Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à mettre 5 étoiles et à vous abonner au podcast pour être prévenu.e de la sortie des prochains épisodes !
Dans son essai Pourquoi les lesbiennes sont invisibles, Marie Docher, photographe, explore les mécanismes qui rendent les lesbiennes si peu représentées, mal représentées, voire absentes de nos imaginaires collectifs. Elle écrit notamment :
« La dernière question que je posais à chacune avant de réaliser les photos était : « Avec quelles représentations t’es-tu construite ?» Nous en avons eu tellement peu à disposition que ce vide nous a façonnées. Construites par le vide, construites par des bricolages, de multiples négociations avec des bribes de films, de romans et une montagne d’hétérosexualité très souvent problématique. Nous en avons souvent été réduites à aimer ce qui nous dépréciait. [...] La norme est omniprésente, surpuissante dans toute la culture, la société, et s’impose massivement jusqu’à rendre aveugle à l’altérité, à la différence.»
Cette question de la représentation, de la possibilité de se reconnaître dans une histoire, est au cœur du témoignage de Lucie. Elle nous parle d’un roman grâce auquel elle a pu, enfin, se reconnaître et se construire.
Livres cités :
- 6h22 Place 108, Clémence Albérie, 2016
- Pourquoi les lesbiennes sont invisibles, Marie Docher, 2025
Musique :
Vacs In The Morning de Martijn Schmit
Source: https://soundcloud.com/martijn-schmit
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr
https://www.auboutdufil.com (https://www.auboutdufil.com)
www.tournerlapage.com (http://www.tournerlapage.com)
@tournerlapage_podcast (https://www.instagram.com/tournerlapage_podcast/)
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.