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Mon Podcast Immo, le podcast immobilier by MySweetImmo🩋

Adrien Peligry (Hestia) : "Le leasing immobilier, le courtier en crédit de la deuxiÚme chance" #887

Adrien Peligry (Hestia) : "Le leasing immobilier, le courtier en crédit de la deuxiÚme chance" #887

09min |22/06/2024
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Adrien Peligry (Hestia) : "Le leasing immobilier, le courtier en crédit de la deuxiÚme chance" #887

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09min |22/06/2024
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Description

Adrien Peligry est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, il révÚle comment Hestia révolutionne le financement immobilier pour ceux qui se voient refuser un crédit. Vous vous demandez pourquoi votre banquier ou courtier a dit non ? Adrien Peligry, cofondateur d'Hestia, explique comment leur solution de leasing immobilier peut vous permettre de devenir propriétaire.

Hestia, créée il y a environ 18 mois, propose une alternative innovante pour les acquéreurs solvables mais non finançables. Pellegri précise : "Nous pouvons acheter le logement à la place de notre client, qui devient alors locataire accédant." Ce modÚle permet au client de différer sa demande de crédit tout en occupant le bien, avec la possibilité de le racheter à un prix fixé à l'avance.

Imaginons un appartement achetĂ© Ă  400 000 €. "Nous appliquerons une plus-value de 10 %, ce qui fixe le prix de rachat Ă  440 000 €," explique Pellegri. Cependant, grĂące Ă  une nĂ©gociation astucieuse, Hestia peut acheter le bien Ă  un prix rĂ©duit, rendant le coĂ»t final plus attractif pour l'acquĂ©reur.

Vous avez un bon dossier, mais votre situation financiĂšre actuelle ne vous permet pas d'obtenir un prĂȘt ? Hestia s'adresse notamment aux primo-accĂ©dants sans apport, aux indĂ©pendants non-CDI, et mĂȘme aux expatriĂ©s. Avec une vingtaine d'opĂ©rations financĂ©es et une projection de cinquante pour 2024, Hestia est en pleine expansion.

Avec 15 000 acquéreurs en attente, la demande est forte. "Nous voulons accompagner un maximum de projets," déclare Pellegri, tout en reconnaissant la nécessité de lever des fonds pour soutenir cette croissance. "Nous travaillons avec des partenaires financiers pour déployer le capital nécessaire."

Adrien Pellegri conclut : "Nous sommes un peu le courtier de la seconde chance, nous permettant de redonner espoir à ceux qui ont été refusés par les banques."

Pour dĂ©couvrir comment Hestia peut vous aider Ă  rĂ©aliser votre rĂȘve de devenir propriĂ©taire, Ă©coutez cet Ă©pisode de Mon Podcast Immo, prĂ©sentĂ© par Ariane Artinian. Mon Podcast Immo est le podcast de MySweetImmo, Ă  Ă©couter sur toutes les plateformes.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Mon podcast immo.

  • Speaker #1

    Bonjour et bienvenue dans ce nouvel Ă©pisode de mon podcast IMO, votre rendez-vous avec l'immobilier. Je suis Ariane Artignan et tous les jours avec mes invitĂ©s, on dĂ©crypte les tendances, on fait le tour de l'actu, on vous prĂ©sente des solutions, on vous donne des conseils pour mener Ă  bien vos projets. Alors tiens justement, vous avez un projet, votre banquier, votre courtier vous a dit non, et bien j'ai une bonne nouvelle, vous ĂȘtes... peut ĂȘtre Ă©ligible au leasing immobilier et on en parle tout de suite avec Adrien PellĂ©gris. Bonjour.

  • Speaker #0

    Bonjour.

  • Speaker #1

    Vous ĂȘtes cofondateur d'Estia, une prop tech qui fait du leasing immobilier.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Alors, avant de revenir au cas de ces nombreux candidats à l'acquisition. Et conduit du crédit. Vous nous rappelez l'histoire de votre entreprise lancée il y a 18 mois environ ?

  • Speaker #0

    Exactement. Donc Estia, c'est une solution de financement pour aider les acquéreurs à devenir propriétaires de leur logement, avec du coup de nouvelles solutions qui s'apparentent à du leasing immobilier.

  • Speaker #1

    Alors, je suis allĂ©e voir mon banquier, j'ai appelĂ© mon courtier et puis on m'a dit non, c'est pas possible, vous n'ĂȘtes pas finançable. Qu'est-ce que je fais ? Qu'est-ce que vous me proposez ?

  • Speaker #0

    Alors nous, on peut potentiellement vous accompagner, parce qu'effectivement, nous, on va s'adresser Ă  tous les acquĂ©reurs qui sont solvables, mais non finançables. Donc typiquement, si votre banquier vous dit, vous avez un bon dossier, mais aujourd'hui, je ne peux pas vous financer, mais revenez me voir dans 12 mois, parce qu'Ă©ventuellement, votre situation aura changĂ©. Peut-ĂȘtre que d'ici 12 mois, vous aurez un petit peu plus d'apports, vous aurez vendu votre logement, vous aurez soldĂ© un crĂ©dit, etc. etc. etc. Nous, si on estime qu'effectivement Ă  l'instant T vous n'ĂȘtes pas finançable mais que vous le serez demain, nous on peut vous accompagner dĂšs aujourd'hui dans votre projet d'achat immobilier.

  • Speaker #1

    Alors vous, pour qu'on comprenne bien, vous ĂȘtes une prop tech, vous n'ĂȘtes pas une banque.

  • Speaker #0

    Exactement, on n'est pas une banque, absolument pas. Nous, on permet à un acquéreur de différer sa demande de crédit. C'est-à-dire que nous, aujourd'hui, on peut acheter le logement à la place de notre client. Donc Estia devient propriétaire du bien. Notre client, lui, a un statut de locataire accédant, donc statut hybride entre locataire et propriétaire. Notre client emménage dans le bien. Il est considéré comme propriétaire, donc il a un droit de vote aux agis de copropriété. Il a également la liberté d'effectuer des travaux s'il le souhaite. Et nous, dÚs le départ, on va convenir d'une option d'achat. On va fixer le prix de revente dÚs le départ. Et ensuite, comme un courtier finalement, on va ensuite accompagner notre client pour qu'il puisse obtenir un crédit et nous racheter le logement à un prix qu'on a fixé à l'avance.

  • Speaker #1

    Alors un cas pratique, j'achĂšte un appartement Ă  400 000 euros.

  • Speaker #0

    Sur un cas pratique, si on achĂšte nous un logement Ă  400 000 euros, nous, en moyenne, c'est la moyenne haute, mais pour faire simple, on va dire qu'on applique une plus-value de 10 alors on va vous fixer un prix de rachat Ă  440 000 euros.

  • Speaker #1

    Ça veut dire que moi, dans un an, avec le crĂ©dit que j'arrive Ă  obtenir, je rachĂšte l'appartement que j'ai habitĂ©. 440. Mais le marchĂ© est plutĂŽt orientĂ© Ă  la baisse aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Alors, il y a effectivement deux points sur ça. Un, c'est que nous... Si on achĂšte un bien Ă  400 000 euros, le prix de rachat serait effectivement maximum de 440 000 euros. NĂ©anmoins, si vous, en tant que client, vous nous proposez un logement Ă  400 000, vu que nous, on achĂšte sans condition suspensive de financement, c'est nous qui allons effectuer la nĂ©gociation. Et donc, en fait, si vous nous proposez un logement Ă  400 Vous ĂȘtes plus fort que moi pour nĂ©gocier. Exactement, parce que nous, en fait, on va acheter cash le logement. Et donc, ça rassure le vendeur, surtout dans le contexte qu'on connaĂźt forcĂ©ment. Et donc, ça serait un argument pour qu'on ne puisse acheter qu'une dĂ©cote. Donc, typiquement... Vous nous proposez un logement Ă  400 000 euros, nous disons qu'on va l'acheter avec une dĂ©cote de quelques pourcents, donc disons qu'on va l'acheter 380 000 par exemple, et donc on va appliquer les 10% de plus-value, non pas sur 400 000 mais sur 380, ce qui fait que le rachat globalement va ĂȘtre de 410 pour faire simple, je n'ai pas fait le calcul exact de tĂȘte mais vous avez l'idĂ©e.

  • Speaker #1

    D'accord, donc dans un an je rachĂšte l'appartement parce que je peux le financer grosso modo 10% plus cher, et en attendant...

  • Speaker #0

    Et en attendant, c'est que d'une part, juste pour vraiment ĂȘtre exact, c'est que la plus-value perçue entre guillemets par le client, elle est infĂ©rieure Ă  10% puisqu'en fait ce delta de 10%, il est en fait Ă  la fois supportĂ© par l'acheteur certes, mais surtout par le vendeur, parce que sinon on arrive Ă  acheter qu'une dĂ©cote de 10%. Bon en fait finalement le prix de rachat est Ă  400 000 euros pour prendre l'exemple. Donc si on arrive Ă  trĂšs bien nĂ©gocier, finalement notre coĂ»t est quasiment invisible pour l'acquĂ©reur.

  • Speaker #1

    Donc je voulais acheter un appart à 400, vous vous l'achetez à 380 et moi je le rachÚte dans un an à 380 plus 38 000 et on est loin des 440, c'est ça ?

  • Speaker #0

    Exactement et si jamais nous on arrive Ă  acheter non pas 380 mais 360 par exemple, le prix de rachat est mĂȘme infĂ©rieur Ă  400 000 euros. C'est lĂ  oĂč c'est encore plus attractif pour vous. Et pendant la pĂ©riode d'occupation du bien, vous nous versez l'Ă©quivalent d'un loyer, mais contrairement Ă  un loyer classique qui est versĂ© Ă  fond perdu, nous, en fait, le loyer, il est 100% rĂ©cupĂ©rable. C'est-Ă -dire que si le loyer est de 1 000 euros pendant 12 mois, vous allez en fait constituer une Ă©pargne de 12 000 euros, oĂč c'est en fait 100% des loyers qui seront restituĂ©s pour votre projet d'achat. Bon,

  • Speaker #1

    j'espÚre qu'on n'a pas perdu d'auditeurs. en cours de route avec nos calculs, mais au moins on comprend bien comment ça fonctionne. En 18 mois, vous avez financé combien d'opérations ?

  • Speaker #0

    Là, on a financé une vingtaine d'opérations, environ une dizaine en 2023, puis une dizaine depuis le début d'année. Et on a des projections pour financer une cinquantaine d'opérations en total sur 2024.

  • Speaker #1

    Le profil type de vos clients, ils vont gagner beaucoup d'argent bientĂŽt, mais ils n'y sont pas encore.

  • Speaker #0

    En fait, c'est assez difficile, c'est une question hyper intĂ©ressante et c'est ce qui rend nous, en tout cas, notre quotidien et notre mĂ©tier vraiment passionnant. C'est qu'en fait, on s'aperçoit qu'on peut s'adresser Ă  une multitude, Ă  une diversitĂ© de profils. Typiquement, c'est Ă  la fois des primo-accĂ©dants, certains qui n'ont pas forcĂ©ment l'apport Ă  l'instant T, sachant qu'en Ile-de-France, il y a une Ă©tude rĂ©cente qui parlait d'un apport moyen Ă  100 000 euros. On voit Ă  quel point, finalement, si on n'a pas d'apport familial, c'est extrĂȘmement difficile d'accĂ©der Ă  la propriĂ©tĂ©. Mais on ne s'adresse pas uniquement Ă  des primo-accĂ©dants. Il y en a certains qui sont bloquĂ©s Ă  cause de leur statut professionnel. Encore en 2024, quand on n'est pas en CDI, on est encore peu compris, peu adressĂ©, en tout cas par les banques, tous ceux qui sont chefs d'entreprise, indĂ©pendants, etc. On adresse Ă©galement tous ceux qui sont potentiellement expatriĂ©s, ceux qui ont un crĂ©dit en cours qui n'est pas soldĂ© mais qui le sera bientĂŽt. Également ceux qui ne parviennent pas Ă  avoir de prĂȘt-relais, des gens qui sont dĂ©jĂ  propriĂ©taires, qui ont besoin de vendre pour acheter. alors qu'ils veulent acheter avant de vendre. Aujourd'hui, les banques ne font pratiquement plus de prĂȘts relais.

  • Speaker #1

    Donc c'est aussi une alternative.

  • Speaker #0

    Exactement. Donc typiquement, c'est tous ceux qui ont des bonnes situations et qui, paradoxalement, ne peuvent pas obtenir de financement auprĂšs de leur banque. Et lĂ , nous, on arrive vraiment Ă  intervenir Ă  ce moment-lĂ .

  • Speaker #1

    Bon, alors vous parliez d'une vingtaine d'opérations. J'imagine que vous avez eu beaucoup plus de candidats que ça.

  • Speaker #0

    Oui, effectivement, on a eu beaucoup de demandes. Là, on a franchi la barre des 15 000 acquéreurs qui sont en liste d'attente pour bénéficier de nos services. Donc forcément, on n'a qu'une envie, c'est de pouvoir accompagner un maximum de projets.

  • Speaker #1

    Mais vous-mĂȘme aujourd'hui, vous n'ĂȘtes pas en capacitĂ© d'acheter 15 000 appartements.

  • Speaker #0

    On n'est pas encore en mesure d'acheter 15 000 appartements. On peut en acheter bien plus qu'une cinquantaine, en revanche. Mais forcĂ©ment, nous, on a Ă©galement des critĂšres pour ĂȘtre Ă©ligibles Ă  notre solution. Nous, l'idĂ©e, c'est vraiment de pouvoir s'adresser Ă  ceux qui sont solvables, mais non finançables. Mais on veut quand mĂȘme s'assurer du coup que nos clients seront finançables demain.

  • Speaker #1

    DerniÚre question, pour financer tous ces projets, vous avez besoin de fonds ? Vous avez levé des fonds ?

  • Speaker #0

    Vous allez en lever ? des family offices ou bien des fonds immobiliers, pour que nous, on puisse en fait agir comme un opérateur et déployer le capital de nos partenaires financiers pour justement multiplier les opérations immobiliÚres.

  • Speaker #1

    Bon, alors si j'ai bien compris, dites-moi si je me trompe, est-ce qu'on peut dire que vous ĂȘtes un courtier de la seconde chance ?

  • Speaker #0

    C'est un petit peu ça, effectivement. Nous, on travaille avec beaucoup de courtiers partenaires oĂč nos activitĂ©s sont parfaitement complĂ©mentaires. Et ces courtiers nous perçoivent effectivement. comme une banque, mais qui prĂȘte finalement. Et donc, lorsqu'un courtier a le regret de refuser un dossier, nous potentiellement, on peut rappeler ce mĂȘme acquĂ©reur pour lui dire qu'on est effectivement le courtier de la seconde chance et que malgrĂ© ces diffĂ©rents rĂ©cents refus, on peut nous potentiellement l'accompagner tout de suite.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup Adrien Pelligri. Je rappelle que vous ĂȘtes cofondateur d'Estia.

  • Speaker #0

    Merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Et je vous dis Ă  trĂšs vite pour un nouvel Ă©pisode de mon podcast IMO Ă  Ă©couter tous les jours sur MySuite IMO et sur toutes les plateformes. J'en profite pour vous remercier. Vous ĂȘtes de plus en plus nombreux Ă  nous Ă©couter, Ă  vous abonner. Alors surtout, vous continuez sur votre lancĂ©e. Et puis, laissez-nous des Ă©toiles. On adore ça chez MySuite IMO. Mon podcast IMO.

  • Speaker #0

    Sous-titrage ST'501

Description

Adrien Peligry est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, il révÚle comment Hestia révolutionne le financement immobilier pour ceux qui se voient refuser un crédit. Vous vous demandez pourquoi votre banquier ou courtier a dit non ? Adrien Peligry, cofondateur d'Hestia, explique comment leur solution de leasing immobilier peut vous permettre de devenir propriétaire.

Hestia, créée il y a environ 18 mois, propose une alternative innovante pour les acquéreurs solvables mais non finançables. Pellegri précise : "Nous pouvons acheter le logement à la place de notre client, qui devient alors locataire accédant." Ce modÚle permet au client de différer sa demande de crédit tout en occupant le bien, avec la possibilité de le racheter à un prix fixé à l'avance.

Imaginons un appartement achetĂ© Ă  400 000 €. "Nous appliquerons une plus-value de 10 %, ce qui fixe le prix de rachat Ă  440 000 €," explique Pellegri. Cependant, grĂące Ă  une nĂ©gociation astucieuse, Hestia peut acheter le bien Ă  un prix rĂ©duit, rendant le coĂ»t final plus attractif pour l'acquĂ©reur.

Vous avez un bon dossier, mais votre situation financiĂšre actuelle ne vous permet pas d'obtenir un prĂȘt ? Hestia s'adresse notamment aux primo-accĂ©dants sans apport, aux indĂ©pendants non-CDI, et mĂȘme aux expatriĂ©s. Avec une vingtaine d'opĂ©rations financĂ©es et une projection de cinquante pour 2024, Hestia est en pleine expansion.

Avec 15 000 acquéreurs en attente, la demande est forte. "Nous voulons accompagner un maximum de projets," déclare Pellegri, tout en reconnaissant la nécessité de lever des fonds pour soutenir cette croissance. "Nous travaillons avec des partenaires financiers pour déployer le capital nécessaire."

Adrien Pellegri conclut : "Nous sommes un peu le courtier de la seconde chance, nous permettant de redonner espoir à ceux qui ont été refusés par les banques."

Pour dĂ©couvrir comment Hestia peut vous aider Ă  rĂ©aliser votre rĂȘve de devenir propriĂ©taire, Ă©coutez cet Ă©pisode de Mon Podcast Immo, prĂ©sentĂ© par Ariane Artinian. Mon Podcast Immo est le podcast de MySweetImmo, Ă  Ă©couter sur toutes les plateformes.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Mon podcast immo.

  • Speaker #1

    Bonjour et bienvenue dans ce nouvel Ă©pisode de mon podcast IMO, votre rendez-vous avec l'immobilier. Je suis Ariane Artignan et tous les jours avec mes invitĂ©s, on dĂ©crypte les tendances, on fait le tour de l'actu, on vous prĂ©sente des solutions, on vous donne des conseils pour mener Ă  bien vos projets. Alors tiens justement, vous avez un projet, votre banquier, votre courtier vous a dit non, et bien j'ai une bonne nouvelle, vous ĂȘtes... peut ĂȘtre Ă©ligible au leasing immobilier et on en parle tout de suite avec Adrien PellĂ©gris. Bonjour.

  • Speaker #0

    Bonjour.

  • Speaker #1

    Vous ĂȘtes cofondateur d'Estia, une prop tech qui fait du leasing immobilier.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Alors, avant de revenir au cas de ces nombreux candidats à l'acquisition. Et conduit du crédit. Vous nous rappelez l'histoire de votre entreprise lancée il y a 18 mois environ ?

  • Speaker #0

    Exactement. Donc Estia, c'est une solution de financement pour aider les acquéreurs à devenir propriétaires de leur logement, avec du coup de nouvelles solutions qui s'apparentent à du leasing immobilier.

  • Speaker #1

    Alors, je suis allĂ©e voir mon banquier, j'ai appelĂ© mon courtier et puis on m'a dit non, c'est pas possible, vous n'ĂȘtes pas finançable. Qu'est-ce que je fais ? Qu'est-ce que vous me proposez ?

  • Speaker #0

    Alors nous, on peut potentiellement vous accompagner, parce qu'effectivement, nous, on va s'adresser Ă  tous les acquĂ©reurs qui sont solvables, mais non finançables. Donc typiquement, si votre banquier vous dit, vous avez un bon dossier, mais aujourd'hui, je ne peux pas vous financer, mais revenez me voir dans 12 mois, parce qu'Ă©ventuellement, votre situation aura changĂ©. Peut-ĂȘtre que d'ici 12 mois, vous aurez un petit peu plus d'apports, vous aurez vendu votre logement, vous aurez soldĂ© un crĂ©dit, etc. etc. etc. Nous, si on estime qu'effectivement Ă  l'instant T vous n'ĂȘtes pas finançable mais que vous le serez demain, nous on peut vous accompagner dĂšs aujourd'hui dans votre projet d'achat immobilier.

  • Speaker #1

    Alors vous, pour qu'on comprenne bien, vous ĂȘtes une prop tech, vous n'ĂȘtes pas une banque.

  • Speaker #0

    Exactement, on n'est pas une banque, absolument pas. Nous, on permet à un acquéreur de différer sa demande de crédit. C'est-à-dire que nous, aujourd'hui, on peut acheter le logement à la place de notre client. Donc Estia devient propriétaire du bien. Notre client, lui, a un statut de locataire accédant, donc statut hybride entre locataire et propriétaire. Notre client emménage dans le bien. Il est considéré comme propriétaire, donc il a un droit de vote aux agis de copropriété. Il a également la liberté d'effectuer des travaux s'il le souhaite. Et nous, dÚs le départ, on va convenir d'une option d'achat. On va fixer le prix de revente dÚs le départ. Et ensuite, comme un courtier finalement, on va ensuite accompagner notre client pour qu'il puisse obtenir un crédit et nous racheter le logement à un prix qu'on a fixé à l'avance.

  • Speaker #1

    Alors un cas pratique, j'achĂšte un appartement Ă  400 000 euros.

  • Speaker #0

    Sur un cas pratique, si on achĂšte nous un logement Ă  400 000 euros, nous, en moyenne, c'est la moyenne haute, mais pour faire simple, on va dire qu'on applique une plus-value de 10 alors on va vous fixer un prix de rachat Ă  440 000 euros.

  • Speaker #1

    Ça veut dire que moi, dans un an, avec le crĂ©dit que j'arrive Ă  obtenir, je rachĂšte l'appartement que j'ai habitĂ©. 440. Mais le marchĂ© est plutĂŽt orientĂ© Ă  la baisse aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Alors, il y a effectivement deux points sur ça. Un, c'est que nous... Si on achĂšte un bien Ă  400 000 euros, le prix de rachat serait effectivement maximum de 440 000 euros. NĂ©anmoins, si vous, en tant que client, vous nous proposez un logement Ă  400 000, vu que nous, on achĂšte sans condition suspensive de financement, c'est nous qui allons effectuer la nĂ©gociation. Et donc, en fait, si vous nous proposez un logement Ă  400 Vous ĂȘtes plus fort que moi pour nĂ©gocier. Exactement, parce que nous, en fait, on va acheter cash le logement. Et donc, ça rassure le vendeur, surtout dans le contexte qu'on connaĂźt forcĂ©ment. Et donc, ça serait un argument pour qu'on ne puisse acheter qu'une dĂ©cote. Donc, typiquement... Vous nous proposez un logement Ă  400 000 euros, nous disons qu'on va l'acheter avec une dĂ©cote de quelques pourcents, donc disons qu'on va l'acheter 380 000 par exemple, et donc on va appliquer les 10% de plus-value, non pas sur 400 000 mais sur 380, ce qui fait que le rachat globalement va ĂȘtre de 410 pour faire simple, je n'ai pas fait le calcul exact de tĂȘte mais vous avez l'idĂ©e.

  • Speaker #1

    D'accord, donc dans un an je rachĂšte l'appartement parce que je peux le financer grosso modo 10% plus cher, et en attendant...

  • Speaker #0

    Et en attendant, c'est que d'une part, juste pour vraiment ĂȘtre exact, c'est que la plus-value perçue entre guillemets par le client, elle est infĂ©rieure Ă  10% puisqu'en fait ce delta de 10%, il est en fait Ă  la fois supportĂ© par l'acheteur certes, mais surtout par le vendeur, parce que sinon on arrive Ă  acheter qu'une dĂ©cote de 10%. Bon en fait finalement le prix de rachat est Ă  400 000 euros pour prendre l'exemple. Donc si on arrive Ă  trĂšs bien nĂ©gocier, finalement notre coĂ»t est quasiment invisible pour l'acquĂ©reur.

  • Speaker #1

    Donc je voulais acheter un appart à 400, vous vous l'achetez à 380 et moi je le rachÚte dans un an à 380 plus 38 000 et on est loin des 440, c'est ça ?

  • Speaker #0

    Exactement et si jamais nous on arrive Ă  acheter non pas 380 mais 360 par exemple, le prix de rachat est mĂȘme infĂ©rieur Ă  400 000 euros. C'est lĂ  oĂč c'est encore plus attractif pour vous. Et pendant la pĂ©riode d'occupation du bien, vous nous versez l'Ă©quivalent d'un loyer, mais contrairement Ă  un loyer classique qui est versĂ© Ă  fond perdu, nous, en fait, le loyer, il est 100% rĂ©cupĂ©rable. C'est-Ă -dire que si le loyer est de 1 000 euros pendant 12 mois, vous allez en fait constituer une Ă©pargne de 12 000 euros, oĂč c'est en fait 100% des loyers qui seront restituĂ©s pour votre projet d'achat. Bon,

  • Speaker #1

    j'espÚre qu'on n'a pas perdu d'auditeurs. en cours de route avec nos calculs, mais au moins on comprend bien comment ça fonctionne. En 18 mois, vous avez financé combien d'opérations ?

  • Speaker #0

    Là, on a financé une vingtaine d'opérations, environ une dizaine en 2023, puis une dizaine depuis le début d'année. Et on a des projections pour financer une cinquantaine d'opérations en total sur 2024.

  • Speaker #1

    Le profil type de vos clients, ils vont gagner beaucoup d'argent bientĂŽt, mais ils n'y sont pas encore.

  • Speaker #0

    En fait, c'est assez difficile, c'est une question hyper intĂ©ressante et c'est ce qui rend nous, en tout cas, notre quotidien et notre mĂ©tier vraiment passionnant. C'est qu'en fait, on s'aperçoit qu'on peut s'adresser Ă  une multitude, Ă  une diversitĂ© de profils. Typiquement, c'est Ă  la fois des primo-accĂ©dants, certains qui n'ont pas forcĂ©ment l'apport Ă  l'instant T, sachant qu'en Ile-de-France, il y a une Ă©tude rĂ©cente qui parlait d'un apport moyen Ă  100 000 euros. On voit Ă  quel point, finalement, si on n'a pas d'apport familial, c'est extrĂȘmement difficile d'accĂ©der Ă  la propriĂ©tĂ©. Mais on ne s'adresse pas uniquement Ă  des primo-accĂ©dants. Il y en a certains qui sont bloquĂ©s Ă  cause de leur statut professionnel. Encore en 2024, quand on n'est pas en CDI, on est encore peu compris, peu adressĂ©, en tout cas par les banques, tous ceux qui sont chefs d'entreprise, indĂ©pendants, etc. On adresse Ă©galement tous ceux qui sont potentiellement expatriĂ©s, ceux qui ont un crĂ©dit en cours qui n'est pas soldĂ© mais qui le sera bientĂŽt. Également ceux qui ne parviennent pas Ă  avoir de prĂȘt-relais, des gens qui sont dĂ©jĂ  propriĂ©taires, qui ont besoin de vendre pour acheter. alors qu'ils veulent acheter avant de vendre. Aujourd'hui, les banques ne font pratiquement plus de prĂȘts relais.

  • Speaker #1

    Donc c'est aussi une alternative.

  • Speaker #0

    Exactement. Donc typiquement, c'est tous ceux qui ont des bonnes situations et qui, paradoxalement, ne peuvent pas obtenir de financement auprĂšs de leur banque. Et lĂ , nous, on arrive vraiment Ă  intervenir Ă  ce moment-lĂ .

  • Speaker #1

    Bon, alors vous parliez d'une vingtaine d'opérations. J'imagine que vous avez eu beaucoup plus de candidats que ça.

  • Speaker #0

    Oui, effectivement, on a eu beaucoup de demandes. Là, on a franchi la barre des 15 000 acquéreurs qui sont en liste d'attente pour bénéficier de nos services. Donc forcément, on n'a qu'une envie, c'est de pouvoir accompagner un maximum de projets.

  • Speaker #1

    Mais vous-mĂȘme aujourd'hui, vous n'ĂȘtes pas en capacitĂ© d'acheter 15 000 appartements.

  • Speaker #0

    On n'est pas encore en mesure d'acheter 15 000 appartements. On peut en acheter bien plus qu'une cinquantaine, en revanche. Mais forcĂ©ment, nous, on a Ă©galement des critĂšres pour ĂȘtre Ă©ligibles Ă  notre solution. Nous, l'idĂ©e, c'est vraiment de pouvoir s'adresser Ă  ceux qui sont solvables, mais non finançables. Mais on veut quand mĂȘme s'assurer du coup que nos clients seront finançables demain.

  • Speaker #1

    DerniÚre question, pour financer tous ces projets, vous avez besoin de fonds ? Vous avez levé des fonds ?

  • Speaker #0

    Vous allez en lever ? des family offices ou bien des fonds immobiliers, pour que nous, on puisse en fait agir comme un opérateur et déployer le capital de nos partenaires financiers pour justement multiplier les opérations immobiliÚres.

  • Speaker #1

    Bon, alors si j'ai bien compris, dites-moi si je me trompe, est-ce qu'on peut dire que vous ĂȘtes un courtier de la seconde chance ?

  • Speaker #0

    C'est un petit peu ça, effectivement. Nous, on travaille avec beaucoup de courtiers partenaires oĂč nos activitĂ©s sont parfaitement complĂ©mentaires. Et ces courtiers nous perçoivent effectivement. comme une banque, mais qui prĂȘte finalement. Et donc, lorsqu'un courtier a le regret de refuser un dossier, nous potentiellement, on peut rappeler ce mĂȘme acquĂ©reur pour lui dire qu'on est effectivement le courtier de la seconde chance et que malgrĂ© ces diffĂ©rents rĂ©cents refus, on peut nous potentiellement l'accompagner tout de suite.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup Adrien Pelligri. Je rappelle que vous ĂȘtes cofondateur d'Estia.

  • Speaker #0

    Merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Et je vous dis Ă  trĂšs vite pour un nouvel Ă©pisode de mon podcast IMO Ă  Ă©couter tous les jours sur MySuite IMO et sur toutes les plateformes. J'en profite pour vous remercier. Vous ĂȘtes de plus en plus nombreux Ă  nous Ă©couter, Ă  vous abonner. Alors surtout, vous continuez sur votre lancĂ©e. Et puis, laissez-nous des Ă©toiles. On adore ça chez MySuite IMO. Mon podcast IMO.

  • Speaker #0

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Description

Adrien Peligry est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, il révÚle comment Hestia révolutionne le financement immobilier pour ceux qui se voient refuser un crédit. Vous vous demandez pourquoi votre banquier ou courtier a dit non ? Adrien Peligry, cofondateur d'Hestia, explique comment leur solution de leasing immobilier peut vous permettre de devenir propriétaire.

Hestia, créée il y a environ 18 mois, propose une alternative innovante pour les acquéreurs solvables mais non finançables. Pellegri précise : "Nous pouvons acheter le logement à la place de notre client, qui devient alors locataire accédant." Ce modÚle permet au client de différer sa demande de crédit tout en occupant le bien, avec la possibilité de le racheter à un prix fixé à l'avance.

Imaginons un appartement achetĂ© Ă  400 000 €. "Nous appliquerons une plus-value de 10 %, ce qui fixe le prix de rachat Ă  440 000 €," explique Pellegri. Cependant, grĂące Ă  une nĂ©gociation astucieuse, Hestia peut acheter le bien Ă  un prix rĂ©duit, rendant le coĂ»t final plus attractif pour l'acquĂ©reur.

Vous avez un bon dossier, mais votre situation financiĂšre actuelle ne vous permet pas d'obtenir un prĂȘt ? Hestia s'adresse notamment aux primo-accĂ©dants sans apport, aux indĂ©pendants non-CDI, et mĂȘme aux expatriĂ©s. Avec une vingtaine d'opĂ©rations financĂ©es et une projection de cinquante pour 2024, Hestia est en pleine expansion.

Avec 15 000 acquéreurs en attente, la demande est forte. "Nous voulons accompagner un maximum de projets," déclare Pellegri, tout en reconnaissant la nécessité de lever des fonds pour soutenir cette croissance. "Nous travaillons avec des partenaires financiers pour déployer le capital nécessaire."

Adrien Pellegri conclut : "Nous sommes un peu le courtier de la seconde chance, nous permettant de redonner espoir à ceux qui ont été refusés par les banques."

Pour dĂ©couvrir comment Hestia peut vous aider Ă  rĂ©aliser votre rĂȘve de devenir propriĂ©taire, Ă©coutez cet Ă©pisode de Mon Podcast Immo, prĂ©sentĂ© par Ariane Artinian. Mon Podcast Immo est le podcast de MySweetImmo, Ă  Ă©couter sur toutes les plateformes.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Mon podcast immo.

  • Speaker #1

    Bonjour et bienvenue dans ce nouvel Ă©pisode de mon podcast IMO, votre rendez-vous avec l'immobilier. Je suis Ariane Artignan et tous les jours avec mes invitĂ©s, on dĂ©crypte les tendances, on fait le tour de l'actu, on vous prĂ©sente des solutions, on vous donne des conseils pour mener Ă  bien vos projets. Alors tiens justement, vous avez un projet, votre banquier, votre courtier vous a dit non, et bien j'ai une bonne nouvelle, vous ĂȘtes... peut ĂȘtre Ă©ligible au leasing immobilier et on en parle tout de suite avec Adrien PellĂ©gris. Bonjour.

  • Speaker #0

    Bonjour.

  • Speaker #1

    Vous ĂȘtes cofondateur d'Estia, une prop tech qui fait du leasing immobilier.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Alors, avant de revenir au cas de ces nombreux candidats à l'acquisition. Et conduit du crédit. Vous nous rappelez l'histoire de votre entreprise lancée il y a 18 mois environ ?

  • Speaker #0

    Exactement. Donc Estia, c'est une solution de financement pour aider les acquéreurs à devenir propriétaires de leur logement, avec du coup de nouvelles solutions qui s'apparentent à du leasing immobilier.

  • Speaker #1

    Alors, je suis allĂ©e voir mon banquier, j'ai appelĂ© mon courtier et puis on m'a dit non, c'est pas possible, vous n'ĂȘtes pas finançable. Qu'est-ce que je fais ? Qu'est-ce que vous me proposez ?

  • Speaker #0

    Alors nous, on peut potentiellement vous accompagner, parce qu'effectivement, nous, on va s'adresser Ă  tous les acquĂ©reurs qui sont solvables, mais non finançables. Donc typiquement, si votre banquier vous dit, vous avez un bon dossier, mais aujourd'hui, je ne peux pas vous financer, mais revenez me voir dans 12 mois, parce qu'Ă©ventuellement, votre situation aura changĂ©. Peut-ĂȘtre que d'ici 12 mois, vous aurez un petit peu plus d'apports, vous aurez vendu votre logement, vous aurez soldĂ© un crĂ©dit, etc. etc. etc. Nous, si on estime qu'effectivement Ă  l'instant T vous n'ĂȘtes pas finançable mais que vous le serez demain, nous on peut vous accompagner dĂšs aujourd'hui dans votre projet d'achat immobilier.

  • Speaker #1

    Alors vous, pour qu'on comprenne bien, vous ĂȘtes une prop tech, vous n'ĂȘtes pas une banque.

  • Speaker #0

    Exactement, on n'est pas une banque, absolument pas. Nous, on permet à un acquéreur de différer sa demande de crédit. C'est-à-dire que nous, aujourd'hui, on peut acheter le logement à la place de notre client. Donc Estia devient propriétaire du bien. Notre client, lui, a un statut de locataire accédant, donc statut hybride entre locataire et propriétaire. Notre client emménage dans le bien. Il est considéré comme propriétaire, donc il a un droit de vote aux agis de copropriété. Il a également la liberté d'effectuer des travaux s'il le souhaite. Et nous, dÚs le départ, on va convenir d'une option d'achat. On va fixer le prix de revente dÚs le départ. Et ensuite, comme un courtier finalement, on va ensuite accompagner notre client pour qu'il puisse obtenir un crédit et nous racheter le logement à un prix qu'on a fixé à l'avance.

  • Speaker #1

    Alors un cas pratique, j'achĂšte un appartement Ă  400 000 euros.

  • Speaker #0

    Sur un cas pratique, si on achĂšte nous un logement Ă  400 000 euros, nous, en moyenne, c'est la moyenne haute, mais pour faire simple, on va dire qu'on applique une plus-value de 10 alors on va vous fixer un prix de rachat Ă  440 000 euros.

  • Speaker #1

    Ça veut dire que moi, dans un an, avec le crĂ©dit que j'arrive Ă  obtenir, je rachĂšte l'appartement que j'ai habitĂ©. 440. Mais le marchĂ© est plutĂŽt orientĂ© Ă  la baisse aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Alors, il y a effectivement deux points sur ça. Un, c'est que nous... Si on achĂšte un bien Ă  400 000 euros, le prix de rachat serait effectivement maximum de 440 000 euros. NĂ©anmoins, si vous, en tant que client, vous nous proposez un logement Ă  400 000, vu que nous, on achĂšte sans condition suspensive de financement, c'est nous qui allons effectuer la nĂ©gociation. Et donc, en fait, si vous nous proposez un logement Ă  400 Vous ĂȘtes plus fort que moi pour nĂ©gocier. Exactement, parce que nous, en fait, on va acheter cash le logement. Et donc, ça rassure le vendeur, surtout dans le contexte qu'on connaĂźt forcĂ©ment. Et donc, ça serait un argument pour qu'on ne puisse acheter qu'une dĂ©cote. Donc, typiquement... Vous nous proposez un logement Ă  400 000 euros, nous disons qu'on va l'acheter avec une dĂ©cote de quelques pourcents, donc disons qu'on va l'acheter 380 000 par exemple, et donc on va appliquer les 10% de plus-value, non pas sur 400 000 mais sur 380, ce qui fait que le rachat globalement va ĂȘtre de 410 pour faire simple, je n'ai pas fait le calcul exact de tĂȘte mais vous avez l'idĂ©e.

  • Speaker #1

    D'accord, donc dans un an je rachĂšte l'appartement parce que je peux le financer grosso modo 10% plus cher, et en attendant...

  • Speaker #0

    Et en attendant, c'est que d'une part, juste pour vraiment ĂȘtre exact, c'est que la plus-value perçue entre guillemets par le client, elle est infĂ©rieure Ă  10% puisqu'en fait ce delta de 10%, il est en fait Ă  la fois supportĂ© par l'acheteur certes, mais surtout par le vendeur, parce que sinon on arrive Ă  acheter qu'une dĂ©cote de 10%. Bon en fait finalement le prix de rachat est Ă  400 000 euros pour prendre l'exemple. Donc si on arrive Ă  trĂšs bien nĂ©gocier, finalement notre coĂ»t est quasiment invisible pour l'acquĂ©reur.

  • Speaker #1

    Donc je voulais acheter un appart à 400, vous vous l'achetez à 380 et moi je le rachÚte dans un an à 380 plus 38 000 et on est loin des 440, c'est ça ?

  • Speaker #0

    Exactement et si jamais nous on arrive Ă  acheter non pas 380 mais 360 par exemple, le prix de rachat est mĂȘme infĂ©rieur Ă  400 000 euros. C'est lĂ  oĂč c'est encore plus attractif pour vous. Et pendant la pĂ©riode d'occupation du bien, vous nous versez l'Ă©quivalent d'un loyer, mais contrairement Ă  un loyer classique qui est versĂ© Ă  fond perdu, nous, en fait, le loyer, il est 100% rĂ©cupĂ©rable. C'est-Ă -dire que si le loyer est de 1 000 euros pendant 12 mois, vous allez en fait constituer une Ă©pargne de 12 000 euros, oĂč c'est en fait 100% des loyers qui seront restituĂ©s pour votre projet d'achat. Bon,

  • Speaker #1

    j'espÚre qu'on n'a pas perdu d'auditeurs. en cours de route avec nos calculs, mais au moins on comprend bien comment ça fonctionne. En 18 mois, vous avez financé combien d'opérations ?

  • Speaker #0

    Là, on a financé une vingtaine d'opérations, environ une dizaine en 2023, puis une dizaine depuis le début d'année. Et on a des projections pour financer une cinquantaine d'opérations en total sur 2024.

  • Speaker #1

    Le profil type de vos clients, ils vont gagner beaucoup d'argent bientĂŽt, mais ils n'y sont pas encore.

  • Speaker #0

    En fait, c'est assez difficile, c'est une question hyper intĂ©ressante et c'est ce qui rend nous, en tout cas, notre quotidien et notre mĂ©tier vraiment passionnant. C'est qu'en fait, on s'aperçoit qu'on peut s'adresser Ă  une multitude, Ă  une diversitĂ© de profils. Typiquement, c'est Ă  la fois des primo-accĂ©dants, certains qui n'ont pas forcĂ©ment l'apport Ă  l'instant T, sachant qu'en Ile-de-France, il y a une Ă©tude rĂ©cente qui parlait d'un apport moyen Ă  100 000 euros. On voit Ă  quel point, finalement, si on n'a pas d'apport familial, c'est extrĂȘmement difficile d'accĂ©der Ă  la propriĂ©tĂ©. Mais on ne s'adresse pas uniquement Ă  des primo-accĂ©dants. Il y en a certains qui sont bloquĂ©s Ă  cause de leur statut professionnel. Encore en 2024, quand on n'est pas en CDI, on est encore peu compris, peu adressĂ©, en tout cas par les banques, tous ceux qui sont chefs d'entreprise, indĂ©pendants, etc. On adresse Ă©galement tous ceux qui sont potentiellement expatriĂ©s, ceux qui ont un crĂ©dit en cours qui n'est pas soldĂ© mais qui le sera bientĂŽt. Également ceux qui ne parviennent pas Ă  avoir de prĂȘt-relais, des gens qui sont dĂ©jĂ  propriĂ©taires, qui ont besoin de vendre pour acheter. alors qu'ils veulent acheter avant de vendre. Aujourd'hui, les banques ne font pratiquement plus de prĂȘts relais.

  • Speaker #1

    Donc c'est aussi une alternative.

  • Speaker #0

    Exactement. Donc typiquement, c'est tous ceux qui ont des bonnes situations et qui, paradoxalement, ne peuvent pas obtenir de financement auprĂšs de leur banque. Et lĂ , nous, on arrive vraiment Ă  intervenir Ă  ce moment-lĂ .

  • Speaker #1

    Bon, alors vous parliez d'une vingtaine d'opérations. J'imagine que vous avez eu beaucoup plus de candidats que ça.

  • Speaker #0

    Oui, effectivement, on a eu beaucoup de demandes. Là, on a franchi la barre des 15 000 acquéreurs qui sont en liste d'attente pour bénéficier de nos services. Donc forcément, on n'a qu'une envie, c'est de pouvoir accompagner un maximum de projets.

  • Speaker #1

    Mais vous-mĂȘme aujourd'hui, vous n'ĂȘtes pas en capacitĂ© d'acheter 15 000 appartements.

  • Speaker #0

    On n'est pas encore en mesure d'acheter 15 000 appartements. On peut en acheter bien plus qu'une cinquantaine, en revanche. Mais forcĂ©ment, nous, on a Ă©galement des critĂšres pour ĂȘtre Ă©ligibles Ă  notre solution. Nous, l'idĂ©e, c'est vraiment de pouvoir s'adresser Ă  ceux qui sont solvables, mais non finançables. Mais on veut quand mĂȘme s'assurer du coup que nos clients seront finançables demain.

  • Speaker #1

    DerniÚre question, pour financer tous ces projets, vous avez besoin de fonds ? Vous avez levé des fonds ?

  • Speaker #0

    Vous allez en lever ? des family offices ou bien des fonds immobiliers, pour que nous, on puisse en fait agir comme un opérateur et déployer le capital de nos partenaires financiers pour justement multiplier les opérations immobiliÚres.

  • Speaker #1

    Bon, alors si j'ai bien compris, dites-moi si je me trompe, est-ce qu'on peut dire que vous ĂȘtes un courtier de la seconde chance ?

  • Speaker #0

    C'est un petit peu ça, effectivement. Nous, on travaille avec beaucoup de courtiers partenaires oĂč nos activitĂ©s sont parfaitement complĂ©mentaires. Et ces courtiers nous perçoivent effectivement. comme une banque, mais qui prĂȘte finalement. Et donc, lorsqu'un courtier a le regret de refuser un dossier, nous potentiellement, on peut rappeler ce mĂȘme acquĂ©reur pour lui dire qu'on est effectivement le courtier de la seconde chance et que malgrĂ© ces diffĂ©rents rĂ©cents refus, on peut nous potentiellement l'accompagner tout de suite.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup Adrien Pelligri. Je rappelle que vous ĂȘtes cofondateur d'Estia.

  • Speaker #0

    Merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Et je vous dis Ă  trĂšs vite pour un nouvel Ă©pisode de mon podcast IMO Ă  Ă©couter tous les jours sur MySuite IMO et sur toutes les plateformes. J'en profite pour vous remercier. Vous ĂȘtes de plus en plus nombreux Ă  nous Ă©couter, Ă  vous abonner. Alors surtout, vous continuez sur votre lancĂ©e. Et puis, laissez-nous des Ă©toiles. On adore ça chez MySuite IMO. Mon podcast IMO.

  • Speaker #0

    Sous-titrage ST'501

Description

Adrien Peligry est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, il révÚle comment Hestia révolutionne le financement immobilier pour ceux qui se voient refuser un crédit. Vous vous demandez pourquoi votre banquier ou courtier a dit non ? Adrien Peligry, cofondateur d'Hestia, explique comment leur solution de leasing immobilier peut vous permettre de devenir propriétaire.

Hestia, créée il y a environ 18 mois, propose une alternative innovante pour les acquéreurs solvables mais non finançables. Pellegri précise : "Nous pouvons acheter le logement à la place de notre client, qui devient alors locataire accédant." Ce modÚle permet au client de différer sa demande de crédit tout en occupant le bien, avec la possibilité de le racheter à un prix fixé à l'avance.

Imaginons un appartement achetĂ© Ă  400 000 €. "Nous appliquerons une plus-value de 10 %, ce qui fixe le prix de rachat Ă  440 000 €," explique Pellegri. Cependant, grĂące Ă  une nĂ©gociation astucieuse, Hestia peut acheter le bien Ă  un prix rĂ©duit, rendant le coĂ»t final plus attractif pour l'acquĂ©reur.

Vous avez un bon dossier, mais votre situation financiĂšre actuelle ne vous permet pas d'obtenir un prĂȘt ? Hestia s'adresse notamment aux primo-accĂ©dants sans apport, aux indĂ©pendants non-CDI, et mĂȘme aux expatriĂ©s. Avec une vingtaine d'opĂ©rations financĂ©es et une projection de cinquante pour 2024, Hestia est en pleine expansion.

Avec 15 000 acquéreurs en attente, la demande est forte. "Nous voulons accompagner un maximum de projets," déclare Pellegri, tout en reconnaissant la nécessité de lever des fonds pour soutenir cette croissance. "Nous travaillons avec des partenaires financiers pour déployer le capital nécessaire."

Adrien Pellegri conclut : "Nous sommes un peu le courtier de la seconde chance, nous permettant de redonner espoir à ceux qui ont été refusés par les banques."

Pour dĂ©couvrir comment Hestia peut vous aider Ă  rĂ©aliser votre rĂȘve de devenir propriĂ©taire, Ă©coutez cet Ă©pisode de Mon Podcast Immo, prĂ©sentĂ© par Ariane Artinian. Mon Podcast Immo est le podcast de MySweetImmo, Ă  Ă©couter sur toutes les plateformes.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Mon podcast immo.

  • Speaker #1

    Bonjour et bienvenue dans ce nouvel Ă©pisode de mon podcast IMO, votre rendez-vous avec l'immobilier. Je suis Ariane Artignan et tous les jours avec mes invitĂ©s, on dĂ©crypte les tendances, on fait le tour de l'actu, on vous prĂ©sente des solutions, on vous donne des conseils pour mener Ă  bien vos projets. Alors tiens justement, vous avez un projet, votre banquier, votre courtier vous a dit non, et bien j'ai une bonne nouvelle, vous ĂȘtes... peut ĂȘtre Ă©ligible au leasing immobilier et on en parle tout de suite avec Adrien PellĂ©gris. Bonjour.

  • Speaker #0

    Bonjour.

  • Speaker #1

    Vous ĂȘtes cofondateur d'Estia, une prop tech qui fait du leasing immobilier.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Alors, avant de revenir au cas de ces nombreux candidats à l'acquisition. Et conduit du crédit. Vous nous rappelez l'histoire de votre entreprise lancée il y a 18 mois environ ?

  • Speaker #0

    Exactement. Donc Estia, c'est une solution de financement pour aider les acquéreurs à devenir propriétaires de leur logement, avec du coup de nouvelles solutions qui s'apparentent à du leasing immobilier.

  • Speaker #1

    Alors, je suis allĂ©e voir mon banquier, j'ai appelĂ© mon courtier et puis on m'a dit non, c'est pas possible, vous n'ĂȘtes pas finançable. Qu'est-ce que je fais ? Qu'est-ce que vous me proposez ?

  • Speaker #0

    Alors nous, on peut potentiellement vous accompagner, parce qu'effectivement, nous, on va s'adresser Ă  tous les acquĂ©reurs qui sont solvables, mais non finançables. Donc typiquement, si votre banquier vous dit, vous avez un bon dossier, mais aujourd'hui, je ne peux pas vous financer, mais revenez me voir dans 12 mois, parce qu'Ă©ventuellement, votre situation aura changĂ©. Peut-ĂȘtre que d'ici 12 mois, vous aurez un petit peu plus d'apports, vous aurez vendu votre logement, vous aurez soldĂ© un crĂ©dit, etc. etc. etc. Nous, si on estime qu'effectivement Ă  l'instant T vous n'ĂȘtes pas finançable mais que vous le serez demain, nous on peut vous accompagner dĂšs aujourd'hui dans votre projet d'achat immobilier.

  • Speaker #1

    Alors vous, pour qu'on comprenne bien, vous ĂȘtes une prop tech, vous n'ĂȘtes pas une banque.

  • Speaker #0

    Exactement, on n'est pas une banque, absolument pas. Nous, on permet à un acquéreur de différer sa demande de crédit. C'est-à-dire que nous, aujourd'hui, on peut acheter le logement à la place de notre client. Donc Estia devient propriétaire du bien. Notre client, lui, a un statut de locataire accédant, donc statut hybride entre locataire et propriétaire. Notre client emménage dans le bien. Il est considéré comme propriétaire, donc il a un droit de vote aux agis de copropriété. Il a également la liberté d'effectuer des travaux s'il le souhaite. Et nous, dÚs le départ, on va convenir d'une option d'achat. On va fixer le prix de revente dÚs le départ. Et ensuite, comme un courtier finalement, on va ensuite accompagner notre client pour qu'il puisse obtenir un crédit et nous racheter le logement à un prix qu'on a fixé à l'avance.

  • Speaker #1

    Alors un cas pratique, j'achĂšte un appartement Ă  400 000 euros.

  • Speaker #0

    Sur un cas pratique, si on achĂšte nous un logement Ă  400 000 euros, nous, en moyenne, c'est la moyenne haute, mais pour faire simple, on va dire qu'on applique une plus-value de 10 alors on va vous fixer un prix de rachat Ă  440 000 euros.

  • Speaker #1

    Ça veut dire que moi, dans un an, avec le crĂ©dit que j'arrive Ă  obtenir, je rachĂšte l'appartement que j'ai habitĂ©. 440. Mais le marchĂ© est plutĂŽt orientĂ© Ă  la baisse aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Alors, il y a effectivement deux points sur ça. Un, c'est que nous... Si on achĂšte un bien Ă  400 000 euros, le prix de rachat serait effectivement maximum de 440 000 euros. NĂ©anmoins, si vous, en tant que client, vous nous proposez un logement Ă  400 000, vu que nous, on achĂšte sans condition suspensive de financement, c'est nous qui allons effectuer la nĂ©gociation. Et donc, en fait, si vous nous proposez un logement Ă  400 Vous ĂȘtes plus fort que moi pour nĂ©gocier. Exactement, parce que nous, en fait, on va acheter cash le logement. Et donc, ça rassure le vendeur, surtout dans le contexte qu'on connaĂźt forcĂ©ment. Et donc, ça serait un argument pour qu'on ne puisse acheter qu'une dĂ©cote. Donc, typiquement... Vous nous proposez un logement Ă  400 000 euros, nous disons qu'on va l'acheter avec une dĂ©cote de quelques pourcents, donc disons qu'on va l'acheter 380 000 par exemple, et donc on va appliquer les 10% de plus-value, non pas sur 400 000 mais sur 380, ce qui fait que le rachat globalement va ĂȘtre de 410 pour faire simple, je n'ai pas fait le calcul exact de tĂȘte mais vous avez l'idĂ©e.

  • Speaker #1

    D'accord, donc dans un an je rachĂšte l'appartement parce que je peux le financer grosso modo 10% plus cher, et en attendant...

  • Speaker #0

    Et en attendant, c'est que d'une part, juste pour vraiment ĂȘtre exact, c'est que la plus-value perçue entre guillemets par le client, elle est infĂ©rieure Ă  10% puisqu'en fait ce delta de 10%, il est en fait Ă  la fois supportĂ© par l'acheteur certes, mais surtout par le vendeur, parce que sinon on arrive Ă  acheter qu'une dĂ©cote de 10%. Bon en fait finalement le prix de rachat est Ă  400 000 euros pour prendre l'exemple. Donc si on arrive Ă  trĂšs bien nĂ©gocier, finalement notre coĂ»t est quasiment invisible pour l'acquĂ©reur.

  • Speaker #1

    Donc je voulais acheter un appart à 400, vous vous l'achetez à 380 et moi je le rachÚte dans un an à 380 plus 38 000 et on est loin des 440, c'est ça ?

  • Speaker #0

    Exactement et si jamais nous on arrive Ă  acheter non pas 380 mais 360 par exemple, le prix de rachat est mĂȘme infĂ©rieur Ă  400 000 euros. C'est lĂ  oĂč c'est encore plus attractif pour vous. Et pendant la pĂ©riode d'occupation du bien, vous nous versez l'Ă©quivalent d'un loyer, mais contrairement Ă  un loyer classique qui est versĂ© Ă  fond perdu, nous, en fait, le loyer, il est 100% rĂ©cupĂ©rable. C'est-Ă -dire que si le loyer est de 1 000 euros pendant 12 mois, vous allez en fait constituer une Ă©pargne de 12 000 euros, oĂč c'est en fait 100% des loyers qui seront restituĂ©s pour votre projet d'achat. Bon,

  • Speaker #1

    j'espÚre qu'on n'a pas perdu d'auditeurs. en cours de route avec nos calculs, mais au moins on comprend bien comment ça fonctionne. En 18 mois, vous avez financé combien d'opérations ?

  • Speaker #0

    Là, on a financé une vingtaine d'opérations, environ une dizaine en 2023, puis une dizaine depuis le début d'année. Et on a des projections pour financer une cinquantaine d'opérations en total sur 2024.

  • Speaker #1

    Le profil type de vos clients, ils vont gagner beaucoup d'argent bientĂŽt, mais ils n'y sont pas encore.

  • Speaker #0

    En fait, c'est assez difficile, c'est une question hyper intĂ©ressante et c'est ce qui rend nous, en tout cas, notre quotidien et notre mĂ©tier vraiment passionnant. C'est qu'en fait, on s'aperçoit qu'on peut s'adresser Ă  une multitude, Ă  une diversitĂ© de profils. Typiquement, c'est Ă  la fois des primo-accĂ©dants, certains qui n'ont pas forcĂ©ment l'apport Ă  l'instant T, sachant qu'en Ile-de-France, il y a une Ă©tude rĂ©cente qui parlait d'un apport moyen Ă  100 000 euros. On voit Ă  quel point, finalement, si on n'a pas d'apport familial, c'est extrĂȘmement difficile d'accĂ©der Ă  la propriĂ©tĂ©. Mais on ne s'adresse pas uniquement Ă  des primo-accĂ©dants. Il y en a certains qui sont bloquĂ©s Ă  cause de leur statut professionnel. Encore en 2024, quand on n'est pas en CDI, on est encore peu compris, peu adressĂ©, en tout cas par les banques, tous ceux qui sont chefs d'entreprise, indĂ©pendants, etc. On adresse Ă©galement tous ceux qui sont potentiellement expatriĂ©s, ceux qui ont un crĂ©dit en cours qui n'est pas soldĂ© mais qui le sera bientĂŽt. Également ceux qui ne parviennent pas Ă  avoir de prĂȘt-relais, des gens qui sont dĂ©jĂ  propriĂ©taires, qui ont besoin de vendre pour acheter. alors qu'ils veulent acheter avant de vendre. Aujourd'hui, les banques ne font pratiquement plus de prĂȘts relais.

  • Speaker #1

    Donc c'est aussi une alternative.

  • Speaker #0

    Exactement. Donc typiquement, c'est tous ceux qui ont des bonnes situations et qui, paradoxalement, ne peuvent pas obtenir de financement auprĂšs de leur banque. Et lĂ , nous, on arrive vraiment Ă  intervenir Ă  ce moment-lĂ .

  • Speaker #1

    Bon, alors vous parliez d'une vingtaine d'opérations. J'imagine que vous avez eu beaucoup plus de candidats que ça.

  • Speaker #0

    Oui, effectivement, on a eu beaucoup de demandes. Là, on a franchi la barre des 15 000 acquéreurs qui sont en liste d'attente pour bénéficier de nos services. Donc forcément, on n'a qu'une envie, c'est de pouvoir accompagner un maximum de projets.

  • Speaker #1

    Mais vous-mĂȘme aujourd'hui, vous n'ĂȘtes pas en capacitĂ© d'acheter 15 000 appartements.

  • Speaker #0

    On n'est pas encore en mesure d'acheter 15 000 appartements. On peut en acheter bien plus qu'une cinquantaine, en revanche. Mais forcĂ©ment, nous, on a Ă©galement des critĂšres pour ĂȘtre Ă©ligibles Ă  notre solution. Nous, l'idĂ©e, c'est vraiment de pouvoir s'adresser Ă  ceux qui sont solvables, mais non finançables. Mais on veut quand mĂȘme s'assurer du coup que nos clients seront finançables demain.

  • Speaker #1

    DerniÚre question, pour financer tous ces projets, vous avez besoin de fonds ? Vous avez levé des fonds ?

  • Speaker #0

    Vous allez en lever ? des family offices ou bien des fonds immobiliers, pour que nous, on puisse en fait agir comme un opérateur et déployer le capital de nos partenaires financiers pour justement multiplier les opérations immobiliÚres.

  • Speaker #1

    Bon, alors si j'ai bien compris, dites-moi si je me trompe, est-ce qu'on peut dire que vous ĂȘtes un courtier de la seconde chance ?

  • Speaker #0

    C'est un petit peu ça, effectivement. Nous, on travaille avec beaucoup de courtiers partenaires oĂč nos activitĂ©s sont parfaitement complĂ©mentaires. Et ces courtiers nous perçoivent effectivement. comme une banque, mais qui prĂȘte finalement. Et donc, lorsqu'un courtier a le regret de refuser un dossier, nous potentiellement, on peut rappeler ce mĂȘme acquĂ©reur pour lui dire qu'on est effectivement le courtier de la seconde chance et que malgrĂ© ces diffĂ©rents rĂ©cents refus, on peut nous potentiellement l'accompagner tout de suite.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup Adrien Pelligri. Je rappelle que vous ĂȘtes cofondateur d'Estia.

  • Speaker #0

    Merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Et je vous dis Ă  trĂšs vite pour un nouvel Ă©pisode de mon podcast IMO Ă  Ă©couter tous les jours sur MySuite IMO et sur toutes les plateformes. J'en profite pour vous remercier. Vous ĂȘtes de plus en plus nombreux Ă  nous Ă©couter, Ă  vous abonner. Alors surtout, vous continuez sur votre lancĂ©e. Et puis, laissez-nous des Ă©toiles. On adore ça chez MySuite IMO. Mon podcast IMO.

  • Speaker #0

    Sous-titrage ST'501

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