Simon DesjardinsHey, bienvenue sur l'épisode 12 de T'es correct. Aujourd'hui, on va parler d'affirmation, de se respecter, apprendre à dire non. Je sais pas si toi, t'as de la misère avec ça. Moi, j'ai été longtemps avoir de la difficulté à dire non. Aujourd'hui, je suis bien plus capable de me respecter, alors on en parle après ceci. Ici Simon, bienvenue sur T'es correct, le podcast qui te parle avec authenticité, sans détour, mais surtout sans bullshit. Juste toi, moi, puis des outils pour retrouver la paix. T'aimer un peu plus, mais surtout pour te dire que c'est correct. Alors, j'espère que la vie est bonne avec toi. J'espère que t'es en forme. J'espère que tu prends soin de toi. J'espère que t'apprécies les podcasts hebdomadaires. J'essaie de donner de mon mieux, de te donner des petits trucs pour t'aider à cheminer. Pour commencer peut-être à cheminer, peut-être pour continuer. J'essaie toujours de garder ça le plus simple possible parce que moi, pour moi, la vie est de plus en plus simple. Oui, on vit toutes sortes de choses, des fois, que c'est... On pourrait dire que c'est complexe, mais je me suis aperçu que j'avais vraiment le taux, souvent, de complexer les choses. Et une des choses, bien, c'est parce que j'avais de la difficulté à mettre mes limites. Pour mettre des choses, j'étais longtemps à ne pas les connaître. C'est important qu'on apprenne à mettre ses limites, d'être capable de s'affirmer, de dire non. Oui, ça fait peur. Oui, parce qu'à un moment donné, j'ai réalisé que... tabarouette que j'avais peur de pas être aimé, de pas être reconnu, d'être rejeté, d'être abandonné pour les autres. Fait que dire oui, ben, ça devient comme presque un automatisme, qu'on pourrait dire ça. J'ai appris que dire oui à l'autre, c'est souvent se dire non. Alors, comment en arriver pour être capable de dire oui sans me dire non à moi ? C'est ça un peu. Fait que comme je disais, il faut se mettre des limites. Mettre des limites et dire à quelqu'un « Non, voici ma limite, voici ci, voici ça. » Ce n'est pas d'infliger un rejet et ce n'est pas de se rejeter, c'est seulement une affirmation, d'être capable de s'affirmer. Ça va avec l'amour et le respect de soi-même parce que c'est un geste envers toi. Je te dirais que c'est un geste d'amour que tu fais envers toi et pour toi d'être capable de dire non à l'autre, d'être capable de mettre des limites. Parce que si on n'a pas de limite, on se perd. J'ai été longtemps perdu dans ma vie, puis ce n'était pas simplement juste à cause de la consommation, c'est que je ne mettais pas de limite. Évidemment, je n'avais pas de limite dans la consommation non plus, fait qu'on s'est entendu que j'étais complètement perdu. Complètement perdu. Alors, c'est important. Tu sais, j'ai été longtemps à dire oui à tout, même quand ça faisait oui. Tu sais, ça dit non à l'intérieur, mais je dis oui quand même. Bien, tout ça, comme je l'ai dit tantôt, par besoin d'être aimé, par besoin d'être reconnu, par besoin que tu dises « Hey, lui, c'est un bon gars. Hey, lui est correct. Hey, on a un problème, on appelle Simon. Hey, on a besoin d'aide, on appelle Simon. Oui, j'aime bien aider, mais si je ne m'aide pas en premier, si je n'impose pas mes limites, je vais me brûler. » Ça m'est déjà arrivé dans le passé. J'étais comme un peu, comment je pourrais dire ça, genre de ligne 9-1. Oui, tu pouvais m'appeler dans la nuit, je répondais. Au pire, je m'habillais et je m'en venais de parler. Ça m'a complètement brûlé. Ça m'a amené à vivre une rechute dans la consommation. Je te parle de ça, ça fait au-dessus de 17 ans à peu près, au-dessus de 16, 16-17 ans. Évidemment, aujourd'hui, je ne suis pas un 911. Je ne suis pas quelqu'un d'urgent. Par contre, j'aime bien aider, mais je mets mes limites. Il y a des journées où je te offre complètement parce que j'ai besoin de récupérer, j'ai besoin de mes batteries. Comme je dis souvent, j'aime bien dire ça et c'est vrai, je me le rappelle. Moi, ma job, c'est de m'aider pour pouvoir t'aider. Parce que si je ne suis pas en équilibre dans ma vie, si je ne suis pas en autonomie, si je ne suis pas en respect de moi-même, comment tu veux que je t'aide à t'aimer, à te respecter, à mettre tes propres limites ? Ça va être hyper difficile. Quand tu dis souvent oui aux autres et que ça dit non, c'est... Puis que ça dit non en dedans, mais tu dis non à toi. Parce que, tu sais, les autres, ils ne savent pas où sont tes limites. Tant et aussi longtemps que toi, tu ne t'affirmes pas. Si tu ne le dis pas, ils ne peuvent pas deviner. Oui, mais ils pourraient bien voir qu'ils abusent. Non, non. Puis même des fois, quand tu le dis, ils vont continuer pareil. Tu sais, il y en a qui ne comprennent pas. Qui ne comprennent pas. On dirait que peut-être que tu es un être humain parfaitement parfait, que tu as des limites. que des fois, peut-être que tu manques de gaz, que tu manques d'énergie. Oui, mais tu ne devrais pas se poser, toi. Comment tu ne devrais pas se poser ? Oui, mais tu devrais toujours aller bien. Ah oui, c'était cute, ça. Il y a quand même quelqu'un qui m'avait dit « Ah ouais, ça t'arrive des fois de ne pas filer, tu sais. » Euh, oui. T'as-tu déjà vu, toi, un dentiste, jamais avoir mal aux dents de sa vie ? T'as-tu déjà vu un médecin ne jamais attraper au moins minimum la grippe ? Ben oui, on est des humains comme tout le monde. Mais c'est à nous, à un moment donné, d'imposer nos limites. Pis tu sais, voici la limite. Voici ma limite. Et là, je te parle de mon travail, mais c'est avec nos proches. Et souvent, c'est bien plus difficile de dire non à nos proches. Pourquoi ? Parce que souvent, on se sent coupable. Puis la culpabilité, ça vient d'un conditionnement, qu'on s'est conditionné ou qu'on a eu un conditionnement. Ça ne vient pas de ton cœur, la culpabilité. La culpabilité, c'est une émotion qu'on s'inflige. Parce qu'on ne se trouve pas correct, parce qu'on trouve qu'on a mal agi. Et souvent, pas parce qu'on a mal agi. Tu sais, dire non à quelqu'un, ce n'est pas de mal agir. À moins que tu les comptes démanteler comme des fêtes pour arriver à mettre tes limites ou à dire non. Mais la culpabilité qu'on peut vivre parce qu'on n'a pas voulu aider quelqu'un, qu'on n'a pas voulu des fois prêter de l'argent à quelqu'un. Des fois, ça va loin de voir être aimé. Moi, je me souviens que j'ai déjà emprunté de l'argent, j'ai déjà prêté de l'argent à quelqu'un. Je n'avais pas cet argent-là. Je suis allé emprunter de l'argent à quelqu'un pour pouvoir le passer à quelqu'un d'autre. Pour moi, si on appelle ça, si on n'appelle pas ça la dépendance affective, si on n'appelle pas ça un besoin d'amour, de reconnaissance incroyable, je ne sais pas comment ça s'appelle, il y a combien de fois, des fois, qu'on peut se sentir coupable, parce qu'on va dire non. Il y a des gens qui insistent, qui insistent, qui insistent, qui insistent, jusqu'à temps qu'on dise oui. Parce qu'à toutes les fois qu'ils insistent, on a fini par dire oui. Bien, j'ai une bonne ou une mauvaise nouvelle pour toi, ça dépend comment tu le prends, mais ces gens-là, ils ne te respectent pas. Ces gens-là se serrent de toi. Oui, mais tu sais, c'est mon gars, oui, mais c'est ma fille, oui, mais tu sauras que c'est ingrat des enfants. Et souvent, inconsciemment, c'est comme si les parents doivent tout à leurs enfants. Et c'est complètement, mais complètement faux. Je ne sais pas d'où ça passe. C'est une question à se poser à un moment donné. D'où ça passe, ça, qu'on doit tout à nos parents ? Tu sais, moi, j'ai beaucoup de gratitude, j'ai beaucoup de reconnaissance envers mes parents, j'ai beaucoup d'amour pour eux. Mais d'un sens, quand tu regardes ça aujourd'hui, je ne leur dois rien. Par contre, je fais le choix d'être présent le plus possible pour eux. Je fais le choix de m'en occuper si à un moment donné, ils ont besoin d'aide. Oui, parce qu'ils l'ont fait pour moi, mais c'est un choix que je fais. Ce n'est pas un devoir. C'est pas une obligation. Si je le fais, c'est par amour et choix. Et si je décide à un moment donné que je ne peux plus le faire à cause de leurs conditions physiques ou mentales ou peu importe, bien, ça ne sera pas parce que je ne les aime pas, ça ne sera pas parce que je les aime moins, puis ça ne sera pas de l'égoïsme. Ça va être me respecter, mettre mes limites. Ça va être par choix aussi, par amour pour moi. Alors, on ne doit rien à personne. La seule chose qu'on se doit, c'est loyauté envers nous. Qu'est-ce que moi, j'ai envie de vivre ? Ce n'est pas de l'égoïsme. Il y a une différence entre choisir ce que j'ai envie de vivre selon mes valeurs, selon ce que moi j'ai le goût, et dire, bien, je m'en calisse des autres. Moi, je suis de même, je suis de même. J'ai été de même longtemps. Ça, c'est le dégocentrisme. S'ils ne m'aiment pas de même, bien, qu'ils aillent ailleurs. Non, ce n'est pas une bonne façon. Prends tout, prends tout. Comme tu as dit, c'est le dégoïsme. Ce n'est pas prendre soin de soi. Prendre soin de soi, c'est dire, hey, je t'avais dit que j'irais peut-être t'aider à peinturer dimanche. Mais sais-tu quoi ? Je n'en ai plus envie. Il faut que je me repose. J'ai choisi d'aller en moto à la place parce que j'ai besoin de me vider la tête ou peu importe. Pour ne pas dire, bien, regarde, je suis désolé, je t'avais dit que je serais là, mais c'est ça. Pas d'appeler le dimanche matin et dire, « Ah, en fin de compte, je ne peux pas aller t'aider parce que je suis malade, parce que mon enfant est malade, parce que, parce que, parce que, ça, c'est démantelé. » Dire la vérité, c'est se dire oui à soi aussi. C'est ça, mais c'est limite. Tu sais, quand j'ai passé ma vie, en tout cas, puis ma vie, parce que ça fait comme, on va dire 16 ans, que ça va beaucoup mieux, j'ai été une grande partie de ma vie à compter toujours des menteries. Pourquoi ? Par peur de blesser, par peur que tu me juges, par peur que tu me rejettes. Par peur, dans le fond, si on résume tout ça, que tu ne m'aimes pas. Aujourd'hui, je me dois et je m'impose de dire la vérité, qu'elle te plaise ou non. Et ça, pas parce que je suis plus smart que d'autres, c'est juste que moi, les mentriers m'ont causé beaucoup plus de tort à moi, pas envers les autres. Il y a probablement encore plein de choses aujourd'hui que le monde pense que ça a été vrai ou que c'était faux, peu importe. Mais moi, je sais ce que j'ai compté comme menterie. Je sais où est-ce que j'ai été vrai. Aujourd'hui, j'en m'en fais un devoir. Pas pour toi, pas pour l'autre, mais pour moi, pour bien dormir avec moi. Et surtout, ne pas me sentir coupable de mettre mes limites, de m'affirmer, de me respecter, de dire non quand ça fait non. C'est hyper important. Parce que poser ses limites, c'est sain. Ça veut dire que je vais prendre... Soigne-moi. Si tu es quelqu'un qui a de la difficulté avec ça, commence tout petit. Tu peux commencer à refuser des demandes simples. Observe comment tu réagis. Je vais te donner un exemple simple. Ça peut être, je ne sais pas, moi, faire un livre à ton enfant. On prend cet exemple-là. Chacun de ces exemples. Faire un livre à ton enfant. Même si ça te tenterait, commence par dire non. Un exemple. Non. C'est sûr que si tu dis toujours oui, sa réaction risque d'être drôle. Commence par des petites choses simples. Observe comment tu réagis. Comment tu te sens dedans. Est-ce que tu te sens mal ? Est-ce que tu te sens coupable ? Est-ce que tu te sens peu importe quoi ? Et là, respire. Je pense que je l'ai déjà enseigné. Je pense que j'ai un podcast, je ne me souviens pas du titre, mais avant celui-là, qu'on parle des émotions. Respect et accueil, ce que tu vis. Tu sais, c'est la culpabilité. Respire-la et expire-la qu'elle parte. Inspire de l'amour pour toi. Inspire, on pourrait dire, de l'accueil dans tout ça. Puis expire ta culpabilité. Je te parle de culpabilité, des fois, ça peut être de la peur. Justement, la peur d'être jugé, d'être critiqué. La peur qui te rejette. La peur qui boude. La peur que, peu importe quoi, peu importe ce que tu vis. Respire l'émotion. Respire ce que tu ressens. Accueille ça, puis observe-la pour voir justement est-ce que c'est facile de dire non pour toi. Sans te sentir mal, évidemment. Commence par une petite chose, tranquillement, pour être capable de mettre tes limites. Et je vais appeler ça de même, utilise le non bienveillant. Je te donne un exemple. Tu me demandes, je ne sais pas moi... Simon, tu me passerais-tu de l'argent ? Ma réponse, si je vais dans la bienveillance, j'aimerais bien pouvoir t'aider, mais je ne suis pas capable. Je ne suis pas capable de t'aider ces temps-ci. Merci de me comprendre. Un exemple. Parce que des fois, la culpabilité, ce qu'elle peut faire quand on commence à s'affirmer et être capable de dire non, c'est non, puis on se sent tout mal, puis c'est comme si on devait être à la défensive. Parce que dans le fond, des fois, on... Moi, je ferais dire ça. On va le dire dans mes mots à moi. On devient comme en Christ, des fois, de ne pas pouvoir aider ou parce que ça ne nous tente pas. Ou on sait que pour le bien de la personne, on va dire non. Ça fait que ça se peut qu'on fasse. Ben là, écoute, c'était bien fatigant. Ça me demande tout le temps... Non, ça, ce n'est pas dire non avec bienveillance. Dire non avec bienveillance, c'est comme je t'ai dit. Comment se performer des petites phrases ? J'aimerais, mais je ne suis pas disponible. J'aimerais, mais je ne peux pas. Merci de me comprendre. Merci de comprendre ma situation. Peu importe. Des fois, on n'a pas à le justifier non plus. Juste de dire non, je n'en ai pas envie. Non, ça ne me tente plus. Des fois, de rajouter peut-être, ne prenez pas personnel, ce n'est pas envers toi, mais je n'ai plus envie d'aller au cinéma ce soir. Je n'ai plus envie d'aller en camping en fin de semaine. Peu importe quoi. Mais on n'est surtout pas habitué à ça. On est habitué de toujours dire oui. Fait que je reviens à un. Accueille ce qui se passe en dedans de toi et respire-le. Et vas-y avec une phrase bienveillante. Une chose qui est hyper importante, qu'il faut que tu te rappelles, mon troisième point, c'est rappelle-toi de te respecter. Parce que quand tu te respectes, tu formes les autres à te respecter. Ce que je veux dire par là, que tu les formes, Ça veut dire que tu établis tes limites. Tu sais, comme un exemple, mon fils, à un moment donné, il était dans la merde financière. Mes parents m'ont aidé beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup. Mais mon fils, pour son bien, on ne rentrerait pas dans les détails, mais on était dans la merde. J'ai dit, parfait, mon amour, je vais t'aider, mais je vais t'aider une fois. Est-ce que tu penses que c'est la bonne fois dans ta vie ? Il m'a dit oui. J'ai dit, parfait, je vais t'aider. Je l'ai aidé. Mais j'ai précisé, j'ai mis mes limites. Je vais t'aider une fois. Ça, ça fait plusieurs années de ça. Ça fait plusieurs années qu'il ne me demande plus, on va dire, d'argent. Probablement qu'il n'en a plus besoin, tant mieux. Oh ben non, il a su que, ah ben oui, mon père, il m'a dit qu'il m'aidait une fois, il m'a déjà aidé, alors ce n'est plus une solution. Il y a eu des fois où il ne m'en a pas demandé et j'avais comme envie. Tu sais, un exemple, tu sais qu'il n'y a pas beaucoup d'argent, un exemple, ses assurances d'auto ne sont pas payées, il n'y a pas de... Il y a un hiver, un exemple, puis l'hiver s'en vient. Des choses comme ça. Puis là, tu as envie de le faire parce que c'est pour sa sécurité, c'est pour son bien-être, c'est pour éviter les autres problèmes. Mais en même temps, ce n'est pas de l'aider parce que c'est des données tout cuit dans le bec. On suit. Même des fois, quand ça dit oui, mais pour des fois, pour le bien-être de l'autre, il faut dire non. Et ça, souvent, ça nous arrache le cœur, surtout en tant que parent. je suis sûr que si tu as des enfants tu me comprends C'est pour ça de les former à te respecter. Parce que si tu ne te respectes pas, comment veux-tu que les autres te respectent ? Parce que tu sais, comme je le dis souvent, tout commence par nous. Oui, c'est correct d'aider les autres. Oui, c'est correct d'aller aider les autres. Oui, c'est correct, peu importe la façon de les aider. Mais assure-toi que tu ne te dis pas non à toi. Assure-toi que tu ne te brimes pas dans ça. Assure-toi que tu ne dépasses pas tes limites. C'est tellement, tellement, tellement important. Parce qu'à chaque fois que tu vas dire non, et que tu n'es pas habitué de dire non, tu vas avoir une petite fierté à coups que la culpabilité va avoir passé. Parce que tu vas avoir été capable de te respecter. C'est comme genre, tu vas t'avoir donné une belle petite dose d'amour. J'aime ça dire ça. Parce qu'oublie pas une chose, tu es correct de vouloir plaire. C'est correct de vouloir pas. plaire. Mais tu as aussi le droit et tu dois te prioriser si tu veux être heureux, joyeux et libre. Parce que tant ce longtemps qu'on fait les choses pour les autres, pour les aider, pour l'amour, pour la reconnaissance, on n'est pas libre. Parce que dire non à l'autre, c'est parfois le plus grand oui que tu peux t'offrir à toi. Ouais. Alors, si jamais t'as besoin d'aide, tu sais que Plan de match est là, tu sais que moi, je suis là pour toi, partage cet épisode-là si jamais tu penses que ça peut aider quelqu'un ou envoie-la à quelqu'un que tu sais qui dit ou qui a dit toujours oui. On sait jamais comment qu'on peut l'aider. Puis je te dis merci et à la prochaine. Salut ! Ici Simon, bienvenue sur Décoré.