Speaker #0Bienvenue dans le podcast Dans ton ventre. Si tu as des ballonnements, des troubles du transit, des douleurs au ventre ou d'autres maux digestifs qui t'empêchent de piquer la vie à pleines dents, tu es au bon endroit. Je suis Clémence, naturopathe et passionnée par ce qui se passe dans notre ventre, notre fameux deuxième cerveau doté de super pouvoirs. Tu les découvriras dans ce podcast. Chaque semaine, je te livrerai mes meilleurs conseils et astuces pour prendre soin de ton ventre. Je te partagerai aussi des retours d'expérience pour t'inspirer et je m'attaquerai à certaines idées reçues en vogue sur les réseaux. Le but, que tu fasses la paix avec ton ventre. Alors, prête pour ce voyage dans ton ventre, je te laisse avec l'épisode du jour. Hello, bienvenue à toi dans ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, je vais te parler de prise de sang, plus particulièrement de trois marqueurs presque jamais dosés sur une prise de sang. Et ces marqueurs-là sont tellement, tellement importants qu'on va en parler aujourd'hui. Parce que tu le sais, la prise de sang, c'est un des actes médicaux les plus répandus. Je pense que tu as dû en faire au moins une fois dans ta vie. Donc c'est l'occasion d'avoir des informations sur ton état de santé et aussi d'agir en prévention. Et c'est ce sur quoi on va parler en partie aujourd'hui. Donc tu le sais, là je vais en fait te parler des bilans faits une fois par an, que le médecin peut te prescrire, c'est des bilans de contrôle. En général, il y a quand même beaucoup de choses dessus, il y a différents marqueurs. Il va y avoir tout ce qui est numération, formule sanguine, le bilan hépatique, le bilan rénal, il va y avoir la glycémie, il va y avoir la TSH pour la thyroïde, etc. Ils sont plus ou moins fournis selon les médecins, des fois ils rajoutent un peu des choses, selon aussi si tu as des maladies, si tu as des troubles en particulier ou quoi. Aujourd'hui, en fait, je voudrais te parler de trois marqueurs, enfin on va dire quatre, qui ne sont pas prescrits sur une prise de sang de manière automatique par les médecins. parfois ils sont même pas connus ces marqueurs par les médecins. Personnellement, je sais pas si tu le sais, mais j'ai fait 8 ans d'études de médecine, et là le premier indicateur dont je vais te parler, je n'en ai jamais entendu parler. C'est en m'intéressant ensuite à ce qu'on appelle la médecine fonctionnelle, tout ce qui est vraiment la prévention, tout ça, que j'en ai entendu parler, je me suis intéressée, et du coup je vais pouvoir t'en parler aujourd'hui parce que c'est hyper intéressant. Je suis désolée si ma voix elle est un peu cassée, je suis un peu malade, donc désolée par avance si je parle un peu du nez. Au programme de cet épisode, je vais te parler de 4 marqueurs. S'ils sont prescrits par les médecins, ils sont remboursés. Ils ne sont pas très chers en soi. Ils vont de 2 euros et quelques à une vingtaine d'euros. Donc si toi tu veux vraiment les faire et si ton médecin ne veut pas te le prescrire, tu peux aller directement au laboratoire. Et en fait, ce que tu peux faire, c'est que tu peux, si tu as une prise de sang à faire, tu donnes ton ordonnance et tu peux dire que tu veux un marqueur en plus. Tu le paieras, mais tu ne paieras pas les frais de dossier en plus. Donc c'est pas mal aussi de faire comme ça, de profiter d'une prise de sang prescrite pour faire d'autres marqueurs si besoin. Alors c'est parti. Le premier marqueur qui est super intéressant, c'est l'index HOMA. Je ne sais pas si tu en as déjà entendu parler. Cet index HOMA, c'est pour détecter, pour voir si tu as une insulino-résistance. Pourquoi c'est intéressant ? En fait, d'habitude, dans le bilan sanguin, ça va être la glycémie à jeun qui va être dosée. et cette glycémie à jeun, on l'utilise pour diagnostiquer un pré-diabète et un diabète. En fait, on dit qu'il faut avoir à jeun moins de 1 g par litre de sucre dans le sang, ou 5 minimoles. Donc ça, c'est ce qu'on regarde, c'est ce que le médecin va regarder de manière automatique. Le problème, c'est que parfois, on a trop de sucre dans le sang, mais le corps, il va compenser. Il va compenser, compenser pendant plusieurs semaines, plusieurs mois, plusieurs années. Et c'est ça qui fait qu'on arrive au diabète de type 2. Je m'explique. En fait, dès qu'on mange, dès qu'on ingère un aliment, le corps va libérer dans le sang l'insuline. L'insuline, c'est l'hormone en gros de stockage qui va nous permettre de faire rentrer le sucre, le glucose dans nos cellules. Ce qui se passe quand on mange trop de sucre tout le temps, c'est que le corps, pour vivre, c'est important que la glycémie soit inférieure à 1 g par litre. De manière générale, bien sûr que lorsqu'on mange, la glycémie est plus haute, c'est tout à fait normal, c'est le temps que le corps se régule. Mais normalement, si on fait une prise à jeun ou éloignée du repas, la glycémie doit être inférieure à 1 g par litre. Ok, jusque là, on est d'accord. Mais par contre, le corps, il peut compenser en sécrétant beaucoup plus d'insuline que ce qu'il devrait faire, donc à un moment donné, il va s'épuiser. En fait, on parle de pré-diabète lorsqu'on a une glycémie qui est comprise entre 1 g et 1,26 g par litre. Et on parle de diabète lorsque la glycémie à jeun a été égale ou supérieure à deux reprises à 1,26 g par litre. Le problème, c'est que si on attend que la glycémie à jeun soit augmentée pour agir, ce qui veut dire qu'on attend qu'elle dépasse 1 g par litre à jeun, c'est un peu trop tard. C'est-à-dire que là, le pancréas commence à ne plus pouvoir compenser cette augmentation importante de glycémie dans le sang. Et donc, on se dirige vers un diabète. A ce stade, on peut encore faire des choses, il ne faut pas non plus s'inquiéter. Mais ce qui est bien, c'est d'agir encore plus en amont quand on est en insulino-résistance. Cette insulino-résistance, ça veut dire que l'insuline a beaucoup plus de mal à agir, c'est-à-dire que les cellules de notre corps sont moins sensibles à l'insuline, donc il faut en sécréter beaucoup plus pour avoir la même action, qui est, je te le rappelle, une des principales actions de l'insuline, c'est de faire rentrer le glucose dans nos cellules. L'index HOMA, il est intéressant parce qu'il va prendre en compte l'agglycémie à jeun et l'insuline à jeun. Donc là, on a vraiment les deux paramètres et combinés ensemble, on peut détecter ce qu'on appelle l'insuline en résistance. L'index HOMA, ça va être intéressant de faire doser une fois par an. Et même lorsque tu es pris en charge et tout dans ta santé, c'est bien de le faire même tous les six mois pour voir, parce que tu verras des différences, même lorsque tu vas être dans un processus de rééquilibrage alimentaire, de perte de poids. Ça va aussi varier, donc ça, ça peut motiver. de voir que, bah oui, au niveau du corps, il se passe quand même des choses. Donc l'index HOMA, c'est une formule, en fait, que tu peux faire, c'est-à-dire si tu as l'agricémie à jeun, l'insuline à jeun, tu peux calculer ton index HOMA. Après, tu peux le demander directement aussi au laboratoire, que c'est eux qui vont le calculer. Idéalement, l'index HOMA, il doit être le plus bas possible. Quand on est supérieur à 2, voire 2,4, là, on parle d'insuline résistance, mais idéalement, c'est bien quand il est inférieur à 1,6, 1,5. Elle se trouve facilement, la formule de l'index HOMA, c'est la glycémie à jeun. Attention aux unités, c'est en millimoles par litre. Parce que sur votre bilan sanguin, vous avez normalement les deux unités, vous avez en grammes par litre et en millimoles par litre, donc il ne faut pas se tromper quand on fait le calcul de l'index HOMA. Donc c'est la glycémie à jeun fois l'insulinémie à jeun, et ça vous le divisez par 22,5 et vous avez votre résultat. Donc l'index HOMA, il est beaucoup plus intéressant que la glycémie à jeun seul, parce qu'il permet d'agir plus rapidement, d'être plus dans la prévention, et de ne pas attendre que le corps n'en puisse plus, qu'il puisse plus en fait gérer cet afflux de sucre dans le sang, et d'agir donc avant. L'indexoma, il coûte de mémoire une vingtaine d'euros si vous n'avez pas d'ordonnance, mais après vous pouvez le demander à votre médecin, ou vous pouvez demander en plus de la glycémie à jeun, l'insuline à jeun, et donc là vous pourrez faire votre calcul. Et petite parenthèse pour tout ce qui est à jeun, en fait il y a des heures qui sont un peu recommandées, on va dire d'attendre au moins 8h, au moins 6h, au moins 12h, ça c'est plus pour l'exploration d'une anomalie lipidique, tout ce qui est bilan des acides gras. L'index, la glycémie à jeun, il ne faut quand même pas être trop à jeun, parce que si vous êtes entre guillemets trop à jeun, si vous vous attendez trop, c'est-à-dire que vous prenez votre repas du soir à 8h et vous allez faire votre prise de soin à 10h. que d'habitude vous prenez votre petit déjeuner à 8h, ce sera un peu faussé parce que là, votre glycémie sera un peu plus basse. Donc il faut y aller, par exemple, si vous mangez à 8h, le soir entre 8h et 9h, c'est bien d'aller le matin vers 7h, entre 7 et 8h, pour ne pas fausser le résultat. Donc voilà pour l'index OMA, il est hyper important et très peu connu, même si on en parle de plus en plus, notamment sur Instagram. C'est un index, franchement, je vous conseille de le faire, comme je vous ai dit, au moins une fois par an. Ensuite, on a la CRP US. Alors, normalement, en général, le médecin, sur un bilan sanguin, entre guillemets, normal ou de contrôle, il va vous prescrire la CRP. La CRP, c'est très bien pour détecter une inflammation aiguë. Ça veut dire qu'elle va être élevée quand il y aura une infection, quand il y aura, par exemple, si vous vous êtes fait mal, si vous avez une grosse inflammation à un endroit, la CRP, elle peut être très, très élevée, ce qui est normal. C'est une des protéines qui va être élevée, qui va s'élever le plus rapidement lors d'une inflammation. Donc elle est intéressante pour ça. Là, nous ce qu'on veut, comme je vous ai dit, c'est plus agir en prévention et voir s'il n'y a pas un problème chronique, une inflammation chronique, ce qu'on peut appeler aussi une inflammation de bas grade ou silencieuse. C'est-à-dire qu'on ne va pas forcément se rendre compte, on ne va pas avoir de gros maux, de gros symptômes dans notre corps. Mais on va un peu avoir mal au ventre, on va... un peu avoir mal, je sais pas, on va avoir les gencives qui saignent, on va avoir mal au genou, voilà, c'est plus des problèmes, on va avoir aussi une tautine qui traîne, ou des choses comme ça, un peu des choses qui traînent, c'est pas vraiment des choses aigües, c'est des choses qui nous embêtent un peu sur le long terme. Ça, c'est hyper intéressant de venir voir ce qui se passe. Et on a la CRP US, c'est un peu différent de la CRP. Et là, ça permet d'affiner, on va dire, le dosage, donc de venir détecter des taux plus bas de CRP. C'est plus précis, si vous voulez. Donc du coup, c'est intéressant, là, vraiment pour le côté prévention. Alors ça, ça ne coûte pas très cher, ça coûte 2-3 euros. Mais en général, les médecins... Ils ne sont pas réfractaires si vous leur demandez à faire doser ce marqueur. La CRPUS, idéalement, c'est qu'elle soit le plus proche de zéro. Ça, c'est bien de le faire pareil une fois par an dans votre bilan de santé globale. Et comme je dis, la différence, la CRP, on est sur l'inflammation aiguë. La CRPUS, on est sur de l'inflammation chronique de bas grade. Et donc là, si c'est le cas, si la CRP est élevée... Après, ça indique aussi un risque cardiovasculaire, plus elle va être élevée. Mais si elle est quand même un peu élevée, la CRPUS, là, c'est bien de vous faire accompagner et de voir ce qui se passe pour travailler sur le terrain. Ensuite, vous allez avoir, ce sont les deux derniers marqueurs dont je voulais vous parler, c'est la T3 et la T4. La T3 et la T4, ce sont les hormones thyroïdiennes, ce sont les hormones qui sont sécrétées par la thyroïde. En général, maintenant, ce que fait le médecin, c'est qu'il va prescrire seulement la TSH. La TSH, c'est le signal qu'envoie le cerveau à la thyroïde pour la contrôler, pour contrôler les taux d'hormones thyroïdiennes qui vont être sécrétés, qui vont être produits et sécrétés. La TSH, elle n'est pas très fiable parce qu'au niveau du rétro contrôle, en fait, on dit que si vous voulez, si la thyroïde n'est pas très active, il va y avoir un rétro contrôle. Donc le corps va capter qu'il y a peu ou pas d'hormones thyroïdiennes produites, enfin peu. plutôt parce que s'il n'y a pas d'hormone thyroïdienne, on ne peut pas vivre. Et il va envoyer le signal, la TSH, donc il y a une hormone, il va augmenter le taux de TSH pour booster la thyroïde. Et en gros, c'est ce qu'on va voir les médecins. Si la TSH est très élevée, donc si elle dépasse 4, en général, on va parler d'hypothyroïdie. Au contraire, si la thyroïde est suractive, hyperactive, qu'elle produit trop de hormones thyroïdiennes, ce qui se passe... c'est que le cerveau va vouloir freiner cette thyroïde, donc il va arrêter de sécréter la TSH, ou il va diminuer la sécrétion de TSH. Donc dans les hyperthyroïdies, la TSH est inférieure à 1, elle peut être même proche de 0. Le but, c'est que la TSH soit entre 1 et 1,5, voire 2. Et après, ce n'est pas très fiable, parce que selon votre état nutritionnel, le jeûne, le stress, si vous êtes enceinte ou pas, il y a beaucoup de facteurs qui vont venir aussi perturber la TSH. Donc le mieux, idéalement, si le médecin est d'accord, sinon on les fait doser directement au laboratoire, c'est de doser ce qui est produit directement par la thyroïde, c'est la T3 et la T4. En sachant que la T3, c'est l'hormone qui est active, la T4, c'est l'hormone qui est inactive, qui s'active ensuite dans différents organes dans l'organisme, notamment dans le foie, qui s'active en T3. Là, on va viser... Là, bien sûr, d'être dans les normes du labo, mais surtout dans les normes hautes. Si on est plutôt dans la norme basse, pareil, il faudra voir s'il n'y a pas une carence en iodes, s'il n'y a pas d'autres carences nutritionnelles qui font que la thyroïde est quand même en hypo-fonctionnement. En fait, on peut optimiser son fonctionnement pour que les taux de T4 et T3 soient quand même assez élevés, et qu'ils restent bien sûr dans les normes, mais comme je vous dis, on vise vraiment les valeurs hautes. Donc ça je vous le redis, c'est vrai que souvent le médecin il va vouloir doser que la TSH parce que c'est ce qui est remboursé par la sécurité sociale, c'est ce qui est recommandé en fait dans les dosages. Si vous pouvez le faire, vraiment faites une fois par an, même si vous n'avez pas de problème de thyroïde, même si a priori tout va bien, faites-le quand même parce que des fois on peut être surpris, on peut voir que finalement on peut être fatigué parce que la thyroïde elle ne fonctionne pas aussi bien qu'elle devrait. C'est vrai, souvent il y a des carences en iode mais pas que, après on peut faire aussi pour aller plus loin. la iodurie urinaire, c'est-à-dire que pendant 24 heures, vous allez récolter toutes vos urines dans un flacon, puis après on dose l'iode qu'il y a dans les urines et voir s'il y a une carence ou pas, ça peut se faire aussi. On peut aussi aller plus loin en faisant les anticorps antithyroïdiens, donc il y en a différentes sortes, voir s'il n'y a pas une attaque auto-immune contre la thyroïde. Ça, on va le faire si vraiment la TSH est très élevée ou très basse, ou si la T3 et la T4, pareil, les taux ne sont vraiment pas bons. Ça, on ne va pas le faire en première intention. En tout cas, je ne vous le recommande pas de faire en première attention, parce que... Après, ça, quand même, vous pouvez le faire, les anticorps. Si, par exemple, il y a des nodules, ça, c'est pas mal de le faire. Personnellement, moi, j'ai des nodules à la thyroïde. Je sais que j'aime bien le faire une fois tous les, je ne sais pas, trois ans, de faire doser quand même les anticorps pour voir s'il n'y a pas une auto-immunité qui se crée, c'est-à-dire que mon corps ne va pas se retourner contre lui-même et contre la thyroïde et qu'il ne va pas l'attaquer. Donc ça, j'aime bien le surveiller, mais on va dire de manière moins régulière, parce que... si la TSH, la T3 et la T4 sont dans les clous, en général, il n'y a pas trop de problèmes de ce côté-là, bien que parfois aussi on peut être surpris, mais voilà. On va rester dans ce qui est le plus pertinent à faire en premier lieu, on va dire. Voilà, c'était ce que je voulais te partager aujourd'hui sur les marqueurs importants à faire doser en prévention, mais qui sont soit jamais dosés ou soit très rarement dosés. Pour rappel, il y a l'index HOMA qui permet de détecter une insulino-résistance. Il y a... la CRPUS qui permet de détecter une inflammation de bas grade on appelle ça aussi inflammation chronique ou silencieuse et on a la T3 et la T4 donc les hormones produites par la thyroïde qui permettent de voir si la thyroïde fonctionne bien, la thyroïde c'est un organe hyper important pour le fonctionnement de ton corps et pour rappel aussi, ces marqueurs là tu peux les demander directement au laboratoire si les médecins ne veulent pas les prescrire mais tu peux quand même demander à ton médecin, discuter avec lui Et lui aussi peut les prescrire. Et dans ce cas-là, ces différents marqueurs seront remboursés par la sécurité sociale. Si tu les demandes directement au laboratoire, c'est toi qui devras payer. Voilà, si tu veux aller plus loin, si tu veux connaître les valeurs optimales de certains marqueurs biologiques, tu peux télécharger dans la description. Il y a un document que tu peux télécharger gratuitement. Là, j'ai récapitulé vraiment les principaux marqueurs des prises de sang. Et on va dire à quoi ça sert de faire doser ça. et les normes santé qui sont parfois, même souvent différentes des normes du laboratoire. Et si tu veux aller encore plus loin, tu as encore quelques jours pour profiter du replay de la masterclass que j'avais donné en juillet sur la prise de sang. Comment lire ta prise de sang comme une pro, ce qui te permet pour 47 euros d'accéder à cette masterclass de 3 heures au replay. Donc ce replay tu l'as à vie, tu as aussi le PDF avec. Tu auras aussi accès gratuitement à la formation complète que je sors d'ici fin octobre sur la prise de sang. Et dans cette masterclass, lis ta prise de sang comme une pro. Je t'explique tous les marqueurs que tu as sur ta prise de sang. Pareil, à quoi ça sert, pourquoi les faire doser, que veulent dire les résultats que tu vas avoir. Je te dirai aussi quels sont les marqueurs de prévention. hyper importants. Donc là, je t'en ai partagé trois aujourd'hui, mais il y en a encore d'autres qui sont hyper intéressants. Pareil, là, en fait, je ne te parle pas de bilans spécialisés compliqués et tout ça, c'est vraiment des choses qui sont remboursées par la Sécurité sociale pour la majorité des cas que le médecin peut te prescrire. Il y a aussi une partie sur les bilans organes spécialisés, je t'explique si c'est utile ou pas et quels sont ceux qui sont à faire. Et il y a une partie aussi sur, on va dire, de cas pratiques, où là, on met en application ce qu'on vient de voir. Et bien sûr, après, tu peux me poser tes questions si tu en as. Donc voilà, c'est une oeuvre qui est en cours jusqu'au 20 octobre. Donc n'hésite pas, il y a toutes les informations dans ma description. Et la semaine prochaine, je te parlerai de la vitamine D, quand il faut la faire doser, pourquoi. Pourquoi c'est une vitamine qui est hyper intéressante, et maintenant, on parle plutôt d'hormones que de vitamines. Tu sauras tout ça dans le prochain épisode. Et en attendant, je te souhaite une belle journée. Prends soin de toi, et à très vite ! Je te remercie sincèrement pour ton écoute. Je te dis à bientôt pour de nouvelles aventures. Donc on voit.