- Speaker #0
Bonjour, vous Ă©coutez le podcast de Virage. On vous donne des pistes pour aller de l'avant, parfois Ă contre-courant. Si face Ă un problĂšme, vous vous ĂȘtes dĂ©jĂ dit, j'ai tout essayĂ©, je ne sais plus quoi faire, vous ĂȘtes au bon endroit. Je suis Marina Blanchard, psychologue, formatrice et fondatrice de Virage. Mon Ă©cole s'inscrit dans la lignĂ©e de sel de Palo Alto, c'est-Ă -dire de la thĂ©rapie brĂšve systĂ©mique. Aujourd'hui, je suis avec SĂ©bastien, SĂ©bastien BaffrĂ©, qui a 24 ans et... qui va nous Ă©clairer, me donner le point de vue des jeunes. Je suis ravie d'Ă©changer avec lui pour avoir justement cette vision diffĂ©rente.
- Speaker #1
Bonjour SĂ©bastien. Bonjour Marina. Je suis contente de te retrouver aujourd'hui pour parler des personnes qui ne savent pas quoi faire de leur vie. Qui stressent. Oui, exactement. Et qui stressent, oui, parce que ceux qui ne savent pas et qui sont contre eux, c'est moins un problĂšme. Non, c'est vrai, exactement. Qui se stresse en se disant, il faut que je trouve une solution, il faut que je trouve une piste. Et en fait, il y en a quand mĂȘme pas mal. Aujourd'hui. Oui, exactement.
- Speaker #2
Par rapport Ă l'aube d'avant.
- Speaker #1
Ah oui, tu te rends compte de ça.
- Speaker #2
Oui, moi, je me rends compte avec toute mon expérience.
- Speaker #1
Non, non, c'est intéressant. C'est bien. Non,
- Speaker #2
mais je veux dire, par rapport Ă , par exemple, nos parents, nos grands-parents, il y avait moins cette question de quĂȘte de sens, Je peux le faire plutĂŽt, voilĂ , je peux avoir une famille. Je vais devoir nourrir des enfants, je vais devoir travailler pour avoir un revenu tout simplement. Et faire entre guillemets pour avoir une vie stable. Puis on a la chance, le privilĂšge de se dire, je peux encore choisir ce que je vais faire. Donc je sais que je vais gagner de l'argent avec ce que je vais faire, mais il faut aussi que ça me aide. Il faut que j'ai des objectifs dedans, que j'ai une connaissance par rapport à ça, par rapport Ă mes amis.
- Speaker #1
Et ça met de la pression et donc du stress. c'est vrai, c'est vrai, la pression en fait aujourd'hui il y a une espĂšce de pression des critĂšres de rĂ©ussite d'avoir trouvĂ© critĂšres de rĂ©ussite je veux dire dans le sens il faut que ça ait du sens, il faut que ça me ramĂšne quand mĂȘme de l'argent, il faut que je sois fier de ce mĂ©tier, voilĂ et donc il y a tous ces critĂšres lĂ et dĂšs lors qu'il y a des critĂšres il y a des coches quelque part, enfin voilĂ les coches ou pas, et donc il y a des risques d'Ă©chec alors qu'avant finalement c'Ă©tait un peu je vais trouver un lot et c'est vrai C'est vrai. Et du coup, la question, en fait, souvent, elle se pose. Et ce dont je me rends compte, en fait, quand je parle avec des personnes qui se la posent, avec des jeunes, souvent, quand mĂȘme, qui se la posent, c'est... Normalement, quand on est plus vieux, on sait quoi. Enfin, la vie, on sait quoi. C'est dĂ©jĂ ... Alors, c'est pas toujours.
- Speaker #2
Ou alors, on a pris la mĂȘme direction.
- Speaker #1
Oui. On a changĂ©. VoilĂ . Mais c'est intĂ©ressant, ce que tu dis, parce que c'est vrai qu'il y a de plus en plus de reconversions professionnelles aussi. Donc, chez Virage, ici, c'est... on fait des podcasts, mais il y a une structure de formation et on a quand mĂȘme beaucoup d'adultes, ce sont des adultes en formation la plupart, qui changent complĂštement de mĂ©tier. Il y a des juristes qui veulent devenir coach, il y a quand mĂȘme des gens qui viennent de la publicitĂ© et il y a toujours ces critĂšres de donner du sens, plus d'humains, etc. Et donc c'est vrai que peut-ĂȘtre que la question n'a pas d'Ăąge finalement. Quand on en a parlĂ©, on s'est dit, on pensait aux jeunes, mais c'est vrai que probablement que... le virus du mĂ©tier qui a du sens, il passe pour tout le monde, ce qui est normal, ce qui est logique, et ce qui est plutĂŽt bien, quand mĂȘme. Oui,
- Speaker #2
c'est pas mal, et puis, c'est la prochaine étape, en fait, c'est... Une fois qu'on a rempli les besoins, c'est-à -dire de la création, primaire, etc., mais ce qu'on veut, c'est celui du besoin d'aprÚs, c'est... On veut, comme tu dis, de la reconnaissance, on veut... Voilà , on veut se sentir bien dans ce qu'on fait et se réadmirer des autres par rapport à ce qu'on fait aussi.
- Speaker #1
Oui, c'est ça. Ătre fier de ce qu'on fait, que ça ait du sens par rapport Ă nos valeurs, etc. Et donc, c'est vrai que souvent, ce que je constate, c'est que les gens cherchent un peu dans leur tĂȘte ou Ă travers des tests,
- Speaker #2
par exemple. En imaginant que ce test-là va nous dévoiler notre vie, nous dire ce qu'on doit faire dans notre vie et détecter tout de suite nos cahiers.
- Speaker #1
c'est un peu le rĂȘve quand on va dans un centre de testing oĂč j'ai un psy qui fait de l'orientation scolaire de l'orientation professionnelle mais malheureusement on imagine quelqu'un qui a une boule de cristal qui va pouvoir tout de suite nous dire et en fait ce qu'il faut moi je pense personnellement
- Speaker #2
se dire c'est que la seule personne qui va dĂ©cider et trouver ce que j'ai envie de faire ce que je veux faire de ma vie c'est moi et donc il faut garder ça dans sa tĂȘte personne ne va pouvoir trancher, personne ne va pouvoir donner plus d'informations que moi non c'est ça,
- Speaker #1
maintenant ce qui est vrai, parce qu'il faut quand mĂȘme laisser ces centres d'orientation peuvent quand mĂȘme peut-ĂȘtre aider Ă Ă©liminer certaines voix aussi se dire voilà ça c'est vraiment pas du tout fait pour vous avec ce que vous m'avez expliquĂ©, mais moi je pense aussi qu'Ă un moment donnĂ© c'est soi-mĂȘme, et souvent de toute façon les gens qui sont Ă se poser cette question-lĂ , ou qui consultent un psy ou un coach, ils ont dĂ©jĂ fait l'essai d'ĂȘtre en rĂ©prĂ©hension, parce que peut-ĂȘtre certaines personnes peuvent ĂȘtre tout Ă fait aidĂ©es par ces centres-lĂ , mais c'est vrai que la personne qui reste avec ce questionnement, souvent ce questionnement il est lĂ dans sa tĂȘte en permanence, parfois il empĂȘche mĂȘme de dormir, etc., parce que vraiment... Je ne sais pas quoi faire de ma vie, je ne sais pas vers oĂč aller, etc. Et moi, la premiĂšre chose que j'essaye de mettre en avant, c'est le fait que la question dans quoi je serais heureux, qu'est-ce qui me fera du bien, est-ce que j'aimerais un mĂ©tier indĂ©pendant, est-ce que ça va me stresser, est-ce que je prĂ©fĂ©rerais ĂȘtre salariĂ©e, ces questions-lĂ , on n'a pas la rĂ©ponse, en fait. Parce que si on l'avait dĂ©jĂ , on ne se poserait pas la question. On se dirait, moi, je sais que je suis faite, et il y a des gens qui le disaient, pour un mĂ©tier d'indĂ©pendant, moi je serais rassurĂ©e d'ĂȘtre fonctionnaire Mais, en fait, quand on se pose la question, ça veut dire que les diffĂ©rentes possibilitĂ©s sont lĂ , peut-ĂȘtre nous correspondraient. Et je me dis, c'est important qu'on puisse prendre conscience que la rĂ©ponse, elle n'est pas dans notre tĂȘte. Et elle n'est pas non plus dans la tĂȘte des autres, comme tu l'as trĂšs justement dit. Et donc, elle va probablement se situer Ă travers l'action. L'expĂ©rience. VoilĂ , l'expĂ©rience. On va aller chercher.
- Speaker #2
Exactement. Oui, d'accord. Oui, c'est vrai qu'en fait, on veut souvent se reposer sur le fait de se dire... je vais trouver ce que je vais faire. On ne sait pas quel coup de chance et par Jésus-Christ qui nous tend l'oreille ce qu'on va faire. Et du coup, alors qu'à la place, il faudrait plutÎt se dire, je vais tester des choses.
- Speaker #1
Oui, c'est ça.
- Speaker #2
PlutÎt qu'attendre que ça arrive prÚs de moi.
- Speaker #1
Soudain, comme que ça vienne comme une illumination, comme tu dis. Et effectivement, les questions de est-ce que le boulot de salariĂ© me convient ? Sans avoir essayĂ©, quelque part. Qu'est-ce que je peux... VoilĂ , on ne peut pas y rĂ©pondre. Sauf si on se le dit d'emblĂ©e, mais alors on n'a pas la question. Comme je disais, les gens qui me disent, moi, je n'ai pas envie de salariĂ©. VoilĂ , trĂšs bien. Mais si je me pose la question, je pense que c'est en vivant l'expĂ©rience. Et donc, peut-ĂȘtre en se disant, je vais essayer pendant six mois et rien de langage. Je vais postuler, je vais voir et je vais vivre des expĂ©riences qui vont me faire me dire, en fait, ça me convient. Bouger, ça me convient. Bouger, ça ne me convient pas. J'ai envie d'un boulot ou de partir Ă la maison ou pas. mais tout ça c'est en le vivant et en fait Je crois que c'est important qu'on puisse, peut-ĂȘtre quand on ne sait pas faire l'exercice, de repĂ©rer quand on se prend la tĂȘte beaucoup avec des questions comme ça, peut-ĂȘtre mĂȘme les noter, ces questions en se disant « est-ce qu'il existe une rĂ©ponse dans ma tĂȘte ? » Est-ce que je sais dĂ©jĂ ? Est-ce que j'ai dĂ©jĂ de quoi savoir ? Est-ce que j'ai les informations ? Et puis, si la rĂ©ponse est non, si on ne sait pasâŠ
- Speaker #2
Pas dans l'action.
- Speaker #1
Alors oui, aller chercher les informations dans l'action.
- Speaker #2
Et du coup, pour une personne, parce qu'elle se pose la question aussi, par exemple des rétos qui finissent leur parcours secondaire, et qui, eux, doivent se dire, qu'est-ce que je vais faire dans ma vie ? Est-ce que je fais les études ? Est-ce que je fais une formation ? Est-ce que je travaille tout de suite ? Et donc, à ce moment-là , qu'est-ce que tu pourrais donner comme conseil pour quelqu'un qui doit produire un titre d'études, par exemple ?
- Speaker #1
Donc, quelqu'un qui vient de passer son bac, qui, plutĂŽt, va devoir choisir, et donc, voilĂ . Et, de nouveau, j'ai envie de dire, il va falloir essayer. Alors que, finalement, ça fait peur, parce qu'on se dit, ouais, mais je m'engage dans un truc, et donc, Je peux en tĂ©moigner parce que moi, je me suis plantĂ©e quand j'ai choisi justement. Ă 18 ans, donc j'ai fait de l'Ă©conomie, enfin je me suis dit que c'Ă©tait un grand avantage, mais voilĂ , j'ai fait des sciences Ă©conomiques, j'Ă©tais mĂȘme jusqu'au bout, parce que dans ma famille, faire psycho, parce que j'en avais parlĂ©, de faire psycho, c'Ă©tait hors de question. Et donc voilĂ , je l'ai fait, et je me suis fait influencer, je me suis laissĂ©e influencer, c'est ma responsabilitĂ© au niveau de mes 18 ans, et puis finalement je l'ai fait aprĂšs, et donc je me suis, enfin voilĂ , je pense vraiment que c'est en vivant, alors aprĂšs ça demande de... des sacrifices, peut-ĂȘtre Ă un certain moment de la vie. Je ne vais pas dire que c'Ă©tait facile, mais je crois que c'est seulement en faisant les choses qu'on peut vraiment se dire « c'est fait pour moi ou ce n'est pas fait pour moi » , sauf si on peut avoir une intuition d'emblĂ©e. Ăvidemment, on n'a pas essayĂ© toutes les Ă©tudes. Oui,
- Speaker #2
c'est ça.
- Speaker #1
Normalement, l'idée, c'est qu'en général, on en élimine déjà une série.
- Speaker #2
J'ai l'impression qu'il y a pas mal d'étudiants ou de jeunes qui vont prendre l'office de faire des études par défaut, donc tu peux choisir ce qu'il y a dans les panels des études qu'on trouve. dans les grandes universités, et puis ils vont comprendre par défaut.
- Speaker #1
C'est ce que j'ai fait.
- Speaker #2
Par exemple, sciences économiques.
- Speaker #1
On dit que ça mÚne à tout.
- Speaker #2
Oui, c'est ça. Alors, en fait, moi, personnellement, quand on m'avait dit que j'avais fini ma rĂ©to, je me souviens qu'en classe, il y avait des personnes qui Ă©taient venues, des conseillers de rotation qui Ă©taient venus et qui m'ont dit « VoilĂ , qu'est-ce que vous allez faire plus tard ? Est-ce qu'il y en a qui ont des idĂ©es ? » Et ils nous ont donnĂ© une feuille avec toutes les Ă©tudes qui Ă©taient possibles de faire. Mais ils avaient justement juste donnĂ© des Ă©tudes, comme si on devait tous faire des Ă©tudes alors qu'en fait je pense qu'il y a plein de choses qui existent et qui peut-ĂȘtre parfois on va beaucoup plus s'y retrouver, par exemple les gens qui sont beaucoup plus manuels, et bien ils pourront s'y retrouver... dans un mĂ©tier qui est beaucoup moins abstrait que faire la mathĂ©matique. Oui,
- Speaker #1
et commencer à étudier. Oui, tout à fait.
- Speaker #2
Et donc, il faut aussi rester ouvert, je pense, à ce qu'on peut faire. Oui. Et ne pas juger des chemins de vie possibles. Oui, oui. On pense « Ah, moi, je ne pourrais pas faire ça, c'est nul. » Et puis, je ne serais pas, comment dire, les gens, s'ils me voient en tant que, je ne sais pas, n'importe quel métier, ils vont me juger. Alors qu'en fait, on pourrait rendre ce métier incroyable et le partager une passion. Oui.
- Speaker #1
Oui, c'est vrai. Maintenant, ce qui est difficile, justement, c'est cette multitude de choix. Je pense que c'est une des difficultĂ©s aujourd'hui. Ăa, ça a dĂ©jĂ fait un Ă©pisode lĂ -dessus. Je crois que c'Ă©tait l'Ă©pisode 106 sur le choix. Et c'est vrai qu'on se rend compte qu'il y a beaucoup de choix. Et donc, non seulement tu as raison, il y a les Ă©tudes. Et dans les Ă©tudes, il y a dĂ©jĂ un milliard de choix. Mais en plus, il y a aussi le fait de ne pas en faire, le fait de voyager, le fait de... Enfin, voilĂ , il y a plein de choses possibles quand on termine effectivement ses secondaires. et donc je crois que c'est... Bon, alors je pense qu'il faut naturellement se faire confiance dans l'Ă©limination de certains choix, comme on le disait. Il y en a des gens qui vont se dire, mĂ©decin, jamais, je ne me sens... C'est exclu, voilĂ . Donc, il y a une sĂ©rie de choses qu'on va Ă©liminer, mais ce qui reste, souvent, ce sont des choix qui peuvent ĂȘtre bons pour nous, et ce sera, malheureusement, j'ai envie de dire, parce qu'on aurait envie d'avoir cette rĂ©ponse, mais elle n'existait pas, en essayant et en vivant les choses qu'on va pouvoir... arriver Ă sentir ce qui nous convient, ce qui ne nous convient pas. Et souvent, je dis, ce qui n'est pas facile non plus, c'est que si je me dis « Bon, j'essaye. » Alors, quand on se dit « DĂ©jĂ , j'essaye » , on n'est pas tout Ă fait dedans. Et donc, lĂ , si je devais rĂ©sumer l'Ă©pisode, je dirais, ben voilĂ , repĂ©rer si les questions, en fait, vous n'avez pas la rĂ©ponse. Est-ce que ce sera mieux comme ci, comme ça ? Je ne sais pas. Une fois que vous avez repĂ©rĂ© que vous n'avez pas la rĂ©ponse, je vais choisir une des voies possibles et lĂ l'essayer Mais une fois que vous dĂ©cidez d'essayer, ce n'est pas juste je l'essaye, c'est vous donner un temps. Donc moi, je trouve que c'est intĂ©ressant de se dire pendant une annĂ©e, pendant six mois en fonction des Ă©tudes, au moins faire une premiĂšre annĂ©e, de voir si c'est un mĂ©tier, ça peut ĂȘtre six mois. Tester, se donner un temps et se dire pendant tout ce temps-lĂ , je vis les choses comme si c'Ă©tait le bon choix.
- Speaker #2
OK, oui, c'est ça.
- Speaker #1
Parce que si tu fais les choses en disant je ne suis quand mĂȘme qu'en train d'essayer le boulot de salariĂ©, je sais pas si ça me plaĂźt
- Speaker #2
On part avec des mauvaises appréhensions.
- Speaker #1
Et puis, je ne vais pas m'engager vraiment. Sans m'engager, je risque de ne pas avoir une réussite non plus, que ça me blesse. Donc, je pense que vraiment, pour savoir, c'est que je me donne toutes les chances. Et aprÚs, je pourrais vraiment le rayer de ma liste parce que j'ai tout fait pour, pour que ça marche, pour essayer. Et en fait, ça n'a pas marché. Donc, à ce moment-là , je me dis, bon, c'était parfait pour moi.
- Speaker #2
Et puis, en plus, j'ai envie de dire aussi, comme tu parles de ça, de ne pas se donner les autoritĂ©s. je pense que Ă part certains cas d'exception, c'est trĂšs dur de tout de suite avoir trouvĂ© un mĂ©tier parfait. Et puis je pense que personne ne peut trouver une chose qui correspond parfaitement Ă ses qualitĂ©s. J'Ă©tais fait pour ĂȘtre astronaute, c'est bon, je vais le devenir. Et en fait, je pense que c'est ça, il y a un truc de... Il y a une partie de mon boulot que j'adore, j'adore, j'adore, et je vais le faire pour cette partie-lĂ . AprĂšs, je dois aussi encaisser les autres parties, mais bon...
- Speaker #1
c'est bien que tu le dises parce qu'on pourrait presque en faire un épisode mais la recherche du métier parfait moi je vois beaucoup de jeunes aujourd'hui qui changent beaucoup de boulot parce qu'il y a toujours une des cases justement qui n'est pas cochée ça n'a pas assez de sens, c'est pas assez payé je ne suis pas assez reconnue or je crois que comme tu le dis trÚs trÚs justement on peut avoir 60, 70 70, 80% de parcours de l'époplÚse mais Toujours, toujours, évidemment, on est parti.
- Speaker #2
On va pas s'y enlever.
- Speaker #1
Moi-mĂȘme, j'adore mon boulot, mais ça existe, il y en a. VoilĂ , voilĂ . Ăcoute, SĂ©bastien, bonne derniĂšre fois.
- Speaker #2
Merci pour ton expertise.
- Speaker #1
Je ne sais pas, je ne sais pas. Ă bientĂŽt,
- Speaker #2
alors. Ă bientĂŽt.
- Speaker #0
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