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Capsule estivale EP 2:  L'avis des autre, c'est la vie des autres. cover
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Virage

Capsule estivale EP 2: L'avis des autre, c'est la vie des autres.

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08min |07/08/2025
Play
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Description

On se retrouve au son des cigales pour parler du fait de ne faire confiance qu'à soi, à notre intuition et parler de changement de vie.

Te déculpabiliser (car ici c'est le mot d'ordre) si tu n'as pas envie de le faire (ou si ce n'est pas le bon moment), et t'encourager si tu l'envisages :)


Bonne écoute !


Pour soutenir ce podcast n'hésitez pas à mettre 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute et un commentaire, cela m'aide énormément.


Pour suivre les coulisses du podcast n'hésitez pas à me suivre sur Instagram: Pauline_virage!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, je m'appelle Pauline Maria, bienvenue dans Virage. Le podcast est sur la vie et ses tournants qui nous font rire, parfois pleurer, mais qui toujours nous inspirent. Bonjour, c'est Pauline, je suis toute seule, comme ce sera le cas pendant tout l'été. Je rappelle que je n'avais pas envie de vous laisser sans virage, de faire une pause pendant l'été. Mais voilà, j'avais envie de tester des nouvelles choses parce que c'est sympa aussi de pouvoir essayer et vous me posez pas mal de questions, donc je m'étais dit que ce serait l'occasion d'avoir le temps de répondre à vos questions et aussi pourquoi pas de partager des choses que j'ai pu apprendre au fur et à mesure de l'aventure de virage. Là, j'avais envie de parler de quelque chose d'intéressant selon moi et d'important parce que je me suis rendu compte depuis que j'ai changé de vie que la question qui revient tout le temps... Quand on veut savoir comment ça s'est passé, comment le cheminement s'est fait pour décider de changer de vie, c'est comment ton entourage l'a pris. Et est-ce que tu n'appréhendais pas un petit peu de le dire ? Par exemple, dans mon cas, c'est vrai que ça peut être surprenant, parce qu'en plus, j'ai décidé de changer de vie à un moment où ma famille allait s'agrandir, puisque du coup, je venais d'avoir ma fille. J'étais dans une voie qui était une voie dite confortable, avec un avenir tout tracé, puisque j'étais notaire. Donc forcément, je ne pouvais que monter les échelons. J'avais mon diplôme, j'étais salariée dans une étude. J'aurais pu, par exemple, décider de m'associer dans une étude. Et voilà, c'était une voie toute tracée. Donc c'est vrai qu'il peut être intéressant de demander comment l'ont prêté proche, comment l'ont prêté parent, ta sœur, ton conjoint, tes amis proches. Est-ce qu'on n'a pas essayé de t'en dissuader ? Et finalement, je trouve que c'est très intéressant parce que ça interroge sur est-ce qu'il ne serait pas bon ? de s'affranchir du regard des autres ? Bien sûr, moi je suis intimement convaincue de la réponse, je pense que oui, que bien souvent et dans bien des domaines, l'enfer c'est les autres, et que pour le changement de vie, ça s'applique totalement. Je pense qu'il faut soi-même réussir à se faire confiance, à être aligné avec son intuition, et à prioriser aussi les avis qui vont compter. Par exemple, de mon côté, Très peu d'avis ont compté pour ce changement de vie. J'en ai parlé à mes parents, mon conjoint, ma sœur, quelques amis très proches que je compte sur les doigts d'une main. Et leur avis m'importait. J'ai eu leur soutien inconditionnel. Je sais qu'à côté, il y a sûrement des gens qui n'ont pas compris, qui ont jugé, qui ne croyaient pas à cette reconversion, qui pensaient que c'était peut-être un caprice et que c'était une grosse erreur. Je suis contente que l'avenir leur donne peur, mais à vrai dire, je n'ai pas ce désir de revanche ou quoi que ce soit. C'est juste que vraiment, ça ne m'a jamais empêchée d'avancer, dès lors que je savais que je prenais une décision dans laquelle je pouvais évoluer. Et je savais aussi que mon noyau dur était 100% derrière moi. J'imagine que ça doit être difficile quand on décide de changer de vie et qu'on n'a aucun soutien de l'entourage, effectivement. Moi, j'ai la chance de ne pas... pas avoir vécu ça, mais ça m'interroge et je trouve que c'est intéressant de se dire que c'est l'une des premières questions qui est posée. C'est vrai que moi, j'ai été invitée quelques fois dans d'autres podcasts et très souvent, on me demande comment ton entourage a réagi. D'ailleurs, question que moi-même, je pouvais poser quand je faisais davantage de virages professionnels, puisque vous l'avez sûrement remarqué si vous écoutez Virage depuis la saison 1. La ligne éditoriale a quand même beaucoup évolué. Je ne fais pas... plus vraiment de changement de carrière. Je me concentre sur des virages beaucoup plus forts et intenses et personnels et j'aborde des thématiques qui me tiennent à cœur et que j'ai justement envie de mettre en lumière. C'est vrai que moi-même, quand je faisais beaucoup de changements de carrière, je demandais comment tes proches l'ont vécu, etc. Aujourd'hui, je ne pense plus que je poserai cette question et je pense que je me concentrerai sur la personne qui, au moment où elle a changé de vie, ce qu'elle a ressenti dans ses tripes, ce qu'elle savait qu'elle allait mettre comme force dans le renouvellement de cette carrière. Ce que j'ai envie de vous dire aujourd'hui, c'est que c'est vous qui êtes important, c'est vous qui savez ce que vous voulez pour votre vie, ce qui est important, ce que vous voudrez vous dire sur votre lit de mort. Vous allez dire que c'est tout de suite mettre du drame dans la chose, mais c'est vrai finalement. Ces choses-là, ce n'est pas des choses qui seront importantes. Imaginons qu'on échoue. C'est quelque chose qui est encore très tabou en France. Mais moi, je trouve qu'échouer, ça fait vraiment grandir, ça transforme. Je pense notamment au podcast de Pauline Grisonni, La Leçon, qui est, je trouve, formidable et dans lequel, chaque semaine, elle donne la parole à des gens qui expliquent ce qu'ils ont appris de leur échec et que je vous invite à écouter si vous ne connaissez pas. Mais même... Moi, j'ai adoré, par exemple, le livre de Charles Pépin, « Les vertus de l'échec » . Je pense à une citation de Victor Hugo qui m'a beaucoup aidée dans ma vie, qu'un prof de la fac de droit avait dit, à savoir, c'est dans l'échec qu'on reconnaît les gens qui se battent. Et moi, j'ai vécu des échecs dans ma vie scolaire, dans ma vie professionnelle. Et je pense que ça m'a donné la niaque. Et qu'échouer, ce n'est pas grave. Et c'est quelque chose qui ne devrait pas nous faire peur ou en tout cas, qui ne devrait pas nous paralyser. Finalement, pourquoi on a peur du regard des autres ? Parce qu'on a peur d'échouer et d'être ridicule des sous-joués. Mais si on prenait un pas de recul et qu'on voyait les choses dans la globalité ? Finalement, si j'échoue, ce n'est pas très grave. Déjà, ce n'est jamais vraiment un échec parce que pendant qu'on échoue dans un objectif qu'on s'était fixé, finalement, on obtient et on gagne d'autres compétences. Et ça, c'est super important. Et je regrette d'ailleurs qu'en France, ça ne soit pas... plus valorisé. Par exemple, moi, je pense vraiment que si je n'avais pas rencontré d'audience avec Virage et que j'avais dû rebasculer dans le notariat ou dans autre chose de juridique, malgré tout, je serais repartie riche de cette expérience parce que j'ai développé beaucoup d'autres compétences. Et j'apprécierais qu'on arrive à le valoriser en France, peut-être un jour. Aux États-Unis, en tout cas, ce n'est pas grave d'échouer plusieurs fois tant qu'à un moment donné, on y arrive. Et c'est en échouant souvent qu'on affine ses choix, qu'on sait que là-dessus, peut-être, ce n'est pas notre fort. Là-dessus, au contraire, c'est quelque chose qu'on va pouvoir mettre en avant et développer. Ça va être une forte compétence de notre part. Donc voilà, pour résumer ça, je dirais que ce qui est très important, si vous avez envie de changer de vie, c'est de réussir à vous affranchir du regard des autres. Si vous arrivez à vous constituer un petit noyau dur qui vous soutient, super, parce que malgré tout, changer de vie, c'est vrai que ce n'est pas toujours confortable, ce n'est pas toujours facile. Et si on a la chance d'être soutenu par quelques proches, c'est génial. Mais ne vous focalisez pas sur le candiraton et sur l'entourage un peu global qui ne sont pas toujours vos plus grands supporters. Et essayez d'être 100% connecté à votre intuition, votre NIAC, vos tripes et ce que ça vous dit parce que je suis... persuader que si jamais ce virage que vous prenez n'est pas d'une réussite, encore une fois, quand vous vous retrouverez sur votre ligne mort, vous ne vous direz jamais « Quelle horreur, j'ai tenté de lancer ce business et que ça n'a pas fonctionné. Je regrette, j'ai perdu du temps, etc. » Mais qu'à l'inverse, vous pourriez vous dire « C'est dommage que je sois restée dans une carrière qui ne m'épanouissait pas et que je n'ai pas juste tenté. » Peu importe, si ça n'a pas marché, ça aurait pu aussi tout simplement m'enrichir un petit peu et m'apporter d'autres choses. Donc, n'ayez pas peur du regard des autres, ayez confiance en vous et foncez ! Voilà, je vous embrasse, je vous dis à la semaine prochaine et prenez bien soin de vous !

Description

On se retrouve au son des cigales pour parler du fait de ne faire confiance qu'à soi, à notre intuition et parler de changement de vie.

Te déculpabiliser (car ici c'est le mot d'ordre) si tu n'as pas envie de le faire (ou si ce n'est pas le bon moment), et t'encourager si tu l'envisages :)


Bonne écoute !


Pour soutenir ce podcast n'hésitez pas à mettre 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute et un commentaire, cela m'aide énormément.


Pour suivre les coulisses du podcast n'hésitez pas à me suivre sur Instagram: Pauline_virage!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, je m'appelle Pauline Maria, bienvenue dans Virage. Le podcast est sur la vie et ses tournants qui nous font rire, parfois pleurer, mais qui toujours nous inspirent. Bonjour, c'est Pauline, je suis toute seule, comme ce sera le cas pendant tout l'été. Je rappelle que je n'avais pas envie de vous laisser sans virage, de faire une pause pendant l'été. Mais voilà, j'avais envie de tester des nouvelles choses parce que c'est sympa aussi de pouvoir essayer et vous me posez pas mal de questions, donc je m'étais dit que ce serait l'occasion d'avoir le temps de répondre à vos questions et aussi pourquoi pas de partager des choses que j'ai pu apprendre au fur et à mesure de l'aventure de virage. Là, j'avais envie de parler de quelque chose d'intéressant selon moi et d'important parce que je me suis rendu compte depuis que j'ai changé de vie que la question qui revient tout le temps... Quand on veut savoir comment ça s'est passé, comment le cheminement s'est fait pour décider de changer de vie, c'est comment ton entourage l'a pris. Et est-ce que tu n'appréhendais pas un petit peu de le dire ? Par exemple, dans mon cas, c'est vrai que ça peut être surprenant, parce qu'en plus, j'ai décidé de changer de vie à un moment où ma famille allait s'agrandir, puisque du coup, je venais d'avoir ma fille. J'étais dans une voie qui était une voie dite confortable, avec un avenir tout tracé, puisque j'étais notaire. Donc forcément, je ne pouvais que monter les échelons. J'avais mon diplôme, j'étais salariée dans une étude. J'aurais pu, par exemple, décider de m'associer dans une étude. Et voilà, c'était une voie toute tracée. Donc c'est vrai qu'il peut être intéressant de demander comment l'ont prêté proche, comment l'ont prêté parent, ta sœur, ton conjoint, tes amis proches. Est-ce qu'on n'a pas essayé de t'en dissuader ? Et finalement, je trouve que c'est très intéressant parce que ça interroge sur est-ce qu'il ne serait pas bon ? de s'affranchir du regard des autres ? Bien sûr, moi je suis intimement convaincue de la réponse, je pense que oui, que bien souvent et dans bien des domaines, l'enfer c'est les autres, et que pour le changement de vie, ça s'applique totalement. Je pense qu'il faut soi-même réussir à se faire confiance, à être aligné avec son intuition, et à prioriser aussi les avis qui vont compter. Par exemple, de mon côté, Très peu d'avis ont compté pour ce changement de vie. J'en ai parlé à mes parents, mon conjoint, ma sœur, quelques amis très proches que je compte sur les doigts d'une main. Et leur avis m'importait. J'ai eu leur soutien inconditionnel. Je sais qu'à côté, il y a sûrement des gens qui n'ont pas compris, qui ont jugé, qui ne croyaient pas à cette reconversion, qui pensaient que c'était peut-être un caprice et que c'était une grosse erreur. Je suis contente que l'avenir leur donne peur, mais à vrai dire, je n'ai pas ce désir de revanche ou quoi que ce soit. C'est juste que vraiment, ça ne m'a jamais empêchée d'avancer, dès lors que je savais que je prenais une décision dans laquelle je pouvais évoluer. Et je savais aussi que mon noyau dur était 100% derrière moi. J'imagine que ça doit être difficile quand on décide de changer de vie et qu'on n'a aucun soutien de l'entourage, effectivement. Moi, j'ai la chance de ne pas... pas avoir vécu ça, mais ça m'interroge et je trouve que c'est intéressant de se dire que c'est l'une des premières questions qui est posée. C'est vrai que moi, j'ai été invitée quelques fois dans d'autres podcasts et très souvent, on me demande comment ton entourage a réagi. D'ailleurs, question que moi-même, je pouvais poser quand je faisais davantage de virages professionnels, puisque vous l'avez sûrement remarqué si vous écoutez Virage depuis la saison 1. La ligne éditoriale a quand même beaucoup évolué. Je ne fais pas... plus vraiment de changement de carrière. Je me concentre sur des virages beaucoup plus forts et intenses et personnels et j'aborde des thématiques qui me tiennent à cœur et que j'ai justement envie de mettre en lumière. C'est vrai que moi-même, quand je faisais beaucoup de changements de carrière, je demandais comment tes proches l'ont vécu, etc. Aujourd'hui, je ne pense plus que je poserai cette question et je pense que je me concentrerai sur la personne qui, au moment où elle a changé de vie, ce qu'elle a ressenti dans ses tripes, ce qu'elle savait qu'elle allait mettre comme force dans le renouvellement de cette carrière. Ce que j'ai envie de vous dire aujourd'hui, c'est que c'est vous qui êtes important, c'est vous qui savez ce que vous voulez pour votre vie, ce qui est important, ce que vous voudrez vous dire sur votre lit de mort. Vous allez dire que c'est tout de suite mettre du drame dans la chose, mais c'est vrai finalement. Ces choses-là, ce n'est pas des choses qui seront importantes. Imaginons qu'on échoue. C'est quelque chose qui est encore très tabou en France. Mais moi, je trouve qu'échouer, ça fait vraiment grandir, ça transforme. Je pense notamment au podcast de Pauline Grisonni, La Leçon, qui est, je trouve, formidable et dans lequel, chaque semaine, elle donne la parole à des gens qui expliquent ce qu'ils ont appris de leur échec et que je vous invite à écouter si vous ne connaissez pas. Mais même... Moi, j'ai adoré, par exemple, le livre de Charles Pépin, « Les vertus de l'échec » . Je pense à une citation de Victor Hugo qui m'a beaucoup aidée dans ma vie, qu'un prof de la fac de droit avait dit, à savoir, c'est dans l'échec qu'on reconnaît les gens qui se battent. Et moi, j'ai vécu des échecs dans ma vie scolaire, dans ma vie professionnelle. Et je pense que ça m'a donné la niaque. Et qu'échouer, ce n'est pas grave. Et c'est quelque chose qui ne devrait pas nous faire peur ou en tout cas, qui ne devrait pas nous paralyser. Finalement, pourquoi on a peur du regard des autres ? Parce qu'on a peur d'échouer et d'être ridicule des sous-joués. Mais si on prenait un pas de recul et qu'on voyait les choses dans la globalité ? Finalement, si j'échoue, ce n'est pas très grave. Déjà, ce n'est jamais vraiment un échec parce que pendant qu'on échoue dans un objectif qu'on s'était fixé, finalement, on obtient et on gagne d'autres compétences. Et ça, c'est super important. Et je regrette d'ailleurs qu'en France, ça ne soit pas... plus valorisé. Par exemple, moi, je pense vraiment que si je n'avais pas rencontré d'audience avec Virage et que j'avais dû rebasculer dans le notariat ou dans autre chose de juridique, malgré tout, je serais repartie riche de cette expérience parce que j'ai développé beaucoup d'autres compétences. Et j'apprécierais qu'on arrive à le valoriser en France, peut-être un jour. Aux États-Unis, en tout cas, ce n'est pas grave d'échouer plusieurs fois tant qu'à un moment donné, on y arrive. Et c'est en échouant souvent qu'on affine ses choix, qu'on sait que là-dessus, peut-être, ce n'est pas notre fort. Là-dessus, au contraire, c'est quelque chose qu'on va pouvoir mettre en avant et développer. Ça va être une forte compétence de notre part. Donc voilà, pour résumer ça, je dirais que ce qui est très important, si vous avez envie de changer de vie, c'est de réussir à vous affranchir du regard des autres. Si vous arrivez à vous constituer un petit noyau dur qui vous soutient, super, parce que malgré tout, changer de vie, c'est vrai que ce n'est pas toujours confortable, ce n'est pas toujours facile. Et si on a la chance d'être soutenu par quelques proches, c'est génial. Mais ne vous focalisez pas sur le candiraton et sur l'entourage un peu global qui ne sont pas toujours vos plus grands supporters. Et essayez d'être 100% connecté à votre intuition, votre NIAC, vos tripes et ce que ça vous dit parce que je suis... persuader que si jamais ce virage que vous prenez n'est pas d'une réussite, encore une fois, quand vous vous retrouverez sur votre ligne mort, vous ne vous direz jamais « Quelle horreur, j'ai tenté de lancer ce business et que ça n'a pas fonctionné. Je regrette, j'ai perdu du temps, etc. » Mais qu'à l'inverse, vous pourriez vous dire « C'est dommage que je sois restée dans une carrière qui ne m'épanouissait pas et que je n'ai pas juste tenté. » Peu importe, si ça n'a pas marché, ça aurait pu aussi tout simplement m'enrichir un petit peu et m'apporter d'autres choses. Donc, n'ayez pas peur du regard des autres, ayez confiance en vous et foncez ! Voilà, je vous embrasse, je vous dis à la semaine prochaine et prenez bien soin de vous !

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On se retrouve au son des cigales pour parler du fait de ne faire confiance qu'à soi, à notre intuition et parler de changement de vie.

Te déculpabiliser (car ici c'est le mot d'ordre) si tu n'as pas envie de le faire (ou si ce n'est pas le bon moment), et t'encourager si tu l'envisages :)


Bonne écoute !


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Pour suivre les coulisses du podcast n'hésitez pas à me suivre sur Instagram: Pauline_virage!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, je m'appelle Pauline Maria, bienvenue dans Virage. Le podcast est sur la vie et ses tournants qui nous font rire, parfois pleurer, mais qui toujours nous inspirent. Bonjour, c'est Pauline, je suis toute seule, comme ce sera le cas pendant tout l'été. Je rappelle que je n'avais pas envie de vous laisser sans virage, de faire une pause pendant l'été. Mais voilà, j'avais envie de tester des nouvelles choses parce que c'est sympa aussi de pouvoir essayer et vous me posez pas mal de questions, donc je m'étais dit que ce serait l'occasion d'avoir le temps de répondre à vos questions et aussi pourquoi pas de partager des choses que j'ai pu apprendre au fur et à mesure de l'aventure de virage. Là, j'avais envie de parler de quelque chose d'intéressant selon moi et d'important parce que je me suis rendu compte depuis que j'ai changé de vie que la question qui revient tout le temps... Quand on veut savoir comment ça s'est passé, comment le cheminement s'est fait pour décider de changer de vie, c'est comment ton entourage l'a pris. Et est-ce que tu n'appréhendais pas un petit peu de le dire ? Par exemple, dans mon cas, c'est vrai que ça peut être surprenant, parce qu'en plus, j'ai décidé de changer de vie à un moment où ma famille allait s'agrandir, puisque du coup, je venais d'avoir ma fille. J'étais dans une voie qui était une voie dite confortable, avec un avenir tout tracé, puisque j'étais notaire. Donc forcément, je ne pouvais que monter les échelons. J'avais mon diplôme, j'étais salariée dans une étude. J'aurais pu, par exemple, décider de m'associer dans une étude. Et voilà, c'était une voie toute tracée. Donc c'est vrai qu'il peut être intéressant de demander comment l'ont prêté proche, comment l'ont prêté parent, ta sœur, ton conjoint, tes amis proches. Est-ce qu'on n'a pas essayé de t'en dissuader ? Et finalement, je trouve que c'est très intéressant parce que ça interroge sur est-ce qu'il ne serait pas bon ? de s'affranchir du regard des autres ? Bien sûr, moi je suis intimement convaincue de la réponse, je pense que oui, que bien souvent et dans bien des domaines, l'enfer c'est les autres, et que pour le changement de vie, ça s'applique totalement. Je pense qu'il faut soi-même réussir à se faire confiance, à être aligné avec son intuition, et à prioriser aussi les avis qui vont compter. Par exemple, de mon côté, Très peu d'avis ont compté pour ce changement de vie. J'en ai parlé à mes parents, mon conjoint, ma sœur, quelques amis très proches que je compte sur les doigts d'une main. Et leur avis m'importait. J'ai eu leur soutien inconditionnel. Je sais qu'à côté, il y a sûrement des gens qui n'ont pas compris, qui ont jugé, qui ne croyaient pas à cette reconversion, qui pensaient que c'était peut-être un caprice et que c'était une grosse erreur. Je suis contente que l'avenir leur donne peur, mais à vrai dire, je n'ai pas ce désir de revanche ou quoi que ce soit. C'est juste que vraiment, ça ne m'a jamais empêchée d'avancer, dès lors que je savais que je prenais une décision dans laquelle je pouvais évoluer. Et je savais aussi que mon noyau dur était 100% derrière moi. J'imagine que ça doit être difficile quand on décide de changer de vie et qu'on n'a aucun soutien de l'entourage, effectivement. Moi, j'ai la chance de ne pas... pas avoir vécu ça, mais ça m'interroge et je trouve que c'est intéressant de se dire que c'est l'une des premières questions qui est posée. C'est vrai que moi, j'ai été invitée quelques fois dans d'autres podcasts et très souvent, on me demande comment ton entourage a réagi. D'ailleurs, question que moi-même, je pouvais poser quand je faisais davantage de virages professionnels, puisque vous l'avez sûrement remarqué si vous écoutez Virage depuis la saison 1. La ligne éditoriale a quand même beaucoup évolué. Je ne fais pas... plus vraiment de changement de carrière. Je me concentre sur des virages beaucoup plus forts et intenses et personnels et j'aborde des thématiques qui me tiennent à cœur et que j'ai justement envie de mettre en lumière. C'est vrai que moi-même, quand je faisais beaucoup de changements de carrière, je demandais comment tes proches l'ont vécu, etc. Aujourd'hui, je ne pense plus que je poserai cette question et je pense que je me concentrerai sur la personne qui, au moment où elle a changé de vie, ce qu'elle a ressenti dans ses tripes, ce qu'elle savait qu'elle allait mettre comme force dans le renouvellement de cette carrière. Ce que j'ai envie de vous dire aujourd'hui, c'est que c'est vous qui êtes important, c'est vous qui savez ce que vous voulez pour votre vie, ce qui est important, ce que vous voudrez vous dire sur votre lit de mort. Vous allez dire que c'est tout de suite mettre du drame dans la chose, mais c'est vrai finalement. Ces choses-là, ce n'est pas des choses qui seront importantes. Imaginons qu'on échoue. C'est quelque chose qui est encore très tabou en France. Mais moi, je trouve qu'échouer, ça fait vraiment grandir, ça transforme. Je pense notamment au podcast de Pauline Grisonni, La Leçon, qui est, je trouve, formidable et dans lequel, chaque semaine, elle donne la parole à des gens qui expliquent ce qu'ils ont appris de leur échec et que je vous invite à écouter si vous ne connaissez pas. Mais même... Moi, j'ai adoré, par exemple, le livre de Charles Pépin, « Les vertus de l'échec » . Je pense à une citation de Victor Hugo qui m'a beaucoup aidée dans ma vie, qu'un prof de la fac de droit avait dit, à savoir, c'est dans l'échec qu'on reconnaît les gens qui se battent. Et moi, j'ai vécu des échecs dans ma vie scolaire, dans ma vie professionnelle. Et je pense que ça m'a donné la niaque. Et qu'échouer, ce n'est pas grave. Et c'est quelque chose qui ne devrait pas nous faire peur ou en tout cas, qui ne devrait pas nous paralyser. Finalement, pourquoi on a peur du regard des autres ? Parce qu'on a peur d'échouer et d'être ridicule des sous-joués. Mais si on prenait un pas de recul et qu'on voyait les choses dans la globalité ? Finalement, si j'échoue, ce n'est pas très grave. Déjà, ce n'est jamais vraiment un échec parce que pendant qu'on échoue dans un objectif qu'on s'était fixé, finalement, on obtient et on gagne d'autres compétences. Et ça, c'est super important. Et je regrette d'ailleurs qu'en France, ça ne soit pas... plus valorisé. Par exemple, moi, je pense vraiment que si je n'avais pas rencontré d'audience avec Virage et que j'avais dû rebasculer dans le notariat ou dans autre chose de juridique, malgré tout, je serais repartie riche de cette expérience parce que j'ai développé beaucoup d'autres compétences. Et j'apprécierais qu'on arrive à le valoriser en France, peut-être un jour. Aux États-Unis, en tout cas, ce n'est pas grave d'échouer plusieurs fois tant qu'à un moment donné, on y arrive. Et c'est en échouant souvent qu'on affine ses choix, qu'on sait que là-dessus, peut-être, ce n'est pas notre fort. Là-dessus, au contraire, c'est quelque chose qu'on va pouvoir mettre en avant et développer. Ça va être une forte compétence de notre part. Donc voilà, pour résumer ça, je dirais que ce qui est très important, si vous avez envie de changer de vie, c'est de réussir à vous affranchir du regard des autres. Si vous arrivez à vous constituer un petit noyau dur qui vous soutient, super, parce que malgré tout, changer de vie, c'est vrai que ce n'est pas toujours confortable, ce n'est pas toujours facile. Et si on a la chance d'être soutenu par quelques proches, c'est génial. Mais ne vous focalisez pas sur le candiraton et sur l'entourage un peu global qui ne sont pas toujours vos plus grands supporters. Et essayez d'être 100% connecté à votre intuition, votre NIAC, vos tripes et ce que ça vous dit parce que je suis... persuader que si jamais ce virage que vous prenez n'est pas d'une réussite, encore une fois, quand vous vous retrouverez sur votre ligne mort, vous ne vous direz jamais « Quelle horreur, j'ai tenté de lancer ce business et que ça n'a pas fonctionné. Je regrette, j'ai perdu du temps, etc. » Mais qu'à l'inverse, vous pourriez vous dire « C'est dommage que je sois restée dans une carrière qui ne m'épanouissait pas et que je n'ai pas juste tenté. » Peu importe, si ça n'a pas marché, ça aurait pu aussi tout simplement m'enrichir un petit peu et m'apporter d'autres choses. Donc, n'ayez pas peur du regard des autres, ayez confiance en vous et foncez ! Voilà, je vous embrasse, je vous dis à la semaine prochaine et prenez bien soin de vous !

Description

On se retrouve au son des cigales pour parler du fait de ne faire confiance qu'à soi, à notre intuition et parler de changement de vie.

Te déculpabiliser (car ici c'est le mot d'ordre) si tu n'as pas envie de le faire (ou si ce n'est pas le bon moment), et t'encourager si tu l'envisages :)


Bonne écoute !


Pour soutenir ce podcast n'hésitez pas à mettre 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute et un commentaire, cela m'aide énormément.


Pour suivre les coulisses du podcast n'hésitez pas à me suivre sur Instagram: Pauline_virage!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, je m'appelle Pauline Maria, bienvenue dans Virage. Le podcast est sur la vie et ses tournants qui nous font rire, parfois pleurer, mais qui toujours nous inspirent. Bonjour, c'est Pauline, je suis toute seule, comme ce sera le cas pendant tout l'été. Je rappelle que je n'avais pas envie de vous laisser sans virage, de faire une pause pendant l'été. Mais voilà, j'avais envie de tester des nouvelles choses parce que c'est sympa aussi de pouvoir essayer et vous me posez pas mal de questions, donc je m'étais dit que ce serait l'occasion d'avoir le temps de répondre à vos questions et aussi pourquoi pas de partager des choses que j'ai pu apprendre au fur et à mesure de l'aventure de virage. Là, j'avais envie de parler de quelque chose d'intéressant selon moi et d'important parce que je me suis rendu compte depuis que j'ai changé de vie que la question qui revient tout le temps... Quand on veut savoir comment ça s'est passé, comment le cheminement s'est fait pour décider de changer de vie, c'est comment ton entourage l'a pris. Et est-ce que tu n'appréhendais pas un petit peu de le dire ? Par exemple, dans mon cas, c'est vrai que ça peut être surprenant, parce qu'en plus, j'ai décidé de changer de vie à un moment où ma famille allait s'agrandir, puisque du coup, je venais d'avoir ma fille. J'étais dans une voie qui était une voie dite confortable, avec un avenir tout tracé, puisque j'étais notaire. Donc forcément, je ne pouvais que monter les échelons. J'avais mon diplôme, j'étais salariée dans une étude. J'aurais pu, par exemple, décider de m'associer dans une étude. Et voilà, c'était une voie toute tracée. Donc c'est vrai qu'il peut être intéressant de demander comment l'ont prêté proche, comment l'ont prêté parent, ta sœur, ton conjoint, tes amis proches. Est-ce qu'on n'a pas essayé de t'en dissuader ? Et finalement, je trouve que c'est très intéressant parce que ça interroge sur est-ce qu'il ne serait pas bon ? de s'affranchir du regard des autres ? Bien sûr, moi je suis intimement convaincue de la réponse, je pense que oui, que bien souvent et dans bien des domaines, l'enfer c'est les autres, et que pour le changement de vie, ça s'applique totalement. Je pense qu'il faut soi-même réussir à se faire confiance, à être aligné avec son intuition, et à prioriser aussi les avis qui vont compter. Par exemple, de mon côté, Très peu d'avis ont compté pour ce changement de vie. J'en ai parlé à mes parents, mon conjoint, ma sœur, quelques amis très proches que je compte sur les doigts d'une main. Et leur avis m'importait. J'ai eu leur soutien inconditionnel. Je sais qu'à côté, il y a sûrement des gens qui n'ont pas compris, qui ont jugé, qui ne croyaient pas à cette reconversion, qui pensaient que c'était peut-être un caprice et que c'était une grosse erreur. Je suis contente que l'avenir leur donne peur, mais à vrai dire, je n'ai pas ce désir de revanche ou quoi que ce soit. C'est juste que vraiment, ça ne m'a jamais empêchée d'avancer, dès lors que je savais que je prenais une décision dans laquelle je pouvais évoluer. Et je savais aussi que mon noyau dur était 100% derrière moi. J'imagine que ça doit être difficile quand on décide de changer de vie et qu'on n'a aucun soutien de l'entourage, effectivement. Moi, j'ai la chance de ne pas... pas avoir vécu ça, mais ça m'interroge et je trouve que c'est intéressant de se dire que c'est l'une des premières questions qui est posée. C'est vrai que moi, j'ai été invitée quelques fois dans d'autres podcasts et très souvent, on me demande comment ton entourage a réagi. D'ailleurs, question que moi-même, je pouvais poser quand je faisais davantage de virages professionnels, puisque vous l'avez sûrement remarqué si vous écoutez Virage depuis la saison 1. La ligne éditoriale a quand même beaucoup évolué. Je ne fais pas... plus vraiment de changement de carrière. Je me concentre sur des virages beaucoup plus forts et intenses et personnels et j'aborde des thématiques qui me tiennent à cœur et que j'ai justement envie de mettre en lumière. C'est vrai que moi-même, quand je faisais beaucoup de changements de carrière, je demandais comment tes proches l'ont vécu, etc. Aujourd'hui, je ne pense plus que je poserai cette question et je pense que je me concentrerai sur la personne qui, au moment où elle a changé de vie, ce qu'elle a ressenti dans ses tripes, ce qu'elle savait qu'elle allait mettre comme force dans le renouvellement de cette carrière. Ce que j'ai envie de vous dire aujourd'hui, c'est que c'est vous qui êtes important, c'est vous qui savez ce que vous voulez pour votre vie, ce qui est important, ce que vous voudrez vous dire sur votre lit de mort. Vous allez dire que c'est tout de suite mettre du drame dans la chose, mais c'est vrai finalement. Ces choses-là, ce n'est pas des choses qui seront importantes. Imaginons qu'on échoue. C'est quelque chose qui est encore très tabou en France. Mais moi, je trouve qu'échouer, ça fait vraiment grandir, ça transforme. Je pense notamment au podcast de Pauline Grisonni, La Leçon, qui est, je trouve, formidable et dans lequel, chaque semaine, elle donne la parole à des gens qui expliquent ce qu'ils ont appris de leur échec et que je vous invite à écouter si vous ne connaissez pas. Mais même... Moi, j'ai adoré, par exemple, le livre de Charles Pépin, « Les vertus de l'échec » . Je pense à une citation de Victor Hugo qui m'a beaucoup aidée dans ma vie, qu'un prof de la fac de droit avait dit, à savoir, c'est dans l'échec qu'on reconnaît les gens qui se battent. Et moi, j'ai vécu des échecs dans ma vie scolaire, dans ma vie professionnelle. Et je pense que ça m'a donné la niaque. Et qu'échouer, ce n'est pas grave. Et c'est quelque chose qui ne devrait pas nous faire peur ou en tout cas, qui ne devrait pas nous paralyser. Finalement, pourquoi on a peur du regard des autres ? Parce qu'on a peur d'échouer et d'être ridicule des sous-joués. Mais si on prenait un pas de recul et qu'on voyait les choses dans la globalité ? Finalement, si j'échoue, ce n'est pas très grave. Déjà, ce n'est jamais vraiment un échec parce que pendant qu'on échoue dans un objectif qu'on s'était fixé, finalement, on obtient et on gagne d'autres compétences. Et ça, c'est super important. Et je regrette d'ailleurs qu'en France, ça ne soit pas... plus valorisé. Par exemple, moi, je pense vraiment que si je n'avais pas rencontré d'audience avec Virage et que j'avais dû rebasculer dans le notariat ou dans autre chose de juridique, malgré tout, je serais repartie riche de cette expérience parce que j'ai développé beaucoup d'autres compétences. Et j'apprécierais qu'on arrive à le valoriser en France, peut-être un jour. Aux États-Unis, en tout cas, ce n'est pas grave d'échouer plusieurs fois tant qu'à un moment donné, on y arrive. Et c'est en échouant souvent qu'on affine ses choix, qu'on sait que là-dessus, peut-être, ce n'est pas notre fort. Là-dessus, au contraire, c'est quelque chose qu'on va pouvoir mettre en avant et développer. Ça va être une forte compétence de notre part. Donc voilà, pour résumer ça, je dirais que ce qui est très important, si vous avez envie de changer de vie, c'est de réussir à vous affranchir du regard des autres. Si vous arrivez à vous constituer un petit noyau dur qui vous soutient, super, parce que malgré tout, changer de vie, c'est vrai que ce n'est pas toujours confortable, ce n'est pas toujours facile. Et si on a la chance d'être soutenu par quelques proches, c'est génial. Mais ne vous focalisez pas sur le candiraton et sur l'entourage un peu global qui ne sont pas toujours vos plus grands supporters. Et essayez d'être 100% connecté à votre intuition, votre NIAC, vos tripes et ce que ça vous dit parce que je suis... persuader que si jamais ce virage que vous prenez n'est pas d'une réussite, encore une fois, quand vous vous retrouverez sur votre ligne mort, vous ne vous direz jamais « Quelle horreur, j'ai tenté de lancer ce business et que ça n'a pas fonctionné. Je regrette, j'ai perdu du temps, etc. » Mais qu'à l'inverse, vous pourriez vous dire « C'est dommage que je sois restée dans une carrière qui ne m'épanouissait pas et que je n'ai pas juste tenté. » Peu importe, si ça n'a pas marché, ça aurait pu aussi tout simplement m'enrichir un petit peu et m'apporter d'autres choses. Donc, n'ayez pas peur du regard des autres, ayez confiance en vous et foncez ! Voilà, je vous embrasse, je vous dis à la semaine prochaine et prenez bien soin de vous !

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