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Le sens des mots, un podcast des Éditions de l'ENS de Lyon

Technophile ou technophobe ? Simondon et Derrida, pour penser la relation entre humain et technique. Avec Anne Alombert

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17min |30/09/2023
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Le sens des mots, un podcast des Éditions de l'ENS de Lyon

Technophile ou technophobe ? Simondon et Derrida, pour penser la relation entre humain et technique. Avec Anne Alombert

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Description

Le sens des mots, un podcast des Éditions de l'ENS de Lyon
Aujourd’hui, les technologies numériques et l’intelligence artificielle sont partout : smartphones, objets connectés, voitures autonomes… Ce nouveau milieu technique donne lieu à des réactions souvent très polarisées : les uns ne jurant que par les progrès technologiques alors que les autres rejettent ces mêmes nouvelles technologies jugées déshumanisantes.

Mais n’y a-t-il pas un problème à penser les choses de façon aussi radicale ? Avec d’un côté les transhumanistes, qui attribuent des propriétés humaines aux machines (en parlant de machines pensantes, de machines intelligentes ou de machines conscientes), et d’un autre côté, une tradition philosophique qui oppose culture et technique, ou pensée et technique.

Mais finalement, est-ce qu’on ne s’empêche pas, avec des positions aussi polarisées, de penser cette relation entre les humains et leur milieux techniques ? Comment penser cette relation hors des oppositions métaphysiques ?

Si Anne Alombert convoque aujourd’hui les pensées de deux philosophes français du « moment philosophique » des années 60, Derrida et Simondon, c’est précisément pour sortir de cette alternative.

Pourquoi est-il nécessaire de transformer la relation entre philosophie et sciences ? Comment se transforme-t-elle dans les œuvres de Jacques Derrida et Gilbert Simondon ? C’est l’une des questions au cœur de ce livre.

Ce livre s’inscrit donc dans ce que le philosophe Frédéric Worms décrit comme une « histoire relationnelle de la philosophie ». C’est-à-dire un livre qui s’intéresse finalement moins à des auteurs, des écoles, ou des courants déterminés. Et qui ne cherche pas non plus à établir des comparaisons, ou identifier des ressemblances et des différences entre Simondon et Derrida. Un livre enfin qui offre au lecteur d’aujourd’hui des ressources importantes pour appréhender notre actualité et qui ouvre de nouvelles perspectives d’avenir.

Le sens des mots invite aujourd’hui Anne Alombert à nous parler de son livre, Penser l’humain et la technique. Derrida et Simondon après la métaphysique.

Elle a choisi de nous en parler en trois mots : métaphysique, humain et technique.

Anne Alombert est maîtresse de conférences en philosophie contemporaine à l’université Paris 8. Ses recherches portent sur la question des rapports entre vie, technique et esprit dans l’histoire de la philosophie, ainsi que sur les enjeux anthropologiques des transformations technologiques contemporaines, notamment à partir des travaux de Jacques Derrida, Gilbert Simondon et Bernard Stiegler. Elle est co-autrice de l’ouvrage Bifurquer (2020), autrice du livre Schizophrénie numérique (2023) et membre du Conseil national du numérique.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Aujourd’hui, les technologies numériques et l’intelligence artificielle sont partout : smartphones, objets connectés, voitures autonomes… Ce nouveau milieu technique donne lieu à des réactions souvent très polarisées : les uns ne jurant que par les progrès technologiques alors que les autres rejettent ces mêmes nouvelles technologies jugées déshumanisantes.

Mais n’y a-t-il pas un problème à penser les choses de façon aussi radicale ? Avec d’un côté les transhumanistes, qui attribuent des propriétés humaines aux machines (en parlant de machines pensantes, de machines intelligentes ou de machines conscientes), et d’un autre côté, une tradition philosophique qui oppose culture et technique, ou pensée et technique.

Mais finalement, est-ce qu’on ne s’empêche pas, avec des positions aussi polarisées, de penser cette relation entre les humains et leur milieux techniques ? Comment penser cette relation hors des oppositions métaphysiques ?

Si Anne Alombert convoque aujourd’hui les pensées de deux philosophes français du « moment philosophique » des années 60, Derrida et Simondon, c’est précisément pour sortir de cette alternative.

Pourquoi est-il nécessaire de transformer la relation entre philosophie et sciences ? Comment se transforme-t-elle dans les œuvres de Jacques Derrida et Gilbert Simondon ? C’est l’une des questions au cœur de ce livre.

Ce livre s’inscrit donc dans ce que le philosophe Frédéric Worms décrit comme une « histoire relationnelle de la philosophie ». C’est-à-dire un livre qui s’intéresse finalement moins à des auteurs, des écoles, ou des courants déterminés. Et qui ne cherche pas non plus à établir des comparaisons, ou identifier des ressemblances et des différences entre Simondon et Derrida. Un livre enfin qui offre au lecteur d’aujourd’hui des ressources importantes pour appréhender notre actualité et qui ouvre de nouvelles perspectives d’avenir.

Le sens des mots invite aujourd’hui Anne Alombert à nous parler de son livre, Penser l’humain et la technique. Derrida et Simondon après la métaphysique.

Elle a choisi de nous en parler en trois mots : métaphysique, humain et technique.

Anne Alombert est maîtresse de conférences en philosophie contemporaine à l’université Paris 8. Ses recherches portent sur la question des rapports entre vie, technique et esprit dans l’histoire de la philosophie, ainsi que sur les enjeux anthropologiques des transformations technologiques contemporaines, notamment à partir des travaux de Jacques Derrida, Gilbert Simondon et Bernard Stiegler. Elle est co-autrice de l’ouvrage Bifurquer (2020), autrice du livre Schizophrénie numérique (2023) et membre du Conseil national du numérique.


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Mais n’y a-t-il pas un problème à penser les choses de façon aussi radicale ? Avec d’un côté les transhumanistes, qui attribuent des propriétés humaines aux machines (en parlant de machines pensantes, de machines intelligentes ou de machines conscientes), et d’un autre côté, une tradition philosophique qui oppose culture et technique, ou pensée et technique.

Mais finalement, est-ce qu’on ne s’empêche pas, avec des positions aussi polarisées, de penser cette relation entre les humains et leur milieux techniques ? Comment penser cette relation hors des oppositions métaphysiques ?

Si Anne Alombert convoque aujourd’hui les pensées de deux philosophes français du « moment philosophique » des années 60, Derrida et Simondon, c’est précisément pour sortir de cette alternative.

Pourquoi est-il nécessaire de transformer la relation entre philosophie et sciences ? Comment se transforme-t-elle dans les œuvres de Jacques Derrida et Gilbert Simondon ? C’est l’une des questions au cœur de ce livre.

Ce livre s’inscrit donc dans ce que le philosophe Frédéric Worms décrit comme une « histoire relationnelle de la philosophie ». C’est-à-dire un livre qui s’intéresse finalement moins à des auteurs, des écoles, ou des courants déterminés. Et qui ne cherche pas non plus à établir des comparaisons, ou identifier des ressemblances et des différences entre Simondon et Derrida. Un livre enfin qui offre au lecteur d’aujourd’hui des ressources importantes pour appréhender notre actualité et qui ouvre de nouvelles perspectives d’avenir.

Le sens des mots invite aujourd’hui Anne Alombert à nous parler de son livre, Penser l’humain et la technique. Derrida et Simondon après la métaphysique.

Elle a choisi de nous en parler en trois mots : métaphysique, humain et technique.

Anne Alombert est maîtresse de conférences en philosophie contemporaine à l’université Paris 8. Ses recherches portent sur la question des rapports entre vie, technique et esprit dans l’histoire de la philosophie, ainsi que sur les enjeux anthropologiques des transformations technologiques contemporaines, notamment à partir des travaux de Jacques Derrida, Gilbert Simondon et Bernard Stiegler. Elle est co-autrice de l’ouvrage Bifurquer (2020), autrice du livre Schizophrénie numérique (2023) et membre du Conseil national du numérique.


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Aujourd’hui, les technologies numériques et l’intelligence artificielle sont partout : smartphones, objets connectés, voitures autonomes… Ce nouveau milieu technique donne lieu à des réactions souvent très polarisées : les uns ne jurant que par les progrès technologiques alors que les autres rejettent ces mêmes nouvelles technologies jugées déshumanisantes.

Mais n’y a-t-il pas un problème à penser les choses de façon aussi radicale ? Avec d’un côté les transhumanistes, qui attribuent des propriétés humaines aux machines (en parlant de machines pensantes, de machines intelligentes ou de machines conscientes), et d’un autre côté, une tradition philosophique qui oppose culture et technique, ou pensée et technique.

Mais finalement, est-ce qu’on ne s’empêche pas, avec des positions aussi polarisées, de penser cette relation entre les humains et leur milieux techniques ? Comment penser cette relation hors des oppositions métaphysiques ?

Si Anne Alombert convoque aujourd’hui les pensées de deux philosophes français du « moment philosophique » des années 60, Derrida et Simondon, c’est précisément pour sortir de cette alternative.

Pourquoi est-il nécessaire de transformer la relation entre philosophie et sciences ? Comment se transforme-t-elle dans les œuvres de Jacques Derrida et Gilbert Simondon ? C’est l’une des questions au cœur de ce livre.

Ce livre s’inscrit donc dans ce que le philosophe Frédéric Worms décrit comme une « histoire relationnelle de la philosophie ». C’est-à-dire un livre qui s’intéresse finalement moins à des auteurs, des écoles, ou des courants déterminés. Et qui ne cherche pas non plus à établir des comparaisons, ou identifier des ressemblances et des différences entre Simondon et Derrida. Un livre enfin qui offre au lecteur d’aujourd’hui des ressources importantes pour appréhender notre actualité et qui ouvre de nouvelles perspectives d’avenir.

Le sens des mots invite aujourd’hui Anne Alombert à nous parler de son livre, Penser l’humain et la technique. Derrida et Simondon après la métaphysique.

Elle a choisi de nous en parler en trois mots : métaphysique, humain et technique.

Anne Alombert est maîtresse de conférences en philosophie contemporaine à l’université Paris 8. Ses recherches portent sur la question des rapports entre vie, technique et esprit dans l’histoire de la philosophie, ainsi que sur les enjeux anthropologiques des transformations technologiques contemporaines, notamment à partir des travaux de Jacques Derrida, Gilbert Simondon et Bernard Stiegler. Elle est co-autrice de l’ouvrage Bifurquer (2020), autrice du livre Schizophrénie numérique (2023) et membre du Conseil national du numérique.


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