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Hugo Baillet (PraxiFinance) : "Il n'y a pas de reprise de l'immobilier malgrĂš ce que l'on entend ici et lĂ " #897 cover
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Mon Podcast Immo, le podcast immobilier by MySweetImmo🩋

Hugo Baillet (PraxiFinance) : "Il n'y a pas de reprise de l'immobilier malgrĂš ce que l'on entend ici et lĂ " #897

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07min |17/09/2024
Play
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07min |17/09/2024
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Description

Hugo Baillet est l'invitĂ© de ce nouvel Ă©pisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, le directeur marketing et communication de Praxi Finance dresse un constat clair : malgrĂ© les discours optimistes de certains acteurs, il n’y a pas de vĂ©ritable reprise du marchĂ© immobilier. Vous vous demandez pourquoi les transactions peinent Ă  dĂ©coller alors que les taux d'intĂ©rĂȘt semblent s'assouplir ? Pourquoi certains biens ne trouvent plus preneur, mĂȘme dans des rĂ©gions prisĂ©es comme la CĂŽte d'Azur ou les Hauts-de-Seine ? Hugo Baillet vous Ă©claire sur une rĂ©alitĂ© bien diffĂ©rente de celle relayĂ©e par les mĂ©dias.

« Le marché est complÚtement faussé, seuls les vendeurs qui n'ont pas le choix sont encore actifs », constate-t-il. En effet, avec des prix en chute libre et des acheteurs qui préfÚrent attendre de meilleures opportunités, la dynamique de l'immobilier semble bloquée. Les rares transactions concernent des propriétaires contraints de vendre rapidement, souvent pour des raisons personnelles comme un divorce ou une succession.

Dans ce contexte, la solution de vente avec complément de prix proposée par Praxi Finance permet aux vendeurs de toucher jusqu'à 60 % de la valeur de leur bien en avance, tout en leur laissant le temps de finaliser la transaction. « Cela permet de maintenir une relation de confiance entre les agents immobiliers et leurs clients », souligne Hugo Baillet, tout en rappelant que cette solution est particuliÚrement adaptée aux défis actuels du marché.

Que faire lorsque le marché est au ralenti ? Comment éviter de vendre à perte ? Cet épisode animé par Ariane Artinian apporte des éléments de réponse cruciaux pour les propriétaires et les professionnels de l'immobilier.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Mon Podcast IMMO. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast IMO. Je suis Ariane Artinian et tous les jours avec mes invités, on répond à vos questions IMMO. Et aujourd'hui, je suis avec Hugo Baillet. Bonjour.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Bonjour Ariane.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Vous ĂȘtes directeur marketing et communication du groupe Praxi Finance qui fait aujourd'hui ses 35 ans. Au mois de mai dernier, vous nous avez prĂ©sentĂ© la vente avec complĂ©ment de prix, une solution pour obtenir une avance sur la vente d'un bien. Quel retour vous avez eu aprĂšs ces quelques mois ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Quand on a lancĂ© cette communication, on voulait s'adresser aux propriĂ©taires qui avaient un besoin urgent de vendre. Et dans le contexte du marchĂ© de l'immobilier d'aujourd'hui, la solution de vente avec complĂ©ment de prix leur permettait d'avoir une avance qui pouvait aller jusqu'Ă  60% de la valeur de leur bien. C'est ça ? et de leur laisser un dĂ©lai confortable de 12, 18 ou 24 mois pour trouver l'acquĂ©reur dĂ©finitif. Et on a Ă©tĂ© extrĂȘmement surpris, voire mĂȘme dĂ©passĂ©, non pas par le nombre de propriĂ©taires qui nous ont appelĂ©s, mais par le nombre d'agents immobiliers qui nous ont appelĂ©s pour prĂ©senter cette solution Ă  leurs clients. Et en discutant avec les agents immobiliers, on s'est rendu compte de quelque chose, c'est que la tendance du discours d'aujourd'hui de certains responsables de rĂ©seaux, nationaux immobiliers qui est de dire que le marchĂ© repart, en fait, quand on s'arrĂȘte aux agents immobiliers sur le terrain, on se rend compte que la rĂ©alitĂ©, elle est diffĂ©rente. Je prends quelques exemples qui nous ont Ă©tĂ© remontĂ©s et remontĂ©s de maniĂšre assez large. Dans le 92, dans les Hauts-de-Seine, donc en rĂ©gion parisienne, au-dessus de 500 000 euros, aujourd'hui, plus aucun bien ne se vend. Sur la cĂŽte d'Azur, c'est trĂšs compliquĂ©. Le marchĂ©, notamment sur le prestige et le luxe, est complĂštement Ă  tonne. On a des secteurs sur toute la cĂŽte atlantique, entre Biarritz et La Rochelle, Ă  quelques rares exceptions prĂšs, oĂč les prix sont en train de dĂ©visser complĂštement. Pourquoi ? Parce que d'un cĂŽtĂ©, on a des vendeurs qui aujourd'hui se disent si je n'ai pas le choix de vendre, je mets en vente Ceux qui ont le temps de se dire on va attendre que la crise passe ils ne mettent pas leur bien en vente. Mais de l'autre cĂŽtĂ©, les acquĂ©reurs, c'est pareil. Les acquĂ©reurs, ils sont en train de voir les prix baisser. Quand vous ĂȘtes acquĂ©reur ? que vous n'avez pas d'urgence, vous voyez les prix baisser, moins 5, moins 6, moins 7, qu'est-ce que vous faites ? Et bien tout simplement vous attendez. Donc aujourd'hui le marchĂ© de l'immobilier, il est complĂštement faussĂ© parce que ne sont sur le marchĂ© que les gens qui n'ont pas le choix. Et donc on se retrouve Ă  passer d'annĂ©es oĂč on a vendu plus d'1,2 million de biens Ă  cette annĂ©e oĂč on va pĂ©niblement passer les 700-800 000.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    On parle de 770 000 les derniÚres prévisions.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    C'est ça, donc ça montre bien qu'il y a quelque chose. Et donc que les solutions de monĂ©tisation de patrimoine immobilier pour pouvoir se donner du temps de retrouver une dynamique sur le marchĂ©, elles sont complĂštement appropriĂ©es aujourd'hui. Et j'ai mĂȘme envie de vous dire, on a des agents immobiliers qui ont bien compris qu'en nous apportant leurs clients, un, ils pouvaient les conserver et maintenir une relation de confiance avec leurs clients. Deux, on partage nos honoraires avec eux. Donc ça leur permet aussi de vivre et de financer leur agence immobiliĂšre le temps de retrouver des ventes confortables. Et ensuite, ils conservent leur mandat de vente avec leurs clients pour trouver l'acquĂ©reur final. Donc, tout le monde est gagnant avec cette solution. Le propriĂ©taire, l'agent immobilier. Donc, c'est vraiment la solution qui est aujourd'hui la plus adaptĂ©e.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Donc, si je vous suis bien, pour vous, il n'y a pas de reprise du marché de l'immobilier, en tout cas dans les médias.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Il n'y a pas de reprise du marché de l'immobilier dans les médias. La petite baisse des taux directeurs de la Banque Centrale Européenne avant l'été n'a pas permis de réenclencher une machine. On a eu une annonce ces derniers jours d'une nouvelle baisse de taux, mais on parle de 0,25. Ce n'est pas ça qui va faire la différence. Et le temps que ça s'applique sur les taux du crédit immobilier, il va se passer plusieurs semaines. Ils ne vont pas descendre de 0,25 en claquant des doigts non plus, parce que les banques, elles ont aussi besoin de faire de la marge et de vivre. Donc non, on ne voit pas d'élément, d'indicateur macroéconomique qui nous permettrait de dire Allez, en claquant des doigts, le marché repart Pourtant,

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    il y a toujours des propriétaires. qui ont besoin de vendre ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Oui, il y a des propriĂ©taires qui ont besoin de vendre. Il y a des propriĂ©taires qui divorcent. Donc, il faut bien vendre le bien pour sĂ©parer le capital et que chacun puisse refaire sa vie. Évidemment, il y a des dĂ©cĂšs avec des droits de succession qu'il faut payer. Et pour payer des droits de succession, dans la grande majoritĂ© des cas, on sĂ©pare d'une partie du patrimoine immobilier. On a des gens qui changent de travail, donc qui ont aussi besoin de dĂ©mĂ©nager, des familles qui s'agrandissent. des enfants qui partent faire leurs Ă©tudes et donc il faut retrouver un logement plus petit, notamment aussi pour financer les Ă©tudes. Vous avez des personnes ĂągĂ©es qui ne peuvent plus vivre dans leur logement et qui veulent des maisons de plein pied. Et il y a quelque chose de trĂšs Ă©tonnant, plusieurs agents immobiliers nous ont fait ce commentaire-lĂ  durant l'Ă©tĂ©. On se souvient en 2020, au lendemain du premier confinement, tout le monde disait, aujourd'hui les gens... ne cherchent plus une maison avec un jardin, mais cherchent un jardin avec une maison. Eh bien, on constate qu'aujourd'hui, c'est fini. Beaucoup de propriĂ©taires qui ont achetĂ© avec un jardin, ils se sont rendus compte que s'occuper du jardin, c'Ă©tait du temps, que ce n'Ă©tait pas pour eux, que finalement, c'Ă©tait loin du centre-ville. Et donc, ils rechangent complĂštement de projet de vie. Donc, il y a des gens qui n'ont pas le choix.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Qu'est-ce que vous pensez, Hugo Bayet, des solutions d'achat direct en 48 heures ? C'est une alternative aussi quand on veut vendre et qu'on n'y arrive pas ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Alors, c'est une solution qu'on ne propose pas. au sein du groupe PraxiFinance, qu'on a Ă©tudiĂ© quand mĂȘme depuis plusieurs mois et qui nous paraĂźt complĂštement diffĂ©rente de la vente avec complĂ©ment de prix.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    C'est ce qu'on appelle le e-buying,

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    en fait. Exactement. On a des acteurs qui vont acheter directement et qui, eux, vont s'occuper de revendre. Mais si on rĂ©flĂ©chit bien, pour qu'eux puissent vendre vite, eux vont vendre en dessous du prix du marchĂ©. Et ils vont forcĂ©ment gagner de l'argent, donc ils vont acheter trĂšs en dessous. du prix du marchĂ©. Nous, ce qu'on propose avec la vente, avec complĂ©ment de prix, c'est Ă©videmment, on fait une expertise du bien au regard de l'Ă©tat actuel du marchĂ©, mais on propose une avance. Ensuite, le propriĂ©taire, il est libre de fixer le prix de vente qu'il veut. Et donc, si je prends un bien d'un million d'euros, avec un e-buyer, vous allez peut-ĂȘtre en gagner 600 000 euros. Lui va le vendre 800. Il aura vendu plus vite que le marchĂ©. Vous aurez gagnĂ© 600. Nous, on vous propose une avance de 600 000 euros. Mais derriĂšre, vous le vendez Ă  un million. Et on vous versera le complĂ©ment de prix, les 400 000 euros supplĂ©mentaires. Donc lĂ , vous avez le moyen de pouvoir encaisser trĂšs rapidement une partie du capital de la vente du bien, mais de vous laisser le temps de vendre pour toucher la suite.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Merci beaucoup, Hugo Baillet. Je rappelle que vous ĂȘtes directeur marketing et communication du groupe Praxi Finance.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Merci Ariane, Ă  bientĂŽt.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Quant Ă  moi, je vous dis Ă  trĂšs vite pour un nouvel Ă©pisode de Mon Podcast IMMO. À Ă©couter tous les jours sur MySweetIMMO et sur toutes les plateformes. Si vous n'ĂȘtes pas... pas encore abonnĂ©, surtout vous le faites illico et puis vous nous posez vos questions, vous nous mettez des commentaires et surtout vous nous laissez des Ă©toiles.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Podcast Timo.

Description

Hugo Baillet est l'invitĂ© de ce nouvel Ă©pisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, le directeur marketing et communication de Praxi Finance dresse un constat clair : malgrĂ© les discours optimistes de certains acteurs, il n’y a pas de vĂ©ritable reprise du marchĂ© immobilier. Vous vous demandez pourquoi les transactions peinent Ă  dĂ©coller alors que les taux d'intĂ©rĂȘt semblent s'assouplir ? Pourquoi certains biens ne trouvent plus preneur, mĂȘme dans des rĂ©gions prisĂ©es comme la CĂŽte d'Azur ou les Hauts-de-Seine ? Hugo Baillet vous Ă©claire sur une rĂ©alitĂ© bien diffĂ©rente de celle relayĂ©e par les mĂ©dias.

« Le marché est complÚtement faussé, seuls les vendeurs qui n'ont pas le choix sont encore actifs », constate-t-il. En effet, avec des prix en chute libre et des acheteurs qui préfÚrent attendre de meilleures opportunités, la dynamique de l'immobilier semble bloquée. Les rares transactions concernent des propriétaires contraints de vendre rapidement, souvent pour des raisons personnelles comme un divorce ou une succession.

Dans ce contexte, la solution de vente avec complément de prix proposée par Praxi Finance permet aux vendeurs de toucher jusqu'à 60 % de la valeur de leur bien en avance, tout en leur laissant le temps de finaliser la transaction. « Cela permet de maintenir une relation de confiance entre les agents immobiliers et leurs clients », souligne Hugo Baillet, tout en rappelant que cette solution est particuliÚrement adaptée aux défis actuels du marché.

Que faire lorsque le marché est au ralenti ? Comment éviter de vendre à perte ? Cet épisode animé par Ariane Artinian apporte des éléments de réponse cruciaux pour les propriétaires et les professionnels de l'immobilier.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Mon Podcast IMMO. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast IMO. Je suis Ariane Artinian et tous les jours avec mes invités, on répond à vos questions IMMO. Et aujourd'hui, je suis avec Hugo Baillet. Bonjour.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Bonjour Ariane.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Vous ĂȘtes directeur marketing et communication du groupe Praxi Finance qui fait aujourd'hui ses 35 ans. Au mois de mai dernier, vous nous avez prĂ©sentĂ© la vente avec complĂ©ment de prix, une solution pour obtenir une avance sur la vente d'un bien. Quel retour vous avez eu aprĂšs ces quelques mois ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Quand on a lancĂ© cette communication, on voulait s'adresser aux propriĂ©taires qui avaient un besoin urgent de vendre. Et dans le contexte du marchĂ© de l'immobilier d'aujourd'hui, la solution de vente avec complĂ©ment de prix leur permettait d'avoir une avance qui pouvait aller jusqu'Ă  60% de la valeur de leur bien. C'est ça ? et de leur laisser un dĂ©lai confortable de 12, 18 ou 24 mois pour trouver l'acquĂ©reur dĂ©finitif. Et on a Ă©tĂ© extrĂȘmement surpris, voire mĂȘme dĂ©passĂ©, non pas par le nombre de propriĂ©taires qui nous ont appelĂ©s, mais par le nombre d'agents immobiliers qui nous ont appelĂ©s pour prĂ©senter cette solution Ă  leurs clients. Et en discutant avec les agents immobiliers, on s'est rendu compte de quelque chose, c'est que la tendance du discours d'aujourd'hui de certains responsables de rĂ©seaux, nationaux immobiliers qui est de dire que le marchĂ© repart, en fait, quand on s'arrĂȘte aux agents immobiliers sur le terrain, on se rend compte que la rĂ©alitĂ©, elle est diffĂ©rente. Je prends quelques exemples qui nous ont Ă©tĂ© remontĂ©s et remontĂ©s de maniĂšre assez large. Dans le 92, dans les Hauts-de-Seine, donc en rĂ©gion parisienne, au-dessus de 500 000 euros, aujourd'hui, plus aucun bien ne se vend. Sur la cĂŽte d'Azur, c'est trĂšs compliquĂ©. Le marchĂ©, notamment sur le prestige et le luxe, est complĂštement Ă  tonne. On a des secteurs sur toute la cĂŽte atlantique, entre Biarritz et La Rochelle, Ă  quelques rares exceptions prĂšs, oĂč les prix sont en train de dĂ©visser complĂštement. Pourquoi ? Parce que d'un cĂŽtĂ©, on a des vendeurs qui aujourd'hui se disent si je n'ai pas le choix de vendre, je mets en vente Ceux qui ont le temps de se dire on va attendre que la crise passe ils ne mettent pas leur bien en vente. Mais de l'autre cĂŽtĂ©, les acquĂ©reurs, c'est pareil. Les acquĂ©reurs, ils sont en train de voir les prix baisser. Quand vous ĂȘtes acquĂ©reur ? que vous n'avez pas d'urgence, vous voyez les prix baisser, moins 5, moins 6, moins 7, qu'est-ce que vous faites ? Et bien tout simplement vous attendez. Donc aujourd'hui le marchĂ© de l'immobilier, il est complĂštement faussĂ© parce que ne sont sur le marchĂ© que les gens qui n'ont pas le choix. Et donc on se retrouve Ă  passer d'annĂ©es oĂč on a vendu plus d'1,2 million de biens Ă  cette annĂ©e oĂč on va pĂ©niblement passer les 700-800 000.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    On parle de 770 000 les derniÚres prévisions.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    C'est ça, donc ça montre bien qu'il y a quelque chose. Et donc que les solutions de monĂ©tisation de patrimoine immobilier pour pouvoir se donner du temps de retrouver une dynamique sur le marchĂ©, elles sont complĂštement appropriĂ©es aujourd'hui. Et j'ai mĂȘme envie de vous dire, on a des agents immobiliers qui ont bien compris qu'en nous apportant leurs clients, un, ils pouvaient les conserver et maintenir une relation de confiance avec leurs clients. Deux, on partage nos honoraires avec eux. Donc ça leur permet aussi de vivre et de financer leur agence immobiliĂšre le temps de retrouver des ventes confortables. Et ensuite, ils conservent leur mandat de vente avec leurs clients pour trouver l'acquĂ©reur final. Donc, tout le monde est gagnant avec cette solution. Le propriĂ©taire, l'agent immobilier. Donc, c'est vraiment la solution qui est aujourd'hui la plus adaptĂ©e.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Donc, si je vous suis bien, pour vous, il n'y a pas de reprise du marché de l'immobilier, en tout cas dans les médias.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Il n'y a pas de reprise du marché de l'immobilier dans les médias. La petite baisse des taux directeurs de la Banque Centrale Européenne avant l'été n'a pas permis de réenclencher une machine. On a eu une annonce ces derniers jours d'une nouvelle baisse de taux, mais on parle de 0,25. Ce n'est pas ça qui va faire la différence. Et le temps que ça s'applique sur les taux du crédit immobilier, il va se passer plusieurs semaines. Ils ne vont pas descendre de 0,25 en claquant des doigts non plus, parce que les banques, elles ont aussi besoin de faire de la marge et de vivre. Donc non, on ne voit pas d'élément, d'indicateur macroéconomique qui nous permettrait de dire Allez, en claquant des doigts, le marché repart Pourtant,

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    il y a toujours des propriétaires. qui ont besoin de vendre ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Oui, il y a des propriĂ©taires qui ont besoin de vendre. Il y a des propriĂ©taires qui divorcent. Donc, il faut bien vendre le bien pour sĂ©parer le capital et que chacun puisse refaire sa vie. Évidemment, il y a des dĂ©cĂšs avec des droits de succession qu'il faut payer. Et pour payer des droits de succession, dans la grande majoritĂ© des cas, on sĂ©pare d'une partie du patrimoine immobilier. On a des gens qui changent de travail, donc qui ont aussi besoin de dĂ©mĂ©nager, des familles qui s'agrandissent. des enfants qui partent faire leurs Ă©tudes et donc il faut retrouver un logement plus petit, notamment aussi pour financer les Ă©tudes. Vous avez des personnes ĂągĂ©es qui ne peuvent plus vivre dans leur logement et qui veulent des maisons de plein pied. Et il y a quelque chose de trĂšs Ă©tonnant, plusieurs agents immobiliers nous ont fait ce commentaire-lĂ  durant l'Ă©tĂ©. On se souvient en 2020, au lendemain du premier confinement, tout le monde disait, aujourd'hui les gens... ne cherchent plus une maison avec un jardin, mais cherchent un jardin avec une maison. Eh bien, on constate qu'aujourd'hui, c'est fini. Beaucoup de propriĂ©taires qui ont achetĂ© avec un jardin, ils se sont rendus compte que s'occuper du jardin, c'Ă©tait du temps, que ce n'Ă©tait pas pour eux, que finalement, c'Ă©tait loin du centre-ville. Et donc, ils rechangent complĂštement de projet de vie. Donc, il y a des gens qui n'ont pas le choix.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Qu'est-ce que vous pensez, Hugo Bayet, des solutions d'achat direct en 48 heures ? C'est une alternative aussi quand on veut vendre et qu'on n'y arrive pas ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Alors, c'est une solution qu'on ne propose pas. au sein du groupe PraxiFinance, qu'on a Ă©tudiĂ© quand mĂȘme depuis plusieurs mois et qui nous paraĂźt complĂštement diffĂ©rente de la vente avec complĂ©ment de prix.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    C'est ce qu'on appelle le e-buying,

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    en fait. Exactement. On a des acteurs qui vont acheter directement et qui, eux, vont s'occuper de revendre. Mais si on rĂ©flĂ©chit bien, pour qu'eux puissent vendre vite, eux vont vendre en dessous du prix du marchĂ©. Et ils vont forcĂ©ment gagner de l'argent, donc ils vont acheter trĂšs en dessous. du prix du marchĂ©. Nous, ce qu'on propose avec la vente, avec complĂ©ment de prix, c'est Ă©videmment, on fait une expertise du bien au regard de l'Ă©tat actuel du marchĂ©, mais on propose une avance. Ensuite, le propriĂ©taire, il est libre de fixer le prix de vente qu'il veut. Et donc, si je prends un bien d'un million d'euros, avec un e-buyer, vous allez peut-ĂȘtre en gagner 600 000 euros. Lui va le vendre 800. Il aura vendu plus vite que le marchĂ©. Vous aurez gagnĂ© 600. Nous, on vous propose une avance de 600 000 euros. Mais derriĂšre, vous le vendez Ă  un million. Et on vous versera le complĂ©ment de prix, les 400 000 euros supplĂ©mentaires. Donc lĂ , vous avez le moyen de pouvoir encaisser trĂšs rapidement une partie du capital de la vente du bien, mais de vous laisser le temps de vendre pour toucher la suite.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Merci beaucoup, Hugo Baillet. Je rappelle que vous ĂȘtes directeur marketing et communication du groupe Praxi Finance.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Merci Ariane, Ă  bientĂŽt.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Quant Ă  moi, je vous dis Ă  trĂšs vite pour un nouvel Ă©pisode de Mon Podcast IMMO. À Ă©couter tous les jours sur MySweetIMMO et sur toutes les plateformes. Si vous n'ĂȘtes pas... pas encore abonnĂ©, surtout vous le faites illico et puis vous nous posez vos questions, vous nous mettez des commentaires et surtout vous nous laissez des Ă©toiles.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Podcast Timo.

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Hugo Baillet est l'invitĂ© de ce nouvel Ă©pisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, le directeur marketing et communication de Praxi Finance dresse un constat clair : malgrĂ© les discours optimistes de certains acteurs, il n’y a pas de vĂ©ritable reprise du marchĂ© immobilier. Vous vous demandez pourquoi les transactions peinent Ă  dĂ©coller alors que les taux d'intĂ©rĂȘt semblent s'assouplir ? Pourquoi certains biens ne trouvent plus preneur, mĂȘme dans des rĂ©gions prisĂ©es comme la CĂŽte d'Azur ou les Hauts-de-Seine ? Hugo Baillet vous Ă©claire sur une rĂ©alitĂ© bien diffĂ©rente de celle relayĂ©e par les mĂ©dias.

« Le marché est complÚtement faussé, seuls les vendeurs qui n'ont pas le choix sont encore actifs », constate-t-il. En effet, avec des prix en chute libre et des acheteurs qui préfÚrent attendre de meilleures opportunités, la dynamique de l'immobilier semble bloquée. Les rares transactions concernent des propriétaires contraints de vendre rapidement, souvent pour des raisons personnelles comme un divorce ou une succession.

Dans ce contexte, la solution de vente avec complément de prix proposée par Praxi Finance permet aux vendeurs de toucher jusqu'à 60 % de la valeur de leur bien en avance, tout en leur laissant le temps de finaliser la transaction. « Cela permet de maintenir une relation de confiance entre les agents immobiliers et leurs clients », souligne Hugo Baillet, tout en rappelant que cette solution est particuliÚrement adaptée aux défis actuels du marché.

Que faire lorsque le marché est au ralenti ? Comment éviter de vendre à perte ? Cet épisode animé par Ariane Artinian apporte des éléments de réponse cruciaux pour les propriétaires et les professionnels de l'immobilier.



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Transcription

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Mon Podcast IMMO. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast IMO. Je suis Ariane Artinian et tous les jours avec mes invités, on répond à vos questions IMMO. Et aujourd'hui, je suis avec Hugo Baillet. Bonjour.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Bonjour Ariane.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Vous ĂȘtes directeur marketing et communication du groupe Praxi Finance qui fait aujourd'hui ses 35 ans. Au mois de mai dernier, vous nous avez prĂ©sentĂ© la vente avec complĂ©ment de prix, une solution pour obtenir une avance sur la vente d'un bien. Quel retour vous avez eu aprĂšs ces quelques mois ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Quand on a lancĂ© cette communication, on voulait s'adresser aux propriĂ©taires qui avaient un besoin urgent de vendre. Et dans le contexte du marchĂ© de l'immobilier d'aujourd'hui, la solution de vente avec complĂ©ment de prix leur permettait d'avoir une avance qui pouvait aller jusqu'Ă  60% de la valeur de leur bien. C'est ça ? et de leur laisser un dĂ©lai confortable de 12, 18 ou 24 mois pour trouver l'acquĂ©reur dĂ©finitif. Et on a Ă©tĂ© extrĂȘmement surpris, voire mĂȘme dĂ©passĂ©, non pas par le nombre de propriĂ©taires qui nous ont appelĂ©s, mais par le nombre d'agents immobiliers qui nous ont appelĂ©s pour prĂ©senter cette solution Ă  leurs clients. Et en discutant avec les agents immobiliers, on s'est rendu compte de quelque chose, c'est que la tendance du discours d'aujourd'hui de certains responsables de rĂ©seaux, nationaux immobiliers qui est de dire que le marchĂ© repart, en fait, quand on s'arrĂȘte aux agents immobiliers sur le terrain, on se rend compte que la rĂ©alitĂ©, elle est diffĂ©rente. Je prends quelques exemples qui nous ont Ă©tĂ© remontĂ©s et remontĂ©s de maniĂšre assez large. Dans le 92, dans les Hauts-de-Seine, donc en rĂ©gion parisienne, au-dessus de 500 000 euros, aujourd'hui, plus aucun bien ne se vend. Sur la cĂŽte d'Azur, c'est trĂšs compliquĂ©. Le marchĂ©, notamment sur le prestige et le luxe, est complĂštement Ă  tonne. On a des secteurs sur toute la cĂŽte atlantique, entre Biarritz et La Rochelle, Ă  quelques rares exceptions prĂšs, oĂč les prix sont en train de dĂ©visser complĂštement. Pourquoi ? Parce que d'un cĂŽtĂ©, on a des vendeurs qui aujourd'hui se disent si je n'ai pas le choix de vendre, je mets en vente Ceux qui ont le temps de se dire on va attendre que la crise passe ils ne mettent pas leur bien en vente. Mais de l'autre cĂŽtĂ©, les acquĂ©reurs, c'est pareil. Les acquĂ©reurs, ils sont en train de voir les prix baisser. Quand vous ĂȘtes acquĂ©reur ? que vous n'avez pas d'urgence, vous voyez les prix baisser, moins 5, moins 6, moins 7, qu'est-ce que vous faites ? Et bien tout simplement vous attendez. Donc aujourd'hui le marchĂ© de l'immobilier, il est complĂštement faussĂ© parce que ne sont sur le marchĂ© que les gens qui n'ont pas le choix. Et donc on se retrouve Ă  passer d'annĂ©es oĂč on a vendu plus d'1,2 million de biens Ă  cette annĂ©e oĂč on va pĂ©niblement passer les 700-800 000.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    On parle de 770 000 les derniÚres prévisions.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    C'est ça, donc ça montre bien qu'il y a quelque chose. Et donc que les solutions de monĂ©tisation de patrimoine immobilier pour pouvoir se donner du temps de retrouver une dynamique sur le marchĂ©, elles sont complĂštement appropriĂ©es aujourd'hui. Et j'ai mĂȘme envie de vous dire, on a des agents immobiliers qui ont bien compris qu'en nous apportant leurs clients, un, ils pouvaient les conserver et maintenir une relation de confiance avec leurs clients. Deux, on partage nos honoraires avec eux. Donc ça leur permet aussi de vivre et de financer leur agence immobiliĂšre le temps de retrouver des ventes confortables. Et ensuite, ils conservent leur mandat de vente avec leurs clients pour trouver l'acquĂ©reur final. Donc, tout le monde est gagnant avec cette solution. Le propriĂ©taire, l'agent immobilier. Donc, c'est vraiment la solution qui est aujourd'hui la plus adaptĂ©e.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Donc, si je vous suis bien, pour vous, il n'y a pas de reprise du marché de l'immobilier, en tout cas dans les médias.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Il n'y a pas de reprise du marché de l'immobilier dans les médias. La petite baisse des taux directeurs de la Banque Centrale Européenne avant l'été n'a pas permis de réenclencher une machine. On a eu une annonce ces derniers jours d'une nouvelle baisse de taux, mais on parle de 0,25. Ce n'est pas ça qui va faire la différence. Et le temps que ça s'applique sur les taux du crédit immobilier, il va se passer plusieurs semaines. Ils ne vont pas descendre de 0,25 en claquant des doigts non plus, parce que les banques, elles ont aussi besoin de faire de la marge et de vivre. Donc non, on ne voit pas d'élément, d'indicateur macroéconomique qui nous permettrait de dire Allez, en claquant des doigts, le marché repart Pourtant,

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    il y a toujours des propriétaires. qui ont besoin de vendre ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Oui, il y a des propriĂ©taires qui ont besoin de vendre. Il y a des propriĂ©taires qui divorcent. Donc, il faut bien vendre le bien pour sĂ©parer le capital et que chacun puisse refaire sa vie. Évidemment, il y a des dĂ©cĂšs avec des droits de succession qu'il faut payer. Et pour payer des droits de succession, dans la grande majoritĂ© des cas, on sĂ©pare d'une partie du patrimoine immobilier. On a des gens qui changent de travail, donc qui ont aussi besoin de dĂ©mĂ©nager, des familles qui s'agrandissent. des enfants qui partent faire leurs Ă©tudes et donc il faut retrouver un logement plus petit, notamment aussi pour financer les Ă©tudes. Vous avez des personnes ĂągĂ©es qui ne peuvent plus vivre dans leur logement et qui veulent des maisons de plein pied. Et il y a quelque chose de trĂšs Ă©tonnant, plusieurs agents immobiliers nous ont fait ce commentaire-lĂ  durant l'Ă©tĂ©. On se souvient en 2020, au lendemain du premier confinement, tout le monde disait, aujourd'hui les gens... ne cherchent plus une maison avec un jardin, mais cherchent un jardin avec une maison. Eh bien, on constate qu'aujourd'hui, c'est fini. Beaucoup de propriĂ©taires qui ont achetĂ© avec un jardin, ils se sont rendus compte que s'occuper du jardin, c'Ă©tait du temps, que ce n'Ă©tait pas pour eux, que finalement, c'Ă©tait loin du centre-ville. Et donc, ils rechangent complĂštement de projet de vie. Donc, il y a des gens qui n'ont pas le choix.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Qu'est-ce que vous pensez, Hugo Bayet, des solutions d'achat direct en 48 heures ? C'est une alternative aussi quand on veut vendre et qu'on n'y arrive pas ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Alors, c'est une solution qu'on ne propose pas. au sein du groupe PraxiFinance, qu'on a Ă©tudiĂ© quand mĂȘme depuis plusieurs mois et qui nous paraĂźt complĂštement diffĂ©rente de la vente avec complĂ©ment de prix.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    C'est ce qu'on appelle le e-buying,

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    en fait. Exactement. On a des acteurs qui vont acheter directement et qui, eux, vont s'occuper de revendre. Mais si on rĂ©flĂ©chit bien, pour qu'eux puissent vendre vite, eux vont vendre en dessous du prix du marchĂ©. Et ils vont forcĂ©ment gagner de l'argent, donc ils vont acheter trĂšs en dessous. du prix du marchĂ©. Nous, ce qu'on propose avec la vente, avec complĂ©ment de prix, c'est Ă©videmment, on fait une expertise du bien au regard de l'Ă©tat actuel du marchĂ©, mais on propose une avance. Ensuite, le propriĂ©taire, il est libre de fixer le prix de vente qu'il veut. Et donc, si je prends un bien d'un million d'euros, avec un e-buyer, vous allez peut-ĂȘtre en gagner 600 000 euros. Lui va le vendre 800. Il aura vendu plus vite que le marchĂ©. Vous aurez gagnĂ© 600. Nous, on vous propose une avance de 600 000 euros. Mais derriĂšre, vous le vendez Ă  un million. Et on vous versera le complĂ©ment de prix, les 400 000 euros supplĂ©mentaires. Donc lĂ , vous avez le moyen de pouvoir encaisser trĂšs rapidement une partie du capital de la vente du bien, mais de vous laisser le temps de vendre pour toucher la suite.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Merci beaucoup, Hugo Baillet. Je rappelle que vous ĂȘtes directeur marketing et communication du groupe Praxi Finance.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Merci Ariane, Ă  bientĂŽt.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Quant Ă  moi, je vous dis Ă  trĂšs vite pour un nouvel Ă©pisode de Mon Podcast IMMO. À Ă©couter tous les jours sur MySweetIMMO et sur toutes les plateformes. Si vous n'ĂȘtes pas... pas encore abonnĂ©, surtout vous le faites illico et puis vous nous posez vos questions, vous nous mettez des commentaires et surtout vous nous laissez des Ă©toiles.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Podcast Timo.

Description

Hugo Baillet est l'invitĂ© de ce nouvel Ă©pisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, le directeur marketing et communication de Praxi Finance dresse un constat clair : malgrĂ© les discours optimistes de certains acteurs, il n’y a pas de vĂ©ritable reprise du marchĂ© immobilier. Vous vous demandez pourquoi les transactions peinent Ă  dĂ©coller alors que les taux d'intĂ©rĂȘt semblent s'assouplir ? Pourquoi certains biens ne trouvent plus preneur, mĂȘme dans des rĂ©gions prisĂ©es comme la CĂŽte d'Azur ou les Hauts-de-Seine ? Hugo Baillet vous Ă©claire sur une rĂ©alitĂ© bien diffĂ©rente de celle relayĂ©e par les mĂ©dias.

« Le marché est complÚtement faussé, seuls les vendeurs qui n'ont pas le choix sont encore actifs », constate-t-il. En effet, avec des prix en chute libre et des acheteurs qui préfÚrent attendre de meilleures opportunités, la dynamique de l'immobilier semble bloquée. Les rares transactions concernent des propriétaires contraints de vendre rapidement, souvent pour des raisons personnelles comme un divorce ou une succession.

Dans ce contexte, la solution de vente avec complément de prix proposée par Praxi Finance permet aux vendeurs de toucher jusqu'à 60 % de la valeur de leur bien en avance, tout en leur laissant le temps de finaliser la transaction. « Cela permet de maintenir une relation de confiance entre les agents immobiliers et leurs clients », souligne Hugo Baillet, tout en rappelant que cette solution est particuliÚrement adaptée aux défis actuels du marché.

Que faire lorsque le marché est au ralenti ? Comment éviter de vendre à perte ? Cet épisode animé par Ariane Artinian apporte des éléments de réponse cruciaux pour les propriétaires et les professionnels de l'immobilier.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Mon Podcast IMMO. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast IMO. Je suis Ariane Artinian et tous les jours avec mes invités, on répond à vos questions IMMO. Et aujourd'hui, je suis avec Hugo Baillet. Bonjour.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Bonjour Ariane.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Vous ĂȘtes directeur marketing et communication du groupe Praxi Finance qui fait aujourd'hui ses 35 ans. Au mois de mai dernier, vous nous avez prĂ©sentĂ© la vente avec complĂ©ment de prix, une solution pour obtenir une avance sur la vente d'un bien. Quel retour vous avez eu aprĂšs ces quelques mois ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Quand on a lancĂ© cette communication, on voulait s'adresser aux propriĂ©taires qui avaient un besoin urgent de vendre. Et dans le contexte du marchĂ© de l'immobilier d'aujourd'hui, la solution de vente avec complĂ©ment de prix leur permettait d'avoir une avance qui pouvait aller jusqu'Ă  60% de la valeur de leur bien. C'est ça ? et de leur laisser un dĂ©lai confortable de 12, 18 ou 24 mois pour trouver l'acquĂ©reur dĂ©finitif. Et on a Ă©tĂ© extrĂȘmement surpris, voire mĂȘme dĂ©passĂ©, non pas par le nombre de propriĂ©taires qui nous ont appelĂ©s, mais par le nombre d'agents immobiliers qui nous ont appelĂ©s pour prĂ©senter cette solution Ă  leurs clients. Et en discutant avec les agents immobiliers, on s'est rendu compte de quelque chose, c'est que la tendance du discours d'aujourd'hui de certains responsables de rĂ©seaux, nationaux immobiliers qui est de dire que le marchĂ© repart, en fait, quand on s'arrĂȘte aux agents immobiliers sur le terrain, on se rend compte que la rĂ©alitĂ©, elle est diffĂ©rente. Je prends quelques exemples qui nous ont Ă©tĂ© remontĂ©s et remontĂ©s de maniĂšre assez large. Dans le 92, dans les Hauts-de-Seine, donc en rĂ©gion parisienne, au-dessus de 500 000 euros, aujourd'hui, plus aucun bien ne se vend. Sur la cĂŽte d'Azur, c'est trĂšs compliquĂ©. Le marchĂ©, notamment sur le prestige et le luxe, est complĂštement Ă  tonne. On a des secteurs sur toute la cĂŽte atlantique, entre Biarritz et La Rochelle, Ă  quelques rares exceptions prĂšs, oĂč les prix sont en train de dĂ©visser complĂštement. Pourquoi ? Parce que d'un cĂŽtĂ©, on a des vendeurs qui aujourd'hui se disent si je n'ai pas le choix de vendre, je mets en vente Ceux qui ont le temps de se dire on va attendre que la crise passe ils ne mettent pas leur bien en vente. Mais de l'autre cĂŽtĂ©, les acquĂ©reurs, c'est pareil. Les acquĂ©reurs, ils sont en train de voir les prix baisser. Quand vous ĂȘtes acquĂ©reur ? que vous n'avez pas d'urgence, vous voyez les prix baisser, moins 5, moins 6, moins 7, qu'est-ce que vous faites ? Et bien tout simplement vous attendez. Donc aujourd'hui le marchĂ© de l'immobilier, il est complĂštement faussĂ© parce que ne sont sur le marchĂ© que les gens qui n'ont pas le choix. Et donc on se retrouve Ă  passer d'annĂ©es oĂč on a vendu plus d'1,2 million de biens Ă  cette annĂ©e oĂč on va pĂ©niblement passer les 700-800 000.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    On parle de 770 000 les derniÚres prévisions.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    C'est ça, donc ça montre bien qu'il y a quelque chose. Et donc que les solutions de monĂ©tisation de patrimoine immobilier pour pouvoir se donner du temps de retrouver une dynamique sur le marchĂ©, elles sont complĂštement appropriĂ©es aujourd'hui. Et j'ai mĂȘme envie de vous dire, on a des agents immobiliers qui ont bien compris qu'en nous apportant leurs clients, un, ils pouvaient les conserver et maintenir une relation de confiance avec leurs clients. Deux, on partage nos honoraires avec eux. Donc ça leur permet aussi de vivre et de financer leur agence immobiliĂšre le temps de retrouver des ventes confortables. Et ensuite, ils conservent leur mandat de vente avec leurs clients pour trouver l'acquĂ©reur final. Donc, tout le monde est gagnant avec cette solution. Le propriĂ©taire, l'agent immobilier. Donc, c'est vraiment la solution qui est aujourd'hui la plus adaptĂ©e.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Donc, si je vous suis bien, pour vous, il n'y a pas de reprise du marché de l'immobilier, en tout cas dans les médias.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Il n'y a pas de reprise du marché de l'immobilier dans les médias. La petite baisse des taux directeurs de la Banque Centrale Européenne avant l'été n'a pas permis de réenclencher une machine. On a eu une annonce ces derniers jours d'une nouvelle baisse de taux, mais on parle de 0,25. Ce n'est pas ça qui va faire la différence. Et le temps que ça s'applique sur les taux du crédit immobilier, il va se passer plusieurs semaines. Ils ne vont pas descendre de 0,25 en claquant des doigts non plus, parce que les banques, elles ont aussi besoin de faire de la marge et de vivre. Donc non, on ne voit pas d'élément, d'indicateur macroéconomique qui nous permettrait de dire Allez, en claquant des doigts, le marché repart Pourtant,

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    il y a toujours des propriétaires. qui ont besoin de vendre ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Oui, il y a des propriĂ©taires qui ont besoin de vendre. Il y a des propriĂ©taires qui divorcent. Donc, il faut bien vendre le bien pour sĂ©parer le capital et que chacun puisse refaire sa vie. Évidemment, il y a des dĂ©cĂšs avec des droits de succession qu'il faut payer. Et pour payer des droits de succession, dans la grande majoritĂ© des cas, on sĂ©pare d'une partie du patrimoine immobilier. On a des gens qui changent de travail, donc qui ont aussi besoin de dĂ©mĂ©nager, des familles qui s'agrandissent. des enfants qui partent faire leurs Ă©tudes et donc il faut retrouver un logement plus petit, notamment aussi pour financer les Ă©tudes. Vous avez des personnes ĂągĂ©es qui ne peuvent plus vivre dans leur logement et qui veulent des maisons de plein pied. Et il y a quelque chose de trĂšs Ă©tonnant, plusieurs agents immobiliers nous ont fait ce commentaire-lĂ  durant l'Ă©tĂ©. On se souvient en 2020, au lendemain du premier confinement, tout le monde disait, aujourd'hui les gens... ne cherchent plus une maison avec un jardin, mais cherchent un jardin avec une maison. Eh bien, on constate qu'aujourd'hui, c'est fini. Beaucoup de propriĂ©taires qui ont achetĂ© avec un jardin, ils se sont rendus compte que s'occuper du jardin, c'Ă©tait du temps, que ce n'Ă©tait pas pour eux, que finalement, c'Ă©tait loin du centre-ville. Et donc, ils rechangent complĂštement de projet de vie. Donc, il y a des gens qui n'ont pas le choix.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Qu'est-ce que vous pensez, Hugo Bayet, des solutions d'achat direct en 48 heures ? C'est une alternative aussi quand on veut vendre et qu'on n'y arrive pas ?

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Alors, c'est une solution qu'on ne propose pas. au sein du groupe PraxiFinance, qu'on a Ă©tudiĂ© quand mĂȘme depuis plusieurs mois et qui nous paraĂźt complĂštement diffĂ©rente de la vente avec complĂ©ment de prix.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    C'est ce qu'on appelle le e-buying,

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    en fait. Exactement. On a des acteurs qui vont acheter directement et qui, eux, vont s'occuper de revendre. Mais si on rĂ©flĂ©chit bien, pour qu'eux puissent vendre vite, eux vont vendre en dessous du prix du marchĂ©. Et ils vont forcĂ©ment gagner de l'argent, donc ils vont acheter trĂšs en dessous. du prix du marchĂ©. Nous, ce qu'on propose avec la vente, avec complĂ©ment de prix, c'est Ă©videmment, on fait une expertise du bien au regard de l'Ă©tat actuel du marchĂ©, mais on propose une avance. Ensuite, le propriĂ©taire, il est libre de fixer le prix de vente qu'il veut. Et donc, si je prends un bien d'un million d'euros, avec un e-buyer, vous allez peut-ĂȘtre en gagner 600 000 euros. Lui va le vendre 800. Il aura vendu plus vite que le marchĂ©. Vous aurez gagnĂ© 600. Nous, on vous propose une avance de 600 000 euros. Mais derriĂšre, vous le vendez Ă  un million. Et on vous versera le complĂ©ment de prix, les 400 000 euros supplĂ©mentaires. Donc lĂ , vous avez le moyen de pouvoir encaisser trĂšs rapidement une partie du capital de la vente du bien, mais de vous laisser le temps de vendre pour toucher la suite.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Merci beaucoup, Hugo Baillet. Je rappelle que vous ĂȘtes directeur marketing et communication du groupe Praxi Finance.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Merci Ariane, Ă  bientĂŽt.

  • Ariane Artinian (MySweetImmo)

    Quant Ă  moi, je vous dis Ă  trĂšs vite pour un nouvel Ă©pisode de Mon Podcast IMMO. À Ă©couter tous les jours sur MySweetIMMO et sur toutes les plateformes. Si vous n'ĂȘtes pas... pas encore abonnĂ©, surtout vous le faites illico et puis vous nous posez vos questions, vous nous mettez des commentaires et surtout vous nous laissez des Ă©toiles.

  • Hugo Baillet (PraxiFinance)

    Podcast Timo.

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