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Place des religions

Nadir Dendoune : "Après avoir gravi l’Everest, je ne me suis jamais senti aussi libre"

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27min |04/05/2021
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Description

En 2008, Nadir Dendoune a décidé d’atteindre le sommet de l’Everest, sans aucune préparation physique. Originaire de Seine-Saint-Denis, il a relevé ce défi, afin de prouver que l’alpinisme n’était pas un sport réservé à une élite. Dans cet épisode, cet écrivain, élevé dans la tradition musulmane, nous raconte comment il relaie, dans les écoles, les valeurs de tolérance transmises par ses parents.


► Saison 3, épisode 13 – L’essentiel de l’épisode :


"J’ai gravi l’Everest pour aller là où l’on ne m’attendait pas", lance, avec une pointe de défi dans la voix, Nadir Dendoune. Lui qui a grandi dans un quartier populaire de Seine-Saint-Denis a décidé, en 2008, de grimper jusqu’au plus haut sommet du monde, situé au cœur de l’Himalaya.


"C’était pour moi une sorte de revanche sociale. On me voyait, au mieux, devenir un joueur de football, ou un chanteur de rap, mais on ne pensait pas qu’un mec comme moi était capable d’escalader des montagnes", raconte cet écrivain dans ce treizième épisode de la saison Le choix du risque.


Nadir Dendoune s’est lancé dans cette aventure sans aucune expérience en alpinisme. Ce n’est qu’une fois arrivé sur les lieux - après avoir "pipeauté" son CV pour intégrer un groupe de grimpeurs - qu’il a réalisé à quel point cette expédition pouvait être risquée. "On m’a alors parlé d’oreilles coupées, de doigts gelés, d’œdème pulmonaire…", se souvient-il.


Malgré la fatigue et le manque d’oxygène, Nadir Dendoune a réussi à atteindre le toit du monde, au prix de plusieurs semaines d’ascension. "Sur le coup, je ne me suis pas rendu compte de ce que j’avais réalisé. Mais après, pendant trois mois, j’ai eu l’impression d’être heureux et libre à 150 %", retrace celui qui s’est, par la suite, mesuré à d’autres montagnes, comme le Mont-Blanc ou encore le Kilimandjaro. 


En haut de l’Everest, à plus de 8 800 mètres d’altitude, Nadir Dendoune raconte avoir fait l’expérience d’une présence : "J’étais dans un état second. J’ai senti comme une sorte de brise qui m’a frôlé le crâne, quelque chose de presque divin", décrit-il. Élevé dans la tradition musulmane, Nadir Dendoune ne se considère pas comme croyant, mais reste attaché aux valeurs de tolérance et de partage inculquées par ses parents.


"Lorsque j’interviens dans les collèges ou les lycées pour raconter mon parcours, j’essaie de faire comprendre aux jeunes qu’ils sont tous pareils : ils sont nés dans le même pays, regardent la même télé…", explique-t-il. Pour lui, "ce qui compte, c’est le vécu commun, au-delà des différences de couleurs de peau et de croyances religieuses".


► À lire également sur le site et l'application du journal La Croix :


RÉCIT – L’altitude et ses hallucinantes compagnes


TÉMOIGNAGE – "Je vous écris de là-haut", carnet de bord du dernier grand Himalayiste


► Parmi les invités de cette troisième saison de "Place des religions" :


L’écrivain Jean-Christophe Rufin ; la navigatrice Clarisse Crémer ; l’aventurier du pôle Sud Matthieu Tordeur ; le médecin et explorateur du pôle Nord Jean-Louis Étienne ; l’auteure et voyageuse Sonia Poussin ; la spécialiste de la transe chamanique Corine Sombrun ; l’ancienne championne du monde d’escalade Stéphanie Bodet ; l’ancien sous-marinier et diacre Christophe Bail ; l’aéronaute suisse Bertrand Piccard ; la présidente d’honneur du WWF France et navigatrice Isabelle Autissier ; le spationaute Jean-François Clervoy ; l’humanitaire évangélique Nath Fauveau.


► Un podcast hebdomadaire :


Tous les mercredis, écoutez un épisode de la saison 3 de "Place des religions" sur le site et l’application du journal La Croix et sur toutes les plateformes de podcast.


► Retrouvez également tous les épisodes des saisons précédentes :


Place des religions, saison 1 : Ainsi soient-elles


Place des religions, saison 2 : Paroles de politiques


► Vos contributions :


Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.com   


CRÉDITS :

Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Clémence Maret. Journaliste au service religion : Malo Tresca. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne. Mixage : Yoann Vignot. Responsable marketing : Laurence Szabason. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Création musicale : Arnaud Forest. Extrait : INA - France 3, 12/13 Édition Paris Île-de-France, le 27 avril 2021.

Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Mai 2021

Description

En 2008, Nadir Dendoune a décidé d’atteindre le sommet de l’Everest, sans aucune préparation physique. Originaire de Seine-Saint-Denis, il a relevé ce défi, afin de prouver que l’alpinisme n’était pas un sport réservé à une élite. Dans cet épisode, cet écrivain, élevé dans la tradition musulmane, nous raconte comment il relaie, dans les écoles, les valeurs de tolérance transmises par ses parents.


► Saison 3, épisode 13 – L’essentiel de l’épisode :


"J’ai gravi l’Everest pour aller là où l’on ne m’attendait pas", lance, avec une pointe de défi dans la voix, Nadir Dendoune. Lui qui a grandi dans un quartier populaire de Seine-Saint-Denis a décidé, en 2008, de grimper jusqu’au plus haut sommet du monde, situé au cœur de l’Himalaya.


"C’était pour moi une sorte de revanche sociale. On me voyait, au mieux, devenir un joueur de football, ou un chanteur de rap, mais on ne pensait pas qu’un mec comme moi était capable d’escalader des montagnes", raconte cet écrivain dans ce treizième épisode de la saison Le choix du risque.


Nadir Dendoune s’est lancé dans cette aventure sans aucune expérience en alpinisme. Ce n’est qu’une fois arrivé sur les lieux - après avoir "pipeauté" son CV pour intégrer un groupe de grimpeurs - qu’il a réalisé à quel point cette expédition pouvait être risquée. "On m’a alors parlé d’oreilles coupées, de doigts gelés, d’œdème pulmonaire…", se souvient-il.


Malgré la fatigue et le manque d’oxygène, Nadir Dendoune a réussi à atteindre le toit du monde, au prix de plusieurs semaines d’ascension. "Sur le coup, je ne me suis pas rendu compte de ce que j’avais réalisé. Mais après, pendant trois mois, j’ai eu l’impression d’être heureux et libre à 150 %", retrace celui qui s’est, par la suite, mesuré à d’autres montagnes, comme le Mont-Blanc ou encore le Kilimandjaro. 


En haut de l’Everest, à plus de 8 800 mètres d’altitude, Nadir Dendoune raconte avoir fait l’expérience d’une présence : "J’étais dans un état second. J’ai senti comme une sorte de brise qui m’a frôlé le crâne, quelque chose de presque divin", décrit-il. Élevé dans la tradition musulmane, Nadir Dendoune ne se considère pas comme croyant, mais reste attaché aux valeurs de tolérance et de partage inculquées par ses parents.


"Lorsque j’interviens dans les collèges ou les lycées pour raconter mon parcours, j’essaie de faire comprendre aux jeunes qu’ils sont tous pareils : ils sont nés dans le même pays, regardent la même télé…", explique-t-il. Pour lui, "ce qui compte, c’est le vécu commun, au-delà des différences de couleurs de peau et de croyances religieuses".


► À lire également sur le site et l'application du journal La Croix :


RÉCIT – L’altitude et ses hallucinantes compagnes


TÉMOIGNAGE – "Je vous écris de là-haut", carnet de bord du dernier grand Himalayiste


► Parmi les invités de cette troisième saison de "Place des religions" :


L’écrivain Jean-Christophe Rufin ; la navigatrice Clarisse Crémer ; l’aventurier du pôle Sud Matthieu Tordeur ; le médecin et explorateur du pôle Nord Jean-Louis Étienne ; l’auteure et voyageuse Sonia Poussin ; la spécialiste de la transe chamanique Corine Sombrun ; l’ancienne championne du monde d’escalade Stéphanie Bodet ; l’ancien sous-marinier et diacre Christophe Bail ; l’aéronaute suisse Bertrand Piccard ; la présidente d’honneur du WWF France et navigatrice Isabelle Autissier ; le spationaute Jean-François Clervoy ; l’humanitaire évangélique Nath Fauveau.


► Un podcast hebdomadaire :


Tous les mercredis, écoutez un épisode de la saison 3 de "Place des religions" sur le site et l’application du journal La Croix et sur toutes les plateformes de podcast.


► Retrouvez également tous les épisodes des saisons précédentes :


Place des religions, saison 1 : Ainsi soient-elles


Place des religions, saison 2 : Paroles de politiques


► Vos contributions :


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Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Clémence Maret. Journaliste au service religion : Malo Tresca. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne. Mixage : Yoann Vignot. Responsable marketing : Laurence Szabason. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Création musicale : Arnaud Forest. Extrait : INA - France 3, 12/13 Édition Paris Île-de-France, le 27 avril 2021.

Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Mai 2021

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En 2008, Nadir Dendoune a décidé d’atteindre le sommet de l’Everest, sans aucune préparation physique. Originaire de Seine-Saint-Denis, il a relevé ce défi, afin de prouver que l’alpinisme n’était pas un sport réservé à une élite. Dans cet épisode, cet écrivain, élevé dans la tradition musulmane, nous raconte comment il relaie, dans les écoles, les valeurs de tolérance transmises par ses parents.


► Saison 3, épisode 13 – L’essentiel de l’épisode :


"J’ai gravi l’Everest pour aller là où l’on ne m’attendait pas", lance, avec une pointe de défi dans la voix, Nadir Dendoune. Lui qui a grandi dans un quartier populaire de Seine-Saint-Denis a décidé, en 2008, de grimper jusqu’au plus haut sommet du monde, situé au cœur de l’Himalaya.


"C’était pour moi une sorte de revanche sociale. On me voyait, au mieux, devenir un joueur de football, ou un chanteur de rap, mais on ne pensait pas qu’un mec comme moi était capable d’escalader des montagnes", raconte cet écrivain dans ce treizième épisode de la saison Le choix du risque.


Nadir Dendoune s’est lancé dans cette aventure sans aucune expérience en alpinisme. Ce n’est qu’une fois arrivé sur les lieux - après avoir "pipeauté" son CV pour intégrer un groupe de grimpeurs - qu’il a réalisé à quel point cette expédition pouvait être risquée. "On m’a alors parlé d’oreilles coupées, de doigts gelés, d’œdème pulmonaire…", se souvient-il.


Malgré la fatigue et le manque d’oxygène, Nadir Dendoune a réussi à atteindre le toit du monde, au prix de plusieurs semaines d’ascension. "Sur le coup, je ne me suis pas rendu compte de ce que j’avais réalisé. Mais après, pendant trois mois, j’ai eu l’impression d’être heureux et libre à 150 %", retrace celui qui s’est, par la suite, mesuré à d’autres montagnes, comme le Mont-Blanc ou encore le Kilimandjaro. 


En haut de l’Everest, à plus de 8 800 mètres d’altitude, Nadir Dendoune raconte avoir fait l’expérience d’une présence : "J’étais dans un état second. J’ai senti comme une sorte de brise qui m’a frôlé le crâne, quelque chose de presque divin", décrit-il. Élevé dans la tradition musulmane, Nadir Dendoune ne se considère pas comme croyant, mais reste attaché aux valeurs de tolérance et de partage inculquées par ses parents.


"Lorsque j’interviens dans les collèges ou les lycées pour raconter mon parcours, j’essaie de faire comprendre aux jeunes qu’ils sont tous pareils : ils sont nés dans le même pays, regardent la même télé…", explique-t-il. Pour lui, "ce qui compte, c’est le vécu commun, au-delà des différences de couleurs de peau et de croyances religieuses".


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TÉMOIGNAGE – "Je vous écris de là-haut", carnet de bord du dernier grand Himalayiste


► Parmi les invités de cette troisième saison de "Place des religions" :


L’écrivain Jean-Christophe Rufin ; la navigatrice Clarisse Crémer ; l’aventurier du pôle Sud Matthieu Tordeur ; le médecin et explorateur du pôle Nord Jean-Louis Étienne ; l’auteure et voyageuse Sonia Poussin ; la spécialiste de la transe chamanique Corine Sombrun ; l’ancienne championne du monde d’escalade Stéphanie Bodet ; l’ancien sous-marinier et diacre Christophe Bail ; l’aéronaute suisse Bertrand Piccard ; la présidente d’honneur du WWF France et navigatrice Isabelle Autissier ; le spationaute Jean-François Clervoy ; l’humanitaire évangélique Nath Fauveau.


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Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Clémence Maret. Journaliste au service religion : Malo Tresca. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne. Mixage : Yoann Vignot. Responsable marketing : Laurence Szabason. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Création musicale : Arnaud Forest. Extrait : INA - France 3, 12/13 Édition Paris Île-de-France, le 27 avril 2021.

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En 2008, Nadir Dendoune a décidé d’atteindre le sommet de l’Everest, sans aucune préparation physique. Originaire de Seine-Saint-Denis, il a relevé ce défi, afin de prouver que l’alpinisme n’était pas un sport réservé à une élite. Dans cet épisode, cet écrivain, élevé dans la tradition musulmane, nous raconte comment il relaie, dans les écoles, les valeurs de tolérance transmises par ses parents.


► Saison 3, épisode 13 – L’essentiel de l’épisode :


"J’ai gravi l’Everest pour aller là où l’on ne m’attendait pas", lance, avec une pointe de défi dans la voix, Nadir Dendoune. Lui qui a grandi dans un quartier populaire de Seine-Saint-Denis a décidé, en 2008, de grimper jusqu’au plus haut sommet du monde, situé au cœur de l’Himalaya.


"C’était pour moi une sorte de revanche sociale. On me voyait, au mieux, devenir un joueur de football, ou un chanteur de rap, mais on ne pensait pas qu’un mec comme moi était capable d’escalader des montagnes", raconte cet écrivain dans ce treizième épisode de la saison Le choix du risque.


Nadir Dendoune s’est lancé dans cette aventure sans aucune expérience en alpinisme. Ce n’est qu’une fois arrivé sur les lieux - après avoir "pipeauté" son CV pour intégrer un groupe de grimpeurs - qu’il a réalisé à quel point cette expédition pouvait être risquée. "On m’a alors parlé d’oreilles coupées, de doigts gelés, d’œdème pulmonaire…", se souvient-il.


Malgré la fatigue et le manque d’oxygène, Nadir Dendoune a réussi à atteindre le toit du monde, au prix de plusieurs semaines d’ascension. "Sur le coup, je ne me suis pas rendu compte de ce que j’avais réalisé. Mais après, pendant trois mois, j’ai eu l’impression d’être heureux et libre à 150 %", retrace celui qui s’est, par la suite, mesuré à d’autres montagnes, comme le Mont-Blanc ou encore le Kilimandjaro. 


En haut de l’Everest, à plus de 8 800 mètres d’altitude, Nadir Dendoune raconte avoir fait l’expérience d’une présence : "J’étais dans un état second. J’ai senti comme une sorte de brise qui m’a frôlé le crâne, quelque chose de presque divin", décrit-il. Élevé dans la tradition musulmane, Nadir Dendoune ne se considère pas comme croyant, mais reste attaché aux valeurs de tolérance et de partage inculquées par ses parents.


"Lorsque j’interviens dans les collèges ou les lycées pour raconter mon parcours, j’essaie de faire comprendre aux jeunes qu’ils sont tous pareils : ils sont nés dans le même pays, regardent la même télé…", explique-t-il. Pour lui, "ce qui compte, c’est le vécu commun, au-delà des différences de couleurs de peau et de croyances religieuses".


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TÉMOIGNAGE – "Je vous écris de là-haut", carnet de bord du dernier grand Himalayiste


► Parmi les invités de cette troisième saison de "Place des religions" :


L’écrivain Jean-Christophe Rufin ; la navigatrice Clarisse Crémer ; l’aventurier du pôle Sud Matthieu Tordeur ; le médecin et explorateur du pôle Nord Jean-Louis Étienne ; l’auteure et voyageuse Sonia Poussin ; la spécialiste de la transe chamanique Corine Sombrun ; l’ancienne championne du monde d’escalade Stéphanie Bodet ; l’ancien sous-marinier et diacre Christophe Bail ; l’aéronaute suisse Bertrand Piccard ; la présidente d’honneur du WWF France et navigatrice Isabelle Autissier ; le spationaute Jean-François Clervoy ; l’humanitaire évangélique Nath Fauveau.


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Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Clémence Maret. Journaliste au service religion : Malo Tresca. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne. Mixage : Yoann Vignot. Responsable marketing : Laurence Szabason. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Création musicale : Arnaud Forest. Extrait : INA - France 3, 12/13 Édition Paris Île-de-France, le 27 avril 2021.

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