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TUCETOO

Episode 4 : De salarié à entrepreneur

Episode 4 : De salarié à entrepreneur

05min |23/05/2025
Play
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Episode 4 : De salarié à entrepreneur

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05min |23/05/2025
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Description

🎤 De salarié à entrepreneur : les grandes transitions de posture (et autres sueurs froides)


Vous avez quitté le confort du CDI pour suivre votre rêve. Félicitations ! 🎉

Mais une fois l'adrénaline passée, vous découvrez… un monde sans mode d'emploi


💬 "Pourquoi j'ai l'impression de pédaler dans le vide ?"

😰 "Je suis libre… mais aussi un peu paumé(e)"

💸 "Et ce virement, il arrive quand ?"


Dans cet épisode sans langue de bois, Carole raconte son saut sans parachute. De la machine à café aux factures impayées, des PowerPoint du lundi aux premières victoires, elle partage les grands chocs de la transition vers l'entrepreneuriat.


🔥 Au programme :

🔹 Comment passer d'un cadre imposé à une discipline personnelle

🔹 Apprendre à se valider… quand plus personne ne le fait pour vous

🔹 Gérer le vertige financier sans sombrer


👉 Prêt(e) à plonger dans le grand bain de l'entrepreneuriat ? Appuyez sur play et découvrez que, non vous n'êtes pas seul(e)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut les Tucettes, bienvenue chez Tucetoo ou...Presque, le podcast qui donne la voix à vos ambitions. Moi c'est Carole Lacaze, bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, on va parler d'un saut sans parachute passer de salarié à entrepreneur. Allez, on y va ! Parce que oui, quand tu quittes ton CDI confortable pour voler de tes propres ailes, ben, il faut déjà apprendre à voler. Moi, Carole, j'ai fait ce saut. J'ai quitté les RTT, la machine à café, le bulletin de salaire, la voiture de fonction et j'en passe, les belles primes, qu'elles étaient belles, et aussi les réunions PowerPoint du lundi matin. Aujourd'hui, on va parler vrai, pas de bullshit motivationnel, juste ce que ça fait vraiment au fond du ventre, au fond du cœur et parfois au fond du découvert bancaire. Prête à plonger ? C'est parti ! Premier grand choc, quand t'es salarié, t'as une structure. Tu sais à quelle heure tu commences, tu sais à quelle heure tu finis, t'as un patron qui te dit ce que tu dois faire, même si ça t'énerve pour le coup, un service RH pour te rappeler que le jour de carence n'est pas une légende, et du jour au lendemain, bim, liberté totale. Et c'est ce qui est grisant et un peu flippant. Exemple perso encore. Le premier lundi de mon aventure entrepreneuriale, je me suis réveillée à 9h, super fière de ne pas avoir de réveil. À 10h, j'étais encore en pyjama à faire défiler des vidéos des gens super productifs sur Insta. Morale, sans patron, c'est toi le boss et crois-moi, il faut apprendre à s'auto-manager sans s'auto-fouetter. Donc, crée-toi une mini-structure, même si c'est souple. Un planning hebdomadaire, des objectifs courts un rendez-vous hebdo avec toi-même, le sport. Quand t'es salarié, tu reçois un feedback. Un client te dit merci, ton boss te félicite. Parfois, ça, c'est pas toujours le cas. Et à Noël, t'as une boîte de chocolats de la direction, même si c'est les moins bons du supermarché, mais t'en as une. Et quand t'es entrepreneur, c'est le silence. Tu bosses comme un dingue, tu lances ton site. t'écris une super newsletter, et bien, tu sais quoi ? Personne ne répond. Même ta mère elle oublie de liker. Et là, tu te demandes, est-ce que je suis invisible ? Est-ce que je suis nul ? Ah ben non. T'es juste en train de créer quelque chose. Et au début, c'est normal d'avoir l'impression de parler dans le vide. Une petite astuce. Célèbre tout. La première facture, la première prise de rendez-vous, le premier non aussi. Parce qu'en vrai, chaque étape est une victoire. Troisième transition et pas des moindres, l'argent. Money, money. Quand t'es salarié, tu sais ce que tu gagnes. Tu sais que le 30 du mois, bim, ça tombe. Quand t'es entrepreneur, tu sais ce que tu factures. Mais pas toujours quand tu seras payé. Pensée émue pour tous ceux qui attendent un virement depuis octobre. Et au début, ça crée une sorte de vertige. Le vertige du « et si ça ne marche pas ? » Mais c'est aussi là que tu découvres la puissance, ta puissance. Tu peux générer tes revenus, tu peux créer des offres, des solutions, du vrai impact. Apprends à gérer ta trésorerie comme un chef. Fais-toi un petit coussin de sécurité et accepte que certains, mois, sont moins hauts et d'autres plus bas. C'est le rythme de l'entrepreneuriat et c'est OK. L'un des plus beaux virages, c'est celui de la créativité. En entreprise, Tu passes souvent ton temps à exécuter. En tant qu'entrepreneur, tu crées ton site, ton offre, ton style, ton storytelling. Tu passes de « je suis une pièce du puzzle » à « je suis l'artiste qui dessine le puzzle » . Mais attention, créer, c'est vertigineux. C'est génial et flippant en même temps. Parce que si ça ne marche pas, tu n'as plus d'excuses du boss ou du système. C'est toi et seulement toi. Alors je te conseille de t'entourer. de partager tes idées, tu les tests, t'écoute ton marché. La création ne doit pas se faire dans une grotte. Ton client idéal ne vit pas dans ta tête. Important ça. Et puis, il y a encore un virage, peut-être le plus profond. Quand on quitte un CDI, ce n'est pas juste pour l'argent ou l'indépendance. C'est souvent parce qu'on veut du sens. Moi, j'ai quitté mon poste parce que j'en avais marre de me demander à quoi servait ce que je faisais. Je voulais aider les gens, résoudre de vrais problèmes, sentir que ma voix comptait. Et l'entrepreneuriat, c'est ça. Tu n'attends plus qu'on te valide. Tu mets ton énergie au service de ta vision. Et ça... c'est puissant. Ça te donne une énergie de dingue, même quand t'as la trouille. Alors conclusion ? Oui, entrepreneur, devenir entrepreneur, c'est tout un monde. C'est apprendre à se gérer, à croire en soi, à prendre des coups, à se relever, à rire même quand c'est dur. Mais c'est aussi découvrir que tu es capable de choses que tu n'auras jamais imaginées. Et si tu es en plein dans cette transition, Ausha. Le chemin est peut-être sinueux, mais il est à toi. Merci de m'avoir écouté jusqu'ici. Si cet épisode vous a plu, partagez-le, parlez-en, ça marche aussi. Merci les Tucettes et surtout, souvenez-vous, vous n'êtes pas seuls. On est plein à marcher vers nos rêves, un pas vers l'autre. Allez, à très bientôt. En attendant, la parole est à vous.

Description

🎤 De salarié à entrepreneur : les grandes transitions de posture (et autres sueurs froides)


Vous avez quitté le confort du CDI pour suivre votre rêve. Félicitations ! 🎉

Mais une fois l'adrénaline passée, vous découvrez… un monde sans mode d'emploi


💬 "Pourquoi j'ai l'impression de pédaler dans le vide ?"

😰 "Je suis libre… mais aussi un peu paumé(e)"

💸 "Et ce virement, il arrive quand ?"


Dans cet épisode sans langue de bois, Carole raconte son saut sans parachute. De la machine à café aux factures impayées, des PowerPoint du lundi aux premières victoires, elle partage les grands chocs de la transition vers l'entrepreneuriat.


🔥 Au programme :

🔹 Comment passer d'un cadre imposé à une discipline personnelle

🔹 Apprendre à se valider… quand plus personne ne le fait pour vous

🔹 Gérer le vertige financier sans sombrer


👉 Prêt(e) à plonger dans le grand bain de l'entrepreneuriat ? Appuyez sur play et découvrez que, non vous n'êtes pas seul(e)


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Transcription

  • Speaker #0

    Salut les Tucettes, bienvenue chez Tucetoo ou...Presque, le podcast qui donne la voix à vos ambitions. Moi c'est Carole Lacaze, bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, on va parler d'un saut sans parachute passer de salarié à entrepreneur. Allez, on y va ! Parce que oui, quand tu quittes ton CDI confortable pour voler de tes propres ailes, ben, il faut déjà apprendre à voler. Moi, Carole, j'ai fait ce saut. J'ai quitté les RTT, la machine à café, le bulletin de salaire, la voiture de fonction et j'en passe, les belles primes, qu'elles étaient belles, et aussi les réunions PowerPoint du lundi matin. Aujourd'hui, on va parler vrai, pas de bullshit motivationnel, juste ce que ça fait vraiment au fond du ventre, au fond du cœur et parfois au fond du découvert bancaire. Prête à plonger ? C'est parti ! Premier grand choc, quand t'es salarié, t'as une structure. Tu sais à quelle heure tu commences, tu sais à quelle heure tu finis, t'as un patron qui te dit ce que tu dois faire, même si ça t'énerve pour le coup, un service RH pour te rappeler que le jour de carence n'est pas une légende, et du jour au lendemain, bim, liberté totale. Et c'est ce qui est grisant et un peu flippant. Exemple perso encore. Le premier lundi de mon aventure entrepreneuriale, je me suis réveillée à 9h, super fière de ne pas avoir de réveil. À 10h, j'étais encore en pyjama à faire défiler des vidéos des gens super productifs sur Insta. Morale, sans patron, c'est toi le boss et crois-moi, il faut apprendre à s'auto-manager sans s'auto-fouetter. Donc, crée-toi une mini-structure, même si c'est souple. Un planning hebdomadaire, des objectifs courts un rendez-vous hebdo avec toi-même, le sport. Quand t'es salarié, tu reçois un feedback. Un client te dit merci, ton boss te félicite. Parfois, ça, c'est pas toujours le cas. Et à Noël, t'as une boîte de chocolats de la direction, même si c'est les moins bons du supermarché, mais t'en as une. Et quand t'es entrepreneur, c'est le silence. Tu bosses comme un dingue, tu lances ton site. t'écris une super newsletter, et bien, tu sais quoi ? Personne ne répond. Même ta mère elle oublie de liker. Et là, tu te demandes, est-ce que je suis invisible ? Est-ce que je suis nul ? Ah ben non. T'es juste en train de créer quelque chose. Et au début, c'est normal d'avoir l'impression de parler dans le vide. Une petite astuce. Célèbre tout. La première facture, la première prise de rendez-vous, le premier non aussi. Parce qu'en vrai, chaque étape est une victoire. Troisième transition et pas des moindres, l'argent. Money, money. Quand t'es salarié, tu sais ce que tu gagnes. Tu sais que le 30 du mois, bim, ça tombe. Quand t'es entrepreneur, tu sais ce que tu factures. Mais pas toujours quand tu seras payé. Pensée émue pour tous ceux qui attendent un virement depuis octobre. Et au début, ça crée une sorte de vertige. Le vertige du « et si ça ne marche pas ? » Mais c'est aussi là que tu découvres la puissance, ta puissance. Tu peux générer tes revenus, tu peux créer des offres, des solutions, du vrai impact. Apprends à gérer ta trésorerie comme un chef. Fais-toi un petit coussin de sécurité et accepte que certains, mois, sont moins hauts et d'autres plus bas. C'est le rythme de l'entrepreneuriat et c'est OK. L'un des plus beaux virages, c'est celui de la créativité. En entreprise, Tu passes souvent ton temps à exécuter. En tant qu'entrepreneur, tu crées ton site, ton offre, ton style, ton storytelling. Tu passes de « je suis une pièce du puzzle » à « je suis l'artiste qui dessine le puzzle » . Mais attention, créer, c'est vertigineux. C'est génial et flippant en même temps. Parce que si ça ne marche pas, tu n'as plus d'excuses du boss ou du système. C'est toi et seulement toi. Alors je te conseille de t'entourer. de partager tes idées, tu les tests, t'écoute ton marché. La création ne doit pas se faire dans une grotte. Ton client idéal ne vit pas dans ta tête. Important ça. Et puis, il y a encore un virage, peut-être le plus profond. Quand on quitte un CDI, ce n'est pas juste pour l'argent ou l'indépendance. C'est souvent parce qu'on veut du sens. Moi, j'ai quitté mon poste parce que j'en avais marre de me demander à quoi servait ce que je faisais. Je voulais aider les gens, résoudre de vrais problèmes, sentir que ma voix comptait. Et l'entrepreneuriat, c'est ça. Tu n'attends plus qu'on te valide. Tu mets ton énergie au service de ta vision. Et ça... c'est puissant. Ça te donne une énergie de dingue, même quand t'as la trouille. Alors conclusion ? Oui, entrepreneur, devenir entrepreneur, c'est tout un monde. C'est apprendre à se gérer, à croire en soi, à prendre des coups, à se relever, à rire même quand c'est dur. Mais c'est aussi découvrir que tu es capable de choses que tu n'auras jamais imaginées. Et si tu es en plein dans cette transition, Ausha. Le chemin est peut-être sinueux, mais il est à toi. Merci de m'avoir écouté jusqu'ici. Si cet épisode vous a plu, partagez-le, parlez-en, ça marche aussi. Merci les Tucettes et surtout, souvenez-vous, vous n'êtes pas seuls. On est plein à marcher vers nos rêves, un pas vers l'autre. Allez, à très bientôt. En attendant, la parole est à vous.

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🎤 De salarié à entrepreneur : les grandes transitions de posture (et autres sueurs froides)


Vous avez quitté le confort du CDI pour suivre votre rêve. Félicitations ! 🎉

Mais une fois l'adrénaline passée, vous découvrez… un monde sans mode d'emploi


💬 "Pourquoi j'ai l'impression de pédaler dans le vide ?"

😰 "Je suis libre… mais aussi un peu paumé(e)"

💸 "Et ce virement, il arrive quand ?"


Dans cet épisode sans langue de bois, Carole raconte son saut sans parachute. De la machine à café aux factures impayées, des PowerPoint du lundi aux premières victoires, elle partage les grands chocs de la transition vers l'entrepreneuriat.


🔥 Au programme :

🔹 Comment passer d'un cadre imposé à une discipline personnelle

🔹 Apprendre à se valider… quand plus personne ne le fait pour vous

🔹 Gérer le vertige financier sans sombrer


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  • Speaker #0

    Salut les Tucettes, bienvenue chez Tucetoo ou...Presque, le podcast qui donne la voix à vos ambitions. Moi c'est Carole Lacaze, bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, on va parler d'un saut sans parachute passer de salarié à entrepreneur. Allez, on y va ! Parce que oui, quand tu quittes ton CDI confortable pour voler de tes propres ailes, ben, il faut déjà apprendre à voler. Moi, Carole, j'ai fait ce saut. J'ai quitté les RTT, la machine à café, le bulletin de salaire, la voiture de fonction et j'en passe, les belles primes, qu'elles étaient belles, et aussi les réunions PowerPoint du lundi matin. Aujourd'hui, on va parler vrai, pas de bullshit motivationnel, juste ce que ça fait vraiment au fond du ventre, au fond du cœur et parfois au fond du découvert bancaire. Prête à plonger ? C'est parti ! Premier grand choc, quand t'es salarié, t'as une structure. Tu sais à quelle heure tu commences, tu sais à quelle heure tu finis, t'as un patron qui te dit ce que tu dois faire, même si ça t'énerve pour le coup, un service RH pour te rappeler que le jour de carence n'est pas une légende, et du jour au lendemain, bim, liberté totale. Et c'est ce qui est grisant et un peu flippant. Exemple perso encore. Le premier lundi de mon aventure entrepreneuriale, je me suis réveillée à 9h, super fière de ne pas avoir de réveil. À 10h, j'étais encore en pyjama à faire défiler des vidéos des gens super productifs sur Insta. Morale, sans patron, c'est toi le boss et crois-moi, il faut apprendre à s'auto-manager sans s'auto-fouetter. Donc, crée-toi une mini-structure, même si c'est souple. Un planning hebdomadaire, des objectifs courts un rendez-vous hebdo avec toi-même, le sport. Quand t'es salarié, tu reçois un feedback. Un client te dit merci, ton boss te félicite. Parfois, ça, c'est pas toujours le cas. Et à Noël, t'as une boîte de chocolats de la direction, même si c'est les moins bons du supermarché, mais t'en as une. Et quand t'es entrepreneur, c'est le silence. Tu bosses comme un dingue, tu lances ton site. t'écris une super newsletter, et bien, tu sais quoi ? Personne ne répond. Même ta mère elle oublie de liker. Et là, tu te demandes, est-ce que je suis invisible ? Est-ce que je suis nul ? Ah ben non. T'es juste en train de créer quelque chose. Et au début, c'est normal d'avoir l'impression de parler dans le vide. Une petite astuce. Célèbre tout. La première facture, la première prise de rendez-vous, le premier non aussi. Parce qu'en vrai, chaque étape est une victoire. Troisième transition et pas des moindres, l'argent. Money, money. Quand t'es salarié, tu sais ce que tu gagnes. Tu sais que le 30 du mois, bim, ça tombe. Quand t'es entrepreneur, tu sais ce que tu factures. Mais pas toujours quand tu seras payé. Pensée émue pour tous ceux qui attendent un virement depuis octobre. Et au début, ça crée une sorte de vertige. Le vertige du « et si ça ne marche pas ? » Mais c'est aussi là que tu découvres la puissance, ta puissance. Tu peux générer tes revenus, tu peux créer des offres, des solutions, du vrai impact. Apprends à gérer ta trésorerie comme un chef. Fais-toi un petit coussin de sécurité et accepte que certains, mois, sont moins hauts et d'autres plus bas. C'est le rythme de l'entrepreneuriat et c'est OK. L'un des plus beaux virages, c'est celui de la créativité. En entreprise, Tu passes souvent ton temps à exécuter. En tant qu'entrepreneur, tu crées ton site, ton offre, ton style, ton storytelling. Tu passes de « je suis une pièce du puzzle » à « je suis l'artiste qui dessine le puzzle » . Mais attention, créer, c'est vertigineux. C'est génial et flippant en même temps. Parce que si ça ne marche pas, tu n'as plus d'excuses du boss ou du système. C'est toi et seulement toi. Alors je te conseille de t'entourer. de partager tes idées, tu les tests, t'écoute ton marché. La création ne doit pas se faire dans une grotte. Ton client idéal ne vit pas dans ta tête. Important ça. Et puis, il y a encore un virage, peut-être le plus profond. Quand on quitte un CDI, ce n'est pas juste pour l'argent ou l'indépendance. C'est souvent parce qu'on veut du sens. Moi, j'ai quitté mon poste parce que j'en avais marre de me demander à quoi servait ce que je faisais. Je voulais aider les gens, résoudre de vrais problèmes, sentir que ma voix comptait. Et l'entrepreneuriat, c'est ça. Tu n'attends plus qu'on te valide. Tu mets ton énergie au service de ta vision. Et ça... c'est puissant. Ça te donne une énergie de dingue, même quand t'as la trouille. Alors conclusion ? Oui, entrepreneur, devenir entrepreneur, c'est tout un monde. C'est apprendre à se gérer, à croire en soi, à prendre des coups, à se relever, à rire même quand c'est dur. Mais c'est aussi découvrir que tu es capable de choses que tu n'auras jamais imaginées. Et si tu es en plein dans cette transition, Ausha. Le chemin est peut-être sinueux, mais il est à toi. Merci de m'avoir écouté jusqu'ici. Si cet épisode vous a plu, partagez-le, parlez-en, ça marche aussi. Merci les Tucettes et surtout, souvenez-vous, vous n'êtes pas seuls. On est plein à marcher vers nos rêves, un pas vers l'autre. Allez, à très bientôt. En attendant, la parole est à vous.

Description

🎤 De salarié à entrepreneur : les grandes transitions de posture (et autres sueurs froides)


Vous avez quitté le confort du CDI pour suivre votre rêve. Félicitations ! 🎉

Mais une fois l'adrénaline passée, vous découvrez… un monde sans mode d'emploi


💬 "Pourquoi j'ai l'impression de pédaler dans le vide ?"

😰 "Je suis libre… mais aussi un peu paumé(e)"

💸 "Et ce virement, il arrive quand ?"


Dans cet épisode sans langue de bois, Carole raconte son saut sans parachute. De la machine à café aux factures impayées, des PowerPoint du lundi aux premières victoires, elle partage les grands chocs de la transition vers l'entrepreneuriat.


🔥 Au programme :

🔹 Comment passer d'un cadre imposé à une discipline personnelle

🔹 Apprendre à se valider… quand plus personne ne le fait pour vous

🔹 Gérer le vertige financier sans sombrer


👉 Prêt(e) à plonger dans le grand bain de l'entrepreneuriat ? Appuyez sur play et découvrez que, non vous n'êtes pas seul(e)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut les Tucettes, bienvenue chez Tucetoo ou...Presque, le podcast qui donne la voix à vos ambitions. Moi c'est Carole Lacaze, bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, on va parler d'un saut sans parachute passer de salarié à entrepreneur. Allez, on y va ! Parce que oui, quand tu quittes ton CDI confortable pour voler de tes propres ailes, ben, il faut déjà apprendre à voler. Moi, Carole, j'ai fait ce saut. J'ai quitté les RTT, la machine à café, le bulletin de salaire, la voiture de fonction et j'en passe, les belles primes, qu'elles étaient belles, et aussi les réunions PowerPoint du lundi matin. Aujourd'hui, on va parler vrai, pas de bullshit motivationnel, juste ce que ça fait vraiment au fond du ventre, au fond du cœur et parfois au fond du découvert bancaire. Prête à plonger ? C'est parti ! Premier grand choc, quand t'es salarié, t'as une structure. Tu sais à quelle heure tu commences, tu sais à quelle heure tu finis, t'as un patron qui te dit ce que tu dois faire, même si ça t'énerve pour le coup, un service RH pour te rappeler que le jour de carence n'est pas une légende, et du jour au lendemain, bim, liberté totale. Et c'est ce qui est grisant et un peu flippant. Exemple perso encore. Le premier lundi de mon aventure entrepreneuriale, je me suis réveillée à 9h, super fière de ne pas avoir de réveil. À 10h, j'étais encore en pyjama à faire défiler des vidéos des gens super productifs sur Insta. Morale, sans patron, c'est toi le boss et crois-moi, il faut apprendre à s'auto-manager sans s'auto-fouetter. Donc, crée-toi une mini-structure, même si c'est souple. Un planning hebdomadaire, des objectifs courts un rendez-vous hebdo avec toi-même, le sport. Quand t'es salarié, tu reçois un feedback. Un client te dit merci, ton boss te félicite. Parfois, ça, c'est pas toujours le cas. Et à Noël, t'as une boîte de chocolats de la direction, même si c'est les moins bons du supermarché, mais t'en as une. Et quand t'es entrepreneur, c'est le silence. Tu bosses comme un dingue, tu lances ton site. t'écris une super newsletter, et bien, tu sais quoi ? Personne ne répond. Même ta mère elle oublie de liker. Et là, tu te demandes, est-ce que je suis invisible ? Est-ce que je suis nul ? Ah ben non. T'es juste en train de créer quelque chose. Et au début, c'est normal d'avoir l'impression de parler dans le vide. Une petite astuce. Célèbre tout. La première facture, la première prise de rendez-vous, le premier non aussi. Parce qu'en vrai, chaque étape est une victoire. Troisième transition et pas des moindres, l'argent. Money, money. Quand t'es salarié, tu sais ce que tu gagnes. Tu sais que le 30 du mois, bim, ça tombe. Quand t'es entrepreneur, tu sais ce que tu factures. Mais pas toujours quand tu seras payé. Pensée émue pour tous ceux qui attendent un virement depuis octobre. Et au début, ça crée une sorte de vertige. Le vertige du « et si ça ne marche pas ? » Mais c'est aussi là que tu découvres la puissance, ta puissance. Tu peux générer tes revenus, tu peux créer des offres, des solutions, du vrai impact. Apprends à gérer ta trésorerie comme un chef. Fais-toi un petit coussin de sécurité et accepte que certains, mois, sont moins hauts et d'autres plus bas. C'est le rythme de l'entrepreneuriat et c'est OK. L'un des plus beaux virages, c'est celui de la créativité. En entreprise, Tu passes souvent ton temps à exécuter. En tant qu'entrepreneur, tu crées ton site, ton offre, ton style, ton storytelling. Tu passes de « je suis une pièce du puzzle » à « je suis l'artiste qui dessine le puzzle » . Mais attention, créer, c'est vertigineux. C'est génial et flippant en même temps. Parce que si ça ne marche pas, tu n'as plus d'excuses du boss ou du système. C'est toi et seulement toi. Alors je te conseille de t'entourer. de partager tes idées, tu les tests, t'écoute ton marché. La création ne doit pas se faire dans une grotte. Ton client idéal ne vit pas dans ta tête. Important ça. Et puis, il y a encore un virage, peut-être le plus profond. Quand on quitte un CDI, ce n'est pas juste pour l'argent ou l'indépendance. C'est souvent parce qu'on veut du sens. Moi, j'ai quitté mon poste parce que j'en avais marre de me demander à quoi servait ce que je faisais. Je voulais aider les gens, résoudre de vrais problèmes, sentir que ma voix comptait. Et l'entrepreneuriat, c'est ça. Tu n'attends plus qu'on te valide. Tu mets ton énergie au service de ta vision. Et ça... c'est puissant. Ça te donne une énergie de dingue, même quand t'as la trouille. Alors conclusion ? Oui, entrepreneur, devenir entrepreneur, c'est tout un monde. C'est apprendre à se gérer, à croire en soi, à prendre des coups, à se relever, à rire même quand c'est dur. Mais c'est aussi découvrir que tu es capable de choses que tu n'auras jamais imaginées. Et si tu es en plein dans cette transition, Ausha. Le chemin est peut-être sinueux, mais il est à toi. Merci de m'avoir écouté jusqu'ici. Si cet épisode vous a plu, partagez-le, parlez-en, ça marche aussi. Merci les Tucettes et surtout, souvenez-vous, vous n'êtes pas seuls. On est plein à marcher vers nos rêves, un pas vers l'autre. Allez, à très bientôt. En attendant, la parole est à vous.

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