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Quoi de neuf à Baker Street ? Dégénérescence et création dans la littérature britannique du 19e. Avec Nathalie Saudo-Welby cover
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Le sens des mots, un podcast des Éditions de l'ENS de Lyon

Quoi de neuf à Baker Street ? Dégénérescence et création dans la littérature britannique du 19e. Avec Nathalie Saudo-Welby

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10min |09/11/2023
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Quoi de neuf à Baker Street ? Dégénérescence et création dans la littérature britannique du 19e. Avec Nathalie Saudo-Welby

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10min |09/11/2023
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Description

À la fin du XIXe siècle, l’Europe est hantée par une peur du déclin qui s’est exprimée en termes de dégénérescence. En Grande-Bretagne certains penseurs alertent leurs contemporains sur la déchéance physique et morale de la nation. Il y aurait même des livres dangereux et empoisonnés qui auraient contribué à entretenir cette atmosphère délétère. De nombreuses fictions de la période dite « fin-de-siècle » et du début du XXe siècle ont reflété les anxiétés de l’époque, d’une façon qui pourrait également en avoir attisé les craintes. Certains best-sellers et leurs héros, Jekyll, Hyde, Dracula, Dorian Gray, Sherlock Holmes et Jack l’éventreur, sont encore bien connus de nous aujourd’hui.

Que recouvre exactement le concept de dégénérescence ? Comment cette théorie s’est-elle développée ? Comment la fiction a-t-elle participé à la construction de la dégénérescence ? Quelles formes ont pris les idées de morbidité et de monstruosité dans le roman britannique à cette période ? Et enfin, comment la dégénérescence se transforme-t-elle en création ?

L’ouvrage dont il est question aujourd’hui, Jack and Jekyll. La dégénérescence en Grande-Bretagne 1880-1914, se situe au croisement des recherches en civilisation et en littérature britanniques.

Dans ce nouvel épisode du sens des mots, nous recevons Nathalie Saudo-Welby, pour nous parler de son ouvrage en 3 mots : dégénérescence, normes, et gothique.


Ancienne élève de l’ENS de Fontenay-Saint-Cloud et agrégée d’anglais, Nathalie Saudo-Welby est professeure à l’université de Picardie. Spécialiste d’histoire des idées et de littérature victorienne et édouardienne, elle est l’auteure d’un ouvrage sur le roman féministe victorien et édouardien (Le courage de déplaire, Classiques Garnier, 2019) et de nombreux articles consacrés à la fiction des années 1880-1914 et aux arts visuels.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

À la fin du XIXe siècle, l’Europe est hantée par une peur du déclin qui s’est exprimée en termes de dégénérescence. En Grande-Bretagne certains penseurs alertent leurs contemporains sur la déchéance physique et morale de la nation. Il y aurait même des livres dangereux et empoisonnés qui auraient contribué à entretenir cette atmosphère délétère. De nombreuses fictions de la période dite « fin-de-siècle » et du début du XXe siècle ont reflété les anxiétés de l’époque, d’une façon qui pourrait également en avoir attisé les craintes. Certains best-sellers et leurs héros, Jekyll, Hyde, Dracula, Dorian Gray, Sherlock Holmes et Jack l’éventreur, sont encore bien connus de nous aujourd’hui.

Que recouvre exactement le concept de dégénérescence ? Comment cette théorie s’est-elle développée ? Comment la fiction a-t-elle participé à la construction de la dégénérescence ? Quelles formes ont pris les idées de morbidité et de monstruosité dans le roman britannique à cette période ? Et enfin, comment la dégénérescence se transforme-t-elle en création ?

L’ouvrage dont il est question aujourd’hui, Jack and Jekyll. La dégénérescence en Grande-Bretagne 1880-1914, se situe au croisement des recherches en civilisation et en littérature britanniques.

Dans ce nouvel épisode du sens des mots, nous recevons Nathalie Saudo-Welby, pour nous parler de son ouvrage en 3 mots : dégénérescence, normes, et gothique.


Ancienne élève de l’ENS de Fontenay-Saint-Cloud et agrégée d’anglais, Nathalie Saudo-Welby est professeure à l’université de Picardie. Spécialiste d’histoire des idées et de littérature victorienne et édouardienne, elle est l’auteure d’un ouvrage sur le roman féministe victorien et édouardien (Le courage de déplaire, Classiques Garnier, 2019) et de nombreux articles consacrés à la fiction des années 1880-1914 et aux arts visuels.


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À la fin du XIXe siècle, l’Europe est hantée par une peur du déclin qui s’est exprimée en termes de dégénérescence. En Grande-Bretagne certains penseurs alertent leurs contemporains sur la déchéance physique et morale de la nation. Il y aurait même des livres dangereux et empoisonnés qui auraient contribué à entretenir cette atmosphère délétère. De nombreuses fictions de la période dite « fin-de-siècle » et du début du XXe siècle ont reflété les anxiétés de l’époque, d’une façon qui pourrait également en avoir attisé les craintes. Certains best-sellers et leurs héros, Jekyll, Hyde, Dracula, Dorian Gray, Sherlock Holmes et Jack l’éventreur, sont encore bien connus de nous aujourd’hui.

Que recouvre exactement le concept de dégénérescence ? Comment cette théorie s’est-elle développée ? Comment la fiction a-t-elle participé à la construction de la dégénérescence ? Quelles formes ont pris les idées de morbidité et de monstruosité dans le roman britannique à cette période ? Et enfin, comment la dégénérescence se transforme-t-elle en création ?

L’ouvrage dont il est question aujourd’hui, Jack and Jekyll. La dégénérescence en Grande-Bretagne 1880-1914, se situe au croisement des recherches en civilisation et en littérature britanniques.

Dans ce nouvel épisode du sens des mots, nous recevons Nathalie Saudo-Welby, pour nous parler de son ouvrage en 3 mots : dégénérescence, normes, et gothique.


Ancienne élève de l’ENS de Fontenay-Saint-Cloud et agrégée d’anglais, Nathalie Saudo-Welby est professeure à l’université de Picardie. Spécialiste d’histoire des idées et de littérature victorienne et édouardienne, elle est l’auteure d’un ouvrage sur le roman féministe victorien et édouardien (Le courage de déplaire, Classiques Garnier, 2019) et de nombreux articles consacrés à la fiction des années 1880-1914 et aux arts visuels.


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À la fin du XIXe siècle, l’Europe est hantée par une peur du déclin qui s’est exprimée en termes de dégénérescence. En Grande-Bretagne certains penseurs alertent leurs contemporains sur la déchéance physique et morale de la nation. Il y aurait même des livres dangereux et empoisonnés qui auraient contribué à entretenir cette atmosphère délétère. De nombreuses fictions de la période dite « fin-de-siècle » et du début du XXe siècle ont reflété les anxiétés de l’époque, d’une façon qui pourrait également en avoir attisé les craintes. Certains best-sellers et leurs héros, Jekyll, Hyde, Dracula, Dorian Gray, Sherlock Holmes et Jack l’éventreur, sont encore bien connus de nous aujourd’hui.

Que recouvre exactement le concept de dégénérescence ? Comment cette théorie s’est-elle développée ? Comment la fiction a-t-elle participé à la construction de la dégénérescence ? Quelles formes ont pris les idées de morbidité et de monstruosité dans le roman britannique à cette période ? Et enfin, comment la dégénérescence se transforme-t-elle en création ?

L’ouvrage dont il est question aujourd’hui, Jack and Jekyll. La dégénérescence en Grande-Bretagne 1880-1914, se situe au croisement des recherches en civilisation et en littérature britanniques.

Dans ce nouvel épisode du sens des mots, nous recevons Nathalie Saudo-Welby, pour nous parler de son ouvrage en 3 mots : dégénérescence, normes, et gothique.


Ancienne élève de l’ENS de Fontenay-Saint-Cloud et agrégée d’anglais, Nathalie Saudo-Welby est professeure à l’université de Picardie. Spécialiste d’histoire des idées et de littérature victorienne et édouardienne, elle est l’auteure d’un ouvrage sur le roman féministe victorien et édouardien (Le courage de déplaire, Classiques Garnier, 2019) et de nombreux articles consacrés à la fiction des années 1880-1914 et aux arts visuels.


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