- Speaker #0
Super Docteur, c'est le podcast des médecins généralistes. Le podcast qui vous transmet les recommandations de bonne pratique et les résultats des grandes études qui vont changer vos habitudes. Super Docteur, c'est la découverte de méthodes de soins innovantes et des interviews de soignants inspirants qui boosteront votre motivation. Un contenu court et pratique, chaque semaine, pour tous les médecins. Bienvenue dans Superdocteur, le podcast des médecins généralistes qui redonne de la noblesse à notre métier. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui touche tous les médecins, mais que très peu osent vraiment affronter, c'est la retraite. Pendant des années, on a cru qu'en cotisant bien à la CARMF, en remplissant ses obligations et en suivant les règles du jeu, on s'assurerait une retraite décente. Mais les chiffres ne mentent pas. Et pour beaucoup d'entre nous, la retraite des médecins n'est plus un filet de sécurité, mais bien un piège à retardement. Alors que faire ? Comment anticiper intelligemment à chaque âge de la carrière ? Quels sont les leviers disponibles aujourd'hui pour compléter son futur revenu ? Et comment éviter les pièges classiques dans lesquels tombent tant de confrères ? Pour répondre à toutes ces questions, j'ai le plaisir d'inviter le Dr Aymeric Roche, radiologue, investisseur et mentor en stratégie patrimoniale pour les médecins que vous avez déjà entendu dans différents épisodes de ce podcast, que vous avez d'ailleurs beaucoup apprécié. Aymeric connaît le système de l'intérieur. et il accompagne aujourd'hui des dizaines de confrères à reprendre en main leur avenir financier. Dans cet épisode, on va surtout aborder la réalité du terrain. Des conseils concrets, sans tabou, pour vous aider à sécuriser votre futur sans attendre l'âge pivot.
- Speaker #1
Salut Amric ! Salut Mathieu, merci pour ton invitation.
- Speaker #0
Merci beaucoup d'être à nouveau avec moi. Tu es donc médecin, on commence à te connaître, tu as beaucoup travaillé sur les enjeux de patrimoine, notamment en matière d'investissement immobilier. Est-ce que tu peux me dire à quel moment tu t'es rendu compte que la retraite... classiques des médecins ne suffisait pas, s'il te plaît ?
- Speaker #1
Oui, Mathieu, écoute, c'est très simple. C'est tout simplement en discutant avec des confrères proches de la retraite, en les interrogeant, je me suis rendu compte que même avec une carrière complète de 35 ans, 40 ans de carrière, en fait, les revenus mensuels avec une retraite complète, ils dépassent rarement les 3 000 euros net. Et pour moi, j'avoue qu'après 35, 40 ans d'exercice, ça a été un vrai choc. Et du coup, j'ai compris à ce moment-là que la retraite versée par la CARM, Filesol, elle ne permettait pas de maintenir un niveau de vie et qu'il y avait donc une vraie chute du niveau de vie à la retraite pour ceux en tout cas qui ne se sont pas préparés, voilà tout simplement.
- Speaker #0
Très bien. Du coup, concrètement aujourd'hui, à quel âge partent les médecins à la retraite ? Du coup, avec quel revenu ? Tu as abordé 3 000 euros, c'est à peu près la moyenne des médecins ?
- Speaker #1
Oui, c'est ça. Les médecins en moyenne partent entre 65 et 67 ans à la retraite pour éviter l'éléquate parce que l'âge de départ légal, c'est 62 ans. Mais en fonction du nombre de trimestres, bien sûr, et du nombre d'années cotisées, on va en reparler, mais du coup, tu as une retraite... Ton niveau de retraite, bien sûr, change. Et malgré cela, la retraite moyenne pour un médecin qui aurait cotisé et qui partirait à la retraite entre 65 et 67 ans, c'est en moyenne entre 2 800 et 3 200 euros net par mois. Bon, chacun se fera son avis sur ce montant, mais il n'en reste pas moins que c'est assez significativement inférieur aux revenus touchés par un médecin en période d'exercice. Et donc, il y a une vraie chute du niveau de vie pour ceux qui n'ont pas préparé ce moment-là, en fait.
- Speaker #0
Donc le départ à la retraite, en théorie, si c'est complet, c'est 62 ans.
- Speaker #1
Alors l'âge légal de départ est à 62 ans, c'est-à-dire qu'on est en droit de demander à partir à la retraite. En revanche, la pension de retraite auquel on a droit va être, en fonction du nombre de trimestres exercés, du nombre d'années exercées, et donc va être, puisque nous on commence à exercer assez tard, relativement significativement inférieur à cette moyenne que je t'ai donnée en fonction du nombre d'années travaillées. Donc la plupart des médecins travaillent jusqu'à 65-67 ans pour que cette pension de retraite soit... la plus correcte possible. Et la plupart même continuent à exercer une activité en cumul pour conserver un niveau de vie correct.
- Speaker #0
Très intéressant. C'est quand même extrêmement compliqué, tous ces organismes, tous ces acronymes, la CARMF, la SV. Est-ce que tu peux m'expliquer simplement comment ça fonctionne ? Comment fonctionne le système de retraite des médecins libéraux en France ? Et puis, est-ce que tu peux me détricoter un peu tous ces organismes complémentaires qu'on ne comprend pas toujours ?
- Speaker #1
Oui, alors je vais avoir du mal à te décrypter ça en quelques secondes, mais globalement, ce qu'il faut comprendre pour un médecin libéral, c'est qu'il y a trois régimes, pour faire très simple. Un régime de base, un régime complémentaire, qui est celui géré directement par la CARF, et l'allocation supplémentaire vieillesse, la fameuse ASV, qui est réservée aux médecins qui sont conventionnés. Et en fait, tous ces systèmes, en particulier les régimes de base et les régimes complémentaires, marchent par points en fonction du nombre de trimestres. Il y a une valeur qui est donnée. pour un point et en fonction du nombre de trimestres travaillés, du nombre de points et de la valeur du point, au moment où on veut aller à la retraite, ça détermine ça. Alors bien sûr, il y a tout un système de retraite complémentaire qui est possible, en particulier pour les médecins salariés, mais globalement, c'est un système qui marche par points, avec une valeur de points donnée. et montant de cotisation qui est plafonné. C'est-à-dire qu'un médecin qui va gagner X en termes de revenus ne va pas pouvoir cotiser deux fois plus qu'un autre médecin malgré un différentiel de revenus potentiellement important. Donc on ne peut pas se dire, je verse beaucoup plus pour avoir beaucoup plus à la retraite, ça, ça ne marche pas, c'est plafonné.
- Speaker #0
D'accord, c'est-à-dire que les cotisations obligatoires sont plafonnées. On ne peut pas verser plus à moins de souscrire dans un organisme complémentaire dont on va peut-être parler tous les deux. Et les trois régimes dont tu viens de me parler, c'est quelque chose qu'on doit choisir en tant que médecin ? C'est quelque chose qui nous est imposé ? Comment ça marche ?
- Speaker #1
Oui, c'est tout à fait obligatoire et automatique, en tout cas pour le régime de base et le régime complémentaire, pour les médecins libéraux. Et tu sais, quand tu t'installes, tu es rapidement contacté par la CARMF. Et donc c'est la CARMF qui gère cette partie-là en particulier. En fait, on a l'obligation de souscrire à ces différents régimes qui sont obligatoires. simplement l'ASV, l'allocation supplémentaire vieillesse est réservée aux médecins qui sont conventionnés et le montant total et global de notre retraite, donc la moyenne qu'on a donnée tout à l'heure, est la résultante cumulée de chacun de ces régimes.
- Speaker #0
Très bien. Alors est-ce que tu peux me dire maintenant pourquoi est-ce que ce système devient de moins en moins suffisant ? Est-ce que tu aurais des chiffres et des tendances à nous dégager qui permettent d'illustrer ce propos ?
- Speaker #1
Oui, tout à fait. Alors, il y a deux versants, si tu veux, que j'identifie. Il y a le versant, on va dire, purement économique. On sait, le système de retraite marche par répartition, c'est-à-dire que ce sont les actifs actuels qui financent la retraite des retraités. Et il y a plusieurs éléments économiques qui sont vraiment très en défaveur d'un maintien à très long terme de ce système-là. La démographie médicale qui s'effondre, les cotisations qui sont plafonnées, on ne peut pas augmenter ces recettes-là. Le nombre d'actifs, le ratio actifs-retraités, il est vraiment défavorable. donc des petits diminue et les carrières médicales sont de moins en moins linéaires. Déjà sur la partie purement économique, ce système-là n'est pas sur une courbe en faveur d'un maintien sur le très long terme du montant de ses cotisations. Mais si on a une approche un peu plus sociologique, un peu plus moderne, on va se dire que c'est tout ce qui se passe par ailleurs. Tu en parles beaucoup sur ton podcast de l'avènement de l'IA et de la pratique médicale qui est totalement refondue ou en tout cas... qui va l'être, qu'on le veuille ou non, avec donc du coup beaucoup d'incertitudes sur les modalités d'exercice, sur les modalités de rémunération bien entendu. En plus de ça, on a quand même de plus en plus de médecins qui souffrent d'épuisement professionnel. Sur le baromètre de la CNOM 2024, il y a plus d'un médecin sur deux qui est en burn-out. C'est quand même vraiment très important. Bien sûr, il y a tout ce qui est incertitude fiscale, la dette publique, la pression budgétaire, etc. Donc moi, c'est plus ce contexte sociologique en plus des éléments, on va dire, purement économiques et logiques. C'est plus cet aspect incertitude sociologique et vraiment redéfinition de nos métiers qui vont changer, qui changent déjà et qui vont continuer à changer, qui fait que se dire dans 30 ans, ça va se passer exactement comme ça marche aujourd'hui, pour moi, c'est une aberration totale. Donc, dans ce contexte, compter uniquement sur une pension publique figée, plafonnée, qui dépend de décisions politiques qui plus est, pour moi, c'est prendre un risque majeur sur son avenir financier. Mais ça n'est que mon avis.
- Speaker #0
Donc tu m'as parlé du montant qu'on peut estimer insuffisant par rapport au revenu lors de notre vie active. Tu m'as parlé du risque contextuel du versement de cette pension une fois à la retraite. Concrètement, est-ce que tu penses qu'il y a un risque qu'on ne nous la verse pas ?
- Speaker #1
Clairement, j'en suis pleinement convaincu. Moi, je me place dans quelqu'un qui a un souhait de liberté et d'indépendance dans mon champ d'action. C'est-à-dire que je souhaite pouvoir me dire, demain, si j'ai envie d'exercer de telle manière, de consacrer par exemple, plus de temps à mes patients, mais que la façon de travailler actuelle m'impose de moins les voir, par exemple, j'ai envie d'avoir cette liberté, en fait, d'action. Et cette liberté d'action, elle est permise par le sous-jacent financier la plupart du temps. Pas que, mais en tout cas, ça compte beaucoup. Et donc, pour moi, il y a vraiment ce souhait de se dire, on ne peut pas aujourd'hui avoir la certitude que ça se passe comme ça dans 30 ans et il est extrêmement probable pour que ça ne se passe pas comme ça. Donc moi, je ne sais pas plus qu'un autre comment ça va se passer. Mais en tout cas, j'essaye d'être pragmatique et de prévoir des solutions de secours au cas où ça ne se passe pas comme ça, comme c'est annoncé aujourd'hui. Et en tout cas, moi, je me sens très à l'aise avec le fait de m'assurer un filet de sécurité.
- Speaker #0
Je suis très heureux de te recevoir une nouvelle fois sur Spotpass parce qu'on travaille la même philosophie, toi et moi, de cultiver son indépendance et de se demander ce qu'on peut faire dans notre champ d'action pour être le plus libre et indépendant possible. en essayant de dépendre le moins possible de circonstances sur lesquelles on ne peut pas jouer, typiquement les aides de l'État par exemple. Je te remercie infiniment, c'était très clair. Donc aujourd'hui, tu accompagnes des confrères sur cette thématique. Est-ce que tu as retenu des pièges les plus fréquents, ce que tu constates quand un médecin pense à sa retraite ?
- Speaker #1
En fait, le piège le plus fréquent, c'est tout simplement la procrastination ou l'absence de prise de confiance de cette problématique. Parce qu'en fait, s'en rendre compte à 55 ans, à 60 ans, c'est tard. C'est très, très, très, très tard. Et puisque, on va en reparler, mais le principe de ce qu'on peut faire, nous, pour... se protéger là-dessus, c'est la retraite par capitalisation, de mettre en place des processus qui soient efficaces avec le temps. Si on s'en occupe, qu'on a cette prise de conscience et qu'on s'en occupe tard, malheureusement, on ne peut pas agir à temps. Donc en fait, le plus grand piège, c'est la procrastination, croire qu'on s'en occupera plus tard, etc. Et c'est vraiment ça l'erreur majeure. C'est clair,
- Speaker #0
pour bénéficier des effets composés, il faut y penser tôt. À l'inverse, qu'est-ce qu'un médecin peut mettre en place concrètement à 35, 45 ou même un peu plus tard pour mieux préparer sa retraite ?
- Speaker #1
En fait, il y a plusieurs leviers d'action. Les leviers d'action, ils peuvent être financiers. Alors, ce ne sont que bien sûr des moyens financiers au final, mais je dirais qu'on a deux catégories. On a tout ce qui est support financier, donc dont le plan épargne-retraite qui est bien connu, en particulier parce qu'il permet de défiscaliser aujourd'hui pour préparer des revenus différés. Mais on peut mettre aussi, bien sûr, tout un tas d'investissements financiers autres, assurances-vie, etc. Dès maintenant, même avec des petits montants, pour jouer sur cet effet temps et les effectuer dans le temps et donc avoir une rente ou un capital à terme pour en disposer à la retraite. Et puis, on a aussi, bien sûr, la possibilité d'investir dans de l'immobilier qui, lui aussi, peut être un moyen pour générer des revenus, donc des actifs productifs réguliers qui pourront, une fois que le bien sera payé, d'où l'intérêt de le faire le plus tôt possible, et bien dont on pourra vivre éventuellement dans le futur. Et ça, c'est la règle pour tous ces éléments-là, c'est commencer le plus tôt possible, peu importe d'où on part au final.
- Speaker #0
Très bien, on en a déjà parlé tous les deux d'immobilier sur un podcast qui a été très écouté. Tu dis souvent que c'est un levier clé. Est-ce que tu peux me rappeler pourquoi est-ce que c'est particulièrement adapté pour les médecins ?
- Speaker #1
Oui, alors par rapport à ce qu'on s'est dit, c'est le fait d'avoir un capital qui travaille le plus tôt possible. pour bénéficier de cet effet composé dans le temps. En fait, l'immobilier, comme on l'a déjà dit, c'est le seul investissement dans lequel on peut investir une somme, un capital qui ne nous appartient pas à la base. C'est ça la magie de l'effet de levier du financement immobilier et qu'on fait travailler immédiatement. Donc concrètement, si on achète un bien de 200, 300 000 euros, nous, on n'apporte pas ces 300 000 euros à la base, mais c'est bien ces 300 000 euros qui vont travailler dans le temps des J0, on va dire, de l'investissement. et les médecins ont un profil qui est très apprécié des banques, l'immobilier est un actif tangible et très transmissible, très apprécié des banques, et donc la résultante c'est qu'il est extrêmement pertinent pour nous d'avoir cet effet levier le plus tôt possible pour pouvoir bénéficier une fois que le bien est payé des revenus générés par cet actif. Donc c'est en ça que c'est très important, c'est investir tôt dans un capital significatif qui ne nous appartient pas à la base.
- Speaker #0
Très bien, je vous renvoie, chères auditrices, chers auditeurs, à l'épisode sur l'immobilier que j'ai fait avec Aykha Merik sur ce sujet qui était assez complet, dans lequel on a appris beaucoup, beaucoup de choses. Du coup, si un médecin nous écoute aujourd'hui et se dit « j'ai rien anticipé » , est-ce que tu peux me dire quel est le premier petit pas qu'il peut faire ?
- Speaker #1
Alors, bien sûr, la première étape et le premier petit pas, c'est une prise de conscience, comme on l'a dit. Je pense que le plus simple, c'est de scinder deux scénarios. Scénario 1, on se dit « pour moi, dans 30 ans... » Toute chose étant égale par ailleurs, tout sera à peu près stable, je travaillerai de la même manière, j'aurai à peu près la même rémunération, le système fonctionnera à peu près de la même manière. Ok, admettons que ça se passe comme ça dans 25-30 ans. Dans ces cas-là, on fait un calcul simple. Quelle sera notre pension de retraite à 65-67 ans ? Et compte tenu de ce qu'on s'est dit, est-ce que c'est suffisant pour maintenir le niveau de vie que j'aurai à ce moment-là ? Ou est-ce que c'est suffisant tout simplement pour vivre ? Est-ce que ça me convient ? Donc si la réponse est non, il faut faire quelque chose dès maintenant. pour trouver des alternatives et mettre en place des alternatives. Le scénario 2, que j'estime un peu plus lucide, c'est de se dire qu'on entre dans une ère d'incertitude, de forte incertitude. L'IA, on l'a dit, et quand je dis IA, ce n'est pas avec une composante négative, c'est simplement quelque chose qui est là, avec lequel on va devoir vivre, avec lequel on va devoir grandir, évoluer, avec lequel on va devoir transformer nos pratiques. La pression sociale qui est forte sur le système de santé, la fiscalité qui est lourde, bien entendu, concernant les médecins. Mais tout ça évolue très vite. Et donc, la vraie question, c'est dans cet écosystème, est-ce que je m'en tiens à ce qu'on me promet et à ce dont on a parlé d'ici 25-30 ans ou est-ce que je me dis peut-être, peut-être, il y a une probabilité ? pour que dans 25-30 ans, les cartes soient franchement rebattues ? Et dans ces cas-là, est-ce que ce ne serait pas pertinent de me protéger, de sécuriser mon avenir financier au service de ma liberté d'action et de choix ? Et donc, si on est plutôt dans ce scénario 2, effectivement, il faut agir assez rapidement pour mettre en place des alternatives qui nous permettront de se sentir sécurisés, parce que, comme on l'a dit, ça prend quand même du temps de mettre en place ces actions.
- Speaker #0
Donc, une fois qu'on a pris conscience de ça, Premier petit pas, on fait quoi ? On ouvre une assurance vie ? On s'intéresse à l'immobilier ? On s'intéresse à… Oui,
- Speaker #1
alors on se forme déjà. On lit, on se forme, on écoute le super podcast de Mathieu et d'autres supports. On se forme et puis effectivement, pour ceux qui veulent approfondir, on met en place, on ouvre des supports financiers. Et puis bien sûr, pour ceux qui veulent accélérer, on investit dans l'immobilier. C'est vraiment la carte maître, j'allais dire, dans cet échiquier. Pour ceux que ça intéresse, d'ailleurs, j'ai une formation que j'offre aux confrères pour leur partager mon retour d'expérience, les bonnes stratégies à mettre en place, les erreurs à éviter, etc. Donc ça, ça peut être un premier plan pour ceux qui souhaitent passer à l'action. Le tout, c'est de se mettre en marche et petit à petit d'avancer.
- Speaker #0
Magnifique, tu m'as parlé d'une formation. Je vais mettre le lien dans les notes de cet épisode. Est-ce que tu peux me rappeler du coup où est-ce qu'on peut te retrouver, te contacter, profiter de ton expertise, Amrik ?
- Speaker #1
Oui, bien sûr, sur LinkedIn, on peut me contacter directement. Sinon, on donnera mon adresse mail, bien sûr, aussi sous l'épisode. Et puis, via la formation également, c'est tout à fait possible de me contacter. Donc, avec grand plaisir.
- Speaker #0
Je te remercie infiniment, Aymeric. Et puis, je te dis à très bientôt parce qu'on a plein de choses à se partager tous les deux.
- Speaker #1
Merci à toi, Mathieu. À bientôt. Salut.
- Speaker #0
Bravo, vous êtes bien arrivé à la fin de cet entretien. J'espère qu'il vous a inspiré et apporté des clés utiles pour votre pratique. Pour ne rien manquer des prochains épisodes de Super Docteur, pensez à vous abonner dès maintenant. Si mon travail vous plaît. Parlez-en autour de vous, à vos consoeurs, vos confrères et même à vos internes. Et si vous voulez me soutenir, laissez-moi une belle note de 5 étoiles sur votre application de podcast préférée. C'est rapide, ça m'aide énormément et surtout ça permet à d'autres médecins de découvrir ce contenu pour que l'on partage ensemble nos idées et améliorer nos pratiques. Merci pour votre écoute et à très bientôt.