Description
Rencontres, histoires et témoignages autour de la création… Paroles et confidences de créateurs disparus ou contemporains.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.




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43 episodes


Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode des grands entretiens. Avec cette fois quelque chose d’un peu particulier : c’est pas du rock, c’est pas du jazz, c’est pas du classique, mais un peu tout ça à la fois puisqu’il s’agit d’Yvette Horner. Eh oui, Yvette Horner, la reine de l’accordéon, du 14 juillet, du Tour de France et des bals populaires, le symbole français d’un instrument bien de chez nous. Cette interview date de janvier 1990, et à l’époque Yvette Horner était devenue très branchée. Le couturier Jean-Paul Gaultier s’était intéressé à elle, l’avait habillée et ils avaient même tourné un clip vidéo ensemble. De plus, Yvette Horner venait d’enregistrer un album sur lequel elle reprenait des airs de Michael Jackson et David Bowie... on ne peut pas faire plus branché. L’interview s’est déroulée à Nogent sur Marne, chez Yvette Horner, et j’en ai gardé un souvenir ému puisque dans sa maison, tout était en forme d’accordéon. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
16min | Published on May 29, 2018


En octobre 1984, Serge Gainsbourg publie un album, son avant-dernier, qui va faire, à défaut de véritable scandale, encore parler dans les chaumières. D’abord à cause de la pochette, sur laquelle le grand Serge pose maquillé, avec khol, sur les paupières, rouge à lèvres et fume cigarette, un cliché du photographe William Klein. Le titre de l’album "Love on the beat" est aussi celui de la chanson la plus remarquée du disque. Une sorte de "Je t’aime moi non plus" revisitée façon bande son de film porno... Prétexte à aller questionner le responsable dans son antre de la rue de Verneuil. Un entretien qui nécessite de tendre l’oreille, tant la diction de l’artiste, pour être légendaire, n’en est pas moins souvent plus proche du marmonnement intime que de la conversation conviviale. Une interview ponctuée aussi du claquement régulier de son briquet zippo, car si Dieu est un fumeur de Havanes, Gainsbourg, on le sait inhalait plutôt des Gitanes. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
26min | Published on May 28, 2018


Nous sommes au printemps 1979, soit quatre ans après la disparition de la vieille ORTF. Et pourtant, voilà qu’une chaîne de télévision, en l’occurrence Antenne 2, est secouée par un mini scandale. Au cours d’une émission de variétés présentée par l’ineffable Guy Lux à une heure de grande écoute, une chanson a écorché les prudes oreilles de nombreux téléspectateurs. Il s’agit de "Fernande", sémillant hymne érectile farouchement hétéro, interprété par son polisson d’auteur, Georges Brassens. Emoi, protestations, lettres indignées, standard téléphonique au bord de l’explosion, la rédaction du magazine dans lequel œuvre alors votre serviteur est sur le pied de guerre : mission, aller interviewer le pornographe du phonographe pour qu’il s’explique sur le tohu-bohu par lui involontairement provoqué. Résultat, me voilà un beau matin devant les grilles de l’auteur du Gorille, magnétophone antédiluvien sous le bras, un vieux machin à K7 dont même un brocanteur ne voudrait plus aujourd’hui. Ce qui explique évidemment la piètre qualité technique de l’enregistrement de cette conversation, qui va pourtant prendre un tour inattendu : car un Brassens en verve fera durer l’interview pendant près de deux heures. Nous sommes dans le 15ème arrondissement de Paris, au n°42 de la rue Santos Dumont, domicile du célèbre barde anar moustachu. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
30min | Published on May 27, 2018
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Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode des grands entretiens. Avec cette fois quelque chose d’un peu particulier : c’est pas du rock, c’est pas du jazz, c’est pas du classique, mais un peu tout ça à la fois puisqu’il s’agit d’Yvette Horner. Eh oui, Yvette Horner, la reine de l’accordéon, du 14 juillet, du Tour de France et des bals populaires, le symbole français d’un instrument bien de chez nous. Cette interview date de janvier 1990, et à l’époque Yvette Horner était devenue très branchée. Le couturier Jean-Paul Gaultier s’était intéressé à elle, l’avait habillée et ils avaient même tourné un clip vidéo ensemble. De plus, Yvette Horner venait d’enregistrer un album sur lequel elle reprenait des airs de Michael Jackson et David Bowie... on ne peut pas faire plus branché. L’interview s’est déroulée à Nogent sur Marne, chez Yvette Horner, et j’en ai gardé un souvenir ému puisque dans sa maison, tout était en forme d’accordéon. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
16min | Published on May 29, 2018


En octobre 1984, Serge Gainsbourg publie un album, son avant-dernier, qui va faire, à défaut de véritable scandale, encore parler dans les chaumières. D’abord à cause de la pochette, sur laquelle le grand Serge pose maquillé, avec khol, sur les paupières, rouge à lèvres et fume cigarette, un cliché du photographe William Klein. Le titre de l’album "Love on the beat" est aussi celui de la chanson la plus remarquée du disque. Une sorte de "Je t’aime moi non plus" revisitée façon bande son de film porno... Prétexte à aller questionner le responsable dans son antre de la rue de Verneuil. Un entretien qui nécessite de tendre l’oreille, tant la diction de l’artiste, pour être légendaire, n’en est pas moins souvent plus proche du marmonnement intime que de la conversation conviviale. Une interview ponctuée aussi du claquement régulier de son briquet zippo, car si Dieu est un fumeur de Havanes, Gainsbourg, on le sait inhalait plutôt des Gitanes. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
26min | Published on May 28, 2018


Nous sommes au printemps 1979, soit quatre ans après la disparition de la vieille ORTF. Et pourtant, voilà qu’une chaîne de télévision, en l’occurrence Antenne 2, est secouée par un mini scandale. Au cours d’une émission de variétés présentée par l’ineffable Guy Lux à une heure de grande écoute, une chanson a écorché les prudes oreilles de nombreux téléspectateurs. Il s’agit de "Fernande", sémillant hymne érectile farouchement hétéro, interprété par son polisson d’auteur, Georges Brassens. Emoi, protestations, lettres indignées, standard téléphonique au bord de l’explosion, la rédaction du magazine dans lequel œuvre alors votre serviteur est sur le pied de guerre : mission, aller interviewer le pornographe du phonographe pour qu’il s’explique sur le tohu-bohu par lui involontairement provoqué. Résultat, me voilà un beau matin devant les grilles de l’auteur du Gorille, magnétophone antédiluvien sous le bras, un vieux machin à K7 dont même un brocanteur ne voudrait plus aujourd’hui. Ce qui explique évidemment la piètre qualité technique de l’enregistrement de cette conversation, qui va pourtant prendre un tour inattendu : car un Brassens en verve fera durer l’interview pendant près de deux heures. Nous sommes dans le 15ème arrondissement de Paris, au n°42 de la rue Santos Dumont, domicile du célèbre barde anar moustachu. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
30min | Published on May 27, 2018