alors moi, je vais parler pour moi. J'ai 260 abonnés. Merci à tous les amis. Et encore, dedans, il y a plein de... Il y a plein de... Ce que je veux dire, en fait, c'est que l'habit ne fait pas le moine, les amis.

  • Speaker #0

    Vous ne vous focalisez pas sur les... Il faut arrêter de croire que la vie est belle sur Insta.

  • Speaker #1

    Les gens qui font vraiment de l'oseille, ils ont pas le temps d'être dans le... paraître de Instagram. Bon, on va se mettre dans la merde. On va se mettre dans la merde. Belle parole, Nico.

  • Speaker #0

    Non, mais voilà, pour dire ne croyez pas tout ce qu'on vous dit. Nous, on est des gens... Exactement. Nous, on est des gens médias. On est des gens simples. On est comme vous.

  • Speaker #1

    On l'entoure.

  • Speaker #0

    Tout le monde peut réussir. Écoutez-moi, toutefois, vous me voyez dans la rue. J'ai un caillou ou un pavé tellement je sais pas.

  • Speaker #1

    Le mec qui ouvre une Kangoo.

  • Speaker #0

    Bref, moi tu me vois dans la rue, jeter des cailloux, donner un euro, tu vois. Et puis je m'en bats, je m'en bats à l'expect franchement de ce que les gens pensent, franchement. arrêtez de prendre pour contents ce que les gens disent de vous. Tracez, s'ils parlent de vous, c'est que ce ne sont pas des amis, ce ne sont pas des personnes que vous devez avoir dans votre cercle. Moi, tous mes potes… Les noix de snif,

  • Speaker #1

    bye bye. Perdez votre temps,

  • Speaker #0

    next. Moi, tous mes potes, ils me disent, allez, vas-y, c'est bien, il faut continuer. On s'encourage tous. C'est comme ça. Vous faites le tri au fur et à mesure des années. Mais tout le monde peut y arriver.

  • Speaker #1

    Sur ces belles paroles. Sur ces belles paroles.

  • Speaker #0

    Tu n'as pas envie que je m'obtene.

  • Speaker #1

    Non, parce que je ne veux pas qu'on se foute dans la merde non plus. Alors, les amis, encore merci pour la semaine dernière et pour les retours que vous nous avez faits. On vous souhaite une très bonne semaine. Et pour ceux, franchement, qui continuent de nous encourager, merci vraiment pour tout. N'hésitez pas à partager à vos proches les podcasts, parce que je pense qu'on délivre beaucoup de tips. Et pour tout ça, merci encore. Likez. partagez, si possible notez ah, Monico veut dire quelque chose ouais voilà,

  • Speaker #0

    là pour l'instant on fait des podcasts audio mais on va bientôt se mettre sur Youtube non non mais là aujourd'hui vous voyez pas mais il a fait déjà son sapin de Noël il est tombé, j'ai l'impression que il va descendre de la finale vive cette période là

  • Speaker #1

    Noël pour moi c'est une des meilleures périodes de la vie bah ouais mais là j'ai pas pu te filmer là bah ouais Tu as fait le message de bonne semaine à tous.

  • Speaker #0

    Exactement, les amis. Merci encore pour la force. Continuez à nous écouter. On remercie tout le monde parce que les audiences commencent à grimper. Franchement, ça fait plaisir. J'espère que ce podcast vous a plu. Comme d'habitude, vous mettez un 5 étoiles. J'ai vu qu'il y avait des gens qui avaient mis des 5 étoiles. Je vous en remercie beaucoup. Merci beaucoup. Sur un podcast, sur Spotify, sur toutes les plateformes, les commentaires, c'est top. N'hésitez pas surtout à partager et à en parler à vos amis. Et on se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau podcast. Et on vous dit bonne soirée, bonne journée.

  • Speaker #1

    Bye bye les amis.

Chapters

  • Introduction et présentation des hôtes

    00:00

  • Discussion sur la confiance en soi et son importance

    00:34

  • Les expériences personnelles de Niko et Mehdi

    01:52

  • Techniques pour renforcer la confiance en soi

    05:56

  • Conclusion et remerciements aux auditeurs

    01:00:30

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