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T-CORRECT

Épisode 30 / La liberté

Épisode 30 / La liberté

15min |06/05/2024|

479

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Épisode 30 / La liberté

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15min |06/05/2024|

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Description

J'ai longtemps cru que la liberté était extérieur... Je peux t'assurer quelle est bien intérieur ❤️✌️


Le groupe FB #1 pour ceux et celles qui souffrent ou ont souffert de dépendances. Au delà de la dépendance, pour améliorer notre estime et notre confiance. Ce groupe t'aidera dans la gestion de tes émotions et surtout à améliorer ta relation avec toi-même et avec les autres. Avec mon humour unique et mon grand amour pour l'ÊTRE humain, moi Simon Desjardins t'aidera à dédramatiser et désensibiliser ton quotidien. Je te donnerai mon Plan De Match (trucs et outils) qui m’a permis d'avoir une vie heureuse, joyeuse et libre. https://www.facebook.com/groups/1626661324459048  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hey, salut et bienvenue sur la 30e émission du podcast T-CORRECT. Ça fait quelques mois que je n'ai pas fait d'émission, alors je suis vraiment fébrile, je suis vraiment content de te retrouver. Et pour cette 30e, on va parler de liberté. Et voilà, c'est parti, j'adore cette chanson ! ça me rappelle vraiment mon adolescence pour ceux peut-être qui joignent à nous peu importe aussi tu sais pas où que ça vient cette chanson là c'était un film qui s'appelait Pup Pup the volume c'était un gars qui faisait un genre de radio pirate Au collège, lycée, je ne sais pas trop. Mais en tout cas, c'était vraiment bon. J'ai appris ça de ça. Comme je disais tantôt, je suis content de te retrouver. J'ai envie de te parler de la liberté. C'est un sujet qui est au bout de les lèvres depuis plusieurs années. J'ai été longtemps à ne pas trop savoir c'était quoi la liberté. Moi, dans le temps que je consommais, la liberté, c'était moi, je fais ce que je veux, quand je veux. Il était un grand moment de ma vie où l'argent n'était pas un facteur, on va dire. ou même m'empêcher de consommer comme je voulais ou quoi que ce soit. Moi, je me disais, je suis libre, je fais ce que je veux, quand je veux. Puis ceux qui ne m'aiment pas, ils mangent la marde. J'avais aucune idée que tellement j'étais en prison, tellement j'étais emprisonné par ma dépendance à l'alcool, la drogue, le gambling, par ma dépendance affective de tellement avoir besoin que tu m'aimes. J'avais le discours. facile de dire ceux qui ne m'aiment pas qu'ils mangent de la marde dans le fond quand je disais ça c'était à moi que je disais de manger de la marde parce que moi je ne m'aimais pas moi je continuais à me scraper à m'étourdir à me geler à me saouler à me saboter moi-même. Évidemment, ce que ça faisait, c'est que j'avais des comportements qui faisaient en sorte que je sabotais mes relations avec les autres, que ce soit familial, amical, travail, peu importe. Et je pensais être libre à ce moment-là. Je m'aperçois que la liberté, ça va bien plus profond que faire ce qu'on veut, quand on veut. Ouais. On pourrait dire que ça, c'est une forme de liberté. La liberté, c'est quand je me responsabilise. Quand, à un moment donné, j'ai choisi de me responsabiliser envers mon bien-être. Quand j'ai décidé de me responsabiliser envers mes dépendances. Quand j'ai choisi le chemin de l'autonomie qui est le contraire de la dépendance. Quand je me suis responsabilisé en tant que père. de devenir plus un papa et non juste un pourvoyeur mais être là être plus présent être plus amour être plus écoute la liberté je l'acquéris de plus en plus en me responsabilisant envers on pourrait dire mon couple, être justement plus présent, être plus écoute, être plus respect. Mais tout ça, on s'entend que ça a commencé par moi. Plus que moi, j'ai été responsable envers le bien-être de Simon, plus j'ai commencé à être écoute, respect, que j'ai commencé tranquillement à être bon envers moi, parce qu'il y a de la bonté envers les autres, on en a souvent, mais envers soi, c'est une autre histoire. parce que je me suis aperçu que la liberté, c'est intérieur et non extérieur. Tu sais, on aura beau changer de pays, on aura beau changer de ville, on aura beau changer de blonde, de travail, de chum, nos parents, nos enfants, on ne peut pas les changer. Mais ce n'est pas ça la liberté. La liberté, c'est quand je vais me changer, quand je vais aller régler mon passé. Parce que peut-être que tu ne t'aperçois pas, peut-être que oui, peut-être que tu n'es pas conscient ou quoi que ce soit, mais mon passé a fait en sorte qu'il a empoisonné mon présent, qui faisait en sorte que mon futur allait être pas mal plus... boiteux, on va dire ça comme ça, qui allait être beaucoup moins... j'ai le mot authentique qui vient, mais l'authenticité, je vais en reparler, mais que mon futur allait être beaucoup moins, on pourrait dire, libre. On parle de liberté. Mais oui, de libre. La liberté. Et je parle pas de faire ce que je veux quand je veux. On a tous des responsabilités, on a tous des contraintes, que ce soit avec le travail, que ce soit dans notre budget, que ce soit peu importe quoi. Mais oui, mais c'est pas ça, être pas libre. Quand on dit, oui, je ne peux pas faire ça, je ne peux pas faire ça. Oui, mais la liberté, c'est de dire, OK, parfait, je vais arrêter de focusser sur le problème, je vais focusser sur la solution. Qu'est-ce que je peux mettre en place ? Qu'est-ce que je peux faire pour atteindre tel objectif ? Tel rêve. Et tant aussi longtemps que je suis sur ce chemin-là de vers mon projet, mon but, mon rêve, elle a ma liberté. Parce que la liberté, c'est de choisir. Je choisis de m'en aller vers là. Ça ne veut pas dire que je peux faire ce que je veux quand je veux. Non, ce n'est pas ça. Parce que oui, tu peux le faire. Oui, tu peux continuer à dire Moi, je fais ce que je veux quand je veux. Parfait. Après ça, tu ne te tapes pas sur la tête. Ou tu ne te tapes pas sur la tête des autres ou de la vie ou de la société parce que tu n'arrives pas à ton but, ton objectif. pour en arriver à nos rêves, il faut tous faire ce qu'on peut appeler des sacrifices. Oui. Mais si tu choisis ton sacrifice, tu es libre. Tu s'entends ? Mais pour être libre, c'est intérieur. Oui. Parce qu'on ne pourra pas jamais être libre à 100 dans la vie en général, dans la société, parce que justement, on vit en société. Et il y a des lois à suivre. Et il y a une crise de chance. il était placé le Christ, pour ceux qui n'aiment pas ça, qu'il y a des lois à suivre, une chance, sinon ça serait l'anarchie totale. Et encore là, on a le choix de suivre les lois ou pas. Mais si tu ne les suives pas, il y a des conséquences. Peu importe quoi. Un vieux sage m'a déjà dit il y a plusieurs années, quoi tu dises, quoi tu fasses, un jour ou l'autre, ça te revient en face. J'entends souvent des gens chialer contre la police. La police, tout après moi. Moi, avec, j'étais comme ça avant. J'ai été drôle depuis plus que 10 ans. Non. Et puis après moi, pas en tête, pas en tête, pas en tête. Non. Non. Et pourtant, c'est pas elle qui a lâché. C'est pas elle qui a changé. C'est moi qui a lâché le morceau. C'est moi qui s'est responsabilisé en tant qu'être humain, mais en tant qu'humain de société. Mais ma liberté intérieure, c'est ce qui compte le plus aujourd'hui pour moi. Ouais. Parce que pour tout ce qui est extérieur, je ne suis pas un arbre, comme l'expression dit. J'ai des jambes, je peux marcher, je peux me déplacer. Je ne suis pas bien dans une ville, dans une province, dans un pays. Mais peu importe où je vais aller, ma liberté intérieure va me suivre. et tant si longtemps que je n'ai pas été faire le ménage de mon passé. Et pour ceux qui me suivent, ce n'est pas la première fois que tu vas m'entendre dire ça, mais c'est ça pareil. J'ai beau chercher, mais c'est ça l'expérience que j'ai vécue et toutes les expériences des êtres humains que j'ai rencontrés, qui ont choisi de se responsabiliser pour avoir une vie heureuse, joyeuse et libre, il a fallu qu'on fasse un ménage avec le passé. Voilà. Il a fallu que j'accueille, pour en arriver à accepter et aimer le gars que je suis aujourd'hui, il a fallu que j'accueille et que j'apprenne à accepter le gars que j'ai été hier. Il y a 5 ans, il y a 10 ans, il y a 20 ans. Est-ce que je suis fier de toutes les bêtises, les souffrances que j'ai pu apporter aux autres ou à moi-même ? Bien non, pas en tout. Mais par contre, il a fallu que j'accueille et que j'accepte que ça a fait partie de mon passé. Pour pouvoir aimer ce gars-là qui était souffrant. j'ai jamais été méchant, j'étais souffrant. Alors ma souffrance faisait en sorte que j'avais des paroles blessantes, que j'avais des comportements blessants, que j'avais des attitudes, on va dire le vrai mot, de marde. Mais ce n'est pas parce que Simon est méchant, c'est parce que Simon était souffrant. Alors, il a fallu que j'accueille, que j'accepte pour pouvoir me respecter, m'aimer aujourd'hui. Pour pouvoir m'accueillir, m'accepter, m'aimer, me respecter demain. Ça commence aujourd'hui, mais si je veux commencer ça aujourd'hui, je ne peux pas faire comme si jamais rien ne s'était passé. Ben non, ben non C'est pour ça que ceux qui connaissent le programme des 12 étapes La quatrième et la cinquième étape est hyper importante Hyper importante Combien qu'il y a de gens dans ce programme-là qui font 1, 2, 3 Et qui sautent tout de suite à 8, 9 Il y en a qui font leur dixième étape mais n'ont jamais fait de quatrième étape Je peux apprendre à dire que tu fais pas la bonne chose Mais en même temps j'ai le goût de te dire que c'est un coup d'épée dans l'eau la deuxième étape elle dit je poursuis mon inventaire tu poursuis quoi si tu ne l'as pas fait ton inventaire la quatrième étape elle a la liberté il faut que je fasse ce que j'appelle un processus un processus de deuil un processus d'acceptation un processus d'amour dans le fond envers mon passé, envers les gens qui m'ont blessé, et envers moi-même. Il y a des choses que j'ai faites qui ne sont pas acceptables. Il y a des choses que je me suis fait faire qui ne sont pas acceptables. Par contre, j'en ai arrivé à accepter que ça fait partie de ma vie. Pourquoi justement que ces anciennes, on pourrait dire, émotions-là, sentiments, ressentiments, ces blessures-là, ces souffrances-là, font en sorte qu'ils dictent encore mes actions d'aujourd'hui, qui vont avoir un impact sur demain ? Alors tant et si longtemps qu'on fait les choses par rapport à la peur de penser ce qu'ils vont dire, ce qu'ils vont penser les autres, ben si je ne suis pas libre, tant et si longtemps que j'en veux encore à mon ex, à ma mère, à mon père au gouvernement, à Jean Charette, il fait longtemps qu'il est là lui, je ne serai pas libre. tant et aussi longtemps que je n'aurais pas évacué la tristesse, la colère que j'ai eue dans ma vie passée, je ne serais pas libre. Il y a une phrase que j'ai déjà entendue ou lue, je ne me souviens pas, et que je trouve merveilleuse, c'est pas du futur qu'on a peur, c'est de répéter le passé. Mais quand tu as réglé ton passé, quand tu as fait le ménage comme il faut, que tu es arrivé à l'accueillir, pour en arriver à accepter et aimer la personne que tu as été et la personne que tu es aujourd'hui, tu n'es plus dans la peur de répéter parce que tu as pris conscience. Mes cinq piliers que je travaille toujours avec, prise de conscience, observation, transformation, réparation et entretien. c'est ça la liberté mes amis la liberté c'est intérieur tant que je vais rester dans une job que j'aime pas mais qui est payante je suis pas libre tant que je vais poser des actions pour flasher, pour bien paraître pour faire partie d'eux ou pour être comme l'autre je suis pas libre Tant et aussi longtemps que je vais être dans la consommation, que ce soit alcool, drogue, gambling, le matériel, la pornographie, tant que je vais dépendre de la nourriture du travail des autres, je ne serai pas libre. Et je peux en prendre de dire que moi je suis libre à 100%, ou que non, ou que non. mais je sais que j'ai fait un tabarouette de bout. Ah oui, ah oui. Je suis pas mal plus libre que j'étais il y a cinq ans. Puis je suis pas mal plus libre que j'étais il y a un mois. Pourquoi ? Parce que je continue à m'entretenir avec mon cinquième pilier. Puis je ne suis pas plus smart que toi, pas en tout. C'est parce que je l'ai expérimenté. Je l'ai vécu. J'ai vécu c'était quoi d'être prisonnier de ses émotions, de ses ressentiments, des deuils non réglés. Des dépendances. Ça fait qu'aujourd'hui, moi, ce que je veux, c'est être libre. Être libre en dedans. Être libre dans ma tête. Que quand je me couche le soir, je me couche avec une conscience qu'elle est OK, qu'elle est correcte. Ça, ça ne veut pas dire que je n'ai jamais de préoccupations. Mais je n'ai plus de remords. Je n'ai plus de regrets. Je n'ai plus de culpabilité. ça fait pas de moi un être humain parfait ça fait encore moi un être humain parfaitement parfait mais qui est conscient qui a transformé et réparé mon passé pour bien vivre aujourd'hui alors c'est ce que je te souhaite de te responsabiliser envers ta liberté pas attendre après les autres qui te l'offrent ils ne pourront jamais te la donner il y a juste toi qui peux le faire je veux juste toi qui peut le faire au que quand tu te lèves le matin et quand tu te couches le soir tu dises hey je suis correct!! salut

Description

J'ai longtemps cru que la liberté était extérieur... Je peux t'assurer quelle est bien intérieur ❤️✌️


Le groupe FB #1 pour ceux et celles qui souffrent ou ont souffert de dépendances. Au delà de la dépendance, pour améliorer notre estime et notre confiance. Ce groupe t'aidera dans la gestion de tes émotions et surtout à améliorer ta relation avec toi-même et avec les autres. Avec mon humour unique et mon grand amour pour l'ÊTRE humain, moi Simon Desjardins t'aidera à dédramatiser et désensibiliser ton quotidien. Je te donnerai mon Plan De Match (trucs et outils) qui m’a permis d'avoir une vie heureuse, joyeuse et libre. https://www.facebook.com/groups/1626661324459048  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hey, salut et bienvenue sur la 30e émission du podcast T-CORRECT. Ça fait quelques mois que je n'ai pas fait d'émission, alors je suis vraiment fébrile, je suis vraiment content de te retrouver. Et pour cette 30e, on va parler de liberté. Et voilà, c'est parti, j'adore cette chanson ! ça me rappelle vraiment mon adolescence pour ceux peut-être qui joignent à nous peu importe aussi tu sais pas où que ça vient cette chanson là c'était un film qui s'appelait Pup Pup the volume c'était un gars qui faisait un genre de radio pirate Au collège, lycée, je ne sais pas trop. Mais en tout cas, c'était vraiment bon. J'ai appris ça de ça. Comme je disais tantôt, je suis content de te retrouver. J'ai envie de te parler de la liberté. C'est un sujet qui est au bout de les lèvres depuis plusieurs années. J'ai été longtemps à ne pas trop savoir c'était quoi la liberté. Moi, dans le temps que je consommais, la liberté, c'était moi, je fais ce que je veux, quand je veux. Il était un grand moment de ma vie où l'argent n'était pas un facteur, on va dire. ou même m'empêcher de consommer comme je voulais ou quoi que ce soit. Moi, je me disais, je suis libre, je fais ce que je veux, quand je veux. Puis ceux qui ne m'aiment pas, ils mangent la marde. J'avais aucune idée que tellement j'étais en prison, tellement j'étais emprisonné par ma dépendance à l'alcool, la drogue, le gambling, par ma dépendance affective de tellement avoir besoin que tu m'aimes. J'avais le discours. facile de dire ceux qui ne m'aiment pas qu'ils mangent de la marde dans le fond quand je disais ça c'était à moi que je disais de manger de la marde parce que moi je ne m'aimais pas moi je continuais à me scraper à m'étourdir à me geler à me saouler à me saboter moi-même. Évidemment, ce que ça faisait, c'est que j'avais des comportements qui faisaient en sorte que je sabotais mes relations avec les autres, que ce soit familial, amical, travail, peu importe. Et je pensais être libre à ce moment-là. Je m'aperçois que la liberté, ça va bien plus profond que faire ce qu'on veut, quand on veut. Ouais. On pourrait dire que ça, c'est une forme de liberté. La liberté, c'est quand je me responsabilise. Quand, à un moment donné, j'ai choisi de me responsabiliser envers mon bien-être. Quand j'ai décidé de me responsabiliser envers mes dépendances. Quand j'ai choisi le chemin de l'autonomie qui est le contraire de la dépendance. Quand je me suis responsabilisé en tant que père. de devenir plus un papa et non juste un pourvoyeur mais être là être plus présent être plus amour être plus écoute la liberté je l'acquéris de plus en plus en me responsabilisant envers on pourrait dire mon couple, être justement plus présent, être plus écoute, être plus respect. Mais tout ça, on s'entend que ça a commencé par moi. Plus que moi, j'ai été responsable envers le bien-être de Simon, plus j'ai commencé à être écoute, respect, que j'ai commencé tranquillement à être bon envers moi, parce qu'il y a de la bonté envers les autres, on en a souvent, mais envers soi, c'est une autre histoire. parce que je me suis aperçu que la liberté, c'est intérieur et non extérieur. Tu sais, on aura beau changer de pays, on aura beau changer de ville, on aura beau changer de blonde, de travail, de chum, nos parents, nos enfants, on ne peut pas les changer. Mais ce n'est pas ça la liberté. La liberté, c'est quand je vais me changer, quand je vais aller régler mon passé. Parce que peut-être que tu ne t'aperçois pas, peut-être que oui, peut-être que tu n'es pas conscient ou quoi que ce soit, mais mon passé a fait en sorte qu'il a empoisonné mon présent, qui faisait en sorte que mon futur allait être pas mal plus... boiteux, on va dire ça comme ça, qui allait être beaucoup moins... j'ai le mot authentique qui vient, mais l'authenticité, je vais en reparler, mais que mon futur allait être beaucoup moins, on pourrait dire, libre. On parle de liberté. Mais oui, de libre. La liberté. Et je parle pas de faire ce que je veux quand je veux. On a tous des responsabilités, on a tous des contraintes, que ce soit avec le travail, que ce soit dans notre budget, que ce soit peu importe quoi. Mais oui, mais c'est pas ça, être pas libre. Quand on dit, oui, je ne peux pas faire ça, je ne peux pas faire ça. Oui, mais la liberté, c'est de dire, OK, parfait, je vais arrêter de focusser sur le problème, je vais focusser sur la solution. Qu'est-ce que je peux mettre en place ? Qu'est-ce que je peux faire pour atteindre tel objectif ? Tel rêve. Et tant aussi longtemps que je suis sur ce chemin-là de vers mon projet, mon but, mon rêve, elle a ma liberté. Parce que la liberté, c'est de choisir. Je choisis de m'en aller vers là. Ça ne veut pas dire que je peux faire ce que je veux quand je veux. Non, ce n'est pas ça. Parce que oui, tu peux le faire. Oui, tu peux continuer à dire Moi, je fais ce que je veux quand je veux. Parfait. Après ça, tu ne te tapes pas sur la tête. Ou tu ne te tapes pas sur la tête des autres ou de la vie ou de la société parce que tu n'arrives pas à ton but, ton objectif. pour en arriver à nos rêves, il faut tous faire ce qu'on peut appeler des sacrifices. Oui. Mais si tu choisis ton sacrifice, tu es libre. Tu s'entends ? Mais pour être libre, c'est intérieur. Oui. Parce qu'on ne pourra pas jamais être libre à 100 dans la vie en général, dans la société, parce que justement, on vit en société. Et il y a des lois à suivre. Et il y a une crise de chance. il était placé le Christ, pour ceux qui n'aiment pas ça, qu'il y a des lois à suivre, une chance, sinon ça serait l'anarchie totale. Et encore là, on a le choix de suivre les lois ou pas. Mais si tu ne les suives pas, il y a des conséquences. Peu importe quoi. Un vieux sage m'a déjà dit il y a plusieurs années, quoi tu dises, quoi tu fasses, un jour ou l'autre, ça te revient en face. J'entends souvent des gens chialer contre la police. La police, tout après moi. Moi, avec, j'étais comme ça avant. J'ai été drôle depuis plus que 10 ans. Non. Et puis après moi, pas en tête, pas en tête, pas en tête. Non. Non. Et pourtant, c'est pas elle qui a lâché. C'est pas elle qui a changé. C'est moi qui a lâché le morceau. C'est moi qui s'est responsabilisé en tant qu'être humain, mais en tant qu'humain de société. Mais ma liberté intérieure, c'est ce qui compte le plus aujourd'hui pour moi. Ouais. Parce que pour tout ce qui est extérieur, je ne suis pas un arbre, comme l'expression dit. J'ai des jambes, je peux marcher, je peux me déplacer. Je ne suis pas bien dans une ville, dans une province, dans un pays. Mais peu importe où je vais aller, ma liberté intérieure va me suivre. et tant si longtemps que je n'ai pas été faire le ménage de mon passé. Et pour ceux qui me suivent, ce n'est pas la première fois que tu vas m'entendre dire ça, mais c'est ça pareil. J'ai beau chercher, mais c'est ça l'expérience que j'ai vécue et toutes les expériences des êtres humains que j'ai rencontrés, qui ont choisi de se responsabiliser pour avoir une vie heureuse, joyeuse et libre, il a fallu qu'on fasse un ménage avec le passé. Voilà. Il a fallu que j'accueille, pour en arriver à accepter et aimer le gars que je suis aujourd'hui, il a fallu que j'accueille et que j'apprenne à accepter le gars que j'ai été hier. Il y a 5 ans, il y a 10 ans, il y a 20 ans. Est-ce que je suis fier de toutes les bêtises, les souffrances que j'ai pu apporter aux autres ou à moi-même ? Bien non, pas en tout. Mais par contre, il a fallu que j'accueille et que j'accepte que ça a fait partie de mon passé. Pour pouvoir aimer ce gars-là qui était souffrant. j'ai jamais été méchant, j'étais souffrant. Alors ma souffrance faisait en sorte que j'avais des paroles blessantes, que j'avais des comportements blessants, que j'avais des attitudes, on va dire le vrai mot, de marde. Mais ce n'est pas parce que Simon est méchant, c'est parce que Simon était souffrant. Alors, il a fallu que j'accueille, que j'accepte pour pouvoir me respecter, m'aimer aujourd'hui. Pour pouvoir m'accueillir, m'accepter, m'aimer, me respecter demain. Ça commence aujourd'hui, mais si je veux commencer ça aujourd'hui, je ne peux pas faire comme si jamais rien ne s'était passé. Ben non, ben non C'est pour ça que ceux qui connaissent le programme des 12 étapes La quatrième et la cinquième étape est hyper importante Hyper importante Combien qu'il y a de gens dans ce programme-là qui font 1, 2, 3 Et qui sautent tout de suite à 8, 9 Il y en a qui font leur dixième étape mais n'ont jamais fait de quatrième étape Je peux apprendre à dire que tu fais pas la bonne chose Mais en même temps j'ai le goût de te dire que c'est un coup d'épée dans l'eau la deuxième étape elle dit je poursuis mon inventaire tu poursuis quoi si tu ne l'as pas fait ton inventaire la quatrième étape elle a la liberté il faut que je fasse ce que j'appelle un processus un processus de deuil un processus d'acceptation un processus d'amour dans le fond envers mon passé, envers les gens qui m'ont blessé, et envers moi-même. Il y a des choses que j'ai faites qui ne sont pas acceptables. Il y a des choses que je me suis fait faire qui ne sont pas acceptables. Par contre, j'en ai arrivé à accepter que ça fait partie de ma vie. Pourquoi justement que ces anciennes, on pourrait dire, émotions-là, sentiments, ressentiments, ces blessures-là, ces souffrances-là, font en sorte qu'ils dictent encore mes actions d'aujourd'hui, qui vont avoir un impact sur demain ? Alors tant et si longtemps qu'on fait les choses par rapport à la peur de penser ce qu'ils vont dire, ce qu'ils vont penser les autres, ben si je ne suis pas libre, tant et si longtemps que j'en veux encore à mon ex, à ma mère, à mon père au gouvernement, à Jean Charette, il fait longtemps qu'il est là lui, je ne serai pas libre. tant et aussi longtemps que je n'aurais pas évacué la tristesse, la colère que j'ai eue dans ma vie passée, je ne serais pas libre. Il y a une phrase que j'ai déjà entendue ou lue, je ne me souviens pas, et que je trouve merveilleuse, c'est pas du futur qu'on a peur, c'est de répéter le passé. Mais quand tu as réglé ton passé, quand tu as fait le ménage comme il faut, que tu es arrivé à l'accueillir, pour en arriver à accepter et aimer la personne que tu as été et la personne que tu es aujourd'hui, tu n'es plus dans la peur de répéter parce que tu as pris conscience. Mes cinq piliers que je travaille toujours avec, prise de conscience, observation, transformation, réparation et entretien. c'est ça la liberté mes amis la liberté c'est intérieur tant que je vais rester dans une job que j'aime pas mais qui est payante je suis pas libre tant que je vais poser des actions pour flasher, pour bien paraître pour faire partie d'eux ou pour être comme l'autre je suis pas libre Tant et aussi longtemps que je vais être dans la consommation, que ce soit alcool, drogue, gambling, le matériel, la pornographie, tant que je vais dépendre de la nourriture du travail des autres, je ne serai pas libre. Et je peux en prendre de dire que moi je suis libre à 100%, ou que non, ou que non. mais je sais que j'ai fait un tabarouette de bout. Ah oui, ah oui. Je suis pas mal plus libre que j'étais il y a cinq ans. Puis je suis pas mal plus libre que j'étais il y a un mois. Pourquoi ? Parce que je continue à m'entretenir avec mon cinquième pilier. Puis je ne suis pas plus smart que toi, pas en tout. C'est parce que je l'ai expérimenté. Je l'ai vécu. J'ai vécu c'était quoi d'être prisonnier de ses émotions, de ses ressentiments, des deuils non réglés. Des dépendances. Ça fait qu'aujourd'hui, moi, ce que je veux, c'est être libre. Être libre en dedans. Être libre dans ma tête. Que quand je me couche le soir, je me couche avec une conscience qu'elle est OK, qu'elle est correcte. Ça, ça ne veut pas dire que je n'ai jamais de préoccupations. Mais je n'ai plus de remords. Je n'ai plus de regrets. Je n'ai plus de culpabilité. ça fait pas de moi un être humain parfait ça fait encore moi un être humain parfaitement parfait mais qui est conscient qui a transformé et réparé mon passé pour bien vivre aujourd'hui alors c'est ce que je te souhaite de te responsabiliser envers ta liberté pas attendre après les autres qui te l'offrent ils ne pourront jamais te la donner il y a juste toi qui peux le faire je veux juste toi qui peut le faire au que quand tu te lèves le matin et quand tu te couches le soir tu dises hey je suis correct!! salut

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J'ai longtemps cru que la liberté était extérieur... Je peux t'assurer quelle est bien intérieur ❤️✌️


Le groupe FB #1 pour ceux et celles qui souffrent ou ont souffert de dépendances. Au delà de la dépendance, pour améliorer notre estime et notre confiance. Ce groupe t'aidera dans la gestion de tes émotions et surtout à améliorer ta relation avec toi-même et avec les autres. Avec mon humour unique et mon grand amour pour l'ÊTRE humain, moi Simon Desjardins t'aidera à dédramatiser et désensibiliser ton quotidien. Je te donnerai mon Plan De Match (trucs et outils) qui m’a permis d'avoir une vie heureuse, joyeuse et libre. https://www.facebook.com/groups/1626661324459048  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Hey, salut et bienvenue sur la 30e émission du podcast T-CORRECT. Ça fait quelques mois que je n'ai pas fait d'émission, alors je suis vraiment fébrile, je suis vraiment content de te retrouver. Et pour cette 30e, on va parler de liberté. Et voilà, c'est parti, j'adore cette chanson ! ça me rappelle vraiment mon adolescence pour ceux peut-être qui joignent à nous peu importe aussi tu sais pas où que ça vient cette chanson là c'était un film qui s'appelait Pup Pup the volume c'était un gars qui faisait un genre de radio pirate Au collège, lycée, je ne sais pas trop. Mais en tout cas, c'était vraiment bon. J'ai appris ça de ça. Comme je disais tantôt, je suis content de te retrouver. J'ai envie de te parler de la liberté. C'est un sujet qui est au bout de les lèvres depuis plusieurs années. J'ai été longtemps à ne pas trop savoir c'était quoi la liberté. Moi, dans le temps que je consommais, la liberté, c'était moi, je fais ce que je veux, quand je veux. Il était un grand moment de ma vie où l'argent n'était pas un facteur, on va dire. ou même m'empêcher de consommer comme je voulais ou quoi que ce soit. Moi, je me disais, je suis libre, je fais ce que je veux, quand je veux. Puis ceux qui ne m'aiment pas, ils mangent la marde. J'avais aucune idée que tellement j'étais en prison, tellement j'étais emprisonné par ma dépendance à l'alcool, la drogue, le gambling, par ma dépendance affective de tellement avoir besoin que tu m'aimes. J'avais le discours. facile de dire ceux qui ne m'aiment pas qu'ils mangent de la marde dans le fond quand je disais ça c'était à moi que je disais de manger de la marde parce que moi je ne m'aimais pas moi je continuais à me scraper à m'étourdir à me geler à me saouler à me saboter moi-même. Évidemment, ce que ça faisait, c'est que j'avais des comportements qui faisaient en sorte que je sabotais mes relations avec les autres, que ce soit familial, amical, travail, peu importe. Et je pensais être libre à ce moment-là. Je m'aperçois que la liberté, ça va bien plus profond que faire ce qu'on veut, quand on veut. Ouais. On pourrait dire que ça, c'est une forme de liberté. La liberté, c'est quand je me responsabilise. Quand, à un moment donné, j'ai choisi de me responsabiliser envers mon bien-être. Quand j'ai décidé de me responsabiliser envers mes dépendances. Quand j'ai choisi le chemin de l'autonomie qui est le contraire de la dépendance. Quand je me suis responsabilisé en tant que père. de devenir plus un papa et non juste un pourvoyeur mais être là être plus présent être plus amour être plus écoute la liberté je l'acquéris de plus en plus en me responsabilisant envers on pourrait dire mon couple, être justement plus présent, être plus écoute, être plus respect. Mais tout ça, on s'entend que ça a commencé par moi. Plus que moi, j'ai été responsable envers le bien-être de Simon, plus j'ai commencé à être écoute, respect, que j'ai commencé tranquillement à être bon envers moi, parce qu'il y a de la bonté envers les autres, on en a souvent, mais envers soi, c'est une autre histoire. parce que je me suis aperçu que la liberté, c'est intérieur et non extérieur. Tu sais, on aura beau changer de pays, on aura beau changer de ville, on aura beau changer de blonde, de travail, de chum, nos parents, nos enfants, on ne peut pas les changer. Mais ce n'est pas ça la liberté. La liberté, c'est quand je vais me changer, quand je vais aller régler mon passé. Parce que peut-être que tu ne t'aperçois pas, peut-être que oui, peut-être que tu n'es pas conscient ou quoi que ce soit, mais mon passé a fait en sorte qu'il a empoisonné mon présent, qui faisait en sorte que mon futur allait être pas mal plus... boiteux, on va dire ça comme ça, qui allait être beaucoup moins... j'ai le mot authentique qui vient, mais l'authenticité, je vais en reparler, mais que mon futur allait être beaucoup moins, on pourrait dire, libre. On parle de liberté. Mais oui, de libre. La liberté. Et je parle pas de faire ce que je veux quand je veux. On a tous des responsabilités, on a tous des contraintes, que ce soit avec le travail, que ce soit dans notre budget, que ce soit peu importe quoi. Mais oui, mais c'est pas ça, être pas libre. Quand on dit, oui, je ne peux pas faire ça, je ne peux pas faire ça. Oui, mais la liberté, c'est de dire, OK, parfait, je vais arrêter de focusser sur le problème, je vais focusser sur la solution. Qu'est-ce que je peux mettre en place ? Qu'est-ce que je peux faire pour atteindre tel objectif ? Tel rêve. Et tant aussi longtemps que je suis sur ce chemin-là de vers mon projet, mon but, mon rêve, elle a ma liberté. Parce que la liberté, c'est de choisir. Je choisis de m'en aller vers là. Ça ne veut pas dire que je peux faire ce que je veux quand je veux. Non, ce n'est pas ça. Parce que oui, tu peux le faire. Oui, tu peux continuer à dire Moi, je fais ce que je veux quand je veux. Parfait. Après ça, tu ne te tapes pas sur la tête. Ou tu ne te tapes pas sur la tête des autres ou de la vie ou de la société parce que tu n'arrives pas à ton but, ton objectif. pour en arriver à nos rêves, il faut tous faire ce qu'on peut appeler des sacrifices. Oui. Mais si tu choisis ton sacrifice, tu es libre. Tu s'entends ? Mais pour être libre, c'est intérieur. Oui. Parce qu'on ne pourra pas jamais être libre à 100 dans la vie en général, dans la société, parce que justement, on vit en société. Et il y a des lois à suivre. Et il y a une crise de chance. il était placé le Christ, pour ceux qui n'aiment pas ça, qu'il y a des lois à suivre, une chance, sinon ça serait l'anarchie totale. Et encore là, on a le choix de suivre les lois ou pas. Mais si tu ne les suives pas, il y a des conséquences. Peu importe quoi. Un vieux sage m'a déjà dit il y a plusieurs années, quoi tu dises, quoi tu fasses, un jour ou l'autre, ça te revient en face. J'entends souvent des gens chialer contre la police. La police, tout après moi. Moi, avec, j'étais comme ça avant. J'ai été drôle depuis plus que 10 ans. Non. Et puis après moi, pas en tête, pas en tête, pas en tête. Non. Non. Et pourtant, c'est pas elle qui a lâché. C'est pas elle qui a changé. C'est moi qui a lâché le morceau. C'est moi qui s'est responsabilisé en tant qu'être humain, mais en tant qu'humain de société. Mais ma liberté intérieure, c'est ce qui compte le plus aujourd'hui pour moi. Ouais. Parce que pour tout ce qui est extérieur, je ne suis pas un arbre, comme l'expression dit. J'ai des jambes, je peux marcher, je peux me déplacer. Je ne suis pas bien dans une ville, dans une province, dans un pays. Mais peu importe où je vais aller, ma liberté intérieure va me suivre. et tant si longtemps que je n'ai pas été faire le ménage de mon passé. Et pour ceux qui me suivent, ce n'est pas la première fois que tu vas m'entendre dire ça, mais c'est ça pareil. J'ai beau chercher, mais c'est ça l'expérience que j'ai vécue et toutes les expériences des êtres humains que j'ai rencontrés, qui ont choisi de se responsabiliser pour avoir une vie heureuse, joyeuse et libre, il a fallu qu'on fasse un ménage avec le passé. Voilà. Il a fallu que j'accueille, pour en arriver à accepter et aimer le gars que je suis aujourd'hui, il a fallu que j'accueille et que j'apprenne à accepter le gars que j'ai été hier. Il y a 5 ans, il y a 10 ans, il y a 20 ans. Est-ce que je suis fier de toutes les bêtises, les souffrances que j'ai pu apporter aux autres ou à moi-même ? Bien non, pas en tout. Mais par contre, il a fallu que j'accueille et que j'accepte que ça a fait partie de mon passé. Pour pouvoir aimer ce gars-là qui était souffrant. j'ai jamais été méchant, j'étais souffrant. Alors ma souffrance faisait en sorte que j'avais des paroles blessantes, que j'avais des comportements blessants, que j'avais des attitudes, on va dire le vrai mot, de marde. Mais ce n'est pas parce que Simon est méchant, c'est parce que Simon était souffrant. Alors, il a fallu que j'accueille, que j'accepte pour pouvoir me respecter, m'aimer aujourd'hui. Pour pouvoir m'accueillir, m'accepter, m'aimer, me respecter demain. Ça commence aujourd'hui, mais si je veux commencer ça aujourd'hui, je ne peux pas faire comme si jamais rien ne s'était passé. Ben non, ben non C'est pour ça que ceux qui connaissent le programme des 12 étapes La quatrième et la cinquième étape est hyper importante Hyper importante Combien qu'il y a de gens dans ce programme-là qui font 1, 2, 3 Et qui sautent tout de suite à 8, 9 Il y en a qui font leur dixième étape mais n'ont jamais fait de quatrième étape Je peux apprendre à dire que tu fais pas la bonne chose Mais en même temps j'ai le goût de te dire que c'est un coup d'épée dans l'eau la deuxième étape elle dit je poursuis mon inventaire tu poursuis quoi si tu ne l'as pas fait ton inventaire la quatrième étape elle a la liberté il faut que je fasse ce que j'appelle un processus un processus de deuil un processus d'acceptation un processus d'amour dans le fond envers mon passé, envers les gens qui m'ont blessé, et envers moi-même. Il y a des choses que j'ai faites qui ne sont pas acceptables. Il y a des choses que je me suis fait faire qui ne sont pas acceptables. Par contre, j'en ai arrivé à accepter que ça fait partie de ma vie. Pourquoi justement que ces anciennes, on pourrait dire, émotions-là, sentiments, ressentiments, ces blessures-là, ces souffrances-là, font en sorte qu'ils dictent encore mes actions d'aujourd'hui, qui vont avoir un impact sur demain ? Alors tant et si longtemps qu'on fait les choses par rapport à la peur de penser ce qu'ils vont dire, ce qu'ils vont penser les autres, ben si je ne suis pas libre, tant et si longtemps que j'en veux encore à mon ex, à ma mère, à mon père au gouvernement, à Jean Charette, il fait longtemps qu'il est là lui, je ne serai pas libre. tant et aussi longtemps que je n'aurais pas évacué la tristesse, la colère que j'ai eue dans ma vie passée, je ne serais pas libre. Il y a une phrase que j'ai déjà entendue ou lue, je ne me souviens pas, et que je trouve merveilleuse, c'est pas du futur qu'on a peur, c'est de répéter le passé. Mais quand tu as réglé ton passé, quand tu as fait le ménage comme il faut, que tu es arrivé à l'accueillir, pour en arriver à accepter et aimer la personne que tu as été et la personne que tu es aujourd'hui, tu n'es plus dans la peur de répéter parce que tu as pris conscience. Mes cinq piliers que je travaille toujours avec, prise de conscience, observation, transformation, réparation et entretien. c'est ça la liberté mes amis la liberté c'est intérieur tant que je vais rester dans une job que j'aime pas mais qui est payante je suis pas libre tant que je vais poser des actions pour flasher, pour bien paraître pour faire partie d'eux ou pour être comme l'autre je suis pas libre Tant et aussi longtemps que je vais être dans la consommation, que ce soit alcool, drogue, gambling, le matériel, la pornographie, tant que je vais dépendre de la nourriture du travail des autres, je ne serai pas libre. Et je peux en prendre de dire que moi je suis libre à 100%, ou que non, ou que non. mais je sais que j'ai fait un tabarouette de bout. Ah oui, ah oui. Je suis pas mal plus libre que j'étais il y a cinq ans. Puis je suis pas mal plus libre que j'étais il y a un mois. Pourquoi ? Parce que je continue à m'entretenir avec mon cinquième pilier. Puis je ne suis pas plus smart que toi, pas en tout. C'est parce que je l'ai expérimenté. Je l'ai vécu. J'ai vécu c'était quoi d'être prisonnier de ses émotions, de ses ressentiments, des deuils non réglés. Des dépendances. Ça fait qu'aujourd'hui, moi, ce que je veux, c'est être libre. Être libre en dedans. Être libre dans ma tête. Que quand je me couche le soir, je me couche avec une conscience qu'elle est OK, qu'elle est correcte. Ça, ça ne veut pas dire que je n'ai jamais de préoccupations. Mais je n'ai plus de remords. Je n'ai plus de regrets. Je n'ai plus de culpabilité. ça fait pas de moi un être humain parfait ça fait encore moi un être humain parfaitement parfait mais qui est conscient qui a transformé et réparé mon passé pour bien vivre aujourd'hui alors c'est ce que je te souhaite de te responsabiliser envers ta liberté pas attendre après les autres qui te l'offrent ils ne pourront jamais te la donner il y a juste toi qui peux le faire je veux juste toi qui peut le faire au que quand tu te lèves le matin et quand tu te couches le soir tu dises hey je suis correct!! salut

Description

J'ai longtemps cru que la liberté était extérieur... Je peux t'assurer quelle est bien intérieur ❤️✌️


Le groupe FB #1 pour ceux et celles qui souffrent ou ont souffert de dépendances. Au delà de la dépendance, pour améliorer notre estime et notre confiance. Ce groupe t'aidera dans la gestion de tes émotions et surtout à améliorer ta relation avec toi-même et avec les autres. Avec mon humour unique et mon grand amour pour l'ÊTRE humain, moi Simon Desjardins t'aidera à dédramatiser et désensibiliser ton quotidien. Je te donnerai mon Plan De Match (trucs et outils) qui m’a permis d'avoir une vie heureuse, joyeuse et libre. https://www.facebook.com/groups/1626661324459048  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hey, salut et bienvenue sur la 30e émission du podcast T-CORRECT. Ça fait quelques mois que je n'ai pas fait d'émission, alors je suis vraiment fébrile, je suis vraiment content de te retrouver. Et pour cette 30e, on va parler de liberté. Et voilà, c'est parti, j'adore cette chanson ! ça me rappelle vraiment mon adolescence pour ceux peut-être qui joignent à nous peu importe aussi tu sais pas où que ça vient cette chanson là c'était un film qui s'appelait Pup Pup the volume c'était un gars qui faisait un genre de radio pirate Au collège, lycée, je ne sais pas trop. Mais en tout cas, c'était vraiment bon. J'ai appris ça de ça. Comme je disais tantôt, je suis content de te retrouver. J'ai envie de te parler de la liberté. C'est un sujet qui est au bout de les lèvres depuis plusieurs années. J'ai été longtemps à ne pas trop savoir c'était quoi la liberté. Moi, dans le temps que je consommais, la liberté, c'était moi, je fais ce que je veux, quand je veux. Il était un grand moment de ma vie où l'argent n'était pas un facteur, on va dire. ou même m'empêcher de consommer comme je voulais ou quoi que ce soit. Moi, je me disais, je suis libre, je fais ce que je veux, quand je veux. Puis ceux qui ne m'aiment pas, ils mangent la marde. J'avais aucune idée que tellement j'étais en prison, tellement j'étais emprisonné par ma dépendance à l'alcool, la drogue, le gambling, par ma dépendance affective de tellement avoir besoin que tu m'aimes. J'avais le discours. facile de dire ceux qui ne m'aiment pas qu'ils mangent de la marde dans le fond quand je disais ça c'était à moi que je disais de manger de la marde parce que moi je ne m'aimais pas moi je continuais à me scraper à m'étourdir à me geler à me saouler à me saboter moi-même. Évidemment, ce que ça faisait, c'est que j'avais des comportements qui faisaient en sorte que je sabotais mes relations avec les autres, que ce soit familial, amical, travail, peu importe. Et je pensais être libre à ce moment-là. Je m'aperçois que la liberté, ça va bien plus profond que faire ce qu'on veut, quand on veut. Ouais. On pourrait dire que ça, c'est une forme de liberté. La liberté, c'est quand je me responsabilise. Quand, à un moment donné, j'ai choisi de me responsabiliser envers mon bien-être. Quand j'ai décidé de me responsabiliser envers mes dépendances. Quand j'ai choisi le chemin de l'autonomie qui est le contraire de la dépendance. Quand je me suis responsabilisé en tant que père. de devenir plus un papa et non juste un pourvoyeur mais être là être plus présent être plus amour être plus écoute la liberté je l'acquéris de plus en plus en me responsabilisant envers on pourrait dire mon couple, être justement plus présent, être plus écoute, être plus respect. Mais tout ça, on s'entend que ça a commencé par moi. Plus que moi, j'ai été responsable envers le bien-être de Simon, plus j'ai commencé à être écoute, respect, que j'ai commencé tranquillement à être bon envers moi, parce qu'il y a de la bonté envers les autres, on en a souvent, mais envers soi, c'est une autre histoire. parce que je me suis aperçu que la liberté, c'est intérieur et non extérieur. Tu sais, on aura beau changer de pays, on aura beau changer de ville, on aura beau changer de blonde, de travail, de chum, nos parents, nos enfants, on ne peut pas les changer. Mais ce n'est pas ça la liberté. La liberté, c'est quand je vais me changer, quand je vais aller régler mon passé. Parce que peut-être que tu ne t'aperçois pas, peut-être que oui, peut-être que tu n'es pas conscient ou quoi que ce soit, mais mon passé a fait en sorte qu'il a empoisonné mon présent, qui faisait en sorte que mon futur allait être pas mal plus... boiteux, on va dire ça comme ça, qui allait être beaucoup moins... j'ai le mot authentique qui vient, mais l'authenticité, je vais en reparler, mais que mon futur allait être beaucoup moins, on pourrait dire, libre. On parle de liberté. Mais oui, de libre. La liberté. Et je parle pas de faire ce que je veux quand je veux. On a tous des responsabilités, on a tous des contraintes, que ce soit avec le travail, que ce soit dans notre budget, que ce soit peu importe quoi. Mais oui, mais c'est pas ça, être pas libre. Quand on dit, oui, je ne peux pas faire ça, je ne peux pas faire ça. Oui, mais la liberté, c'est de dire, OK, parfait, je vais arrêter de focusser sur le problème, je vais focusser sur la solution. Qu'est-ce que je peux mettre en place ? Qu'est-ce que je peux faire pour atteindre tel objectif ? Tel rêve. Et tant aussi longtemps que je suis sur ce chemin-là de vers mon projet, mon but, mon rêve, elle a ma liberté. Parce que la liberté, c'est de choisir. Je choisis de m'en aller vers là. Ça ne veut pas dire que je peux faire ce que je veux quand je veux. Non, ce n'est pas ça. Parce que oui, tu peux le faire. Oui, tu peux continuer à dire Moi, je fais ce que je veux quand je veux. Parfait. Après ça, tu ne te tapes pas sur la tête. Ou tu ne te tapes pas sur la tête des autres ou de la vie ou de la société parce que tu n'arrives pas à ton but, ton objectif. pour en arriver à nos rêves, il faut tous faire ce qu'on peut appeler des sacrifices. Oui. Mais si tu choisis ton sacrifice, tu es libre. Tu s'entends ? Mais pour être libre, c'est intérieur. Oui. Parce qu'on ne pourra pas jamais être libre à 100 dans la vie en général, dans la société, parce que justement, on vit en société. Et il y a des lois à suivre. Et il y a une crise de chance. il était placé le Christ, pour ceux qui n'aiment pas ça, qu'il y a des lois à suivre, une chance, sinon ça serait l'anarchie totale. Et encore là, on a le choix de suivre les lois ou pas. Mais si tu ne les suives pas, il y a des conséquences. Peu importe quoi. Un vieux sage m'a déjà dit il y a plusieurs années, quoi tu dises, quoi tu fasses, un jour ou l'autre, ça te revient en face. J'entends souvent des gens chialer contre la police. La police, tout après moi. Moi, avec, j'étais comme ça avant. J'ai été drôle depuis plus que 10 ans. Non. Et puis après moi, pas en tête, pas en tête, pas en tête. Non. Non. Et pourtant, c'est pas elle qui a lâché. C'est pas elle qui a changé. C'est moi qui a lâché le morceau. C'est moi qui s'est responsabilisé en tant qu'être humain, mais en tant qu'humain de société. Mais ma liberté intérieure, c'est ce qui compte le plus aujourd'hui pour moi. Ouais. Parce que pour tout ce qui est extérieur, je ne suis pas un arbre, comme l'expression dit. J'ai des jambes, je peux marcher, je peux me déplacer. Je ne suis pas bien dans une ville, dans une province, dans un pays. Mais peu importe où je vais aller, ma liberté intérieure va me suivre. et tant si longtemps que je n'ai pas été faire le ménage de mon passé. Et pour ceux qui me suivent, ce n'est pas la première fois que tu vas m'entendre dire ça, mais c'est ça pareil. J'ai beau chercher, mais c'est ça l'expérience que j'ai vécue et toutes les expériences des êtres humains que j'ai rencontrés, qui ont choisi de se responsabiliser pour avoir une vie heureuse, joyeuse et libre, il a fallu qu'on fasse un ménage avec le passé. Voilà. Il a fallu que j'accueille, pour en arriver à accepter et aimer le gars que je suis aujourd'hui, il a fallu que j'accueille et que j'apprenne à accepter le gars que j'ai été hier. Il y a 5 ans, il y a 10 ans, il y a 20 ans. Est-ce que je suis fier de toutes les bêtises, les souffrances que j'ai pu apporter aux autres ou à moi-même ? Bien non, pas en tout. Mais par contre, il a fallu que j'accueille et que j'accepte que ça a fait partie de mon passé. Pour pouvoir aimer ce gars-là qui était souffrant. j'ai jamais été méchant, j'étais souffrant. Alors ma souffrance faisait en sorte que j'avais des paroles blessantes, que j'avais des comportements blessants, que j'avais des attitudes, on va dire le vrai mot, de marde. Mais ce n'est pas parce que Simon est méchant, c'est parce que Simon était souffrant. Alors, il a fallu que j'accueille, que j'accepte pour pouvoir me respecter, m'aimer aujourd'hui. Pour pouvoir m'accueillir, m'accepter, m'aimer, me respecter demain. Ça commence aujourd'hui, mais si je veux commencer ça aujourd'hui, je ne peux pas faire comme si jamais rien ne s'était passé. Ben non, ben non C'est pour ça que ceux qui connaissent le programme des 12 étapes La quatrième et la cinquième étape est hyper importante Hyper importante Combien qu'il y a de gens dans ce programme-là qui font 1, 2, 3 Et qui sautent tout de suite à 8, 9 Il y en a qui font leur dixième étape mais n'ont jamais fait de quatrième étape Je peux apprendre à dire que tu fais pas la bonne chose Mais en même temps j'ai le goût de te dire que c'est un coup d'épée dans l'eau la deuxième étape elle dit je poursuis mon inventaire tu poursuis quoi si tu ne l'as pas fait ton inventaire la quatrième étape elle a la liberté il faut que je fasse ce que j'appelle un processus un processus de deuil un processus d'acceptation un processus d'amour dans le fond envers mon passé, envers les gens qui m'ont blessé, et envers moi-même. Il y a des choses que j'ai faites qui ne sont pas acceptables. Il y a des choses que je me suis fait faire qui ne sont pas acceptables. Par contre, j'en ai arrivé à accepter que ça fait partie de ma vie. Pourquoi justement que ces anciennes, on pourrait dire, émotions-là, sentiments, ressentiments, ces blessures-là, ces souffrances-là, font en sorte qu'ils dictent encore mes actions d'aujourd'hui, qui vont avoir un impact sur demain ? Alors tant et si longtemps qu'on fait les choses par rapport à la peur de penser ce qu'ils vont dire, ce qu'ils vont penser les autres, ben si je ne suis pas libre, tant et si longtemps que j'en veux encore à mon ex, à ma mère, à mon père au gouvernement, à Jean Charette, il fait longtemps qu'il est là lui, je ne serai pas libre. tant et aussi longtemps que je n'aurais pas évacué la tristesse, la colère que j'ai eue dans ma vie passée, je ne serais pas libre. Il y a une phrase que j'ai déjà entendue ou lue, je ne me souviens pas, et que je trouve merveilleuse, c'est pas du futur qu'on a peur, c'est de répéter le passé. Mais quand tu as réglé ton passé, quand tu as fait le ménage comme il faut, que tu es arrivé à l'accueillir, pour en arriver à accepter et aimer la personne que tu as été et la personne que tu es aujourd'hui, tu n'es plus dans la peur de répéter parce que tu as pris conscience. Mes cinq piliers que je travaille toujours avec, prise de conscience, observation, transformation, réparation et entretien. c'est ça la liberté mes amis la liberté c'est intérieur tant que je vais rester dans une job que j'aime pas mais qui est payante je suis pas libre tant que je vais poser des actions pour flasher, pour bien paraître pour faire partie d'eux ou pour être comme l'autre je suis pas libre Tant et aussi longtemps que je vais être dans la consommation, que ce soit alcool, drogue, gambling, le matériel, la pornographie, tant que je vais dépendre de la nourriture du travail des autres, je ne serai pas libre. Et je peux en prendre de dire que moi je suis libre à 100%, ou que non, ou que non. mais je sais que j'ai fait un tabarouette de bout. Ah oui, ah oui. Je suis pas mal plus libre que j'étais il y a cinq ans. Puis je suis pas mal plus libre que j'étais il y a un mois. Pourquoi ? Parce que je continue à m'entretenir avec mon cinquième pilier. Puis je ne suis pas plus smart que toi, pas en tout. C'est parce que je l'ai expérimenté. Je l'ai vécu. J'ai vécu c'était quoi d'être prisonnier de ses émotions, de ses ressentiments, des deuils non réglés. Des dépendances. Ça fait qu'aujourd'hui, moi, ce que je veux, c'est être libre. Être libre en dedans. Être libre dans ma tête. Que quand je me couche le soir, je me couche avec une conscience qu'elle est OK, qu'elle est correcte. Ça, ça ne veut pas dire que je n'ai jamais de préoccupations. Mais je n'ai plus de remords. Je n'ai plus de regrets. Je n'ai plus de culpabilité. ça fait pas de moi un être humain parfait ça fait encore moi un être humain parfaitement parfait mais qui est conscient qui a transformé et réparé mon passé pour bien vivre aujourd'hui alors c'est ce que je te souhaite de te responsabiliser envers ta liberté pas attendre après les autres qui te l'offrent ils ne pourront jamais te la donner il y a juste toi qui peux le faire je veux juste toi qui peut le faire au que quand tu te lèves le matin et quand tu te couches le soir tu dises hey je suis correct!! salut

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