- Speaker #0
FED Group
- Speaker #1
Bonjour et bienvenue dans Voix de Recruteur by FED Group. Vous voulez changer de job ? Vous cherchez de nouveaux collaborateurs ? Nos experts vous donnent des clés de réussite pour décrocher le meilleur poste ou le meilleur candidat, celui qui vous ressemble. Ici, on parle entretien d'embauche, intérim, CV, questions magiques et plein d'autres choses. Parce que dans chaque rencontre, il y a une opportunité. Construisons ensemble vos succès professionnels de demain. Bonne écoute ! Bonjour et bienvenue dans Voix de Recruteurs by Fed Group. Je suis Maëva Ramsahai, chef de projet Content Marketing chez Fed Group et aujourd'hui je reçois Audrey Deleris et Célia La Luna. Bonjour à toutes les deux.
- Speaker #2
Bonjour Maëva.
- Speaker #1
Bonjour. Alors Audrey, tu es Manager Executive chez Fed Legal, cabinet spécialisé dans les fonctions juridiques et fiscales. Célia, tu es Lead RPO Business Development chez Fed Inside, cabinet spécialisé dans la délégation de recruteurs, ou plus communément appelé RPO. Alors aujourd'hui, on s'attaque à un sujet qui peut faire un peu peur, les fameux trous dans le CV. Que ce soit une recherche d'emploi, une formation, un voyage, un licenciement, du temps pour ses enfants, ou un membre de sa famille, ou tout simplement une pause, les raisons peuvent être nombreuses et parfois très personnelles. Et avec des carrières qui s'étirent et des parcours de plus en plus en zigzag, ces périodes d'inactivité deviennent presque normales. Mais alors comment en parler ? Comment transformer ce temps d'inactivité en véritable valeur ajoutée sans inquiéter les recruteurs ? C'est ce qu'on va voir dans cet épisode. Et on met tout de suite les pieds dans le plat avec Audrey. Est-ce que les trous dans un CV, c'est vraiment un problème aujourd'hui ?
- Speaker #2
Alors c'est un problème si on considère que c'est un problème. Maintenant, je pense que comme tu le disais Maëva, les vies professionnelles sont beaucoup plus complexes qu'avant où on pouvait rester 40 ans dans une même société. Nous en tant que recruteurs, recruteuses en l'occurrence, on le voit beaucoup moins. Donc il peut se passer plein de choses, on change de société, il y a des pauses. dans la carrière. Et il peut se passer plein de choses positives, négatives aussi. Mais le principal, c'est surtout de savoir l'expliquer. Et c'est ça le plus important.
- Speaker #1
Ok. Donc si je comprends bien, on a le droit de faire une pause sans que ce soit vu comme un manque de motivation, par exemple. Oui.
- Speaker #2
En fait, je pense qu'il faut vraiment l'assumer. C'est ça qui est le plus important. Et surtout, pas le voir comme un problème. Parce que si on le voit comme un problème, en entretien, on le ressent. On a parfois des personnes, dans ce cas-là, qui baissent les yeux, la voix qui tremblote. Et là, ça peut devenir compliqué. Et là, on se dit, mince, c'est quelque chose qui ne va pas.
- Speaker #1
Bien, alors, effectivement, il y en a qui pensent qu'il faut combler ses trous et cacher la vérité. Donc, pourquoi, d'après toi, c'est important d'assumer ?
- Speaker #2
Parce qu'on sent alors que ça devient une expérience. Et que si c'est positif, c'est souvent beaucoup plus facile d'assumer, d'être partie en voyage à l'autre bout du monde et d'avoir voyagé, vu du monde. Et c'est même hyper chouette parce qu'on a des gens qui, avec les yeux qui pétillent, qui sont très contents d'en parler. quand c'est quelque chose de moins choisi, comme une maladie par exemple, je pense qu'il faut en parler. Il ne faut pas passer trois heures, on va y revenir avec Célia sur comment l'expliquer, il ne faut pas passer trois heures, j'ai déjà eu le cas de personnes qui passent beaucoup de temps sur des choses personnelles comme ça, avec des trous dans les CV. L'idée, c'est de l'assumer, de dire voilà ce qui s'est passé, on vient au factuel, on regarde droit dans les yeux la personne, et on l'explique, et on peut même en retirer ce qui s'est passé, parce que l'idée, c'est quand il y a une expérience, qu'elle soit positive ou négative, ça a forcément appris quelque chose. Donc, moi, ce que je conseille, c'est vraiment d'expliquer la prise de recul, ce que ça nous a appris sur soi d'un point de vue personnel. On parle toujours et tout le temps, on adore ça, des soft skills. Donc, que ce soit un événement positif ou négatif, on a forcément appris des choses. Et surtout, finir par une note positive de « on est motivé, ça qui compte » .
- Speaker #1
On est prêt à reprendre. Eh bien, super. Merci Audrey pour cette entrée en matière. Célia, on conseille généralement de faire figurer ces périodes de pause dès le CV. Est-ce que tu peux nous dire comment ça se concrétise ?
- Speaker #0
Alors, il y a plusieurs façons de faire. Le plus important, c'est d'éviter le mystère, comme le disait Audrey. Pour ma part, je recommande de faire figurer toute période d'inactivité au-delà de six mois. Il faut indiquer en toute simplicité ce que vous avez fait pendant ce temps-là. Ça peut être, comme le disait Audrey, une formation, un projet perso, un congé parental, un voyage. Bref, soyez clair et honnête. Sur le CV, on reste sobre et précis. C'est surtout pendant l'entretien que vous aurez l'occasion de développer, si vous le souhaitez. Et attention, super important, ne mentez pas, ni sur les raisons, ni sur les dates de cette inactivité professionnelle. Ce que je conseille, c'est d'instaurer un climat de confiance dès la lecture du CV pour partir sur de bonnes bases avec le recruteur.
- Speaker #1
Oui, c'est hyper important. Et alors, qu'est-ce que tu recommandes de faire figurer sur son CV ?
- Speaker #0
C'est une période comme les autres, donc il faut la mentionner comme les autres lignes, avec une description simple pour expliquer le contexte. Il faut indiquer les dates, donc c'est mois et années, et pas juste 2023-2024. par exemple. On peut faire mai 2023, janvier 2024, pause parentale, à la suite de l'arrivée de mon deuxième enfant, par exemple. Ok,
- Speaker #1
donc on peut même écrire sur son CV noir sur blanc, pause parentale ou même année de transition. Ah oui,
- Speaker #0
bien sûr, c'est même conseillé. Tant que c'est formulé avec professionnalisme et sobriété, il n'y a rien de gênant. Par exemple, je ne sais pas si vous connaissez, sur LinkedIn, il existe une page qui est comme une page entreprise, qui s'appelle ma poste Ma pause parentale, et on peut rattacher cette page Ma pause parentale à son profil pour indiquer cette période de pause parentale dans son profil LinkedIn.
- Speaker #1
Ok, merci pour cette info. Personnellement, je ne connaissais pas, mais si vous êtes dans ce cas, n'hésitez pas à le faire figurer. Bon, maintenant, on va parler du moment qui, parfois, peut être redouté, l'entretien, quand le recruteur pointe la fameuse pause de 8 mois, par exemple. Comment réagir sans se crisper et surtout, comment on fait pour l'expliquer ?
- Speaker #2
Je me permets de répondre, Maëva. Comme tu l'évoquais aussi, Célia, il ne faut pas mentir déjà, parce que c'est mal de mentir, surtout sur son expérience. Surtout un entretien, on doit instaurer, comme tu le disais aussi, un climat de confiance dès le départ. Et c'est pour se projeter sur une relation professionnelle. Donc l'entretien est fait pour ça. Ce n'est pas pour enjoliver les choses. C'est juste pour assumer les choses. Voilà ce qui s'est passé. Voilà comment ça s'est passé. Et voilà ce que ça m'a appris. Donc ce n'est pas un piège quand nous, on vous pose la question en entretien. On veut juste savoir ce qui s'est passé. Et c'est OK. Mais comme vous vous êtes préparé avant, tout va bien se passer. Et il y a un conseil que j'aime bien donner, que je donne tout de suite, c'est que dans tous les cas, vous êtes la personne la plus âgée de parler de votre parcours. Donc en fait, nous, en entretien, en tant que recruteur, on ne va pas chercher la petite bête entre deux dates. Si vous avez assumé, même sur le CV, comme tu le disais très justement, Célia, et que tout est clair avec des dates précises, nous, on va s'apercevoir qu'il y a une pause, peu importe ce que c'est. vous en parler plus de manière très libre, de manière très concrète et ça se passe très bien. Donc l'idée en fait c'est vraiment de revenir sur le contexte, qu'est-ce qui s'est passé de mettre en avant ce que vous en avez tiré si c'est quelque chose que vous avez choisi aussi ça m'a permis de prendre du recul, d'acquérir telle ou telle compétence, de me former sur tel sujet de réfléchir à ma carrière aussi et toujours finir par une note positive ça on l'expliquait déjà tout à l'heure montrer que vous êtes motivé. Il ne faut pas non plus tout balayer en deux secondes en disant je me suis arrêté six mois c'était génial, je suis très motivé ça passera pas trop, un peu court Merci. Et à contrario, attention à quelque chose de très très long. Ça peut être compliqué. J'ai déjà eu quelqu'un qui s'est mis à pleurer devant moi qui m'a raconté quelque chose de dramatique. Et la vie, on le sait tous malheureusement, est faite de choses dramatiques aussi parfois. Et l'entretien n'est pas fait pour ça. Ce n'est pas le lieu. Ce n'est pas le lieu. En parler, évidemment, expliquer le contexte. J'ai dû m'arrêter quelques mois pour telle raison. J'ai repris. Et maintenant, ça m'a permis de réfléchir à ce que je voulais faire et voilà ce que je veux faire.
- Speaker #1
Oui, en fait, cette inactivité, c'est plus une opportunité aussi d'apprentissage pour la personne quand elle doit s'arrêter. Donc, on transforme cette inactivité, finalement.
- Speaker #2
Oui, et l'idée, ce n'est pas de dire, c'est quelque chose de très grave dans ma vie, c'était génial, j'ai appris plein de choses. On sait que ce n'est pas vrai. Maintenant, la façon de présenter les choses, c'est ce qui va faire la différence.
- Speaker #1
Et si, par exemple, le trou vient d'un licenciement, est-ce qu'on applique la même technique ? Céliane, après toi.
- Speaker #0
Là aussi, beaucoup de candidats se sentent mal à l'aise. Mais encore une fois, comme le disait Audrey, on est complètement conscient en tant que recruteur que les parcours ne sont pas linéaires. Donc, il faut plutôt être à l'aise. Les entreprises restructurent et il peut y avoir des postes qui sont supprimés et ce n'est pas forcément lié à la valeur du candidat. Donc, ce que je conseille, surtout pas dramatiser, on peut dire simplement mon poste a été supprimé parce qu'il y a eu une restructuration suite à un rachat, par exemple. Rester factuel, comme tu disais Audrey. Éviter de critiquer l'entreprise. Ça, c'est un conseil qu'il faut appliquer. Et montrer que le candidat a réussi à rebondir, tiré parti de ce temps-là. Par exemple, suite à un licenciement, j'en ai profité pour me former et me spécialiser sur tel ou tel métier ou telle practice. Et montrer qu'on est vraiment tourné vers l'avenir.
- Speaker #1
Là, on a essentiellement parlé des candidats. Est-ce que je peux aussi avoir votre point de vue ? Côté recruteur, comment vous abordez ces trous dans le CV ?
- Speaker #0
Alors moi, je peux me permettre Audrey, pour ma part, je préfère privilégier une vision centrée sur les performances réelles, les compétences, le mindset, plutôt qu'une chronologie parfaite sur le CV. Le parcours passé n'est pas forcément prédictif des performances futures. Donc exiger trop de détails peut être une mauvaise stratégie, comme le disait Audrey. On peut se retrouver à poser des questions qui vont nous mettre mal à l'aise quand on aura la réponse. Et surtout, je pense que c'est sur la partie évaluation, elle évalue des compétences. Et on est là à évaluer des compétences par rapport à des critères objectifs liés à un recrutement. Donc, c'est vrai que je pense qu'il faut rester centré sur les compétences du candidat en tant que recruteur.
- Speaker #2
Je suis d'accord avec toi, Célia. Et c'est vrai que je peux comprendre aussi un recruteur qui va avoir quelqu'un avec plein de trous dans le CV, va forcément se poser la question. Après, il y a une différence entre... Il faut aussi changer son prisme aussi. Si c'est quelqu'un qui a fait des sauts de puces, par exemple, avec plein de postes différents, on va se poser la question, par exemple, de sa stabilité. Ça, c'est encore autre chose. Mais ça peut être relié aussi. Si la personne, en effet, est partie quatre fois faire une année sabbatique à l'autre bout du monde, génial d'ailleurs, mais la personne peut se demander, est-ce que cette personne va... rester pour le coup, c'est aussi légitime. Donc il faut rassurer dès le CV, tout en étant, comme tu le disais, Célia, honnête, ça, je pense qu'on n'y reviendra jamais assez, honnête, factuelle, et présenter les projets, si c'est quelque chose de très chouette comme des voyages, de dire j'ai vu voyager, c'est exactement ce que je voulais faire, je l'ai fait deux fois, trois fois, parce que c'est ce que je voulais, maintenant je veux vraiment m'investir dans l'entreprise. Il faut laisser, quand on est recruteur, l'opportunité aux personnes, justement, de nous expliquer ça. Justement,
- Speaker #0
tout à fait.
- Speaker #1
Bien, merci. Dans Votre quotidien de recruteur, tout à l'heure tu nous en avais parlé aussi Audrey, je pense que vous en avez déjà rencontré des candidats avec des trous dans le CV. Est-ce que vous avez un exemple à nous partager et aussi nous dire comment ces candidats ont pu faire la différence ?
- Speaker #2
Moi je veux bien commencer Célia. Je vous ai exposé l'exemple compliqué qui s'était mis à pleurer, donc on va revenir sur du plus positif. Ça m'est arrivé la semaine dernière, j'ai une personne qui est venue en face de moi en entretien et m'a expliqué très clairement qu'elle avait été très malade et que ça avait duré de longs mois. Et qu'au bout d'un an, elle a pu reprendre et qu'à son retour dans la vie active, elle a pu apprendre d'autres choses, comme tu disais Célia, et que ça lui a permis de réfléchir et de dire, en fait, voilà ce que je veux garder dans mon prochain périmètre, voilà ce que je veux changer. Et c'est ce qu'elle a pu me montrer, comme c'était dit d'une manière... très simple, très factuel, assumé, les yeux dans les yeux. J'ai vraiment traité cette information, ce que tu disais Célia, comme une étape de son parcours « normal » , c'est-à-dire qu'elle n'a pas pleuré, elle n'a pas trop balayé le sujet non plus, et comme c'était fait avec beaucoup de sincérité et de fait, j'ai pu l'intégrer dans mon appréciation de son parcours de manière tout à fait... « normal » , et ça s'est très bien passé. J'ai apprécié sa sincérité et son honnêteté. Il n'y a pas eu de sujet. J'ai présenté à un client et je sais qu'il n'y aura pas de sujet quand elle en parlera.
- Speaker #1
Merci pour cet exemple.
- Speaker #0
Par contre, il faut noter qu'Audrey, en tant que recruteuse, a donné l'opportunité à cette personne. Elle est venue en entretien. C'est-à-dire qu'elle l'a appelée malgré ce trou d'enseignement. Audrey l'a vue. Parce que moi, j'ai un autre exemple. J'ai vu en entretien une chargée de recrutement qui n'avait pas travaillé. depuis 12 mois. Donc, la dernière expérience remontait à plus d'un an. Et en fait, quand je l'ai reçue en entretien, elle avait un très beau CV, elle a fait un très bel entretien. Moi, j'ai mené l'entretien comme en entretien, comme les autres entretiens. Mais ce qu'elle m'a avoué, c'est qu'elle n'était pas appelée par les autres recruteurs en entretien parce qu'elle n'avait pas travaillé depuis 12 mois, comme si elle n'avait jamais travaillé, comme si elle avait oublié ce que c'était que travailler parce qu'elle avait cette pause de 12 mois.
- Speaker #1
Alors qu'elle avait de l'expérience avant.
- Speaker #0
Alors qu'elle avait de l'expérience, que je l'ai recrutée et qu'elle est chez un client depuis plus d'un an et qu'elle est très bien.
- Speaker #1
Oui, bien sûr, dis-moi.
- Speaker #2
Pardon, j'ai levé le doigt pour rebondir sur ce que tu disais, Célia. Je voulais pas t'interrompre, du coup. Mais j'ai un exemple assez similaire au tien où une personne a eu plusieurs expériences à l'étranger et son dernier poste a été supprimé parce qu'ils ont rationalisé les effectifs et elle s'est retrouvée propulsée. en France, du coup, sur un poste pas du tout intéressant. Donc, elle est partie de l'entreprise. Et c'est vrai qu'elle n'est pas beaucoup rappelée. Et je l'ai présentée à plusieurs de mes clients. Et même chose que toi, la réaction, parfois, elle n'a rien fait depuis deux ans, compliquée. Et ce que je mets en avant, c'est ce que tu as dit, justement, tout ce qu'elle a fait avant et que c'est compliqué pour elle, parce qu'elle a un parcours très international et qu'elle galère un petit peu, mais on a une bonne voix pour lui trouver un joli poste, du coup.
- Speaker #1
C'est vrai que parfois, ça peut être rebutant pour les...
- Speaker #0
Pour les recruteurs ou les clients, c'est ça.
- Speaker #1
Alors que ça ne défasse pas leur expérience.
- Speaker #2
Et le côté positif, c'est que la personne est souvent disponible tout de suite. En plus, autant tester ces personnes-là. Et motiver, exactement.
- Speaker #1
Bon, c'est une bonne note positive pour les personnes, en tout cas, qui se poseraient la question si les trous dans le CV peuvent poser problème. L'épisode touche à sa fin. Est-ce que vous avez un mot de la fin ? Qu'est-ce qu'il faut absolument retenir ?
- Speaker #2
On l'a dit à peu près 15 fois, mais je vais le redire, c'est assumer, surtout. Ne pas mentir, assumer. Et surtout, la façon de dire les choses, c'est une façon importante de le faire. C'est-à-dire que si votre pause professionnelle, quelle qu'elle soit, vous la considérez vous-même comme un problème, ce sera un problème en entretien. Maintenant, si vous vous préparez à comment dire les choses et pas trop balayer, aller trop vite, mais assumer les choses et l'expliquer, pas trop, mais assez pour que le recruteur comprenne, ça se passera très bien. Donc, assumez et faites-en une force.
- Speaker #1
Et toi, Célia ?
- Speaker #0
Moi, je dirais, tout complètement en raccord avec Audrey, assumer et j'ajouterais valoriser, pour vraiment avoir une vision, projeter le recruteur vers l'avenir, préparer en amont pour que ce soit juste, bien équilibré, mais vraiment valoriser. Chaque pause, il y a quelque chose de bon à tirer et à mettre en avant, parce que ça fait partie de notre parcours.
- Speaker #1
Tout à fait. Merci beaucoup, Audrey. et Célia pour vos conseils précieux sur ce sujet. Si vous avez aimé cet épisode, partagez-le, laissez-nous une étoile ou un commentaire et pour ma part, je vous donne rendez-vous pour un nouvel épisode prochainement. A bientôt ! FEDGROUP