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T-CORRECT

Épisode 53: Vivre sa vérité: L'importance de l'authenticité pour un bonheur épanouissant

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16min |19/11/2025|

18

Play
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16min |19/11/2025|

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Description

Êtes-vous vraiment en train de vivre votre vérité ou vous cachez-vous derrière des masques pour plaire aux autres ? Dans cet épisode captivant de T-CORRECT, Simon Desjardins nous plonge au cœur des enjeux de la vérité et de l'authenticité. Il aborde la peur qui empêche tant de personnes de nommer ce qu'elles ressentent ou de vivre pleinement leurs désirs. Cette peur, souvent liée au jugement et à la critique, peut nous enfermer dans des rôles qui ne nous ressemblent pas. Simon nous invite à réfléchir sur notre propre vie, nos relations et notre bonheur, tout en soulignant l'importance d'être vrai envers soi-même.


À travers son expérience personnelle, Simon partage comment il a longtemps joué des rôles pour satisfaire les attentes des autres, souvent au détriment de sa propre vérité. Il nous rappelle que choisir la vérité, même lorsque cela semble inconfortable, est la clé d'une vie authentique et épanouissante. Dans cet épisode de T-CORRECT, vous découvrirez comment la reconnaissance et l'acceptation des autres peuvent nous pousser à ignorer nos propres besoins et désirs. Simon nous encourage à poser des questions essentielles : Qu'est-ce qui nous empêche d'être authentiques ? Comment pouvons-nous surmonter notre peur du jugement ?


En explorant ces thèmes, Simon nous incite à embrasser notre vérité, car vivre selon nos propres valeurs est essentiel pour atteindre le bonheur et la liberté. Cet épisode est un véritable appel à l'action pour tous ceux qui souhaitent se libérer des chaînes du conformisme et des attentes extérieures. En écoutant T-CORRECT, vous serez inspiré à faire face à vos peurs et à vous engager sur le chemin de l'authenticité.


C'est le moment de choisir la vérité et de vous épanouir dans votre vie personnelle et professionnelle. Ensemble, faisons de l'authenticité une priorité et libérons-nous des attentes des autres !


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Le simple programme (les douze étapes expliquées)

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Simon Desjardins

    Hey, salut ! Bienvenue sur le podcast T'es correct, j'avais envie de te parler de la vérité, hein ? Pourquoi qu'on a peur de nommer ce qu'on ressent ? Pourquoi qu'on a peur de nommer ce qu'on a envie de vivre ? On en parle après ceci. Ici Simon, bienvenue sur T'es correct, le podcast qui te parle avec authenticité, sans détour, mais surtout sans bullshit. Juste toi. moi, puis des outils pour retrouver la paix. T'aimer un peu plus, puis surtout pour te dire que t'es correct. Merci d'être à l'écoute. Oui, cette fameuse peur de dire la vérité. Pourquoi souvent on a peur ? Bien, c'est simple, puis j'en parle souvent. On va avoir peur du jugement des autres, de la critique des autres. On va avoir peur d'être rejeté, d'être abandonné. Excusez-moi de ne pas être aimé, de ne pas être... à la hauteur, peu importe les peurs qu'on a. Et tu sais quoi ? Nous, les êtres humains, on cherche toujours de la reconnaissance. On cherche toujours à être accepté, à être aimé, à être écouté, à être sollicité, à être quelqu'un. Tu sais, tout le monde veut être quelqu'un pour quelqu'un et on oublie souvent d'être quelqu'un pour soi. Alors, inconsciemment, on devient quelqu'un souvent pour les autres. Mais ce qu'on pense que les autres attendent peut-être de nous, ce que peut-être les autres aimeraient qu'on soit. Et souvent, c'est même pas dit, c'est juste des interprétations qu'on fait de nous-mêmes. Et là, c'est qu'on oublie d'être vrai envers soi-même. On oublie de vivre. « Hey, c'est quoi que je veux vivre, moi ? » « C'est quoi que j'ai vraiment envie de vivre ? » Est-ce que présentement, je vis la vie que je veux ? Est-ce que présentement, je fais la job que je veux ? Mon travail, est-ce qu'il est satisfaisant ? Est-ce que mon travail me remplit ? Est-ce que mon travail me donne le sentiment d'être utile ? Est-ce que mon travail donne un sens à ma vie ? Ma blonde, mon chum, ma femme, mon mari, si je suis en couple, présentement... Est-ce que cette relation-là m'a satisfait ? Est-ce que cette relation-là m'aide à rester rempli ? Est-ce que cette relation-là m'aide à avancer ? Est-ce que cette relation-là aide à cheminer, à grandir ? Et si je suis seul, est-ce que c'est par choix ? Et être célibataire, est-ce que ça me rend heureux ? Est-ce qu'être célibataire me remplit ? Est-ce qu'être célibataire, c'est ce que je veux vraiment ? Mes amis, que j'ai à l'entour de moi, est-ce que c'est des gens qui m'amènent vers le haut ? Est-ce que c'est des gens qui me remplit ? Est-ce que c'est des gens qui m'aident à mon bonheur ? Est-ce que ces gens-là donnent un sens à ma vie ? Est-ce que ma relation de couple donne un sens à ma vie ? Est-ce que mon célibat me donne un sens à ma vie ? Est-ce que ma vie familiale donne un sens à ma vie ? C'est toutes des questions qu'il faut se poser et se répondre avec honnêteté. J'ai passé une grande partie de ma vie à être un caméléon. À ce moment-là, je n'avais aucune idée que j'avais un besoin d'amour démesuré, que j'avais besoin que tu me reconnaisses, que j'avais besoin que tu m'aimes, que j'en avais tellement besoin de la petite. tape sur l'épaule, que j'avais tellement besoin de voir dans ton regard que tu trouvais que je l'avais l'affaire. Et en faisant ça, évidemment, c'est sûr que je me suis oublié. Est-ce que je me suis vraiment oublié ou c'est juste parce que je ne me suis jamais connu ? Moins de connaissances de moi égale plus de dépendance. Plus d'autonomie, qui est le contraire de la dépendance, plus de connaissances de moi, plus d'amour. Et c'est surtout de ne plus avoir cette peur-là de ne pas être aimé, de ne pas être reconnu, qui fait en sorte qu'on est de plus en plus libre, de ne plus être esclaves de ce qu'ils vont dire, de ce qu'ils vont penser. Parce qu'on joue toujours des rôles, on joue toujours des rôles, toujours. Pourquoi ? Comme je le dis si bien, pour être toujours aimé. Je suis sûr que ça t'est déjà arrivé de rencontrer quelqu'un, puis après quelques mois, quelques semaines, peut-être même après quelques années, de dire « Hey, je ne reconnais plus la personne » . Ben non, parce que probablement qu'au début, elle n'était pas elle-même. Puis même peut-être que toi, ça t'arrive de dire, « Hey, je ne me reconnais plus dans cette relation-là, que ce soit amitié professionnelle ou amoureuse. Il me semble que je ne suis plus moi. » Ben non, parce que je m'éloigne de ma vérité. Tu commences, je m'éloigne de ma vérité, de ce que je suis vraiment et surtout de c'est quoi que je veux être. Et c'est quoi, je veux vivre. Parce que c'est sûr que c'est toujours inconfortable de se choisir. Parce que je ne sais pas toi, mais j'ai été longtemps avoir peur de faire de la peine aux autres, de décevoir les autres. Mais pendant que je ne m'affirme pas, que je me la ferme au lieu de m'affirmer, pendant que je ne choisis pas ce que moi j'ai envie de vivre, C'est moi que je déçois. C'est moi que j'abandonne dans tout ce que moi j'ai envie de vivre. Et la dernière personne à qui je veux décevoir, il faut que ce soit moi. Parce que j'ai beau essayer de rendre tous les autres heureux, heureuses à l'entour de moi, si moi je ne suis pas, ça ne vaut pas de la merde. Et si les autres ont besoin de moi pour être heureux, heureuse, ça ne vaut pas de la merde non plus. Et c'est pour ça que la vie change tellement vite. Êtes-vous d'accord avec moi que la vie change ? Va vite, d'un, et elle change vite. Ça veut dire que présentement, je vis telle affaire, je suis bien dans ce que je vis. Peut-être dans trois mois, six mois, un an et demi, deux ans, bien, ça ne sera pas là. Pourquoi j'entends souvent, des fois, des gens en consultation dire « Il m'avait promis qu'il serait toujours là. Elle m'a promis que je serais le seul dans sa vie. » Il m'a promis qu'il m'aimerait juste, qu'il ne m'abandonnerait pas. C'est juste qu'il y a des choses qui ont changé. Mais je peux te dire une chose, que probablement, quand cette personne-là te dit qu'elle va toujours être là, qu'elle va toujours t'aimer, que tu vas être là ou là seul dans ta vie, probablement qu'à ce moment-là, elle était sincère. Que probablement qu'à ce moment-là, elle se croyait et elle le ressentait. Mais les choses changent. Parce que moi, j'ai déjà promis toutes ces choses-là à beaucoup de monde. La majorité, ah oui, des filles. Et quand je le disais, j'étais sincère. Et je le pensais, je le ressentais. Mais la vie change. Les gens changent. Nous, on change. Si on ne change pas, parce qu'il y a quelque chose qui ne marche pas, le but, c'est d'évoluer. Mais c'est toujours d'évoluer dans ma vérité. Comme je dis, j'aime bien dire, et je le réalise de plus en plus, qu'il y a trois vérités. Il y a la mienne, il y a la tienne, et il y a la vérité. Chacun a sa vérité. Il n'y a pas personne qui a la vérité pour quelqu'un d'autre. Tu sais, moi, mon métier, c'est d'aider des gens. C'est donner, on va dire, des sessions. De donner des ateliers. De fournir des outils à des gens pour aller bien. Moi, c'est des suggestions. J'ai pas la prétention de dire, hey, fais ça, puis ça va t'apporter telle, telle, telle affaire. Non, expérimente, essaie-le. Moi, je te dis que pour moi, puis des milliers de personnes, ça a fonctionné. Mais chacun a son chemin. Chacun a son chemin. La chose la plus importante, c'est de trouver le tien, de trouver le mien, de trouver le nôtre. Parce que c'est ce qu'on a envie de vivre, présentement. Moi, présentement, j'ai la vie que je veux vivre. Que ce soit professionnellement, que ce soit amicalement, que ce soit amoureusement. Pour l'instant, oui. En ce 18 novembre que j'enregistre cet épisode-là, 2025, je suis seul, je suis célibataire. Et c'est un choix que j'ai fait et c'est un choix que je continue à faire. Parce que c'est ce que je suis rendu là dans ma vie. Est-ce que dans un mois, trois mois, six mois, un an, deux ans, ça va changer ? Bien, il y a des grandes chances. Aucune idée. Je ne peux pas savoir. Puis, c'est ce qui est bien dans la vie, c'est qu'on ne connaît pas le futur. Alors, c'est pour ça, le fameux dicton, les phrases tout faites, le moment présent, juste pour aujourd'hui. Bien oui, ce matin, moi encore, je me suis levé et je me suis dit, juste pour aujourd'hui, je ne consommerai pas. je me dis plus ça, mais tu comprends ce que je veux dire ça va faire 16 ans au mois de décembre que j'ai mis la consommation de côté, par choix, mais je l'ai choisi quotidiennement, je le choisis encore, même si je ne me le dis pas consciemment, mais je sais que dans mon inconscience, c'est là. Pour aujourd'hui, j'ai décidé que je restais célibataire. Pour aujourd'hui, j'ai décidé que je continuais le métier que je fais. Mais est-ce que dans un an, six mois, deux ans, cinq ans, dix ans, peut tout changer ? Bien oui, ça peut changer. Tu sais, quand j'arrête dans la règle et que je me dis « Ah, ouette, que je ne pensais pas être où je suis aujourd'hui, il y a cinq ans, encore moins, il y a dix ans, encore bien moins, il y a 15 ans, 20 ans, etc. Il y a plein de choses qui ont changé. Par contre, moi... je fais en sorte de toujours suivre ma vérité. Est-ce que j'ai envie d'aller là ? J'y vais. Si ça ne me tente pas, j'y vais pas. J'irai plus à une place, à un party, à un souper, parce qu'un exemple, parce que ça s'en vient bientôt, c'est Noël. Non, je ne m'oblige pas à aller dans une fête parce que c'est Noël. Je vais y aller si ça me tente. Et ce n'est pas égoïste. C'est ça, ma vérité. C'est ça, ma vérité à moi. Ça veut pas dire que c'est la même que la tienne. Mais ça veut pas dire parce que toi, tu le fais, que c'est pas correct non plus. Dans le programme, je n'aimerais pas la fraternité parce qu'on peut comme pas pour l'anonymat. Il parle de rigoureuse honnêteté. Pas envers toi, envers moi. Alors, automatique, ça m'empêche à l'être envers toi. Mais ça commence par moi. Et c'est cette vérité-là que moi, je m'impose de vivre. Parce que c'est beaucoup plus facile aujourd'hui. Est-ce que ça a été facile à mettre en pratique ? Non. Puis des fois, est-ce que l'ancien patin de Simon qui était dans le mensonge toute sa vie, trois quarts du temps inconscient, qui n'était pas dans sa vérité, est toujours facile ? Bien non. Est-ce que ça revient des fois de dire, « Ah, pas obligé de dire. » Oui, ça revient. Parce que par peur de blesser, par peur d'être jugé, par peur de ne pas être reconnu, maintenant je dis la vérité. Par choix. Parce que moi, je veux continuer à être dans ma vérité. Pas dans la tienne, pas dans la vérité que peut-être que je pensais que les autres voulaient que je sois. Non, par la mienne. Parce que j'ai découvert aussi que l'authenticité, ce qu'on est vrai... attire le beau, le bon, le bien dans notre vie. Ça ne veut pas dire que ça devient parfait. Il n'y a rien de parfait. Mais par contre, je crame que c'est beaucoup plus doux. Je n'ai plus peur maintenant de répondre au téléphone. Je n'ai plus peur que dans un souper d'amis ou un souper de famille, quelqu'un raconte une chose qui s'est passée la semaine passée. Puis que, mon Dieu, moi, je n'avais pas dit la vraie affaire. Ça, ça m'est tellement arrivé souvent. Ça m'est tellement arrivé souvent. Un exemple bien simple, dans le temps, moi j'étais quelqu'un qui était hyper infidèle, ça faisait partie, on va dire, de mon mode de vie à ce moment-là. Puis là, un exemple, tu sors avec tes chums, tu trompes ta blonde, la semaine d'après, tu as un souper de chums avec nos blondes. Puis là, il y en a un qui commence à raconter des séquences de cette soirée-là, puis là, tout est mal, tout est chaud. Ah, si je ne veux plus jamais me faire vivre ça. Parce que là, tu as peur que la vérité sorte. Moi, maintenant, j'ai plus peur que la vérité sorte. Parce que j'ai appris à m'accueillir, à m'accepter, puis à m'aimer comme j'ai été, pour pouvoir m'accueillir, m'aimer, et m'accepter comme que je suis aujourd'hui. Est-ce que je suis parfait ? Non. Non. Ça, ça veut-tu dire que je vais aller raconter toute ma vie, puis toutes mes niaiseries que j'ai pu faire, ou que des fois, oui, je fais encore, sur Facebook, et le dire à la terre entière ? Non, j'ai quand même, on va dire, un côté... Il y a des choses dans ma vie qui restent privées, puis c'est parfait. Ça ne veut pas dire que je suis menteur, ça ne veut pas dire que je ne suis pas authentique. Mais quand je vais te parler, je vais être authentique. Quand tu vas me poser une question, je vais être authentique. Et des fois, je vais peut-être te dire, est-ce que tu es sûr que tu veux savoir la réponse ? Parce que je vais te dire la vérité. Et souvent, la vérité choque. Des fois même la vérité peut faire mal. Mais c'est bien moins douloureux qu'un mensonge, c'est bien moins douloureux qu'une trahison. Alors c'est un choix. Si tu veux être heureux, joyeux et libre aujourd'hui, choisis la vérité. Si tu veux avoir une relation de confiance, que ce soit en affaires, en amitié, en amour, dis la vérité. Sois authentique, sois toi. Ne change pas avec certaines personnes, ils vont aimer ce que tu leur montres et ils n'aimeront pas ce que tu es. Mon père disait, il y a 50% du monde qui vont m'aimer, il y a 50% du monde qui ne m'aimeront pas. Si moi je m'aime, j'ai gagué. Il a tout à fait raison. Il a tout à fait raison. Parce que moi, je ne suis pas toi, mais moi, je veux être heureux. Je veux être bien. Je veux être libre de faire ce que j'ai envie de faire avec qui j'ai envie de le faire au moment où j'ai envie de le faire. Ça, ça ne veut pas dire que je me crise des autres. Mais non, il y a des choix, des décisions des fois qu'on peut prendre qui peuvent avoir un impact sur les autres. Il faut y réfléchir, c'est sûr. Ce que je fais comme métier, c'est un choix que je fais et ça ne regarde que moi. Que je sois célibataire présentement et que je sois en couple dans plusieurs mois, plusieurs années, ça va être un choix que je vais faire pour moi. Les amis que j'ai en ce moment sont là dans ma vie parce que je les ai choisis. Et c'est un choix que je fais pour moi, pas pour être apprécié, pas pour être aimé. Parce que c'est ce que j'ai envie de vivre. Alors, c'est ce que je vais te souhaiter. Choisis la vérité. N'oublie surtout pas de dire que t'es correct. Salut !

Chapters

  • Introduction au sujet de la vérité et de la peur d'exprimer ses sentiments

    00:00

  • La peur du jugement et le besoin de reconnaissance

    00:15

  • Questions essentielles sur la satisfaction personnelle et les relations

    01:27

  • L'importance de se connaître pour éviter la dépendance

    03:38

  • Accepter le changement et vivre selon sa vérité

    06:30

  • Choisir l'authenticité et vivre sans peur du jugement

    10:32

Description

Êtes-vous vraiment en train de vivre votre vérité ou vous cachez-vous derrière des masques pour plaire aux autres ? Dans cet épisode captivant de T-CORRECT, Simon Desjardins nous plonge au cœur des enjeux de la vérité et de l'authenticité. Il aborde la peur qui empêche tant de personnes de nommer ce qu'elles ressentent ou de vivre pleinement leurs désirs. Cette peur, souvent liée au jugement et à la critique, peut nous enfermer dans des rôles qui ne nous ressemblent pas. Simon nous invite à réfléchir sur notre propre vie, nos relations et notre bonheur, tout en soulignant l'importance d'être vrai envers soi-même.


À travers son expérience personnelle, Simon partage comment il a longtemps joué des rôles pour satisfaire les attentes des autres, souvent au détriment de sa propre vérité. Il nous rappelle que choisir la vérité, même lorsque cela semble inconfortable, est la clé d'une vie authentique et épanouissante. Dans cet épisode de T-CORRECT, vous découvrirez comment la reconnaissance et l'acceptation des autres peuvent nous pousser à ignorer nos propres besoins et désirs. Simon nous encourage à poser des questions essentielles : Qu'est-ce qui nous empêche d'être authentiques ? Comment pouvons-nous surmonter notre peur du jugement ?


En explorant ces thèmes, Simon nous incite à embrasser notre vérité, car vivre selon nos propres valeurs est essentiel pour atteindre le bonheur et la liberté. Cet épisode est un véritable appel à l'action pour tous ceux qui souhaitent se libérer des chaînes du conformisme et des attentes extérieures. En écoutant T-CORRECT, vous serez inspiré à faire face à vos peurs et à vous engager sur le chemin de l'authenticité.


C'est le moment de choisir la vérité et de vous épanouir dans votre vie personnelle et professionnelle. Ensemble, faisons de l'authenticité une priorité et libérons-nous des attentes des autres !


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Le simple programme (les douze étapes expliquées)

Le Plan de Match à la maison


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Simon Desjardins

    Hey, salut ! Bienvenue sur le podcast T'es correct, j'avais envie de te parler de la vérité, hein ? Pourquoi qu'on a peur de nommer ce qu'on ressent ? Pourquoi qu'on a peur de nommer ce qu'on a envie de vivre ? On en parle après ceci. Ici Simon, bienvenue sur T'es correct, le podcast qui te parle avec authenticité, sans détour, mais surtout sans bullshit. Juste toi. moi, puis des outils pour retrouver la paix. T'aimer un peu plus, puis surtout pour te dire que t'es correct. Merci d'être à l'écoute. Oui, cette fameuse peur de dire la vérité. Pourquoi souvent on a peur ? Bien, c'est simple, puis j'en parle souvent. On va avoir peur du jugement des autres, de la critique des autres. On va avoir peur d'être rejeté, d'être abandonné. Excusez-moi de ne pas être aimé, de ne pas être... à la hauteur, peu importe les peurs qu'on a. Et tu sais quoi ? Nous, les êtres humains, on cherche toujours de la reconnaissance. On cherche toujours à être accepté, à être aimé, à être écouté, à être sollicité, à être quelqu'un. Tu sais, tout le monde veut être quelqu'un pour quelqu'un et on oublie souvent d'être quelqu'un pour soi. Alors, inconsciemment, on devient quelqu'un souvent pour les autres. Mais ce qu'on pense que les autres attendent peut-être de nous, ce que peut-être les autres aimeraient qu'on soit. Et souvent, c'est même pas dit, c'est juste des interprétations qu'on fait de nous-mêmes. Et là, c'est qu'on oublie d'être vrai envers soi-même. On oublie de vivre. « Hey, c'est quoi que je veux vivre, moi ? » « C'est quoi que j'ai vraiment envie de vivre ? » Est-ce que présentement, je vis la vie que je veux ? Est-ce que présentement, je fais la job que je veux ? Mon travail, est-ce qu'il est satisfaisant ? Est-ce que mon travail me remplit ? Est-ce que mon travail me donne le sentiment d'être utile ? Est-ce que mon travail donne un sens à ma vie ? Ma blonde, mon chum, ma femme, mon mari, si je suis en couple, présentement... Est-ce que cette relation-là m'a satisfait ? Est-ce que cette relation-là m'aide à rester rempli ? Est-ce que cette relation-là m'aide à avancer ? Est-ce que cette relation-là aide à cheminer, à grandir ? Et si je suis seul, est-ce que c'est par choix ? Et être célibataire, est-ce que ça me rend heureux ? Est-ce qu'être célibataire me remplit ? Est-ce qu'être célibataire, c'est ce que je veux vraiment ? Mes amis, que j'ai à l'entour de moi, est-ce que c'est des gens qui m'amènent vers le haut ? Est-ce que c'est des gens qui me remplit ? Est-ce que c'est des gens qui m'aident à mon bonheur ? Est-ce que ces gens-là donnent un sens à ma vie ? Est-ce que ma relation de couple donne un sens à ma vie ? Est-ce que mon célibat me donne un sens à ma vie ? Est-ce que ma vie familiale donne un sens à ma vie ? C'est toutes des questions qu'il faut se poser et se répondre avec honnêteté. J'ai passé une grande partie de ma vie à être un caméléon. À ce moment-là, je n'avais aucune idée que j'avais un besoin d'amour démesuré, que j'avais besoin que tu me reconnaisses, que j'avais besoin que tu m'aimes, que j'en avais tellement besoin de la petite. tape sur l'épaule, que j'avais tellement besoin de voir dans ton regard que tu trouvais que je l'avais l'affaire. Et en faisant ça, évidemment, c'est sûr que je me suis oublié. Est-ce que je me suis vraiment oublié ou c'est juste parce que je ne me suis jamais connu ? Moins de connaissances de moi égale plus de dépendance. Plus d'autonomie, qui est le contraire de la dépendance, plus de connaissances de moi, plus d'amour. Et c'est surtout de ne plus avoir cette peur-là de ne pas être aimé, de ne pas être reconnu, qui fait en sorte qu'on est de plus en plus libre, de ne plus être esclaves de ce qu'ils vont dire, de ce qu'ils vont penser. Parce qu'on joue toujours des rôles, on joue toujours des rôles, toujours. Pourquoi ? Comme je le dis si bien, pour être toujours aimé. Je suis sûr que ça t'est déjà arrivé de rencontrer quelqu'un, puis après quelques mois, quelques semaines, peut-être même après quelques années, de dire « Hey, je ne reconnais plus la personne » . Ben non, parce que probablement qu'au début, elle n'était pas elle-même. Puis même peut-être que toi, ça t'arrive de dire, « Hey, je ne me reconnais plus dans cette relation-là, que ce soit amitié professionnelle ou amoureuse. Il me semble que je ne suis plus moi. » Ben non, parce que je m'éloigne de ma vérité. Tu commences, je m'éloigne de ma vérité, de ce que je suis vraiment et surtout de c'est quoi que je veux être. Et c'est quoi, je veux vivre. Parce que c'est sûr que c'est toujours inconfortable de se choisir. Parce que je ne sais pas toi, mais j'ai été longtemps avoir peur de faire de la peine aux autres, de décevoir les autres. Mais pendant que je ne m'affirme pas, que je me la ferme au lieu de m'affirmer, pendant que je ne choisis pas ce que moi j'ai envie de vivre, C'est moi que je déçois. C'est moi que j'abandonne dans tout ce que moi j'ai envie de vivre. Et la dernière personne à qui je veux décevoir, il faut que ce soit moi. Parce que j'ai beau essayer de rendre tous les autres heureux, heureuses à l'entour de moi, si moi je ne suis pas, ça ne vaut pas de la merde. Et si les autres ont besoin de moi pour être heureux, heureuse, ça ne vaut pas de la merde non plus. Et c'est pour ça que la vie change tellement vite. Êtes-vous d'accord avec moi que la vie change ? Va vite, d'un, et elle change vite. Ça veut dire que présentement, je vis telle affaire, je suis bien dans ce que je vis. Peut-être dans trois mois, six mois, un an et demi, deux ans, bien, ça ne sera pas là. Pourquoi j'entends souvent, des fois, des gens en consultation dire « Il m'avait promis qu'il serait toujours là. Elle m'a promis que je serais le seul dans sa vie. » Il m'a promis qu'il m'aimerait juste, qu'il ne m'abandonnerait pas. C'est juste qu'il y a des choses qui ont changé. Mais je peux te dire une chose, que probablement, quand cette personne-là te dit qu'elle va toujours être là, qu'elle va toujours t'aimer, que tu vas être là ou là seul dans ta vie, probablement qu'à ce moment-là, elle était sincère. Que probablement qu'à ce moment-là, elle se croyait et elle le ressentait. Mais les choses changent. Parce que moi, j'ai déjà promis toutes ces choses-là à beaucoup de monde. La majorité, ah oui, des filles. Et quand je le disais, j'étais sincère. Et je le pensais, je le ressentais. Mais la vie change. Les gens changent. Nous, on change. Si on ne change pas, parce qu'il y a quelque chose qui ne marche pas, le but, c'est d'évoluer. Mais c'est toujours d'évoluer dans ma vérité. Comme je dis, j'aime bien dire, et je le réalise de plus en plus, qu'il y a trois vérités. Il y a la mienne, il y a la tienne, et il y a la vérité. Chacun a sa vérité. Il n'y a pas personne qui a la vérité pour quelqu'un d'autre. Tu sais, moi, mon métier, c'est d'aider des gens. C'est donner, on va dire, des sessions. De donner des ateliers. De fournir des outils à des gens pour aller bien. Moi, c'est des suggestions. J'ai pas la prétention de dire, hey, fais ça, puis ça va t'apporter telle, telle, telle affaire. Non, expérimente, essaie-le. Moi, je te dis que pour moi, puis des milliers de personnes, ça a fonctionné. Mais chacun a son chemin. Chacun a son chemin. La chose la plus importante, c'est de trouver le tien, de trouver le mien, de trouver le nôtre. Parce que c'est ce qu'on a envie de vivre, présentement. Moi, présentement, j'ai la vie que je veux vivre. Que ce soit professionnellement, que ce soit amicalement, que ce soit amoureusement. Pour l'instant, oui. En ce 18 novembre que j'enregistre cet épisode-là, 2025, je suis seul, je suis célibataire. Et c'est un choix que j'ai fait et c'est un choix que je continue à faire. Parce que c'est ce que je suis rendu là dans ma vie. Est-ce que dans un mois, trois mois, six mois, un an, deux ans, ça va changer ? Bien, il y a des grandes chances. Aucune idée. Je ne peux pas savoir. Puis, c'est ce qui est bien dans la vie, c'est qu'on ne connaît pas le futur. Alors, c'est pour ça, le fameux dicton, les phrases tout faites, le moment présent, juste pour aujourd'hui. Bien oui, ce matin, moi encore, je me suis levé et je me suis dit, juste pour aujourd'hui, je ne consommerai pas. je me dis plus ça, mais tu comprends ce que je veux dire ça va faire 16 ans au mois de décembre que j'ai mis la consommation de côté, par choix, mais je l'ai choisi quotidiennement, je le choisis encore, même si je ne me le dis pas consciemment, mais je sais que dans mon inconscience, c'est là. Pour aujourd'hui, j'ai décidé que je restais célibataire. Pour aujourd'hui, j'ai décidé que je continuais le métier que je fais. Mais est-ce que dans un an, six mois, deux ans, cinq ans, dix ans, peut tout changer ? Bien oui, ça peut changer. Tu sais, quand j'arrête dans la règle et que je me dis « Ah, ouette, que je ne pensais pas être où je suis aujourd'hui, il y a cinq ans, encore moins, il y a dix ans, encore bien moins, il y a 15 ans, 20 ans, etc. Il y a plein de choses qui ont changé. Par contre, moi... je fais en sorte de toujours suivre ma vérité. Est-ce que j'ai envie d'aller là ? J'y vais. Si ça ne me tente pas, j'y vais pas. J'irai plus à une place, à un party, à un souper, parce qu'un exemple, parce que ça s'en vient bientôt, c'est Noël. Non, je ne m'oblige pas à aller dans une fête parce que c'est Noël. Je vais y aller si ça me tente. Et ce n'est pas égoïste. C'est ça, ma vérité. C'est ça, ma vérité à moi. Ça veut pas dire que c'est la même que la tienne. Mais ça veut pas dire parce que toi, tu le fais, que c'est pas correct non plus. Dans le programme, je n'aimerais pas la fraternité parce qu'on peut comme pas pour l'anonymat. Il parle de rigoureuse honnêteté. Pas envers toi, envers moi. Alors, automatique, ça m'empêche à l'être envers toi. Mais ça commence par moi. Et c'est cette vérité-là que moi, je m'impose de vivre. Parce que c'est beaucoup plus facile aujourd'hui. Est-ce que ça a été facile à mettre en pratique ? Non. Puis des fois, est-ce que l'ancien patin de Simon qui était dans le mensonge toute sa vie, trois quarts du temps inconscient, qui n'était pas dans sa vérité, est toujours facile ? Bien non. Est-ce que ça revient des fois de dire, « Ah, pas obligé de dire. » Oui, ça revient. Parce que par peur de blesser, par peur d'être jugé, par peur de ne pas être reconnu, maintenant je dis la vérité. Par choix. Parce que moi, je veux continuer à être dans ma vérité. Pas dans la tienne, pas dans la vérité que peut-être que je pensais que les autres voulaient que je sois. Non, par la mienne. Parce que j'ai découvert aussi que l'authenticité, ce qu'on est vrai... attire le beau, le bon, le bien dans notre vie. Ça ne veut pas dire que ça devient parfait. Il n'y a rien de parfait. Mais par contre, je crame que c'est beaucoup plus doux. Je n'ai plus peur maintenant de répondre au téléphone. Je n'ai plus peur que dans un souper d'amis ou un souper de famille, quelqu'un raconte une chose qui s'est passée la semaine passée. Puis que, mon Dieu, moi, je n'avais pas dit la vraie affaire. Ça, ça m'est tellement arrivé souvent. Ça m'est tellement arrivé souvent. Un exemple bien simple, dans le temps, moi j'étais quelqu'un qui était hyper infidèle, ça faisait partie, on va dire, de mon mode de vie à ce moment-là. Puis là, un exemple, tu sors avec tes chums, tu trompes ta blonde, la semaine d'après, tu as un souper de chums avec nos blondes. Puis là, il y en a un qui commence à raconter des séquences de cette soirée-là, puis là, tout est mal, tout est chaud. Ah, si je ne veux plus jamais me faire vivre ça. Parce que là, tu as peur que la vérité sorte. Moi, maintenant, j'ai plus peur que la vérité sorte. Parce que j'ai appris à m'accueillir, à m'accepter, puis à m'aimer comme j'ai été, pour pouvoir m'accueillir, m'aimer, et m'accepter comme que je suis aujourd'hui. Est-ce que je suis parfait ? Non. Non. Ça, ça veut-tu dire que je vais aller raconter toute ma vie, puis toutes mes niaiseries que j'ai pu faire, ou que des fois, oui, je fais encore, sur Facebook, et le dire à la terre entière ? Non, j'ai quand même, on va dire, un côté... Il y a des choses dans ma vie qui restent privées, puis c'est parfait. Ça ne veut pas dire que je suis menteur, ça ne veut pas dire que je ne suis pas authentique. Mais quand je vais te parler, je vais être authentique. Quand tu vas me poser une question, je vais être authentique. Et des fois, je vais peut-être te dire, est-ce que tu es sûr que tu veux savoir la réponse ? Parce que je vais te dire la vérité. Et souvent, la vérité choque. Des fois même la vérité peut faire mal. Mais c'est bien moins douloureux qu'un mensonge, c'est bien moins douloureux qu'une trahison. Alors c'est un choix. Si tu veux être heureux, joyeux et libre aujourd'hui, choisis la vérité. Si tu veux avoir une relation de confiance, que ce soit en affaires, en amitié, en amour, dis la vérité. Sois authentique, sois toi. Ne change pas avec certaines personnes, ils vont aimer ce que tu leur montres et ils n'aimeront pas ce que tu es. Mon père disait, il y a 50% du monde qui vont m'aimer, il y a 50% du monde qui ne m'aimeront pas. Si moi je m'aime, j'ai gagué. Il a tout à fait raison. Il a tout à fait raison. Parce que moi, je ne suis pas toi, mais moi, je veux être heureux. Je veux être bien. Je veux être libre de faire ce que j'ai envie de faire avec qui j'ai envie de le faire au moment où j'ai envie de le faire. Ça, ça ne veut pas dire que je me crise des autres. Mais non, il y a des choix, des décisions des fois qu'on peut prendre qui peuvent avoir un impact sur les autres. Il faut y réfléchir, c'est sûr. Ce que je fais comme métier, c'est un choix que je fais et ça ne regarde que moi. Que je sois célibataire présentement et que je sois en couple dans plusieurs mois, plusieurs années, ça va être un choix que je vais faire pour moi. Les amis que j'ai en ce moment sont là dans ma vie parce que je les ai choisis. Et c'est un choix que je fais pour moi, pas pour être apprécié, pas pour être aimé. Parce que c'est ce que j'ai envie de vivre. Alors, c'est ce que je vais te souhaiter. Choisis la vérité. N'oublie surtout pas de dire que t'es correct. Salut !

Chapters

  • Introduction au sujet de la vérité et de la peur d'exprimer ses sentiments

    00:00

  • La peur du jugement et le besoin de reconnaissance

    00:15

  • Questions essentielles sur la satisfaction personnelle et les relations

    01:27

  • L'importance de se connaître pour éviter la dépendance

    03:38

  • Accepter le changement et vivre selon sa vérité

    06:30

  • Choisir l'authenticité et vivre sans peur du jugement

    10:32

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Description

Êtes-vous vraiment en train de vivre votre vérité ou vous cachez-vous derrière des masques pour plaire aux autres ? Dans cet épisode captivant de T-CORRECT, Simon Desjardins nous plonge au cœur des enjeux de la vérité et de l'authenticité. Il aborde la peur qui empêche tant de personnes de nommer ce qu'elles ressentent ou de vivre pleinement leurs désirs. Cette peur, souvent liée au jugement et à la critique, peut nous enfermer dans des rôles qui ne nous ressemblent pas. Simon nous invite à réfléchir sur notre propre vie, nos relations et notre bonheur, tout en soulignant l'importance d'être vrai envers soi-même.


À travers son expérience personnelle, Simon partage comment il a longtemps joué des rôles pour satisfaire les attentes des autres, souvent au détriment de sa propre vérité. Il nous rappelle que choisir la vérité, même lorsque cela semble inconfortable, est la clé d'une vie authentique et épanouissante. Dans cet épisode de T-CORRECT, vous découvrirez comment la reconnaissance et l'acceptation des autres peuvent nous pousser à ignorer nos propres besoins et désirs. Simon nous encourage à poser des questions essentielles : Qu'est-ce qui nous empêche d'être authentiques ? Comment pouvons-nous surmonter notre peur du jugement ?


En explorant ces thèmes, Simon nous incite à embrasser notre vérité, car vivre selon nos propres valeurs est essentiel pour atteindre le bonheur et la liberté. Cet épisode est un véritable appel à l'action pour tous ceux qui souhaitent se libérer des chaînes du conformisme et des attentes extérieures. En écoutant T-CORRECT, vous serez inspiré à faire face à vos peurs et à vous engager sur le chemin de l'authenticité.


C'est le moment de choisir la vérité et de vous épanouir dans votre vie personnelle et professionnelle. Ensemble, faisons de l'authenticité une priorité et libérons-nous des attentes des autres !


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Nos formations

Le simple programme (les douze étapes expliquées)

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Simon Desjardins

    Hey, salut ! Bienvenue sur le podcast T'es correct, j'avais envie de te parler de la vérité, hein ? Pourquoi qu'on a peur de nommer ce qu'on ressent ? Pourquoi qu'on a peur de nommer ce qu'on a envie de vivre ? On en parle après ceci. Ici Simon, bienvenue sur T'es correct, le podcast qui te parle avec authenticité, sans détour, mais surtout sans bullshit. Juste toi. moi, puis des outils pour retrouver la paix. T'aimer un peu plus, puis surtout pour te dire que t'es correct. Merci d'être à l'écoute. Oui, cette fameuse peur de dire la vérité. Pourquoi souvent on a peur ? Bien, c'est simple, puis j'en parle souvent. On va avoir peur du jugement des autres, de la critique des autres. On va avoir peur d'être rejeté, d'être abandonné. Excusez-moi de ne pas être aimé, de ne pas être... à la hauteur, peu importe les peurs qu'on a. Et tu sais quoi ? Nous, les êtres humains, on cherche toujours de la reconnaissance. On cherche toujours à être accepté, à être aimé, à être écouté, à être sollicité, à être quelqu'un. Tu sais, tout le monde veut être quelqu'un pour quelqu'un et on oublie souvent d'être quelqu'un pour soi. Alors, inconsciemment, on devient quelqu'un souvent pour les autres. Mais ce qu'on pense que les autres attendent peut-être de nous, ce que peut-être les autres aimeraient qu'on soit. Et souvent, c'est même pas dit, c'est juste des interprétations qu'on fait de nous-mêmes. Et là, c'est qu'on oublie d'être vrai envers soi-même. On oublie de vivre. « Hey, c'est quoi que je veux vivre, moi ? » « C'est quoi que j'ai vraiment envie de vivre ? » Est-ce que présentement, je vis la vie que je veux ? Est-ce que présentement, je fais la job que je veux ? Mon travail, est-ce qu'il est satisfaisant ? Est-ce que mon travail me remplit ? Est-ce que mon travail me donne le sentiment d'être utile ? Est-ce que mon travail donne un sens à ma vie ? Ma blonde, mon chum, ma femme, mon mari, si je suis en couple, présentement... Est-ce que cette relation-là m'a satisfait ? Est-ce que cette relation-là m'aide à rester rempli ? Est-ce que cette relation-là m'aide à avancer ? Est-ce que cette relation-là aide à cheminer, à grandir ? Et si je suis seul, est-ce que c'est par choix ? Et être célibataire, est-ce que ça me rend heureux ? Est-ce qu'être célibataire me remplit ? Est-ce qu'être célibataire, c'est ce que je veux vraiment ? Mes amis, que j'ai à l'entour de moi, est-ce que c'est des gens qui m'amènent vers le haut ? Est-ce que c'est des gens qui me remplit ? Est-ce que c'est des gens qui m'aident à mon bonheur ? Est-ce que ces gens-là donnent un sens à ma vie ? Est-ce que ma relation de couple donne un sens à ma vie ? Est-ce que mon célibat me donne un sens à ma vie ? Est-ce que ma vie familiale donne un sens à ma vie ? C'est toutes des questions qu'il faut se poser et se répondre avec honnêteté. J'ai passé une grande partie de ma vie à être un caméléon. À ce moment-là, je n'avais aucune idée que j'avais un besoin d'amour démesuré, que j'avais besoin que tu me reconnaisses, que j'avais besoin que tu m'aimes, que j'en avais tellement besoin de la petite. tape sur l'épaule, que j'avais tellement besoin de voir dans ton regard que tu trouvais que je l'avais l'affaire. Et en faisant ça, évidemment, c'est sûr que je me suis oublié. Est-ce que je me suis vraiment oublié ou c'est juste parce que je ne me suis jamais connu ? Moins de connaissances de moi égale plus de dépendance. Plus d'autonomie, qui est le contraire de la dépendance, plus de connaissances de moi, plus d'amour. Et c'est surtout de ne plus avoir cette peur-là de ne pas être aimé, de ne pas être reconnu, qui fait en sorte qu'on est de plus en plus libre, de ne plus être esclaves de ce qu'ils vont dire, de ce qu'ils vont penser. Parce qu'on joue toujours des rôles, on joue toujours des rôles, toujours. Pourquoi ? Comme je le dis si bien, pour être toujours aimé. Je suis sûr que ça t'est déjà arrivé de rencontrer quelqu'un, puis après quelques mois, quelques semaines, peut-être même après quelques années, de dire « Hey, je ne reconnais plus la personne » . Ben non, parce que probablement qu'au début, elle n'était pas elle-même. Puis même peut-être que toi, ça t'arrive de dire, « Hey, je ne me reconnais plus dans cette relation-là, que ce soit amitié professionnelle ou amoureuse. Il me semble que je ne suis plus moi. » Ben non, parce que je m'éloigne de ma vérité. Tu commences, je m'éloigne de ma vérité, de ce que je suis vraiment et surtout de c'est quoi que je veux être. Et c'est quoi, je veux vivre. Parce que c'est sûr que c'est toujours inconfortable de se choisir. Parce que je ne sais pas toi, mais j'ai été longtemps avoir peur de faire de la peine aux autres, de décevoir les autres. Mais pendant que je ne m'affirme pas, que je me la ferme au lieu de m'affirmer, pendant que je ne choisis pas ce que moi j'ai envie de vivre, C'est moi que je déçois. C'est moi que j'abandonne dans tout ce que moi j'ai envie de vivre. Et la dernière personne à qui je veux décevoir, il faut que ce soit moi. Parce que j'ai beau essayer de rendre tous les autres heureux, heureuses à l'entour de moi, si moi je ne suis pas, ça ne vaut pas de la merde. Et si les autres ont besoin de moi pour être heureux, heureuse, ça ne vaut pas de la merde non plus. Et c'est pour ça que la vie change tellement vite. Êtes-vous d'accord avec moi que la vie change ? Va vite, d'un, et elle change vite. Ça veut dire que présentement, je vis telle affaire, je suis bien dans ce que je vis. Peut-être dans trois mois, six mois, un an et demi, deux ans, bien, ça ne sera pas là. Pourquoi j'entends souvent, des fois, des gens en consultation dire « Il m'avait promis qu'il serait toujours là. Elle m'a promis que je serais le seul dans sa vie. » Il m'a promis qu'il m'aimerait juste, qu'il ne m'abandonnerait pas. C'est juste qu'il y a des choses qui ont changé. Mais je peux te dire une chose, que probablement, quand cette personne-là te dit qu'elle va toujours être là, qu'elle va toujours t'aimer, que tu vas être là ou là seul dans ta vie, probablement qu'à ce moment-là, elle était sincère. Que probablement qu'à ce moment-là, elle se croyait et elle le ressentait. Mais les choses changent. Parce que moi, j'ai déjà promis toutes ces choses-là à beaucoup de monde. La majorité, ah oui, des filles. Et quand je le disais, j'étais sincère. Et je le pensais, je le ressentais. Mais la vie change. Les gens changent. Nous, on change. Si on ne change pas, parce qu'il y a quelque chose qui ne marche pas, le but, c'est d'évoluer. Mais c'est toujours d'évoluer dans ma vérité. Comme je dis, j'aime bien dire, et je le réalise de plus en plus, qu'il y a trois vérités. Il y a la mienne, il y a la tienne, et il y a la vérité. Chacun a sa vérité. Il n'y a pas personne qui a la vérité pour quelqu'un d'autre. Tu sais, moi, mon métier, c'est d'aider des gens. C'est donner, on va dire, des sessions. De donner des ateliers. De fournir des outils à des gens pour aller bien. Moi, c'est des suggestions. J'ai pas la prétention de dire, hey, fais ça, puis ça va t'apporter telle, telle, telle affaire. Non, expérimente, essaie-le. Moi, je te dis que pour moi, puis des milliers de personnes, ça a fonctionné. Mais chacun a son chemin. Chacun a son chemin. La chose la plus importante, c'est de trouver le tien, de trouver le mien, de trouver le nôtre. Parce que c'est ce qu'on a envie de vivre, présentement. Moi, présentement, j'ai la vie que je veux vivre. Que ce soit professionnellement, que ce soit amicalement, que ce soit amoureusement. Pour l'instant, oui. En ce 18 novembre que j'enregistre cet épisode-là, 2025, je suis seul, je suis célibataire. Et c'est un choix que j'ai fait et c'est un choix que je continue à faire. Parce que c'est ce que je suis rendu là dans ma vie. Est-ce que dans un mois, trois mois, six mois, un an, deux ans, ça va changer ? Bien, il y a des grandes chances. Aucune idée. Je ne peux pas savoir. Puis, c'est ce qui est bien dans la vie, c'est qu'on ne connaît pas le futur. Alors, c'est pour ça, le fameux dicton, les phrases tout faites, le moment présent, juste pour aujourd'hui. Bien oui, ce matin, moi encore, je me suis levé et je me suis dit, juste pour aujourd'hui, je ne consommerai pas. je me dis plus ça, mais tu comprends ce que je veux dire ça va faire 16 ans au mois de décembre que j'ai mis la consommation de côté, par choix, mais je l'ai choisi quotidiennement, je le choisis encore, même si je ne me le dis pas consciemment, mais je sais que dans mon inconscience, c'est là. Pour aujourd'hui, j'ai décidé que je restais célibataire. Pour aujourd'hui, j'ai décidé que je continuais le métier que je fais. Mais est-ce que dans un an, six mois, deux ans, cinq ans, dix ans, peut tout changer ? Bien oui, ça peut changer. Tu sais, quand j'arrête dans la règle et que je me dis « Ah, ouette, que je ne pensais pas être où je suis aujourd'hui, il y a cinq ans, encore moins, il y a dix ans, encore bien moins, il y a 15 ans, 20 ans, etc. Il y a plein de choses qui ont changé. Par contre, moi... je fais en sorte de toujours suivre ma vérité. Est-ce que j'ai envie d'aller là ? J'y vais. Si ça ne me tente pas, j'y vais pas. J'irai plus à une place, à un party, à un souper, parce qu'un exemple, parce que ça s'en vient bientôt, c'est Noël. Non, je ne m'oblige pas à aller dans une fête parce que c'est Noël. Je vais y aller si ça me tente. Et ce n'est pas égoïste. C'est ça, ma vérité. C'est ça, ma vérité à moi. Ça veut pas dire que c'est la même que la tienne. Mais ça veut pas dire parce que toi, tu le fais, que c'est pas correct non plus. Dans le programme, je n'aimerais pas la fraternité parce qu'on peut comme pas pour l'anonymat. Il parle de rigoureuse honnêteté. Pas envers toi, envers moi. Alors, automatique, ça m'empêche à l'être envers toi. Mais ça commence par moi. Et c'est cette vérité-là que moi, je m'impose de vivre. Parce que c'est beaucoup plus facile aujourd'hui. Est-ce que ça a été facile à mettre en pratique ? Non. Puis des fois, est-ce que l'ancien patin de Simon qui était dans le mensonge toute sa vie, trois quarts du temps inconscient, qui n'était pas dans sa vérité, est toujours facile ? Bien non. Est-ce que ça revient des fois de dire, « Ah, pas obligé de dire. » Oui, ça revient. Parce que par peur de blesser, par peur d'être jugé, par peur de ne pas être reconnu, maintenant je dis la vérité. Par choix. Parce que moi, je veux continuer à être dans ma vérité. Pas dans la tienne, pas dans la vérité que peut-être que je pensais que les autres voulaient que je sois. Non, par la mienne. Parce que j'ai découvert aussi que l'authenticité, ce qu'on est vrai... attire le beau, le bon, le bien dans notre vie. Ça ne veut pas dire que ça devient parfait. Il n'y a rien de parfait. Mais par contre, je crame que c'est beaucoup plus doux. Je n'ai plus peur maintenant de répondre au téléphone. Je n'ai plus peur que dans un souper d'amis ou un souper de famille, quelqu'un raconte une chose qui s'est passée la semaine passée. Puis que, mon Dieu, moi, je n'avais pas dit la vraie affaire. Ça, ça m'est tellement arrivé souvent. Ça m'est tellement arrivé souvent. Un exemple bien simple, dans le temps, moi j'étais quelqu'un qui était hyper infidèle, ça faisait partie, on va dire, de mon mode de vie à ce moment-là. Puis là, un exemple, tu sors avec tes chums, tu trompes ta blonde, la semaine d'après, tu as un souper de chums avec nos blondes. Puis là, il y en a un qui commence à raconter des séquences de cette soirée-là, puis là, tout est mal, tout est chaud. Ah, si je ne veux plus jamais me faire vivre ça. Parce que là, tu as peur que la vérité sorte. Moi, maintenant, j'ai plus peur que la vérité sorte. Parce que j'ai appris à m'accueillir, à m'accepter, puis à m'aimer comme j'ai été, pour pouvoir m'accueillir, m'aimer, et m'accepter comme que je suis aujourd'hui. Est-ce que je suis parfait ? Non. Non. Ça, ça veut-tu dire que je vais aller raconter toute ma vie, puis toutes mes niaiseries que j'ai pu faire, ou que des fois, oui, je fais encore, sur Facebook, et le dire à la terre entière ? Non, j'ai quand même, on va dire, un côté... Il y a des choses dans ma vie qui restent privées, puis c'est parfait. Ça ne veut pas dire que je suis menteur, ça ne veut pas dire que je ne suis pas authentique. Mais quand je vais te parler, je vais être authentique. Quand tu vas me poser une question, je vais être authentique. Et des fois, je vais peut-être te dire, est-ce que tu es sûr que tu veux savoir la réponse ? Parce que je vais te dire la vérité. Et souvent, la vérité choque. Des fois même la vérité peut faire mal. Mais c'est bien moins douloureux qu'un mensonge, c'est bien moins douloureux qu'une trahison. Alors c'est un choix. Si tu veux être heureux, joyeux et libre aujourd'hui, choisis la vérité. Si tu veux avoir une relation de confiance, que ce soit en affaires, en amitié, en amour, dis la vérité. Sois authentique, sois toi. Ne change pas avec certaines personnes, ils vont aimer ce que tu leur montres et ils n'aimeront pas ce que tu es. Mon père disait, il y a 50% du monde qui vont m'aimer, il y a 50% du monde qui ne m'aimeront pas. Si moi je m'aime, j'ai gagué. Il a tout à fait raison. Il a tout à fait raison. Parce que moi, je ne suis pas toi, mais moi, je veux être heureux. Je veux être bien. Je veux être libre de faire ce que j'ai envie de faire avec qui j'ai envie de le faire au moment où j'ai envie de le faire. Ça, ça ne veut pas dire que je me crise des autres. Mais non, il y a des choix, des décisions des fois qu'on peut prendre qui peuvent avoir un impact sur les autres. Il faut y réfléchir, c'est sûr. Ce que je fais comme métier, c'est un choix que je fais et ça ne regarde que moi. Que je sois célibataire présentement et que je sois en couple dans plusieurs mois, plusieurs années, ça va être un choix que je vais faire pour moi. Les amis que j'ai en ce moment sont là dans ma vie parce que je les ai choisis. Et c'est un choix que je fais pour moi, pas pour être apprécié, pas pour être aimé. Parce que c'est ce que j'ai envie de vivre. Alors, c'est ce que je vais te souhaiter. Choisis la vérité. N'oublie surtout pas de dire que t'es correct. Salut !

Chapters

  • Introduction au sujet de la vérité et de la peur d'exprimer ses sentiments

    00:00

  • La peur du jugement et le besoin de reconnaissance

    00:15

  • Questions essentielles sur la satisfaction personnelle et les relations

    01:27

  • L'importance de se connaître pour éviter la dépendance

    03:38

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  • Choisir l'authenticité et vivre sans peur du jugement

    10:32

Description

Êtes-vous vraiment en train de vivre votre vérité ou vous cachez-vous derrière des masques pour plaire aux autres ? Dans cet épisode captivant de T-CORRECT, Simon Desjardins nous plonge au cœur des enjeux de la vérité et de l'authenticité. Il aborde la peur qui empêche tant de personnes de nommer ce qu'elles ressentent ou de vivre pleinement leurs désirs. Cette peur, souvent liée au jugement et à la critique, peut nous enfermer dans des rôles qui ne nous ressemblent pas. Simon nous invite à réfléchir sur notre propre vie, nos relations et notre bonheur, tout en soulignant l'importance d'être vrai envers soi-même.


À travers son expérience personnelle, Simon partage comment il a longtemps joué des rôles pour satisfaire les attentes des autres, souvent au détriment de sa propre vérité. Il nous rappelle que choisir la vérité, même lorsque cela semble inconfortable, est la clé d'une vie authentique et épanouissante. Dans cet épisode de T-CORRECT, vous découvrirez comment la reconnaissance et l'acceptation des autres peuvent nous pousser à ignorer nos propres besoins et désirs. Simon nous encourage à poser des questions essentielles : Qu'est-ce qui nous empêche d'être authentiques ? Comment pouvons-nous surmonter notre peur du jugement ?


En explorant ces thèmes, Simon nous incite à embrasser notre vérité, car vivre selon nos propres valeurs est essentiel pour atteindre le bonheur et la liberté. Cet épisode est un véritable appel à l'action pour tous ceux qui souhaitent se libérer des chaînes du conformisme et des attentes extérieures. En écoutant T-CORRECT, vous serez inspiré à faire face à vos peurs et à vous engager sur le chemin de l'authenticité.


C'est le moment de choisir la vérité et de vous épanouir dans votre vie personnelle et professionnelle. Ensemble, faisons de l'authenticité une priorité et libérons-nous des attentes des autres !


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  • Simon Desjardins

    Hey, salut ! Bienvenue sur le podcast T'es correct, j'avais envie de te parler de la vérité, hein ? Pourquoi qu'on a peur de nommer ce qu'on ressent ? Pourquoi qu'on a peur de nommer ce qu'on a envie de vivre ? On en parle après ceci. Ici Simon, bienvenue sur T'es correct, le podcast qui te parle avec authenticité, sans détour, mais surtout sans bullshit. Juste toi. moi, puis des outils pour retrouver la paix. T'aimer un peu plus, puis surtout pour te dire que t'es correct. Merci d'être à l'écoute. Oui, cette fameuse peur de dire la vérité. Pourquoi souvent on a peur ? Bien, c'est simple, puis j'en parle souvent. On va avoir peur du jugement des autres, de la critique des autres. On va avoir peur d'être rejeté, d'être abandonné. Excusez-moi de ne pas être aimé, de ne pas être... à la hauteur, peu importe les peurs qu'on a. Et tu sais quoi ? Nous, les êtres humains, on cherche toujours de la reconnaissance. On cherche toujours à être accepté, à être aimé, à être écouté, à être sollicité, à être quelqu'un. Tu sais, tout le monde veut être quelqu'un pour quelqu'un et on oublie souvent d'être quelqu'un pour soi. Alors, inconsciemment, on devient quelqu'un souvent pour les autres. Mais ce qu'on pense que les autres attendent peut-être de nous, ce que peut-être les autres aimeraient qu'on soit. Et souvent, c'est même pas dit, c'est juste des interprétations qu'on fait de nous-mêmes. Et là, c'est qu'on oublie d'être vrai envers soi-même. On oublie de vivre. « Hey, c'est quoi que je veux vivre, moi ? » « C'est quoi que j'ai vraiment envie de vivre ? » Est-ce que présentement, je vis la vie que je veux ? Est-ce que présentement, je fais la job que je veux ? Mon travail, est-ce qu'il est satisfaisant ? Est-ce que mon travail me remplit ? Est-ce que mon travail me donne le sentiment d'être utile ? Est-ce que mon travail donne un sens à ma vie ? Ma blonde, mon chum, ma femme, mon mari, si je suis en couple, présentement... Est-ce que cette relation-là m'a satisfait ? Est-ce que cette relation-là m'aide à rester rempli ? Est-ce que cette relation-là m'aide à avancer ? Est-ce que cette relation-là aide à cheminer, à grandir ? Et si je suis seul, est-ce que c'est par choix ? Et être célibataire, est-ce que ça me rend heureux ? Est-ce qu'être célibataire me remplit ? Est-ce qu'être célibataire, c'est ce que je veux vraiment ? Mes amis, que j'ai à l'entour de moi, est-ce que c'est des gens qui m'amènent vers le haut ? Est-ce que c'est des gens qui me remplit ? Est-ce que c'est des gens qui m'aident à mon bonheur ? Est-ce que ces gens-là donnent un sens à ma vie ? Est-ce que ma relation de couple donne un sens à ma vie ? Est-ce que mon célibat me donne un sens à ma vie ? Est-ce que ma vie familiale donne un sens à ma vie ? C'est toutes des questions qu'il faut se poser et se répondre avec honnêteté. J'ai passé une grande partie de ma vie à être un caméléon. À ce moment-là, je n'avais aucune idée que j'avais un besoin d'amour démesuré, que j'avais besoin que tu me reconnaisses, que j'avais besoin que tu m'aimes, que j'en avais tellement besoin de la petite. tape sur l'épaule, que j'avais tellement besoin de voir dans ton regard que tu trouvais que je l'avais l'affaire. Et en faisant ça, évidemment, c'est sûr que je me suis oublié. Est-ce que je me suis vraiment oublié ou c'est juste parce que je ne me suis jamais connu ? Moins de connaissances de moi égale plus de dépendance. Plus d'autonomie, qui est le contraire de la dépendance, plus de connaissances de moi, plus d'amour. Et c'est surtout de ne plus avoir cette peur-là de ne pas être aimé, de ne pas être reconnu, qui fait en sorte qu'on est de plus en plus libre, de ne plus être esclaves de ce qu'ils vont dire, de ce qu'ils vont penser. Parce qu'on joue toujours des rôles, on joue toujours des rôles, toujours. Pourquoi ? Comme je le dis si bien, pour être toujours aimé. Je suis sûr que ça t'est déjà arrivé de rencontrer quelqu'un, puis après quelques mois, quelques semaines, peut-être même après quelques années, de dire « Hey, je ne reconnais plus la personne » . Ben non, parce que probablement qu'au début, elle n'était pas elle-même. Puis même peut-être que toi, ça t'arrive de dire, « Hey, je ne me reconnais plus dans cette relation-là, que ce soit amitié professionnelle ou amoureuse. Il me semble que je ne suis plus moi. » Ben non, parce que je m'éloigne de ma vérité. Tu commences, je m'éloigne de ma vérité, de ce que je suis vraiment et surtout de c'est quoi que je veux être. Et c'est quoi, je veux vivre. Parce que c'est sûr que c'est toujours inconfortable de se choisir. Parce que je ne sais pas toi, mais j'ai été longtemps avoir peur de faire de la peine aux autres, de décevoir les autres. Mais pendant que je ne m'affirme pas, que je me la ferme au lieu de m'affirmer, pendant que je ne choisis pas ce que moi j'ai envie de vivre, C'est moi que je déçois. C'est moi que j'abandonne dans tout ce que moi j'ai envie de vivre. Et la dernière personne à qui je veux décevoir, il faut que ce soit moi. Parce que j'ai beau essayer de rendre tous les autres heureux, heureuses à l'entour de moi, si moi je ne suis pas, ça ne vaut pas de la merde. Et si les autres ont besoin de moi pour être heureux, heureuse, ça ne vaut pas de la merde non plus. Et c'est pour ça que la vie change tellement vite. Êtes-vous d'accord avec moi que la vie change ? Va vite, d'un, et elle change vite. Ça veut dire que présentement, je vis telle affaire, je suis bien dans ce que je vis. Peut-être dans trois mois, six mois, un an et demi, deux ans, bien, ça ne sera pas là. Pourquoi j'entends souvent, des fois, des gens en consultation dire « Il m'avait promis qu'il serait toujours là. Elle m'a promis que je serais le seul dans sa vie. » Il m'a promis qu'il m'aimerait juste, qu'il ne m'abandonnerait pas. C'est juste qu'il y a des choses qui ont changé. Mais je peux te dire une chose, que probablement, quand cette personne-là te dit qu'elle va toujours être là, qu'elle va toujours t'aimer, que tu vas être là ou là seul dans ta vie, probablement qu'à ce moment-là, elle était sincère. Que probablement qu'à ce moment-là, elle se croyait et elle le ressentait. Mais les choses changent. Parce que moi, j'ai déjà promis toutes ces choses-là à beaucoup de monde. La majorité, ah oui, des filles. Et quand je le disais, j'étais sincère. Et je le pensais, je le ressentais. Mais la vie change. Les gens changent. Nous, on change. Si on ne change pas, parce qu'il y a quelque chose qui ne marche pas, le but, c'est d'évoluer. Mais c'est toujours d'évoluer dans ma vérité. Comme je dis, j'aime bien dire, et je le réalise de plus en plus, qu'il y a trois vérités. Il y a la mienne, il y a la tienne, et il y a la vérité. Chacun a sa vérité. Il n'y a pas personne qui a la vérité pour quelqu'un d'autre. Tu sais, moi, mon métier, c'est d'aider des gens. C'est donner, on va dire, des sessions. De donner des ateliers. De fournir des outils à des gens pour aller bien. Moi, c'est des suggestions. J'ai pas la prétention de dire, hey, fais ça, puis ça va t'apporter telle, telle, telle affaire. Non, expérimente, essaie-le. Moi, je te dis que pour moi, puis des milliers de personnes, ça a fonctionné. Mais chacun a son chemin. Chacun a son chemin. La chose la plus importante, c'est de trouver le tien, de trouver le mien, de trouver le nôtre. Parce que c'est ce qu'on a envie de vivre, présentement. Moi, présentement, j'ai la vie que je veux vivre. Que ce soit professionnellement, que ce soit amicalement, que ce soit amoureusement. Pour l'instant, oui. En ce 18 novembre que j'enregistre cet épisode-là, 2025, je suis seul, je suis célibataire. Et c'est un choix que j'ai fait et c'est un choix que je continue à faire. Parce que c'est ce que je suis rendu là dans ma vie. Est-ce que dans un mois, trois mois, six mois, un an, deux ans, ça va changer ? Bien, il y a des grandes chances. Aucune idée. Je ne peux pas savoir. Puis, c'est ce qui est bien dans la vie, c'est qu'on ne connaît pas le futur. Alors, c'est pour ça, le fameux dicton, les phrases tout faites, le moment présent, juste pour aujourd'hui. Bien oui, ce matin, moi encore, je me suis levé et je me suis dit, juste pour aujourd'hui, je ne consommerai pas. je me dis plus ça, mais tu comprends ce que je veux dire ça va faire 16 ans au mois de décembre que j'ai mis la consommation de côté, par choix, mais je l'ai choisi quotidiennement, je le choisis encore, même si je ne me le dis pas consciemment, mais je sais que dans mon inconscience, c'est là. Pour aujourd'hui, j'ai décidé que je restais célibataire. Pour aujourd'hui, j'ai décidé que je continuais le métier que je fais. Mais est-ce que dans un an, six mois, deux ans, cinq ans, dix ans, peut tout changer ? Bien oui, ça peut changer. Tu sais, quand j'arrête dans la règle et que je me dis « Ah, ouette, que je ne pensais pas être où je suis aujourd'hui, il y a cinq ans, encore moins, il y a dix ans, encore bien moins, il y a 15 ans, 20 ans, etc. Il y a plein de choses qui ont changé. Par contre, moi... je fais en sorte de toujours suivre ma vérité. Est-ce que j'ai envie d'aller là ? J'y vais. Si ça ne me tente pas, j'y vais pas. J'irai plus à une place, à un party, à un souper, parce qu'un exemple, parce que ça s'en vient bientôt, c'est Noël. Non, je ne m'oblige pas à aller dans une fête parce que c'est Noël. Je vais y aller si ça me tente. Et ce n'est pas égoïste. C'est ça, ma vérité. C'est ça, ma vérité à moi. Ça veut pas dire que c'est la même que la tienne. Mais ça veut pas dire parce que toi, tu le fais, que c'est pas correct non plus. Dans le programme, je n'aimerais pas la fraternité parce qu'on peut comme pas pour l'anonymat. Il parle de rigoureuse honnêteté. Pas envers toi, envers moi. Alors, automatique, ça m'empêche à l'être envers toi. Mais ça commence par moi. Et c'est cette vérité-là que moi, je m'impose de vivre. Parce que c'est beaucoup plus facile aujourd'hui. Est-ce que ça a été facile à mettre en pratique ? Non. Puis des fois, est-ce que l'ancien patin de Simon qui était dans le mensonge toute sa vie, trois quarts du temps inconscient, qui n'était pas dans sa vérité, est toujours facile ? Bien non. Est-ce que ça revient des fois de dire, « Ah, pas obligé de dire. » Oui, ça revient. Parce que par peur de blesser, par peur d'être jugé, par peur de ne pas être reconnu, maintenant je dis la vérité. Par choix. Parce que moi, je veux continuer à être dans ma vérité. Pas dans la tienne, pas dans la vérité que peut-être que je pensais que les autres voulaient que je sois. Non, par la mienne. Parce que j'ai découvert aussi que l'authenticité, ce qu'on est vrai... attire le beau, le bon, le bien dans notre vie. Ça ne veut pas dire que ça devient parfait. Il n'y a rien de parfait. Mais par contre, je crame que c'est beaucoup plus doux. Je n'ai plus peur maintenant de répondre au téléphone. Je n'ai plus peur que dans un souper d'amis ou un souper de famille, quelqu'un raconte une chose qui s'est passée la semaine passée. Puis que, mon Dieu, moi, je n'avais pas dit la vraie affaire. Ça, ça m'est tellement arrivé souvent. Ça m'est tellement arrivé souvent. Un exemple bien simple, dans le temps, moi j'étais quelqu'un qui était hyper infidèle, ça faisait partie, on va dire, de mon mode de vie à ce moment-là. Puis là, un exemple, tu sors avec tes chums, tu trompes ta blonde, la semaine d'après, tu as un souper de chums avec nos blondes. Puis là, il y en a un qui commence à raconter des séquences de cette soirée-là, puis là, tout est mal, tout est chaud. Ah, si je ne veux plus jamais me faire vivre ça. Parce que là, tu as peur que la vérité sorte. Moi, maintenant, j'ai plus peur que la vérité sorte. Parce que j'ai appris à m'accueillir, à m'accepter, puis à m'aimer comme j'ai été, pour pouvoir m'accueillir, m'aimer, et m'accepter comme que je suis aujourd'hui. Est-ce que je suis parfait ? Non. Non. Ça, ça veut-tu dire que je vais aller raconter toute ma vie, puis toutes mes niaiseries que j'ai pu faire, ou que des fois, oui, je fais encore, sur Facebook, et le dire à la terre entière ? Non, j'ai quand même, on va dire, un côté... Il y a des choses dans ma vie qui restent privées, puis c'est parfait. Ça ne veut pas dire que je suis menteur, ça ne veut pas dire que je ne suis pas authentique. Mais quand je vais te parler, je vais être authentique. Quand tu vas me poser une question, je vais être authentique. Et des fois, je vais peut-être te dire, est-ce que tu es sûr que tu veux savoir la réponse ? Parce que je vais te dire la vérité. Et souvent, la vérité choque. Des fois même la vérité peut faire mal. Mais c'est bien moins douloureux qu'un mensonge, c'est bien moins douloureux qu'une trahison. Alors c'est un choix. Si tu veux être heureux, joyeux et libre aujourd'hui, choisis la vérité. Si tu veux avoir une relation de confiance, que ce soit en affaires, en amitié, en amour, dis la vérité. Sois authentique, sois toi. Ne change pas avec certaines personnes, ils vont aimer ce que tu leur montres et ils n'aimeront pas ce que tu es. Mon père disait, il y a 50% du monde qui vont m'aimer, il y a 50% du monde qui ne m'aimeront pas. Si moi je m'aime, j'ai gagué. Il a tout à fait raison. Il a tout à fait raison. Parce que moi, je ne suis pas toi, mais moi, je veux être heureux. Je veux être bien. Je veux être libre de faire ce que j'ai envie de faire avec qui j'ai envie de le faire au moment où j'ai envie de le faire. Ça, ça ne veut pas dire que je me crise des autres. Mais non, il y a des choix, des décisions des fois qu'on peut prendre qui peuvent avoir un impact sur les autres. Il faut y réfléchir, c'est sûr. Ce que je fais comme métier, c'est un choix que je fais et ça ne regarde que moi. Que je sois célibataire présentement et que je sois en couple dans plusieurs mois, plusieurs années, ça va être un choix que je vais faire pour moi. Les amis que j'ai en ce moment sont là dans ma vie parce que je les ai choisis. Et c'est un choix que je fais pour moi, pas pour être apprécié, pas pour être aimé. Parce que c'est ce que j'ai envie de vivre. Alors, c'est ce que je vais te souhaiter. Choisis la vérité. N'oublie surtout pas de dire que t'es correct. Salut !

Chapters

  • Introduction au sujet de la vérité et de la peur d'exprimer ses sentiments

    00:00

  • La peur du jugement et le besoin de reconnaissance

    00:15

  • Questions essentielles sur la satisfaction personnelle et les relations

    01:27

  • L'importance de se connaître pour éviter la dépendance

    03:38

  • Accepter le changement et vivre selon sa vérité

    06:30

  • Choisir l'authenticité et vivre sans peur du jugement

    10:32

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