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Nicolas Ullmann, ambianceur, au bistrot Le Cyrano cover
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Un café au comptoir - masterclass art, littérature et création

Nicolas Ullmann, ambianceur, au bistrot Le Cyrano

Nicolas Ullmann, ambianceur, au bistrot Le Cyrano

28min |08/03/2024
Play
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28min |08/03/2024
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Description

Un café au comptoir avec Nicolas Ullmann, directeur artistique de soirées festives.

Enregistré au bistrot Le Cyrano, 3 rue Biot à Paris (17e).


Mon invité du jour hante la nuit parisienne depuis le début des années 2000. Certains jaloux disent de lui qu’il serait un Vito Corleone d’une mafia pas comme les autres. Celle des branchés de la capitale. Mais lui ne se présente pas comme un parrain. Il préfère le titre de fou, d’amuseur, de clown. D’ailleurs, très tôt, ce serait en empruntant les vêtements de son père, trop grands pour sa taille d’enfant, qu’il se serait forgé un goût pour le costume, et surtout pour les soirées costumées.


Ce guitariste showmann, n’a pas pourtant toujours travaillé sur scène sous les projecteurs. Ses débuts dans le monde de la night ont commencé sur le trottoir. Mais n’allez pas vous méprendre. S’il battait le pavé plusieurs soirs par semaine dans le bas de l’avenue Marceau, c’était pour protéger de son corps l’entrée du club privé Le Baron dont il était le physionomiste le plus fantasque.


Car ce monsieur est également un comédien, habitué depuis ses 20 ans aux plateaux de cinéma, auprès de réalisateurs aussi différents que Jean Pierre Mocky ou Mathias Malzieu. Ce n’est peut-être pas (pour le moment) en haut de l’affiche d’une oeuvre du 7e art que vous trouverez son nom. Mais il y a une raison à cela. C’est que jusqu’ici, le rôle de la vie de cet esthète du kitsch, fan de Peter Sellers et d’Alice Cooper, c’est d’être le conteur des plus folles histoires qui tiennent éveillés toutes celles et ceux qui veulent faire la fête.


C’est donc en Monsieur Loyal noctambule que cet adepte et défenseur de la moustache s’est emparé des soirées des nights clubs les plus sélects de France. D’abord grâce à son talent de DJ qui lui permet de démontrer son goût éclectique en matière de son, ensuite grâce à son flair de découvreur de talents musicaux, et enfin grâce à son innénarable maîtrise du karaoké qu’il a totalement réinventé et qui est devenu une de ses marques de fabrique. Le Kararoké. Devant le public, le maitre de cérémonie se grime et prend le visage des stars de son adolescence. Il devient Lemy de Motorhead, Prince, Axl Rose, David Bowie, Freddy Mercury et accompagné d’un vrai groupe de rock il vous entraine à chanter les plus belles chansons du genre.


Aujourd’hui c’est aux commandes du Sub Pigalle qu’il officie avec brio, C’est donc tout naturellement que nous nous sommes retrouvés Place Clichy pour découvrir un de ses bars préférés, le Cyrano, et prendre ensemble un café au comptoir.

Emission présenté par Alexis Himeros

https://instagram.com/alexishimeros

et réalisée par Sulvann Guz


Merci au Cyrano
https://www.lecyranoparis.com

et Nicolas Ulmann
https://www.instagram.com/nicolasullmann

https://www.instagram.com/lesub_pigalle



(c) 2024 MIAD IGNACZAK


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Un café au comptoir avec Nicolas Ullmann, directeur artistique de soirées festives.

Enregistré au bistrot Le Cyrano, 3 rue Biot à Paris (17e).


Mon invité du jour hante la nuit parisienne depuis le début des années 2000. Certains jaloux disent de lui qu’il serait un Vito Corleone d’une mafia pas comme les autres. Celle des branchés de la capitale. Mais lui ne se présente pas comme un parrain. Il préfère le titre de fou, d’amuseur, de clown. D’ailleurs, très tôt, ce serait en empruntant les vêtements de son père, trop grands pour sa taille d’enfant, qu’il se serait forgé un goût pour le costume, et surtout pour les soirées costumées.


Ce guitariste showmann, n’a pas pourtant toujours travaillé sur scène sous les projecteurs. Ses débuts dans le monde de la night ont commencé sur le trottoir. Mais n’allez pas vous méprendre. S’il battait le pavé plusieurs soirs par semaine dans le bas de l’avenue Marceau, c’était pour protéger de son corps l’entrée du club privé Le Baron dont il était le physionomiste le plus fantasque.


Car ce monsieur est également un comédien, habitué depuis ses 20 ans aux plateaux de cinéma, auprès de réalisateurs aussi différents que Jean Pierre Mocky ou Mathias Malzieu. Ce n’est peut-être pas (pour le moment) en haut de l’affiche d’une oeuvre du 7e art que vous trouverez son nom. Mais il y a une raison à cela. C’est que jusqu’ici, le rôle de la vie de cet esthète du kitsch, fan de Peter Sellers et d’Alice Cooper, c’est d’être le conteur des plus folles histoires qui tiennent éveillés toutes celles et ceux qui veulent faire la fête.


C’est donc en Monsieur Loyal noctambule que cet adepte et défenseur de la moustache s’est emparé des soirées des nights clubs les plus sélects de France. D’abord grâce à son talent de DJ qui lui permet de démontrer son goût éclectique en matière de son, ensuite grâce à son flair de découvreur de talents musicaux, et enfin grâce à son innénarable maîtrise du karaoké qu’il a totalement réinventé et qui est devenu une de ses marques de fabrique. Le Kararoké. Devant le public, le maitre de cérémonie se grime et prend le visage des stars de son adolescence. Il devient Lemy de Motorhead, Prince, Axl Rose, David Bowie, Freddy Mercury et accompagné d’un vrai groupe de rock il vous entraine à chanter les plus belles chansons du genre.


Aujourd’hui c’est aux commandes du Sub Pigalle qu’il officie avec brio, C’est donc tout naturellement que nous nous sommes retrouvés Place Clichy pour découvrir un de ses bars préférés, le Cyrano, et prendre ensemble un café au comptoir.

Emission présenté par Alexis Himeros

https://instagram.com/alexishimeros

et réalisée par Sulvann Guz


Merci au Cyrano
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Enregistré au bistrot Le Cyrano, 3 rue Biot à Paris (17e).


Mon invité du jour hante la nuit parisienne depuis le début des années 2000. Certains jaloux disent de lui qu’il serait un Vito Corleone d’une mafia pas comme les autres. Celle des branchés de la capitale. Mais lui ne se présente pas comme un parrain. Il préfère le titre de fou, d’amuseur, de clown. D’ailleurs, très tôt, ce serait en empruntant les vêtements de son père, trop grands pour sa taille d’enfant, qu’il se serait forgé un goût pour le costume, et surtout pour les soirées costumées.


Ce guitariste showmann, n’a pas pourtant toujours travaillé sur scène sous les projecteurs. Ses débuts dans le monde de la night ont commencé sur le trottoir. Mais n’allez pas vous méprendre. S’il battait le pavé plusieurs soirs par semaine dans le bas de l’avenue Marceau, c’était pour protéger de son corps l’entrée du club privé Le Baron dont il était le physionomiste le plus fantasque.


Car ce monsieur est également un comédien, habitué depuis ses 20 ans aux plateaux de cinéma, auprès de réalisateurs aussi différents que Jean Pierre Mocky ou Mathias Malzieu. Ce n’est peut-être pas (pour le moment) en haut de l’affiche d’une oeuvre du 7e art que vous trouverez son nom. Mais il y a une raison à cela. C’est que jusqu’ici, le rôle de la vie de cet esthète du kitsch, fan de Peter Sellers et d’Alice Cooper, c’est d’être le conteur des plus folles histoires qui tiennent éveillés toutes celles et ceux qui veulent faire la fête.


C’est donc en Monsieur Loyal noctambule que cet adepte et défenseur de la moustache s’est emparé des soirées des nights clubs les plus sélects de France. D’abord grâce à son talent de DJ qui lui permet de démontrer son goût éclectique en matière de son, ensuite grâce à son flair de découvreur de talents musicaux, et enfin grâce à son innénarable maîtrise du karaoké qu’il a totalement réinventé et qui est devenu une de ses marques de fabrique. Le Kararoké. Devant le public, le maitre de cérémonie se grime et prend le visage des stars de son adolescence. Il devient Lemy de Motorhead, Prince, Axl Rose, David Bowie, Freddy Mercury et accompagné d’un vrai groupe de rock il vous entraine à chanter les plus belles chansons du genre.


Aujourd’hui c’est aux commandes du Sub Pigalle qu’il officie avec brio, C’est donc tout naturellement que nous nous sommes retrouvés Place Clichy pour découvrir un de ses bars préférés, le Cyrano, et prendre ensemble un café au comptoir.

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Mon invité du jour hante la nuit parisienne depuis le début des années 2000. Certains jaloux disent de lui qu’il serait un Vito Corleone d’une mafia pas comme les autres. Celle des branchés de la capitale. Mais lui ne se présente pas comme un parrain. Il préfère le titre de fou, d’amuseur, de clown. D’ailleurs, très tôt, ce serait en empruntant les vêtements de son père, trop grands pour sa taille d’enfant, qu’il se serait forgé un goût pour le costume, et surtout pour les soirées costumées.


Ce guitariste showmann, n’a pas pourtant toujours travaillé sur scène sous les projecteurs. Ses débuts dans le monde de la night ont commencé sur le trottoir. Mais n’allez pas vous méprendre. S’il battait le pavé plusieurs soirs par semaine dans le bas de l’avenue Marceau, c’était pour protéger de son corps l’entrée du club privé Le Baron dont il était le physionomiste le plus fantasque.


Car ce monsieur est également un comédien, habitué depuis ses 20 ans aux plateaux de cinéma, auprès de réalisateurs aussi différents que Jean Pierre Mocky ou Mathias Malzieu. Ce n’est peut-être pas (pour le moment) en haut de l’affiche d’une oeuvre du 7e art que vous trouverez son nom. Mais il y a une raison à cela. C’est que jusqu’ici, le rôle de la vie de cet esthète du kitsch, fan de Peter Sellers et d’Alice Cooper, c’est d’être le conteur des plus folles histoires qui tiennent éveillés toutes celles et ceux qui veulent faire la fête.


C’est donc en Monsieur Loyal noctambule que cet adepte et défenseur de la moustache s’est emparé des soirées des nights clubs les plus sélects de France. D’abord grâce à son talent de DJ qui lui permet de démontrer son goût éclectique en matière de son, ensuite grâce à son flair de découvreur de talents musicaux, et enfin grâce à son innénarable maîtrise du karaoké qu’il a totalement réinventé et qui est devenu une de ses marques de fabrique. Le Kararoké. Devant le public, le maitre de cérémonie se grime et prend le visage des stars de son adolescence. Il devient Lemy de Motorhead, Prince, Axl Rose, David Bowie, Freddy Mercury et accompagné d’un vrai groupe de rock il vous entraine à chanter les plus belles chansons du genre.


Aujourd’hui c’est aux commandes du Sub Pigalle qu’il officie avec brio, C’est donc tout naturellement que nous nous sommes retrouvés Place Clichy pour découvrir un de ses bars préférés, le Cyrano, et prendre ensemble un café au comptoir.

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