Simon DesjardinsHey, bienvenue sur l'épisode 15 de T'es correct. Cette semaine, j'avais envie de te parler, on a déjà parlé de la peur, mais là, je voulais plus spécifier la peur de se tromper, la peur de risquer, qui fait en sorte qu'on se paralyse tellement. On en parle après ceci. Ici Simon, bienvenue sur T'es correct, le podcast qui te parle avec authenticité, sans détour, mais surtout sans bullshit. Juste toi, moi, puis des outils pour retrouver la paix. T'aimer un peu plus, mais surtout pour te dire que t'es correct. Oui, cette fameuse peur-là qui fait en sorte que souvent, en tout cas, moi, ça m'est arrivé dans ma vie, de ne pas risquer de faire des choses, de mettre des projets, des rêves de côté justement à cause de ça. Alors, si tu ne me connais pas, mon nom, c'est Simon Desjardins. Merci d'être à l'écoute. Merci d'être à l'écoute de ce... Oui, de ce podcast-là. Il y en a beaucoup qui me disent, comment tu définis ton podcast ? Je n'aime pas le mot enseignement parce que je ne suis pas un enseignant. Pour moi, je suis plus un transmetteur, évidemment. Si on veut un titre, mon titre premier, c'est spécialiste en dépendance, dépendance de tout ce qui est toxique, alcool, drogue, gambling, nourriture et tout ce qui est domaine affectif parce que je pense que de tout là part... le gros de nos problèmes. Parce qu'on s'entend que la peur peut devenir une prison, mais la peur de l'échec encore pire. Quand on a peur de se tromper, c'est l'enfer. Moi, j'étais longtemps, justement, avant de commencer à faire des vidéos, que ce soit sur Facebook, j'avais tellement peur du regard des autres, du jugement des autres, mais dans le fond, c'est pas les autres qui me jugeaient. C'était carrément moi. J'avais... tellement peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être bon. Puis là, tout ce que je faisais, c'est que je me comparais aux autres. Je me comparais à Tobier, comment il s'appelle, je l'ai suivi longtemps. Robbins, je ne me souviens pas de son prénom. C'est pas important. On revient au Québec, à Martin Latulippe, qui est un de mes mentors. Et je me souviens, Martin, à un moment donné, il disait, fais pas mille affaires une fois, mais fais une chose mille fois. Ça veut dire qu'à un moment donné, il faut que tu passes à l'action, il faut que tu mettes des choses en place. Puis il n'y a pas personne qui est venu bon ou bonne du premier coup. Que ce soit des sportifs professionnels, que ce soit des chefs cuisiniers, que ce soit des enseignants, que ce soit des médecins, peu importe, on ne peut pas être bon du jour au lendemain. Dans le fond, on va explorer ça un petit peu aujourd'hui. Il faut bouger malgré la peur. Parce qu'on s'entend-tu que la peur va faire en sorte que tu vas rester dans ton divan, tu ne sortiras plus de là, tu ne sortiras plus de chez vous, tu vas avoir peur de tout. Peur à un moment donné d'aller en auto, peur de traverser des ponts, peur des accidents, peur que la foudre tombe sur ta maison. Peu importe quoi, la peur, la peur, la peur, la peur, la peur nous empêche carrément de vivre. Et moi, un jour, je me dis « Non, ce n'est pas vrai que moi, je vais m'emprisonner parce que la peur, elle a été longtemps un fil conducteur de ma vie. » J'ai tellement fait de choses à cause de la peur, j'ai tellement fait justement ce que j'ai envie de te parler, des choses que je n'ai pas faites à cause de la peur. Évidemment, ce n'est pas l'avenue que je voulais choisir, dans le fond. À un moment donné, c'est ce qu'on pense souvent, parce qu'on pense que notre réussite nous définit. Et si tu penses que ton mariage te définit, que ta job te définit, que ta position sociale te définit, que ta popularité te définit, que ton compte de banque te définit, bien j'ai des bonnes ou mauvaises nouvelles pour toi. Ça définit que dalle. Parce que ça définit pas l'être humain qu'on est. Parce qu'avant d'être un chef d'entreprise, avant d'être un artiste, avant d'être un professionnel, avant d'avoir un compte de banque, avant tout ça, on est des êtres humains. Et l'être humain est parfaitement imparfait. Quand on pense que notre réussite nous définit, automatiquement, on va penser aussi que l'échec va nous définir. C'est comme si on pense que si j'échoue, je suis moins que les autres. Si je bafouille pendant que je te parle, puis oui, ça m'arrive, puis c'est correct, je suis capable d'en rire aujourd'hui. Mais si on recule de plusieurs années, jamais, jamais, jamais, je n'aurais toléré ça. C'était pas parfait, on recommence la vidéo, on va faire du montage. Moi, je sais pas si t'as remarqué, il y en a pas de montage. J'en fais pas. Moi, je tape une fois. Elle m'a dit comme maman, je me suis tapé un film en fin de semaine. Ça veut dire, pour les plus jeunes, enregistré. Moi, j'enregistre une shot et c'est ça que ça donne. Pourquoi ? Parce que c'est ce que je suis. Je ne me montrerais pas « meilleur » que je suis, je suis ce que je suis. Et c'est toujours ça que moi, en tout cas, je me suis identifié à des êtres humains qui étaient vrais. Des êtres humains qui se sont trompés. Des êtres humains qui n'ont pas toujours réussi. Parce que est-ce que échouer égale échec ? Pas pour Simon, en tout cas. Pour toi, je ne sais pas, mais pas pour moi. Moi, c'est une expérience. C'est vraiment une expérience. Fait que si j'échoue, si je me trompe, si je fais des fautes, si je bafouille, si je m'emporte, je suis complètement inhumain. Puis souvent, on va éviter les risques pour ne pas se sentir petit. Parce qu'évidemment, comme je disais, si on s'identifie à ça, si on s'identifie à notre vie de couple, si on s'identifie à notre position sociale, bien c'est sûr que quand ça, c'est pas là, on se sent tout petit. Il y en a combien d'êtres humains qui sont arrivés à leur retraite, paf, ils ont tombé malheureux. Ben oui, parce qu'ils se définissaient à leur travail ou à leur réussite. Combien de parents, les enfants partent de la maison, paf, burn-out, dépression, peu importe, t'appelles ça comme tu voudras. Ben oui, parce qu'ils se définaient comme maman ou comme papa. Quand on se sépare, il n'y a pas personne qui aime ça les séparations. Non, ça fait souffrir tout le monde ça. Mais pourquoi il y en a que ça affecte... plus que d'autres, puis il y en a d'autres qui vont même attenter à leur vie parce que l'autre être humain est parti, c'est parce qu'ils se définissaient avec cette personne-là. Alors, ils prennent ça comme un échec. Non, ça a été une expérience. Il ne faut jamais, jamais, jamais regretter ce qui s'est passé dans le passé. Ça ne veut pas dire que si on a la chance, on ferait les mêmes erreurs. Peut-être pas, peut-être que oui. C'est drôle ce que je vais te dire, mais oui, je referais les mêmes choses. Parce que j'ai appris à me pardonner et j'ai appris à aimer le Simon qui était dans la souffrance et qui était parfaitement imparfait. Pour être en mesure de m'aimer aujourd'hui, pour être en mesure de m'accueillir, de m'aimer, de m'accepter tel que je suis, il a fallu qu'un jour j'accueille, j'accepte et que j'aime le gars que j'ai été hier. Si je veux avoir un futur heureux, joyeux et libre, est-ce que c'est toujours parfait ? Non. Moi, ma quête, c'est pas la perfection, c'est l'amélioration. Moi, quand je regarde les dernières semaines, les derniers mois, est-ce que je me suis amélioré en tant qu'être humain ? Est-ce que je me suis amélioré ? Est-ce que j'ai amélioré tout d'abord la relation que j'ai avec Simon ? Est-ce que je parle de plus en plus à Simon comme un ami ? Parce que souvent, Simon a été très dur avec lui-même. Oui, pourquoi ? Par la peur de ne pas réussir. Par la peur que ce n'est pas correct. Par la peur de ne pas plaire. Par la peur d'être un moins que rien. Oui, mais pourtant, je sais fondamentalement qu'aujourd'hui je suis quelqu'un. J'ai longtemps voulu être quelqu'un pour quelqu'un. Il a fallu que j'apprenne d'être quelqu'un pour moi. Et ça, ça a été d'affronter mes peurs. Ça ne veut pas dire que je n'en ai pas. Je vais en avoir encore des peurs, mais maintenant, je ne laisse plus la peur me définir. Parce que j'ai envie de vivre libre, pas en prison. Parce qu'on pense souvent que l'échec qui blesse, c'est ce qu'on se dit. Non, c'est pas l'échec qui blesse, c'est ce qu'on va se dire à nous-mêmes. Notre discours intérieur, notre fameuse cassette. Notre fameuse cassette, notre disque dur, qu'on peut avoir ici, que souvent c'est notre pire ennemi. J'aime bien dire ça, plus qu'on est intelligent, plus qu'on souffre. Et à la blague, je dis tabarouette, c'est pour ça que j'ai souffert de même. Non, mais ce que je veux dire par là, plus qu'on est intelligent, plus qu'on souffre, c'est qu'on regarde tout ici, on rationalise tout. Il faut toujours qu'il y ait une compréhension à tout. Et la beauté de l'être humain, c'est d'être capable de se voir tel qu'on est. Parce que c'est pas vrai qu'on peut être bon dans tout. Et c'est surtout pas vrai qu'on est bon dans rien. Ça c'est sûr. Ça c'est sûr. Fait que c'est jamais de se tromper, la gaffe qu'on fait, mais c'est comment qu'on va se dire comme discours. Moi je me souviens, ça aurait eu une quinzaine d'années quand j'ai commencé à faire des conférences. Je me retournais chez nous dans l'auto, puis j'étais là, « Ah, me semble que c'était pas bon, puis me semble qu'il a pas l'air d'avoir trouvé ça drôle, puis me semble que c'était pas correct, puis me semble que j'aurais pu dire ci, puis il me semble que je n'aurais pas dit ça, puis j'ai oublié de dire ça. C'était l'enfer, j'en avais pour des jours presque à me relever. Maintenant, je le sais fondamentalement que je fais de mon mieux. Et peu importe ce que je vais faire, c'est que je vais faire de mon mieux. Et je le sais que ça ne sera jamais parfait. Et je sais surtout une chose, que ça ne fera pas l'affaire de tout le monde. Et ce besoin d'être aimé, démesurément, comme j'aime bien me dire que j'avais avant, ce n'est plus là. Si tu m'aimes, tant mieux. Si tu ne m'aimes pas, bien c'est correct. Continue ta route sans moi. C'est bien correct. Je n'ai plus besoin de ça. Évidemment, je fais en sorte aussi que je n'ai pas envie non plus que le monde m'aise. Mais il y a des gens peut-être qui n'aiment pas mon style d'intervention. Il y a peut-être des gens qui n'aiment pas ce que je dis, ce que je pense, peu importe. Et ce n'est pas important. Ce n'est pas important. L'important, c'est que toi, tu trouves ta place. L'important, c'est que toi, que tu te retrouves. Et surtout, que tu retrouves ta confiance en toi. Parce que quand on a peur, c'est le contraire de la confiance. Si on a peur, on n'a pas confiance. Est-ce que c'est envers les autres souvent ? Est-ce que c'est envers la vie ? Peut-être. Mais c'est surtout envers nous-mêmes. La première personne à regarder dans le miroir, c'est nous. Je vais te donner trois petits outils bien simples. Oui, parce que moi, je suis un gars qui est simple et j'aime les choses simples. Il ne faut pas trop que ça soit compliqué. La première, c'est change ton regard. Ça veut dire quoi, change ton regard ? Ça veut dire que l'échec, ce n'est pas une fatalité. L'échec, c'est une expérience. On ne peut pas se tromper. On ne peut pas se tromper. On peut simplement apprendre de tout ça. Et c'est ça qui est fantastique. C'est ça qui est fantastique. Parce que sans ça, sans l'expérience de vie, comment tu veux qu'on avance ? Comment tu veux qu'on chemine ? Comment tu veux qu'on devienne de mieux en mieux ? Comment devenir un meilleur être humain ? Comment devenir un meilleur papa, une meilleure maman ? Un bon employeur, un bon employé ? C'est l'expression, mais c'est ça, mais en se pétant la gueule. Tu sais, aujourd'hui, j'ai pas peur de dire que je suis bon dans ce que je fais, mais je suis devenu bon parce que je l'ai pratiqué. Je suis devenu bon surtout parce que je l'ai vécu. Mais je suis devenu bon surtout parce que je me suis trompé. Je me suis enfargé. J'ai tombé. Et c'est pour ça, je suis pas meilleur qu'un autre. Je suis ce que je suis. Mais tout ce que j'ai appris... Tout ce que je transmets aujourd'hui, tout ce que j'enseigne, je ne l'ai tellement pas appris à l'école. Parce que oui, oui, oui, je suis allé à l'école. Il y en a qui me disent « C'est quoi tes diplômes ? » C'est aussi important que ça, mais oui, je suis allé à l'université en toxicomanie ou en santé mentale et psychologie. Mais mon plus gros, mon doctorat, c'est l'expérience de la vie. Alors change ton regard sur les expériences. surtout change ton regard sur le passé. C'est pour ça que je répète souvent que c'est tellement important qu'on fasse le ménage un jour ou l'autre de mon hier si je veux bien vivre aujourd'hui et surtout bien vivre demain. C'est tellement important, tellement important. Change ton regard. Tu n'es pas fourré, tu n'es pas trompé, tu as vécu une expérience. Et c'est là qu'on dit, est-ce qu'on apprend de la souffrance ou de la sagesse ? Parce que si on reproduit les mêmes erreurs, c'est parce qu'on aime bien apprendre de la souffrance. Et je vais lever ma main là-dessus parce que oui, ça a été moi pendant longtemps. Pose une petite action imparfaite. Ce que je veux dire là, c'est lance-toi. Attends pas d'être prête. Attends pas d'être prête. Moi, comme je t'ai dit, ça a pris du temps avant que je sois comme prête à me lancer en vidéo sur Facebook. À un moment donné, j'ai fait « Hey, fuck off ! » Ça donnera ce que ça donnera. Même chose pour mon podcast. Tu sais, ça fait quoi ? Ça fait deux ans, un an et demi, à peu près. Au départ, oui, j'avais peur. Mais oui, comme tous les êtres humains. Mais je disais, on n'attendra pas 12 ans, là. Comme mes formations en ligne que j'ai mises. Non, regarde, on se lance, puis on va apprendre. Puis c'est drôle. Là, j'ai mon podcast tout seul, mais j'ai mon podcast aussi avec mon partner Angelo, qui est le bon match. Mais de plus en plus, avec lui aussi, c'est une nouvelle adaptation de co-animer un podcast. Puis au début, je l'avoue, j'étais comme un peu perdu dans tout ça. Et tranquillement, j'ai pris ma place et je viens de, on va dire, de... De meilleur en meilleur, oui, on peut dire ça comme ça, de meilleur en meilleur. Puis pas parce que je suis meilleur qu'un autre, c'est juste parce que je pose des actions. Puis je vais malgré mes peurs. Malgré des fois le discours de dire « Ah, bien, il est meilleur que toi. Ah, si ou ça. Ou on a un invité spécial. Oups, je suis plus nerveux. » Non, regarde, c'est juste la bullshit de mon mental. C'est pas ça la réalité. « Hey, j'ai rien tout le temps à mon intention. Simon, c'est quoi ton intention ? Ah oui, de donner une petite dose d'espoir, une petite dose d'amour à notre être humain. » Ben, c'est ce qu'on va faire, alors fais juste le ton mieux. That's it. Les résultats ne nous appartiennent pas. Ce qui nous appartient, par contre, c'est de donner notre 100 %. Du mieux qu'on peut. Même si c'est tout croche, continue. Tu as envie de faire de quoi ? Ben, continue. La troisième petite chose, c'est demande-toi qu'est-ce que j'apprendrais même si ça foirait. Au moins pendant ce temps-là, on va avoir eu du fun, non ? On va savoir amuser. Parce que si je le fais toujours dans vouloir être performant, être dans la perfection, t'imagines-tu comment ça peut devenir lourd ? T'imagines-tu comment ça peut devenir lourd et angoissant et faire de l'anxiété ? Pour en arriver à un moment donné quasiment à faire des crises de panique, mais pas quasiment, c'est comme ça. Alors la peur, il faut que je la prenne. Oups ! Excusez pour le bruit. Le mettre dans le tiroir et regarde, je pose mon action quand même. Ça donnera ce que ça donnera. Moi, en tout cas, je vais faire de mon best. Fait que trois choses, simples. J'ai pas dit facile, simples. Change ton regard sur tes expériences passées. Change ton regard. Change ton regard sur les actions que tu as posées aujourd'hui. Fais la taille, la petite voix qui dit non, tu ne seras pas capable, non, tu n'es pas bon, attendons, tu n'es pas prête. Tu sais, des fois, on invite des gens sur le podcast, je vais y aller, mais je ne serai jamais prête. L'invite donne une opportunité, saute dessus. Saute dessus, that's it, that's it. Pose des actions imparfaites. Oui, tous les gens sur cette planète. ont commencé à quelque part. Il y a eu un début à tout. Arrête d'un petit bébé marcher, apprendre à marcher. Il tombe, il sort de la vie, il tombe, il sort de la vie, il tombe, il sort de la vie. Ça ne demande pas qu'est-ce que tu vas penser, qu'est-ce que tu vas dire de lui. Lui, il apprend. Puis, wow, bravo, il a fait quatre pas. Puis, wow, bravo, il a fait six pas. Puis, tranquillement, pas vite, mais c'est comme ça, mais c'est comme ça dans tous nos choses. On veut tellement des fois performer en amour aussi En relation interpersonnelle On peut pas être parfait Attends pas d'être prête Vis ce que t'as à vivre Puis demande-toi, qu'est-ce que j'apprendrais même si ça foirait ? Parce que c'est correct d'avoir peur. Oui, t'es correct. C'est pour ça que j'aime bien mon nom de podcast. Oui, t'es correct. C'est humain d'avoir peur. Mais il ne faut pas focusser sur le résultat. Simplement sur l'action que j'ai à poser aujourd'hui. Je me suis abandonné parce que je fais de la consultation privée, puis il y avait une fille, elle disait, écoute, j'ai rencontré un gars, le gars rêvait que tu t'en rêvais, mais j'ai tellement peur qu'il arrive de quoi. J'ai tellement peur qu'il ne soit pas honnête. OK, mais est-ce que tu le sens-tu honnête ? Oui. OK. Oui, mais j'ai peur, oui, et je comprends, je sympathise, t'as peur parce que t'as été blessé dans le passé. Ouais mais si, ouais mais si c'est ça, ça sera ça Ouais mais si Ça me fait mal. Ouais, parce que ça se peut. Ça se peut. Ouais, ça se peut. Mais au moins le temps que t'auras vécu, t'auras eu du plaisir, t'auras eu encore une autre expérience. Pourquoi s'empêcher d'être bien aujourd'hui par peur de demain ? Ben si tu veux en arriver ça, règle ton hier. Change ton regard sur hier. pour bien vivre ton aujourd'hui et avoir confiance en demain. Si tu penses que cet épisode-là peut aider quelqu'un, partage-y. Si tu ne le sais pas, mais regarde, partage-la. On ne sait jamais la petite action qu'on peut poser. Si jamais vous avez des sujets que vous voulez que je parle, je suis ouvert à vos commentaires. Et non, même si vous payez le cognac, je suis ouvert à ça. Je vais juste te dire, n'oublie pas que tu es correct d'avoir peur et surtout, on ne lâche pas. Salut la gang !