Description
Vous avez perdu quelqu'un que vous aimiez profondément et vous rêvez de recevoir des signes ?
Je vous recommande d'écouter les conseils de Florence pour ça.
Bonne écoute !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Donc Florence, on a enregistré un épisode ensemble dans lequel on a longuement parlé de ton livre qui vient de sortir qui s'appelle « Cueilleuse de signes » . Dans ce livre, tu parles justement de l'importance d'être attentif aux signes que nous envoient les personnes qui nous sont chères et qui sont mortes. Tu dois recevoir beaucoup de messages de personnes en deuil depuis que tu as sorti ce livre, parce que c'est un livre qui apporte beaucoup de réconfort. Et quels sont les conseils que tu donnerais à des personnes qui, justement, n'arrivent pas encore à percevoir des signes, mais en rêveraient.
Le conseil que je donne, avant toute chose, c'est qu'il faut se reconnecter avec la nature. Parce que le problème aujourd'hui dans notre société, c'est qu'on est tous addicts à nos écrans portables, ordinateurs, et qu'on préfère presque regarder un oiseau sur son portable que l'oiseau sur la branche. Alors ouvrez les yeux, la nature a des choses à nous dire. La nature, si vous la regardez, si vous la contemplez, elle peut vous transmettre des messages. Ce n'est pas être illuminé que de dire une telle chose. Ce qui manque aujourd'hui, c'est la contemplation. C'est garder les yeux ouverts, ouvrez votre esprit, passez du temps à regarder les nuages, le ciel, des fleurs qui sont sur le point d'éclore. Cueillir des signes, ça demande une attention à l'environnement, à ce qui nous entoure. C'est aussi... Être attentif au visage qui est face à vous. On est tellement dans le virtuel qu'on perd cette connexion aussi avec l'humain et aussi avec la nature.
Et est-ce que tu penses que quand on a un proche qui est en fin de vie, on peut commencer à lui parler, à lui demander ? Parce que tout à l'heure, à un moment dans l'épisode, tu m'as dit il ne faut pas demander aux personnes de nous envoyer des signes et nous envoient d'eux-mêmes. Est-ce que tu penses qu'avant que la personne meure, On peut un petit peu l'implorer de rester présente dans notre vie, de nous envoyer des signes ?
Ça, je ne sais pas. Je pense que moi, j'ai trop de pudeur. C'est compliqué de dire à celui ou celle qui va partir, envoie-moi des signes. Parce que tant que la personne est en vie, même si la personne sait quelles sont ses dernières secondes sur Terre, je trouve qu'il y a une forme d'indécence pour moi. Et je pense que... Pour ceux et celles qui souffrent, qui sont dans la douleur, il ne faut pas non plus attendre coûte que coûte des signes. Je dirais presque que ce n'est pas comme ça que ça marche. Je n'ai jamais demandé moi des signes en fait, je n'ai jamais osé. Même encore aujourd'hui, je n'ose quasiment pas demander un signe. Mais c'est aussi une aptitude face à la vie, c'est-à-dire une attention qu'on doit porter aux choses, ça c'est important. Une attention qu'on doit porter aux êtres, une attention qu'on doit porter à la nature. C'est là où finalement vous devez vous reconnecter. Bien sûr qu'un signe, ça réconforte, ça donne de la joie, ça apaise. Il faut espérer. Les signes arrivent quand ils doivent arriver. Et ça, c'est mon côté stoïcien.
Merci beaucoup. Et encore une fois, je vous recommande la lecture du livre Cueilleuse des signes. Merci beaucoup Pauline. Bonne journée.
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Vous avez perdu quelqu'un que vous aimiez profondément et vous rêvez de recevoir des signes ?
Je vous recommande d'écouter les conseils de Florence pour ça.
Bonne écoute !
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Donc Florence, on a enregistré un épisode ensemble dans lequel on a longuement parlé de ton livre qui vient de sortir qui s'appelle « Cueilleuse de signes » . Dans ce livre, tu parles justement de l'importance d'être attentif aux signes que nous envoient les personnes qui nous sont chères et qui sont mortes. Tu dois recevoir beaucoup de messages de personnes en deuil depuis que tu as sorti ce livre, parce que c'est un livre qui apporte beaucoup de réconfort. Et quels sont les conseils que tu donnerais à des personnes qui, justement, n'arrivent pas encore à percevoir des signes, mais en rêveraient.
Le conseil que je donne, avant toute chose, c'est qu'il faut se reconnecter avec la nature. Parce que le problème aujourd'hui dans notre société, c'est qu'on est tous addicts à nos écrans portables, ordinateurs, et qu'on préfère presque regarder un oiseau sur son portable que l'oiseau sur la branche. Alors ouvrez les yeux, la nature a des choses à nous dire. La nature, si vous la regardez, si vous la contemplez, elle peut vous transmettre des messages. Ce n'est pas être illuminé que de dire une telle chose. Ce qui manque aujourd'hui, c'est la contemplation. C'est garder les yeux ouverts, ouvrez votre esprit, passez du temps à regarder les nuages, le ciel, des fleurs qui sont sur le point d'éclore. Cueillir des signes, ça demande une attention à l'environnement, à ce qui nous entoure. C'est aussi... Être attentif au visage qui est face à vous. On est tellement dans le virtuel qu'on perd cette connexion aussi avec l'humain et aussi avec la nature.
Et est-ce que tu penses que quand on a un proche qui est en fin de vie, on peut commencer à lui parler, à lui demander ? Parce que tout à l'heure, à un moment dans l'épisode, tu m'as dit il ne faut pas demander aux personnes de nous envoyer des signes et nous envoient d'eux-mêmes. Est-ce que tu penses qu'avant que la personne meure, On peut un petit peu l'implorer de rester présente dans notre vie, de nous envoyer des signes ?
Ça, je ne sais pas. Je pense que moi, j'ai trop de pudeur. C'est compliqué de dire à celui ou celle qui va partir, envoie-moi des signes. Parce que tant que la personne est en vie, même si la personne sait quelles sont ses dernières secondes sur Terre, je trouve qu'il y a une forme d'indécence pour moi. Et je pense que... Pour ceux et celles qui souffrent, qui sont dans la douleur, il ne faut pas non plus attendre coûte que coûte des signes. Je dirais presque que ce n'est pas comme ça que ça marche. Je n'ai jamais demandé moi des signes en fait, je n'ai jamais osé. Même encore aujourd'hui, je n'ose quasiment pas demander un signe. Mais c'est aussi une aptitude face à la vie, c'est-à-dire une attention qu'on doit porter aux choses, ça c'est important. Une attention qu'on doit porter aux êtres, une attention qu'on doit porter à la nature. C'est là où finalement vous devez vous reconnecter. Bien sûr qu'un signe, ça réconforte, ça donne de la joie, ça apaise. Il faut espérer. Les signes arrivent quand ils doivent arriver. Et ça, c'est mon côté stoïcien.
Merci beaucoup. Et encore une fois, je vous recommande la lecture du livre Cueilleuse des signes. Merci beaucoup Pauline. Bonne journée.
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Vous avez perdu quelqu'un que vous aimiez profondément et vous rêvez de recevoir des signes ?
Je vous recommande d'écouter les conseils de Florence pour ça.
Bonne écoute !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Donc Florence, on a enregistré un épisode ensemble dans lequel on a longuement parlé de ton livre qui vient de sortir qui s'appelle « Cueilleuse de signes » . Dans ce livre, tu parles justement de l'importance d'être attentif aux signes que nous envoient les personnes qui nous sont chères et qui sont mortes. Tu dois recevoir beaucoup de messages de personnes en deuil depuis que tu as sorti ce livre, parce que c'est un livre qui apporte beaucoup de réconfort. Et quels sont les conseils que tu donnerais à des personnes qui, justement, n'arrivent pas encore à percevoir des signes, mais en rêveraient.
Le conseil que je donne, avant toute chose, c'est qu'il faut se reconnecter avec la nature. Parce que le problème aujourd'hui dans notre société, c'est qu'on est tous addicts à nos écrans portables, ordinateurs, et qu'on préfère presque regarder un oiseau sur son portable que l'oiseau sur la branche. Alors ouvrez les yeux, la nature a des choses à nous dire. La nature, si vous la regardez, si vous la contemplez, elle peut vous transmettre des messages. Ce n'est pas être illuminé que de dire une telle chose. Ce qui manque aujourd'hui, c'est la contemplation. C'est garder les yeux ouverts, ouvrez votre esprit, passez du temps à regarder les nuages, le ciel, des fleurs qui sont sur le point d'éclore. Cueillir des signes, ça demande une attention à l'environnement, à ce qui nous entoure. C'est aussi... Être attentif au visage qui est face à vous. On est tellement dans le virtuel qu'on perd cette connexion aussi avec l'humain et aussi avec la nature.
Et est-ce que tu penses que quand on a un proche qui est en fin de vie, on peut commencer à lui parler, à lui demander ? Parce que tout à l'heure, à un moment dans l'épisode, tu m'as dit il ne faut pas demander aux personnes de nous envoyer des signes et nous envoient d'eux-mêmes. Est-ce que tu penses qu'avant que la personne meure, On peut un petit peu l'implorer de rester présente dans notre vie, de nous envoyer des signes ?
Ça, je ne sais pas. Je pense que moi, j'ai trop de pudeur. C'est compliqué de dire à celui ou celle qui va partir, envoie-moi des signes. Parce que tant que la personne est en vie, même si la personne sait quelles sont ses dernières secondes sur Terre, je trouve qu'il y a une forme d'indécence pour moi. Et je pense que... Pour ceux et celles qui souffrent, qui sont dans la douleur, il ne faut pas non plus attendre coûte que coûte des signes. Je dirais presque que ce n'est pas comme ça que ça marche. Je n'ai jamais demandé moi des signes en fait, je n'ai jamais osé. Même encore aujourd'hui, je n'ose quasiment pas demander un signe. Mais c'est aussi une aptitude face à la vie, c'est-à-dire une attention qu'on doit porter aux choses, ça c'est important. Une attention qu'on doit porter aux êtres, une attention qu'on doit porter à la nature. C'est là où finalement vous devez vous reconnecter. Bien sûr qu'un signe, ça réconforte, ça donne de la joie, ça apaise. Il faut espérer. Les signes arrivent quand ils doivent arriver. Et ça, c'est mon côté stoïcien.
Merci beaucoup. Et encore une fois, je vous recommande la lecture du livre Cueilleuse des signes. Merci beaucoup Pauline. Bonne journée.
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Le conseil que je donne, avant toute chose, c'est qu'il faut se reconnecter avec la nature. Parce que le problème aujourd'hui dans notre société, c'est qu'on est tous addicts à nos écrans portables, ordinateurs, et qu'on préfère presque regarder un oiseau sur son portable que l'oiseau sur la branche. Alors ouvrez les yeux, la nature a des choses à nous dire. La nature, si vous la regardez, si vous la contemplez, elle peut vous transmettre des messages. Ce n'est pas être illuminé que de dire une telle chose. Ce qui manque aujourd'hui, c'est la contemplation. C'est garder les yeux ouverts, ouvrez votre esprit, passez du temps à regarder les nuages, le ciel, des fleurs qui sont sur le point d'éclore. Cueillir des signes, ça demande une attention à l'environnement, à ce qui nous entoure. C'est aussi... Être attentif au visage qui est face à vous. On est tellement dans le virtuel qu'on perd cette connexion aussi avec l'humain et aussi avec la nature.
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Ça, je ne sais pas. Je pense que moi, j'ai trop de pudeur. C'est compliqué de dire à celui ou celle qui va partir, envoie-moi des signes. Parce que tant que la personne est en vie, même si la personne sait quelles sont ses dernières secondes sur Terre, je trouve qu'il y a une forme d'indécence pour moi. Et je pense que... Pour ceux et celles qui souffrent, qui sont dans la douleur, il ne faut pas non plus attendre coûte que coûte des signes. Je dirais presque que ce n'est pas comme ça que ça marche. Je n'ai jamais demandé moi des signes en fait, je n'ai jamais osé. Même encore aujourd'hui, je n'ose quasiment pas demander un signe. Mais c'est aussi une aptitude face à la vie, c'est-à-dire une attention qu'on doit porter aux choses, ça c'est important. Une attention qu'on doit porter aux êtres, une attention qu'on doit porter à la nature. C'est là où finalement vous devez vous reconnecter. Bien sûr qu'un signe, ça réconforte, ça donne de la joie, ça apaise. Il faut espérer. Les signes arrivent quand ils doivent arriver. Et ça, c'est mon côté stoïcien.
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